L'idée est d'explorer les différents "labyrinthes" qui permettent d'accéder au surnaturel, à partir de personnages qui se croisent.
Les dessins sont sympas et ne se prennent pas trop au sérieux, contrairement au scénario.
Rien d'exceptionnel à mon avis, mais ça se laisse lire.
En dehors de l'idée de base qui est carrément géniale (un personnage si discret qu'il n'a pas de visage) et des dessins de Moynot qui sont splendides, cette petite aventure n'a vraiment rien d'exceptionnel.
Le parisien qui se découvre une nouvelle existence grâce à la campagne, la peinture et... (vous allez être surpris)... à L'AMOUR(!!!), il me semble avoir déjà vu ça quelque part. Et pas qu'une fois.
Non mais c'est vrai, c'est d'un cliché!
Sinon, les textes ne sont pas fabuleux. Les répliques se ressemblent, pas de surprise, pas de rebondissement...
Se veut poétique mais finit sympa, gentil, mais vraiment... rien d'autre.
Cet album regroupant de nombreuses histoires réalisées par Guy Delisle entre 1995 et 2002 est assez surprenant : en effet, les quinze ou vingt histoires ont chacune un style (et une technique !) graphique différent. A tel point que si on retrouve parfois le dessin de l'auteur que l'on connait bien ("Réflexions", par exemple), à d'autres moments on ne le reconnaît pas du tout.
Grande variété donc, témoignage de la recherche et des capacités de Delisle.
Là où ça devient moins extraordinaire, c'est que ces histoires sont plutôt du genre absurde / étrange / bizarre... et que forcément ça surprend un peu, et que ça ne suscite pas toujours une réaction très positive. De fait, dans l'ensemble la lecture de cet album, sans être ennuyeuse, a été un peu longue. Certaines histoires sont assez excellentes, mais elles sont très minoritaires.
Bref, pour ce prix là, je déconseille fortement l'achat, à moins que vous soyez fan de Delisle, ou que ce genre vous plaise particulèrement.
On termine la lecture assez satisfait mais ça casse pas des briques. Le dessin est inégal, parfois assez rythmé et parfois affligeant tellement c'est statique. On ressent bien ces années groovie. Le scénario est loin d'être original mais il passe bien. Une petite lecture pour l'été.
Je m'attendais à pire pour être franc, surtout après avoir lu les quelques premières pages dont la couleur me faisait peur.
Mais bon, finalement, ça va à peu près. Je peux pas dire que cette bd révolutionne le genre, loin de là, mais il n'y a pas de grosse erreur à remarquer, ni dans le dessin ni dans le scénario. Même les couleurs passent bien finalement, c'est juste le passage orangé du début qui me paraît un peu raté.
Alors c'est pas une mauvaise bd, mais je n'ai pas pris de réel plaisir à la lire, c'est trop banal dans l'ensemble.
Et puis je trouve les vieilles rengaines sur les différences entre les races assez rédhibitoires.
Je suis tombé dessus par hasard, mais en feuilletant, j'ai tout de suite eu envie de lire ce 1er tome tant j'aime ce style de dessins/couleurs. C'est souvent magnifique, le rendu des planches est impressionnant.
Manque de bol, ce n'est pas le cas de cette histoire beaucoup trop tirée par les cheveux. Y a de l'idée, mais ça part un peu dans tout les sens sans grande spontanéité. Ca manque de fluidité tout ça !
Après un début qui me semblant plutôt prometteur, tout s'enlise rapidement et on finit par s'ennuyer ferme. Dommage dommage...
J'avoue avoir lu quasiment tous les albums, parce que certains crobards sont absolument excellents.
Pourtant, dans l'ensemble, c'est pas de la haute voltige. C'est toujours original, j'ai même envie de dire astucieux, mais ça n'est pas vraiment drôle hein, tout juste si ça arrache une sourire...
Mais bon, c'est nickel en pièce jointe d'un mail de temps en temps. :)
Très bel album à la couverture attirante, "Presque Sarajevo" ne tarde cependant pas à décevoir... Le dessin paraît tout d'abord mignon, mais je dois bien avouer qu'il ne me touche absolument pas et n'éveille en moi aucun sentiment, ni intérêt, ni émotion, ni rejet...
