Ça me fait mal de mettre une mauvaise note, parce que j'ai rencontré Kamel Khélif, le dessinateur, et que c'est un mec talentueux, gentil, patient, disponible, très intéressant à écouter, et que ses dessins, bien que très sombres, sont très beaux. Malheureusement, le texte qui les accompagne dans "Les Exilées", signé Nabile Farès, est assez difficile d'accès et, très franchement, je n'ai pas accroché du tout, du tout... Dans ces conditions, mettre plus de 2 étoiles me paraît malhonnête. Pardonnez-moi, M'sieur Khélif !
Un gag, ça vieillit pas toujours bien... Là, en l'occurrence, les 40 ans de cette BD se font un peu sentir.
Les conneries de ces deux bas-du-front étaient peut-être hyper drôle et même un peu provocatrices (vu que ça montrait deux prolos débiles dans un magazine communiste) dans les années 60, mais aujourd'hui, c'est une autre histoire... Oh, ça se lit tranquillement, hein, on sourit même de temps en temps, mais disons qu'il y a beaucoup de choses infiniment plus drôles disponibles aujourd'hui.
Face à Patacrèpe et Couillalère (les VRAIS héros les plus cons de la BD), les facéties bien gentillettes de ces deux benêts ne font pas vraiment le poids...
Ce comic fut l'une des premières BD, si ce n'est la première, entièrement conçue par ordinateur. À l'époque, c'était un événement, même si le scénario assez soporifique, l'univers "futuriste" qui n'était qu'une pâle copie de "Blade Runner" et de "Tron" et les dessins finalement plutôt beuark en ont laissé plus d'un perplexe quant au réel intérêt de la chose... 12 ans plus tard, les progrès énormes réalisés en infographie font qu'un méchant coup de vieux vient s'ajouter à ces défauts... Aujourd'hui, comparé à ceux des "Technopères" et de Mégalex, le graphisme de "Justice Digitale" fait vraiment de la peine. Reste la valeur "historique" de l'objet, d'ailleurs assez difficile à trouver de nos jours.
Pour une fois, je ne me range pas sur les avis favorables ... Malgré les illustrations sublimes de Rabaté, cette bd m'a sincèrement ennuyée et pourtant je l'ai lue jusqu'au bout, histoire de ne pas rester sur mes premières impressions. Mais bon, je la conseille quand même, car les dessins méritent le regard, mais je conseille aussi le livre original avant tout car la puissance de l'écriture est, sur ce coup, pas très bien retranscrit ...
C'est du manga dans le genre lourd de chez lourd. Cela s'adresse à un public adolescent et rien d'autres. On s'amusera en feuilletant ce manga de ces gonzesses à la poitrine hypertrophiée, quelques gags feront sourire mais l'intérêt de ce manga ne va pas beaucoup plus loin....
Ce n'est pas la première fois que l'on remarque un quel point Giardino est inspiré par les femmes. Il faut dire qu' il les dessine foutrement bien, le bougre !
A travers des différents portraits, Vacances fatales nous fait découvrir quelques unes de ses créatures de rêves. Pour pimenter le tout, ces femmes sont toutes motivées par le meurtre et ont recours à des stratagèmes digne d'un bon épisode de Columbo. On aurait pu appeller cette bd " Drame à l'italienne " étant donné les origines latines de l'auteur.
Ceci-dit , les différents sujets sont bien menés mais les scénarios sont parfois un peu trop lisses à mon goût. Sans oublier les personnages qui manquent cruellement de densité et de personnalité.
Alors, disons que cette bd se laisse lire mais sans plus.
A consommer uniquement si vous êtes fans de l'auteur .
Bon j'ai pas aimé, je ne savais même pas qu'il existait un 4ème tome.
L'histoire ne m'a pas emballé malgré un tome 1 qui m'avait paru sympa. par contre la suite.... Bof....
2/5 pour les dessins que je trouve sympa.
Je m'attendais à mieux, surtout après de telles éloges. Ce n'est pas un mauvais album, mais cela reste de qualité moyenne, je trouve. Dans le genre, c'est moins réussi que des séries comme Garulfo ou De Capes et de Crocs. Certains ont comparés l'humour de Milhiet avec celui d'Ayroles. Je comprend certes le rapprochement mais je trouve celui d'Ayroles plus fin.
Le dessin gagnerait à murir un peu. Le côté déjanté n'est pas sans intérêt mais certains effets de mise en scène pourraient être mieux utilisés. La mise en page y gagnerait en lisibilité. Les couleurs ne me plaisent pas trop mais elles passent.
Les dialogues qui sont par moments bien foutus tombent, à d'autres instants dans une certaine vulgarité. L'interêt général de l'intrigue pose encore question, mais il est encore trop tôt pour en juger.
Un album avec des qualités et des défauts, mais pas un indispensable, selon moi...
