La pub de l'éditeur avait bien retenu mon attention et la couverture sympa m'a fait craquer (ok c'est le but).
L'histoire semblait prometteuse. Après lecture, je me suis demandée si je n'allais pas l'échanger.
J'ai trouvé cette mise en place des personnages et du fond assez médiocre et sans originalité.
Les dessins ne m'ont pas emballé, traits des visages parfois très grossiers, même baclés.
J'achèterai malgré tout le T2 pour voir comment s'oriente le scénario, au mieux je garde, au pire ça fera 2 tomes en occase.
Voilà une BD qui a très vite été mise en vente à prix modéré car elle est loin d'être exceptionnelle, surtout au niveau graphique.
Le dessin, qui se veut réaliste, est kitsch, voire mauvais surtout dans les anatomies. Certains personnages sont vraiment laids. Qui plus est, les couleurs n'arrangent pas l'ensemble. Elles manquent vraiment d'harmonie et la technique en parait désuette de nos jours.
Le scénario quant à lui, met en scène un pays qui a été trop longtemps fermé sur lui-même et les conséquences pour la population. L'auteur imagine un pays, probable pays d'Europe de l'Est ou des Balkans, dont les dirigeants ont fait en sorte de couper la population du monde extérieur, par un mur similaire au Rideau de Fer. Pour maintenir cet état d'aveuglement, les autorités, sous la coupe finalement d'un seul homme, vont même aller jusqu'à imaginer une guerre virtuelle qui va se transformer en nettoyage ethnique maquillé.
Le décor de dystopie imaginé là n'est pas mal du tout. Malheureusement, d'une part le récit tire un peu trop sur la corde sensible et se révèle trop manichéen, voire démagogue. Et d'autre part, une grande partie de l'intrigue tourne autour de l'arrestation du principal dirigeant du pays qui règne comme un savant fou dans sa tour d'ivoire, solitaire et loufoque. Pas très crédible, même si on imagine que l'ensemble a été imaginé sur la base du régime abherrant des Ceaucescu en Roumanie.
Le dessin de Janjetov est très bon, les couleurs informatiques de Beltran rendent bien même si vous n'aimez pas ce style de mise en couleurs, mais le scénario n'est pas à la hauteur... La trame reste strictement identique de tome en tome dans cette série. Sur les trois histoires menées de front, celle d'Albino vieux est sans interêt et souffre du délire métaphysique un peu trop courant chez Jodorowsky dans ses derniers albums, celle de Panépha n'apporte rien de neuf, et celle d'Albino jeune progresse toujours vers plus de pouvoirs, plus d'éxagérations, à la manière des derniers tomes des Méta-Barons.
Le soucis avec cette série c'est qu'à chaque nouveau tome, on a l'impression de relire le premier tome d'où un certain manque d'interêt.
A la base, je suis assez fan du personnage, qui doit être le plus controversé des super-héros, et j'étais bien content de trouver un récit sur lui en 3 tomes.
Pour faire bref, le 1er volume est dense, la narration ne nous laisse pas reprendre notre souffle, et l'histoire est quasi-résolue. Jusque-là, assez enthousiaste. Mais, comme si tout était déjà dit, les 2 suivants se révèlent lents et inintéressants au possible. Déception. Avis de fan qui dit franchement : à éviter.
Je serais pas aussi enthousiaste que Thanos, on passe un moment agréable à la lecture de cet album mais cette lecture est fastidieuse, les dessin font parfois un peu brouillons et on a un peu de mal à rentrer dans l'histoire.
Delestret peut nous donner des très belles planches et d'autres beaucoup moins belles où on a du mal à reconnaitre les différents personnages sinon les couleurs sont bien choisies et rendent le tout plutot sympatosche.
Pour l'histoire, faut attendre la suite, je pense, car là en 46 pages on sait pas grand chose.
Je ne conseille pas l'achat pour le moment, mieux vaut attendre le tome 2.
Brüno nous offre là une petite BD muette avec parfois des phylactères qui se résument à de simples onomatopées codées (à la façon de ce que l'auteur a si bien fait avec "Nemo").
Le dessin est toujours aussi sympathique chez Brüno avec des visages fermés, des silhouettes rondes et des dégradés de gris qui se marient parfaitement bien à cette ambiance de western façon sergio leone et ses scènes sans dialogue.
Le scénario se suit sans grande révolution, et les personnages se succèdent jusqu'à la fin hélas décevante… Même si son issue est en accord complet avec toute l'histoire …
Je n'ai lu que le tome 2 signé par Brüno mais je ne pense pas en lire d'autre tant le seul intérêt que j'ai trouvé dans cette lecture concernait justement le dessin...
Une lecture sans prétention, pas foncièrement une mauvaise BD mais pas beaucoup d'humour, pas de 2° degré, bref, vraiment pas un album indispensable, loin de là même...
Le talent de Brüno méritait peut être un plus grand format et une plus grande liberté de ton...