L'histoire, eh bien c'est pire. Ca commence un peu comme un journal, avec ces quatre dessinateurs suisses qui doivent se rendre à Sarajevo, mais ça part très vite n'importe où n'importe comment. Wazem parle de ce qu'il a vu en une semaine, soit rien de très intéressant. Les anecdotes avec Andrej, son homologue de là-bas (je n'ose dire "yougoslave" ou autre...) sont lourdes ; les quelques images représentant la ville sont sympas, mais vraiment sans plus ; le ton général est bordélique au possible, ennuyeux ; en plus, la première partie critique vivement les organisations humanitaires, mais sans expliquer pourquoi, sans donner aucune raison, ça m'a plutôt donné une très mauvaise impression envers l'auteur : soit il est crédule, soit il n'a pas su expliquer pourquoi il a été si vite convaincu...
Après restent encore deux parties, longues et ennuyeuses. 47 pages, certes, mais longues, longues... et on n'apprend rien...
Hasard, hasard. Juste après avoir lu Presque Sarajevo, je tombe sur "Praha" ("Prague", en VO...), chez les Rêveurs.
Même genre de thème, même genre de réaction : c'est très inintéressant. Présenté sous forme de petits chapitres, cet album ne passionne pas. Les récits sont très anecdotiques, avec un côté parfois un peu mythique (l'histoire du golem, les différents monstres...).
Le dessin est plutôt pas mal mais sans plus, avec cependant quelques pages très belles traitant des monstres pragois, qui ne sont pas sans rappeler un certain style de Sfar.
Dans l'ensemble sans intérêt.
Bouh, sacré bordel quand même.
Le vrai problème de cette petite bd, c'est qu'elle transpire les private jokes entre auteurs et membres de l'entourage de J.C. Menu. Alors, à moins d'être un proche de l'auteur, je doute qu'on ne puisse qu'être "étonné" de ce livre, sans vraiment en être amusé.
Bon, un bon point quand même, l'histoire du tirage de peau, que j'ai du lire les sourcils froncés durant l'intégralité du passage tellement le dessin et les descriptions me dégoûtaient. Là, il a fait fort, très fort.
Le dessin est relativement sale, bordélique et complètement destructuré, sans limite propre. Faut s'y faire, moi j'ai beaucoup de mal en tout cas...
Allez, à lire, par curiosité, mais sûrement pas à acheter, c'est évident.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Labyrinthes
L'idée est d'explorer les différents "labyrinthes" qui permettent d'accéder au surnaturel, à partir de personnages qui se croisent. Les dessins sont sympas et ne se prennent pas trop au sérieux, contrairement au scénario. Rien d'exceptionnel à mon avis, mais ça se laisse lire.
Monsieur Khol
En dehors de l'idée de base qui est carrément géniale (un personnage si discret qu'il n'a pas de visage) et des dessins de Moynot qui sont splendides, cette petite aventure n'a vraiment rien d'exceptionnel. Le parisien qui se découvre une nouvelle existence grâce à la campagne, la peinture et... (vous allez être surpris)... à L'AMOUR(!!!), il me semble avoir déjà vu ça quelque part. Et pas qu'une fois. Non mais c'est vrai, c'est d'un cliché! Sinon, les textes ne sont pas fabuleux. Les répliques se ressemblent, pas de surprise, pas de rebondissement... Se veut poétique mais finit sympa, gentil, mais vraiment... rien d'autre.
Comment ne rien faire
Cet album regroupant de nombreuses histoires réalisées par Guy Delisle entre 1995 et 2002 est assez surprenant : en effet, les quinze ou vingt histoires ont chacune un style (et une technique !) graphique différent. A tel point que si on retrouve parfois le dessin de l'auteur que l'on connait bien ("Réflexions", par exemple), à d'autres moments on ne le reconnaît pas du tout. Grande variété donc, témoignage de la recherche et des capacités de Delisle. Là où ça devient moins extraordinaire, c'est que ces histoires sont plutôt du genre absurde / étrange / bizarre... et que forcément ça surprend un peu, et que ça ne suscite pas toujours une réaction très positive. De fait, dans l'ensemble la lecture de cet album, sans être ennuyeuse, a été un peu longue. Certaines histoires sont assez excellentes, mais elles sont très minoritaires. Bref, pour ce prix là, je déconseille fortement l'achat, à moins que vous soyez fan de Delisle, ou que ce genre vous plaise particulèrement.
Chewing Gun
On termine la lecture assez satisfait mais ça casse pas des briques. Le dessin est inégal, parfois assez rythmé et parfois affligeant tellement c'est statique. On ressent bien ces années groovie. Le scénario est loin d'être original mais il passe bien. Une petite lecture pour l'été.
