J’ai lu cette courte série de 3 albums sous forme d’intégrale. J’ai lu les épisodes sur un laps de temps très court, avide de savoir jusqu’où allait mener ce récit. Globalement, j’ai été déçu, la lecture du premier tome promettait de belles choses, le personnage central, Elsa, une petite fille surdouée en dessin et blessée par l’absence de sa mère, était d’emblée attachant et on sentait venir le sujet sensible et émouvant. Le premier opus promettait également une interrogation sur l’art et la peinture en particulier.
Mais au bout de la lecture des trois tomes, il n’en est rien, très vite l’intrigue qui démarrait sur un ton original, emprunte les rails de la banalité. Très vite on se retrouve face à une intrigue policière ne dépassant que de peu la qualité d’un épisode de Julie Lescaut. Trop vite le récit s’organise autour d’un axe manichéen, instaurant un personnage méchant qui n’a d’autres caractéristiques que d’être méchant et donc, peu crédible. Certains dialogues entre les parents d’Elsa frise le roman-photo et le personnage de la baby-sitter réserve une « surprise » finale qui ressemble à un pétard mouillé.
Le scénario de Makyo est une vraie débâcle. On dirait que le scénariste, pourtant expérimenté, prend peur en cours de route et perd confiance en son histoire qui promettait pourtant d’être originale, et retombe, volontairement, dans un conventionnalisme qui vient tout gâcher… C’est d’autant plus dommage que le dessin de Faure est de qualité et ne manque pas de sensibilité. Une série à éviter, une œuvre mineure pour Makyo.
Voilà une BD qu'on pourra, selon son humeur, trouver sympathique ou insupportable.
Si vous n'êtes pas trop mal luné, vous pourrez vous laisser charmer par les pérégrinations de ce brave gars en quête de plaisirs simples et inoffensifs : regarder les oiseaux, se promener dans le parc, manger des gâteaux dans le jardin avec sa femme et son chien le soir de noël, remettre à la mer un coquillage que le chien a trouvé dans le jardin...
Mais vous avez aussi le droit, si vous êtes d'humeur plus hargneuse, de vous agacer de cette collection de vignettes à la Philippe-"Guimauve-molle-au-sirop"-Delerm et son infâme "Première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules", et de ne pas vous exclamer "Oulalalala, comme c'est mignon, tous ces jolis-plaisirs-tout-simples-de-la-vie- qu'il-faut-prendre-le-temps-de-savourer-dans-ce-méchant-monde- de-brutes-où-tout-va-trop-vite, comme c'est top-chouette de grimper à un arbre pour rendre à des enfants l'avion qu'ils viennent de coincer dans les branches, comme c'est super-sympa de prendre un bon bain bien chaud pour se relaxer, comme c'est extra-adorable d'aider une vieille dame à trouver son chemin, comme c'est hypra-cool de voir ce gentil monsieur, sa gentille femme et leur gentil chien-chien faire toutes ces choses si belles et si simples" à la lecture des non-aventures de ce bon gros niais, dont chacun des chapitres pourrait servir de pub à l'équivalent japonais des knackis Herta.
Allez, ne soyons pas trop méchant et cynique, disons que c'est à lire un soir de blues, quand on se sent un peu triste, mélancolique, mou, faible, avec un CD de Joe Hisaishi en fond sonore ; dans ces conditions, ce petit manga un peu trop doucereux se digère sans trop de mal.
Le dessin est moyen pour ne pas dire médiocre, les couleurs sont plutôt moches. Le scénario n'a pas grand intérêt et exploite très mal le personnage de Lara Croft. En plus, l'histoire restera à jamais inachevée, puisque Glénat n'a plus le droit d'utiliser le personnage de Lara Croft, dont les droits d'adaptation BD appartiennent désormais exclusivement à l'éditeur américain Top Cow. Si vous n'êtes pas collectionneur de produits dérivés de Tomb Raider, vous pouver largement vous passer de ce "Dark Aeons".
C'est en lisant les differents avis de Spoogue sur bdtheque que je me suis procuré le soi-disant chef d'oeuvre. Je viens a peine de terminer cette epuisante lecture, peut-etre l'ai-je baclé, mais j'en reste fort decu:
-dessin qui a le merite d'etre travaille
mais que je trouve moche, la couleur est vraiment sombre et manque de fluidite.
-histoire à la mord-moi-l'noeud
-Les fameux details soit disant hilarand a chaque bulle n'ont provoquer chez moi,et que trés rarement, un leger sourire.
bref, je ne comprends pas l'enthousiasme general pour cette bd
En résumé cette histoire ne m'a pas touché.
Pas d'émotion particulière, au contraire d'autres albums du même auteur où là justement l'histoire était bien plus touchante. Juste une histoire fortement logique qui se déroule sur les deux tomes. Mais je n'ai pas trouvé un grand intérêt aux petites misères de la vie de cet auteur sur le retour.
Désolé, je n'accroche pas.
Globalement, la série, à mon humble avis, malgré quelques très bon moments situés principalement dans les premiers albums, ne vaut pas le coup.