Mouais... d'un aire libre par Conrad, j'attendais plus que ça. L'histoire est étrange, un peu délirante, pas dans le sens où ca fait rire, non, plutôt genre on sait plus trop ce qui se passe. Les personnages ne sont pas très sympathiques, on ne sais pas trop où on va.
Il reste le dessin, bien sûr, mais il ne suffit pas lorsqu'on n'accroche pas avec le récit.
Je ne ferai pas long sur cette série parce que je n'en ai lu qu'1 (la 1ère fois) et franchement, je n'ai pas ri une seule fois. Même pas un petit sourire ou quoique ce soit du genre, rien!
Le néant.
Bon les dessins, c'est du Tronchet moche, mais fidèle à lui-même (je m'excuse, monsieur Tronchet, mais là, j'aime pas. Pourtant j'aime beaucoup Raymond Calbuth et Houppeland mais là, non, j'aime pas...).
Les "gags" ne sont vraiment pas marrants du tout, souvent vulgaires, et les rares chutes qu'on trouve parmi ces histoires entremêlées, et ben c'est du déjà vu.
Bon, étant donné que j'ai vu, je crois, 3 ou 4 trucs pas mal dans l'albums qui remonte un peu la cote, je ne mets pas 1/5.
Mais franchement, c'est du Tronchet que je n’aime pas.
Autant le premier tome était pas mal autant le second est plutôt chiant !! L'idée de base était franchement marrante, mais dans le second il part beaucoup trop dans des considérations politico-philosophiques. C'est finalement un peu répétitif et je me demandais quand j'allais pouvoir refermer cette bd ( oui je suis de nature acharnée, je vais jusqu'au bout même quand ça fait chier). Et puis repasser le programme d'histoire que je bosse comme un fou depuis 3-4 ans ça ne m'enchante pas des masses, surtout que c'est un peu facile et très gentil, finalement on dénonce et c'est tout. Bon bien sûr il y plein de trucs drôles à droite à gauche mais dans le tome 2 c'est beaucoup plus rare. Ca s'épuise un peu... Le dessin est égal à lui même, rien à en dire. Enfin voila, j'ai été déçu d'où ma sévérité peut-être. J'adore les pacush blues et le premier tome de la foire aux cochons m'avait laissé un bon souvenir, mais je me suis vraiment ennuyé en lisant le deuxième, j'avais l'impression de lire le livre noir de toutes les célébrités historiques sans plus. Dommage, vraiment dommage...
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Incantations
La pub de l'éditeur avait bien retenu mon attention et la couverture sympa m'a fait craquer (ok c'est le but). L'histoire semblait prometteuse. Après lecture, je me suis demandée si je n'allais pas l'échanger. J'ai trouvé cette mise en place des personnages et du fond assez médiocre et sans originalité. Les dessins ne m'ont pas emballé, traits des visages parfois très grossiers, même baclés. J'achèterai malgré tout le T2 pour voir comment s'oriente le scénario, au mieux je garde, au pire ça fera 2 tomes en occase.
Nobodyland
Voilà une BD qui a très vite été mise en vente à prix modéré car elle est loin d'être exceptionnelle, surtout au niveau graphique. Le dessin, qui se veut réaliste, est kitsch, voire mauvais surtout dans les anatomies. Certains personnages sont vraiment laids. Qui plus est, les couleurs n'arrangent pas l'ensemble. Elles manquent vraiment d'harmonie et la technique en parait désuette de nos jours. Le scénario quant à lui, met en scène un pays qui a été trop longtemps fermé sur lui-même et les conséquences pour la population. L'auteur imagine un pays, probable pays d'Europe de l'Est ou des Balkans, dont les dirigeants ont fait en sorte de couper la population du monde extérieur, par un mur similaire au Rideau de Fer. Pour maintenir cet état d'aveuglement, les autorités, sous la coupe finalement d'un seul homme, vont même aller jusqu'à imaginer une guerre virtuelle qui va se transformer en nettoyage ethnique maquillé. Le décor de dystopie imaginé là n'est pas mal du tout. Malheureusement, d'une part le récit tire un peu trop sur la corde sensible et se révèle trop manichéen, voire démagogue. Et d'autre part, une grande partie de l'intrigue tourne autour de l'arrestation du principal dirigeant du pays qui règne comme un savant fou dans sa tour d'ivoire, solitaire et loufoque. Pas très crédible, même si on imagine que l'ensemble a été imaginé sur la base du régime abherrant des Ceaucescu en Roumanie.
Les Technopères
Le dessin de Janjetov est très bon, les couleurs informatiques de Beltran rendent bien même si vous n'aimez pas ce style de mise en couleurs, mais le scénario n'est pas à la hauteur... La trame reste strictement identique de tome en tome dans cette série. Sur les trois histoires menées de front, celle d'Albino vieux est sans interêt et souffre du délire métaphysique un peu trop courant chez Jodorowsky dans ses derniers albums, celle de Panépha n'apporte rien de neuf, et celle d'Albino jeune progresse toujours vers plus de pouvoirs, plus d'éxagérations, à la manière des derniers tomes des Méta-Barons. Le soucis avec cette série c'est qu'à chaque nouveau tome, on a l'impression de relire le premier tome d'où un certain manque d'interêt.