Le résumé donné par "Electre" (la base de données qui recense près d'un million de bouquins parus en France et dont on se sert dans les bibliothèques et à la Fnac) dit de cette BD que ça "désigne certains préjugés raciaux sur lesquelles s'assoient les religions et les civilisations.". Eh ben... Cela dit, ne blâmons pas Electre : en fait, c'est recopié d'une critique du bouquin que l'on peut lire sur sa quat' de couv'. Le critique qui a écrit ça (Richard Gehr, de "Village Voice") doit se servir du télescope Hubble pour lire entre les lignes, c'est pas possible autrement... Bon, bref. "Le Playboy", c'est avant tout une énième BD autobiographique en noir et blanc. Mais pas désagréable, à défaut d'être géniale. Si vous-même, vous avez acheté au moins une fois une revue coquine dans votre jeunesse, ça risque de vous rappeler pas mal de souvenirs... La honte et la peur qu'on ressent au moment de l'acheter (dans un kiosque à journaux super-éloigné de là où on habite, dans un quartier où personne ne nous connaît, histoire de limiter les risques d'être découvert et dénoncé), la peur d'être vu avec sur le chemin du retour, le dégoût de soi qu'on peut ressentir après "utilisation" et l'envie de se débarrasser du magazine, etc...
Mouais, bah ça casse pas des briques ce truc.
A aucun moment de cet album je ne me suis senti dedans.
Tout d'abord, le dessin est loin d'être vraiment beau. Les vampires sont repompés sur Crimson, c'est net, et c'est surtout dommage. Quand on traite d'un sujet qui frise la banalité, c'est quand même dingue d'aller repomper chez les autres séries du même style.
Les couleurs sont vraiment foirées selon moi. Il n'y a pas une seule planche qui en jette. C'est toujours très froid (problème de la couleur à l'ordi ?) mais jamais vraiment uniforme, donc l'ambiance n'est pas là.
Le scénario quant à lui est bourré de facilités. Aucune surprise du début à la fin de ce gros album.
De plus, la narration n’est vraiment pas maîtrisée. On est parfois un peu perdu au milieu de la foule de perso qui semblent importants. C'est vraiment mal mené.
Ca frise le 1/5 selon ce que je dis, mais bon, je l'ai lu sans me forcer non plus, alors comme ça se laisse lire...
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Les Exilées, histoires
Ça me fait mal de mettre une mauvaise note, parce que j'ai rencontré Kamel Khélif, le dessinateur, et que c'est un mec talentueux, gentil, patient, disponible, très intéressant à écouter, et que ses dessins, bien que très sombres, sont très beaux. Malheureusement, le texte qui les accompagne dans "Les Exilées", signé Nabile Farès, est assez difficile d'accès et, très franchement, je n'ai pas accroché du tout, du tout... Dans ces conditions, mettre plus de 2 étoiles me paraît malhonnête. Pardonnez-moi, M'sieur Khélif !
Grabadu et Gabaliouchtou
Un gag, ça vieillit pas toujours bien... Là, en l'occurrence, les 40 ans de cette BD se font un peu sentir. Les conneries de ces deux bas-du-front étaient peut-être hyper drôle et même un peu provocatrices (vu que ça montrait deux prolos débiles dans un magazine communiste) dans les années 60, mais aujourd'hui, c'est une autre histoire... Oh, ça se lit tranquillement, hein, on sourit même de temps en temps, mais disons qu'il y a beaucoup de choses infiniment plus drôles disponibles aujourd'hui. Face à Patacrèpe et Couillalère (les VRAIS héros les plus cons de la BD), les facéties bien gentillettes de ces deux benêts ne font pas vraiment le poids...
Batman - Justice Digitale
Ce comic fut l'une des premières BD, si ce n'est la première, entièrement conçue par ordinateur. À l'époque, c'était un événement, même si le scénario assez soporifique, l'univers "futuriste" qui n'était qu'une pâle copie de "Blade Runner" et de "Tron" et les dessins finalement plutôt beuark en ont laissé plus d'un perplexe quant au réel intérêt de la chose... 12 ans plus tard, les progrès énormes réalisés en infographie font qu'un méchant coup de vieux vient s'ajouter à ces défauts... Aujourd'hui, comparé à ceux des "Technopères" et de Mégalex, le graphisme de "Justice Digitale" fait vraiment de la peine. Reste la valeur "historique" de l'objet, d'ailleurs assez difficile à trouver de nos jours.
Ibicus
Pour une fois, je ne me range pas sur les avis favorables ... Malgré les illustrations sublimes de Rabaté, cette bd m'a sincèrement ennuyée et pourtant je l'ai lue jusqu'au bout, histoire de ne pas rester sur mes premières impressions. Mais bon, je la conseille quand même, car les dessins méritent le regard, mais je conseille aussi le livre original avant tout car la puissance de l'écriture est, sur ce coup, pas très bien retranscrit ...