Elle dégènère au bout de quelques tomes en une espèce d'histoire sans queue ni tête ou je ne m'y retrouve pas. Les motivations des personnages ne sont pas très clairs, et même si ce n'était pas le cas, le but de chaque faction parait bien vain vu la surenchère des derniers albums.
Les dessins me paraissent de plus très variables d'un tome à l'autre, on a parfois du mal à reconnaitre les personnages.
Bien dommage, le monde décrit des premiers tomes avec ses différentes factions rivales très différentes étaient pourtant des plus interessant.
Globalement les premiers tomes sont pas mal du tout. Histoire assez originale et interessante. Mais..... à un moment ca dérive vers le grotesque et le n'importe quoi. Limite je rallonge la sauce pour pas grand chose. Triple dommage et dommages irréparrables.
Comme souvent avec Alex Ross, les dessins sont superbes, mais les scénarios inconsistants. Si vous cherchez de bonnes histoires, originales, bien ficelées, avec des dialogues percutants, passez votre chemin, à ce niveau-là y a rien à voir ! En revanche, si vous appréciez le style graphique, assez inhabituel, d'Alex Ross, ces quatre titres sont une belle démonstration de son talent. Mais payer 15€ par tome pour des jolis livres d'images au scénar anecdotique, c'est un peu chérot... Si vraiment vous tenez à les posséder, préférez les versions parues chez Semic Comics, moins luxueuses certes (petit format souple contre grand format cartonné avec jaquette), mais beaucoup plus économiques.
Certaines choses m'ont tellement agacé, que ma première réaction était 1/5 (complètement nul). Je n'en dirai pas plus, pour ne pas gâcher un effet de surprise qui pourrait plaire à certains lecteurs. Finalement, après avoir lu les critiques précédentes, j'ai feuilleté l'album une dernière fois et je dois avouer que c'est un travail honnête mais sans plus.
Un bourreau qui fut jadis un colosse d'une efficacité redoutable, s'est empiffré jusqu'à ce qu'il devienne une masse de chair immonde. Il est assis sur un des plateaux d'une balance. La fille du bourreau (une fille à demi-nue qui suce constamment un suçon) devra couper des têtes de monstres jusqu'à ce que le poid de ces têtes surpasse celui de son père. Ajoutez à ça quelques subtilités, et un dessin souvent spectaculaire, et ça résume assez bien ce que j'en pense.
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Elsa
J’ai lu cette courte série de 3 albums sous forme d’intégrale. J’ai lu les épisodes sur un laps de temps très court, avide de savoir jusqu’où allait mener ce récit. Globalement, j’ai été déçu, la lecture du premier tome promettait de belles choses, le personnage central, Elsa, une petite fille surdouée en dessin et blessée par l’absence de sa mère, était d’emblée attachant et on sentait venir le sujet sensible et émouvant. Le premier opus promettait également une interrogation sur l’art et la peinture en particulier. Mais au bout de la lecture des trois tomes, il n’en est rien, très vite l’intrigue qui démarrait sur un ton original, emprunte les rails de la banalité. Très vite on se retrouve face à une intrigue policière ne dépassant que de peu la qualité d’un épisode de Julie Lescaut. Trop vite le récit s’organise autour d’un axe manichéen, instaurant un personnage méchant qui n’a d’autres caractéristiques que d’être méchant et donc, peu crédible. Certains dialogues entre les parents d’Elsa frise le roman-photo et le personnage de la baby-sitter réserve une « surprise » finale qui ressemble à un pétard mouillé. Le scénario de Makyo est une vraie débâcle. On dirait que le scénariste, pourtant expérimenté, prend peur en cours de route et perd confiance en son histoire qui promettait pourtant d’être originale, et retombe, volontairement, dans un conventionnalisme qui vient tout gâcher… C’est d’autant plus dommage que le dessin de Faure est de qualité et ne manque pas de sensibilité. Une série à éviter, une œuvre mineure pour Makyo.
L'Homme qui marche
Voilà une BD qu'on pourra, selon son humeur, trouver sympathique ou insupportable. Si vous n'êtes pas trop mal luné, vous pourrez vous laisser charmer par les pérégrinations de ce brave gars en quête de plaisirs simples et inoffensifs : regarder les oiseaux, se promener dans le parc, manger des gâteaux dans le jardin avec sa femme et son chien le soir de noël, remettre à la mer un coquillage que le chien a trouvé dans le jardin... Mais vous avez aussi le droit, si vous êtes d'humeur plus hargneuse, de vous agacer de cette collection de vignettes à la Philippe-"Guimauve-molle-au-sirop"-Delerm et son infâme "Première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules", et de ne pas vous exclamer "Oulalalala, comme c'est mignon, tous ces jolis-plaisirs-tout-simples-de-la-vie- qu'il-faut-prendre-le-temps-de-savourer-dans-ce-méchant-monde- de-brutes-où-tout-va-trop-vite, comme c'est top-chouette de grimper à un arbre pour rendre à des enfants l'avion qu'ils viennent de coincer dans les branches, comme c'est super-sympa de prendre un bon bain bien chaud pour se relaxer, comme c'est extra-adorable d'aider une vieille dame à trouver son chemin, comme c'est hypra-cool de voir ce gentil monsieur, sa gentille femme et leur gentil chien-chien faire toutes ces choses si belles et si simples" à la lecture des non-aventures de ce bon gros niais, dont chacun des chapitres pourrait servir de pub à l'équivalent japonais des knackis Herta. Allez, ne soyons pas trop méchant et cynique, disons que c'est à lire un soir de blues, quand on se sent un peu triste, mélancolique, mou, faible, avec un CD de Joe Hisaishi en fond sonore ; dans ces conditions, ce petit manga un peu trop doucereux se digère sans trop de mal.