Punisher (Ennis/Dillon)
A la base, je suis assez fan du personnage, qui doit être le plus controversé des super-héros, et j'étais bien content de trouver un récit sur lui en 3 tomes. Pour faire bref, le 1er volume est dense, la narration ne nous laisse pas reprendre notre souffle, et l'histoire est quasi-résolue. Jusque-là, assez enthousiaste. Mais, comme si tout était déjà dit, les 2 suivants se révèlent lents et inintéressants au possible. Déception. Avis de fan qui dit franchement : à éviter.
L'Homme qui rit (Lord Clancharlie)
Je serais pas aussi enthousiaste que Thanos, on passe un moment agréable à la lecture de cet album mais cette lecture est fastidieuse, les dessin font parfois un peu brouillons et on a un peu de mal à rentrer dans l'histoire. Delestret peut nous donner des très belles planches et d'autres beaucoup moins belles où on a du mal à reconnaitre les différents personnages sinon les couleurs sont bien choisies et rendent le tout plutot sympatosche. Pour l'histoire, faut attendre la suite, je pense, car là en 46 pages on sait pas grand chose. Je ne conseille pas l'achat pour le moment, mieux vaut attendre le tome 2.
Wanted
Brüno nous offre là une petite BD muette avec parfois des phylactères qui se résument à de simples onomatopées codées (à la façon de ce que l'auteur a si bien fait avec "Nemo"). Le dessin est toujours aussi sympathique chez Brüno avec des visages fermés, des silhouettes rondes et des dégradés de gris qui se marient parfaitement bien à cette ambiance de western façon sergio leone et ses scènes sans dialogue. Le scénario se suit sans grande révolution, et les personnages se succèdent jusqu'à la fin hélas décevante… Même si son issue est en accord complet avec toute l'histoire …
Voltige et Ratatouille
Je n'ai lu que le tome 2 signé par Brüno mais je ne pense pas en lire d'autre tant le seul intérêt que j'ai trouvé dans cette lecture concernait justement le dessin... Une lecture sans prétention, pas foncièrement une mauvaise BD mais pas beaucoup d'humour, pas de 2° degré, bref, vraiment pas un album indispensable, loin de là même... Le talent de Brüno méritait peut être un plus grand format et une plus grande liberté de ton...
Le Piège Malais
Mouais... d'un aire libre par Conrad, j'attendais plus que ça. L'histoire est étrange, un peu délirante, pas dans le sens où ca fait rire, non, plutôt genre on sait plus trop ce qui se passe. Les personnages ne sont pas très sympathiques, on ne sais pas trop où on va. Il reste le dessin, bien sûr, mais il ne suffit pas lorsqu'on n'accroche pas avec le récit.
Jean-Claude Tergal
Je ne ferai pas long sur cette série parce que je n'en ai lu qu'1 (la 1ère fois) et franchement, je n'ai pas ri une seule fois. Même pas un petit sourire ou quoique ce soit du genre, rien! Le néant. Bon les dessins, c'est du Tronchet moche, mais fidèle à lui-même (je m'excuse, monsieur Tronchet, mais là, j'aime pas. Pourtant j'aime beaucoup Raymond Calbuth et Houppeland mais là, non, j'aime pas...). Les "gags" ne sont vraiment pas marrants du tout, souvent vulgaires, et les rares chutes qu'on trouve parmi ces histoires entremêlées, et ben c'est du déjà vu. Bon, étant donné que j'ai vu, je crois, 3 ou 4 trucs pas mal dans l'albums qui remonte un peu la cote, je ne mets pas 1/5. Mais franchement, c'est du Tronchet que je n’aime pas.
La Foire aux Cochons
Autant le premier tome était pas mal autant le second est plutôt chiant !! L'idée de base était franchement marrante, mais dans le second il part beaucoup trop dans des considérations politico-philosophiques. C'est finalement un peu répétitif et je me demandais quand j'allais pouvoir refermer cette bd ( oui je suis de nature acharnée, je vais jusqu'au bout même quand ça fait chier). Et puis repasser le programme d'histoire que je bosse comme un fou depuis 3-4 ans ça ne m'enchante pas des masses, surtout que c'est un peu facile et très gentil, finalement on dénonce et c'est tout. Bon bien sûr il y plein de trucs drôles à droite à gauche mais dans le tome 2 c'est beaucoup plus rare. Ca s'épuise un peu... Le dessin est égal à lui même, rien à en dire. Enfin voila, j'ai été déçu d'où ma sévérité peut-être. J'adore les pacush blues et le premier tome de la foire aux cochons m'avait laissé un bon souvenir, mais je me suis vraiment ennuyé en lisant le deuxième, j'avais l'impression de lire le livre noir de toutes les célébrités historiques sans plus. Dommage, vraiment dommage...