Sheewowkees
Je m'attendais à pire pour être franc, surtout après avoir lu les quelques premières pages dont la couleur me faisait peur. Mais bon, finalement, ça va à peu près. Je peux pas dire que cette bd révolutionne le genre, loin de là, mais il n'y a pas de grosse erreur à remarquer, ni dans le dessin ni dans le scénario. Même les couleurs passent bien finalement, c'est juste le passage orangé du début qui me paraît un peu raté. Alors c'est pas une mauvaise bd, mais je n'ai pas pris de réel plaisir à la lire, c'est trop banal dans l'ensemble. Et puis je trouve les vieilles rengaines sur les différences entre les races assez rédhibitoires.
L'ours de la Spadaccia
Je suis tombé dessus par hasard, mais en feuilletant, j'ai tout de suite eu envie de lire ce 1er tome tant j'aime ce style de dessins/couleurs. C'est souvent magnifique, le rendu des planches est impressionnant. Manque de bol, ce n'est pas le cas de cette histoire beaucoup trop tirée par les cheveux. Y a de l'idée, mais ça part un peu dans tout les sens sans grande spontanéité. Ca manque de fluidité tout ça ! Après un début qui me semblant plutôt prometteur, tout s'enlise rapidement et on finit par s'ennuyer ferme. Dommage dommage...
Serre
J'avoue avoir lu quasiment tous les albums, parce que certains crobards sont absolument excellents. Pourtant, dans l'ensemble, c'est pas de la haute voltige. C'est toujours original, j'ai même envie de dire astucieux, mais ça n'est pas vraiment drôle hein, tout juste si ça arrache une sourire... Mais bon, c'est nickel en pièce jointe d'un mail de temps en temps. :)
Presque Sarajevo
Très bel album à la couverture attirante, "Presque Sarajevo" ne tarde cependant pas à décevoir... Le dessin paraît tout d'abord mignon, mais je dois bien avouer qu'il ne me touche absolument pas et n'éveille en moi aucun sentiment, ni intérêt, ni émotion, ni rejet... L'histoire, eh bien c'est pire. Ca commence un peu comme un journal, avec ces quatre dessinateurs suisses qui doivent se rendre à Sarajevo, mais ça part très vite n'importe où n'importe comment. Wazem parle de ce qu'il a vu en une semaine, soit rien de très intéressant. Les anecdotes avec Andrej, son homologue de là-bas (je n'ose dire "yougoslave" ou autre...) sont lourdes ; les quelques images représentant la ville sont sympas, mais vraiment sans plus ; le ton général est bordélique au possible, ennuyeux ; en plus, la première partie critique vivement les organisations humanitaires, mais sans expliquer pourquoi, sans donner aucune raison, ça m'a plutôt donné une très mauvaise impression envers l'auteur : soit il est crédule, soit il n'a pas su expliquer pourquoi il a été si vite convaincu... Après restent encore deux parties, longues et ennuyeuses. 47 pages, certes, mais longues, longues... et on n'apprend rien...
Praha
Hasard, hasard. Juste après avoir lu Presque Sarajevo, je tombe sur "Praha" ("Prague", en VO...), chez les Rêveurs. Même genre de thème, même genre de réaction : c'est très inintéressant. Présenté sous forme de petits chapitres, cet album ne passionne pas. Les récits sont très anecdotiques, avec un côté parfois un peu mythique (l'histoire du golem, les différents monstres...). Le dessin est plutôt pas mal mais sans plus, avec cependant quelques pages très belles traitant des monstres pragois, qui ne sont pas sans rappeler un certain style de Sfar. Dans l'ensemble sans intérêt.
Minimune Comix
Bouh, sacré bordel quand même. Le vrai problème de cette petite bd, c'est qu'elle transpire les private jokes entre auteurs et membres de l'entourage de J.C. Menu. Alors, à moins d'être un proche de l'auteur, je doute qu'on ne puisse qu'être "étonné" de ce livre, sans vraiment en être amusé. Bon, un bon point quand même, l'histoire du tirage de peau, que j'ai du lire les sourcils froncés durant l'intégralité du passage tellement le dessin et les descriptions me dégoûtaient. Là, il a fait fort, très fort. Le dessin est relativement sale, bordélique et complètement destructuré, sans limite propre. Faut s'y faire, moi j'ai beaucoup de mal en tout cas... Allez, à lire, par curiosité, mais sûrement pas à acheter, c'est évident.