Tomb Raider (Glénat)
Le dessin est moyen pour ne pas dire médiocre, les couleurs sont plutôt moches. Le scénario n'a pas grand intérêt et exploite très mal le personnage de Lara Croft. En plus, l'histoire restera à jamais inachevée, puisque Glénat n'a plus le droit d'utiliser le personnage de Lara Croft, dont les droits d'adaptation BD appartiennent désormais exclusivement à l'éditeur américain Top Cow. Si vous n'êtes pas collectionneur de produits dérivés de Tomb Raider, vous pouver largement vous passer de ce "Dark Aeons".
Spoogue
C'est en lisant les differents avis de Spoogue sur bdtheque que je me suis procuré le soi-disant chef d'oeuvre. Je viens a peine de terminer cette epuisante lecture, peut-etre l'ai-je baclé, mais j'en reste fort decu: -dessin qui a le merite d'etre travaille mais que je trouve moche, la couleur est vraiment sombre et manque de fluidite. -histoire à la mord-moi-l'noeud -Les fameux details soit disant hilarand a chaque bulle n'ont provoquer chez moi,et que trés rarement, un leger sourire. bref, je ne comprends pas l'enthousiasme general pour cette bd
A la recherche de Peter Pan
En résumé cette histoire ne m'a pas touché. Pas d'émotion particulière, au contraire d'autres albums du même auteur où là justement l'histoire était bien plus touchante. Juste une histoire fortement logique qui se déroule sur les deux tomes. Mais je n'ai pas trouvé un grand intérêt aux petites misères de la vie de cet auteur sur le retour. Désolé, je n'accroche pas.
Chroniques de la lune noire
Globalement, la série, à mon humble avis, malgré quelques très bon moments situés principalement dans les premiers albums, ne vaut pas le coup. Elle dégènère au bout de quelques tomes en une espèce d'histoire sans queue ni tête ou je ne m'y retrouve pas. Les motivations des personnages ne sont pas très clairs, et même si ce n'était pas le cas, le but de chaque faction parait bien vain vu la surenchère des derniers albums. Les dessins me paraissent de plus très variables d'un tome à l'autre, on a parfois du mal à reconnaitre les personnages. Bien dommage, le monde décrit des premiers tomes avec ses différentes factions rivales très différentes étaient pourtant des plus interessant.
Le Lièvre de Mars
Globalement les premiers tomes sont pas mal du tout. Histoire assez originale et interessante. Mais..... à un moment ca dérive vers le grotesque et le n'importe quoi. Limite je rallonge la sauce pour pas grand chose. Triple dommage et dommages irréparrables.
Les Plus Grands Super-Heros du Monde
Comme souvent avec Alex Ross, les dessins sont superbes, mais les scénarios inconsistants. Si vous cherchez de bonnes histoires, originales, bien ficelées, avec des dialogues percutants, passez votre chemin, à ce niveau-là y a rien à voir ! En revanche, si vous appréciez le style graphique, assez inhabituel, d'Alex Ross, ces quatre titres sont une belle démonstration de son talent. Mais payer 15€ par tome pour des jolis livres d'images au scénar anecdotique, c'est un peu chérot... Si vraiment vous tenez à les posséder, préférez les versions parues chez Semic Comics, moins luxueuses certes (petit format souple contre grand format cartonné avec jaquette), mais beaucoup plus économiques.
Sables Rouges
Certaines choses m'ont tellement agacé, que ma première réaction était 1/5 (complètement nul). Je n'en dirai pas plus, pour ne pas gâcher un effet de surprise qui pourrait plaire à certains lecteurs. Finalement, après avoir lu les critiques précédentes, j'ai feuilleté l'album une dernière fois et je dois avouer que c'est un travail honnête mais sans plus.
La fille du bourreau
Un bourreau qui fut jadis un colosse d'une efficacité redoutable, s'est empiffré jusqu'à ce qu'il devienne une masse de chair immonde. Il est assis sur un des plateaux d'une balance. La fille du bourreau (une fille à demi-nue qui suce constamment un suçon) devra couper des têtes de monstres jusqu'à ce que le poid de ces têtes surpasse celui de son père. Ajoutez à ça quelques subtilités, et un dessin souvent spectaculaire, et ça résume assez bien ce que j'en pense.