Katsuo l'arme humaine
C'est du manga dans le genre lourd de chez lourd. Cela s'adresse à un public adolescent et rien d'autres. On s'amusera en feuilletant ce manga de ces gonzesses à la poitrine hypertrophiée, quelques gags feront sourire mais l'intérêt de ce manga ne va pas beaucoup plus loin....
Vacances fatales
Ce n'est pas la première fois que l'on remarque un quel point Giardino est inspiré par les femmes. Il faut dire qu' il les dessine foutrement bien, le bougre ! A travers des différents portraits, Vacances fatales nous fait découvrir quelques unes de ses créatures de rêves. Pour pimenter le tout, ces femmes sont toutes motivées par le meurtre et ont recours à des stratagèmes digne d'un bon épisode de Columbo. On aurait pu appeller cette bd " Drame à l'italienne " étant donné les origines latines de l'auteur. Ceci-dit , les différents sujets sont bien menés mais les scénarios sont parfois un peu trop lisses à mon goût. Sans oublier les personnages qui manquent cruellement de densité et de personnalité. Alors, disons que cette bd se laisse lire mais sans plus. A consommer uniquement si vous êtes fans de l'auteur .
Beatifica Blues
Bon j'ai pas aimé, je ne savais même pas qu'il existait un 4ème tome. L'histoire ne m'a pas emballé malgré un tome 1 qui m'avait paru sympa. par contre la suite.... Bof.... 2/5 pour les dessins que je trouve sympa.
Spoogue
Je m'attendais à mieux, surtout après de telles éloges. Ce n'est pas un mauvais album, mais cela reste de qualité moyenne, je trouve. Dans le genre, c'est moins réussi que des séries comme Garulfo ou De Capes et de Crocs. Certains ont comparés l'humour de Milhiet avec celui d'Ayroles. Je comprend certes le rapprochement mais je trouve celui d'Ayroles plus fin. Le dessin gagnerait à murir un peu. Le côté déjanté n'est pas sans intérêt mais certains effets de mise en scène pourraient être mieux utilisés. La mise en page y gagnerait en lisibilité. Les couleurs ne me plaisent pas trop mais elles passent. Les dialogues qui sont par moments bien foutus tombent, à d'autres instants dans une certaine vulgarité. L'interêt général de l'intrigue pose encore question, mais il est encore trop tôt pour en juger. Un album avec des qualités et des défauts, mais pas un indispensable, selon moi...
Le Playboy
Le résumé donné par "Electre" (la base de données qui recense près d'un million de bouquins parus en France et dont on se sert dans les bibliothèques et à la Fnac) dit de cette BD que ça "désigne certains préjugés raciaux sur lesquelles s'assoient les religions et les civilisations.". Eh ben... Cela dit, ne blâmons pas Electre : en fait, c'est recopié d'une critique du bouquin que l'on peut lire sur sa quat' de couv'. Le critique qui a écrit ça (Richard Gehr, de "Village Voice") doit se servir du télescope Hubble pour lire entre les lignes, c'est pas possible autrement... Bon, bref. "Le Playboy", c'est avant tout une énième BD autobiographique en noir et blanc. Mais pas désagréable, à défaut d'être géniale. Si vous-même, vous avez acheté au moins une fois une revue coquine dans votre jeunesse, ça risque de vous rappeler pas mal de souvenirs... La honte et la peur qu'on ressent au moment de l'acheter (dans un kiosque à journaux super-éloigné de là où on habite, dans un quartier où personne ne nous connaît, histoire de limiter les risques d'être découvert et dénoncé), la peur d'être vu avec sur le chemin du retour, le dégoût de soi qu'on peut ressentir après "utilisation" et l'envie de se débarrasser du magazine, etc...
Volunteer
Mouais, bah ça casse pas des briques ce truc. A aucun moment de cet album je ne me suis senti dedans. Tout d'abord, le dessin est loin d'être vraiment beau. Les vampires sont repompés sur Crimson, c'est net, et c'est surtout dommage. Quand on traite d'un sujet qui frise la banalité, c'est quand même dingue d'aller repomper chez les autres séries du même style. Les couleurs sont vraiment foirées selon moi. Il n'y a pas une seule planche qui en jette. C'est toujours très froid (problème de la couleur à l'ordi ?) mais jamais vraiment uniforme, donc l'ambiance n'est pas là. Le scénario quant à lui est bourré de facilités. Aucune surprise du début à la fin de ce gros album. De plus, la narration n’est vraiment pas maîtrisée. On est parfois un peu perdu au milieu de la foule de perso qui semblent importants. C'est vraiment mal mené. Ca frise le 1/5 selon ce que je dis, mais bon, je l'ai lu sans me forcer non plus, alors comme ça se laisse lire...