Aïe, je suis très déçu. Je m'attendais à une bd dont le fond était largement politisé, mais pas de cette manière. Là, j'ai eu l'impression de lire une bd de comptoir, tout étant exposé sans la moindre finesse, sans vraie réflexion.
Alors oui, on nous parle politique, ne nous voilons pas non plus la face, mais de quelle manière ! Je suis presque outré que cette bd soit tant aimée.
Je résume vite fait ce qui ressort de cette bd : la droite c'est la liberté à tout prix, la gauche c'est l'égalité à tout prix. Mouais, même au début de ma "vie politique" je n'ai pas été aussi ridiculement manichéen.
Que je sois d'accord ou non avec les idées de l'auteur, je trouve ça d'une bêtise navrante, on nage en pleine chasse aux sorcières.
Alors moi, je lis cette bd en grimaçant, entre rire jaune et étonnement (comment oser sortir des trucs aussi débiles ?!)
Qu'on ne me dise pas que "SOS Bonheur" ressemble à "1984" ou je meurs.
Alors oui, je ne base mon avis que sur la politique, c'est clair, mais n'est-ce pas le sujet central de cette bd ?!
Je suis révolté par cette bd, c'est clair, mais il faut quand même avouer que c'est bien mis en scène, donc je resterai soft...
C'est loin d'être le meilleur Chauvel... en tout cas, niveau polar, c'est le moins bon de ceux que j'ai pu lire.
On voit clairement le Chauvel touch, mais ici, ça me fatigue parce que ça manque cruellement de profondeur, c'est trop vite joué, trop vite expédié, trop vite bouclé.
Tout arrive sans vraie surprise : plaf, il se passe un truc, mais oh ! On l'attendait. J'éxagère à peine.
Je ne peux pas dire que me suis ennuyé, mais bon, je ne suis jamais vraiment entré dans cette bd.
Pas besoin de s'appeler Chauvel pour faire ce genre de scénario, tant tout est convenu d'avance.
Marc Antoine Mathieu nous replonge ici dans ses univers de bureaucratie impersonnelle, à la limite du cauchemar kafkaïen. Ses encrages noirs sont toujours aussi beaux, intrigants et cette bichromie reste aussi séduisante que dans les autres œuvres plus connues de l'auteur. L'alternance de texte sur une page et de planche sur l'autre est bien fichue, et finalement le gros défaut tient de la fin un peu trop hâtive à mon goût.
J'ai effectivement trouvé que si le décor et l'ambiance ont déjà été développés dans d'autres albums (voir la série "Julius Corentin Acquefaques"), cette idée de "mutation" aurait franchement mérité d'être transportée à une longue et véritable histoire, plus étoffée, plus introspective encore, bref, mieux finie.
Témoin de cet arrière-goût de déception qui m'est resté un peu au milieu de la gorge, ma notation pourra sembler un peu sévère mais à moins d'être un fan inconditionnel de Mathieu, je ne vois absolument pas ce que peut apporter la lecture de cette patte de mouche.
Seconde lecture dans la collection "Patte de Mouche" pour un mini-album de Marc Antoine Mathieu qu'on a connu bien mieux inspiré. J'ai trouvé le dessin moins fini que dans les autres œuvres de Mathieu, mais il est vrai qu'il varie très légèrement de ce à quoi l'auteur nous avait habitué.
L'idée en elle-même est loin d'être mauvaise, et on ne pourra pas reprocher à Mathieu de manquer d'originalité de ton ou d'audace narrative, il montre encore une fois ici qu'il reste un créateur hors pair.
Toutefois, le traitement de cette histoire m'a très largement déçu, et vraiment laissé sur ma faim. Les idées sont certes là mais sous-exploitées, et doublées de textes peu inspirés. Dans le genre, on est en tous les cas très loin de ce qu'a pu faire David B. sur le thème des ombres (ne serait-ce que sur son dernier album paru en juin chez Poisson Pilote).
Bon et bien la preuve est faite que je n’apprécie pas F’murr, « Le génie des alpages » mis à part.
Jehanne, c’est une petite centaine de pages publiée par petites tranches (de deux à quatre pages si j’ai bien regardé) chaque mois dans (A suivre). L’histoire est très très librement basée sur les personnages de Jeanne d’Arc et d’Attila. On retrouve également des extraterrestres bien psychédéliques, un peu façon génie des alpages… Le problème c’est qu’il n’y a pas de vraie continuité entre les morceaux, et les aventures de notre alcoolique héroïne sont un peu décousues, à l’avenant, vraiment improvisées au fur et à mesure.
Mais le pire c’est que l’humour ne marche pas. Bon, d’accord, c’est sympa et loufoque la plupart du temps. Parfois même j’ai ri (« Dieu est mort ! », dommage que l’ange qui braille ça ne s’appelle pas Nietzsche…). Mais dans l’ensemble ça se traîne, c’est répétitif, peu inspiré, pas recherché.
Conclusion : bof, vraiment pas la peine de se ruer dessus, même si cet album peut éventuellement faire passer une longue nuit d’hiver.
Je ne fais clairement pas partie du coeur de cible de cette bd. C'est ouvertement pour les teen et/ou ceux qui aiment les séries genre buffy et smallville.
Donc même principe, c'est pas désagréable, mais dieu que c'est banal et sans réel originalité dans le récit...
Le dessin est plutôt sympa, ça va, mais il ne suffit pas à rattraper un scénario trop moyen.
L'art et manière de me faire perdre mon temps à la fnac (en même temps, j'y étais pour ça)
Bamboo essaie de se diversifier et l'intention est louable, mais la qualité est loin d'être au rendez-vous avec cette bd.
Certes, le dessin n'est pas mauvais, loin de là, mais le scénario ne tient pas la route, et la mise en scène est complètement bancale.
Je passe sur les tentatives d'humour tant elles sont ridicules...
C'est typiquement le genre de bd que je ne regrette pas d'avoir lu, mais que je ne retoucherai plus. Ca ne m'a rien apporté, je n'y ai pris aucun plaisir.
"Les femmes en blanc"... des infirmières dans un hôpital... moui.
Bof.
Ca aurait pu être drôle, mais en fait ça l'est très rarement, et parfois très lourdingue...
Les dessins sont moyens et les gags répétitifs (peut-être pas autant que dans "Pierre Tombal" toutefois).
Bref, je ne conseille pas du tout cette bd... à la limite si on vous offre un tome lisez-le si vous ne connaissez pas... mais sinon allez l'échanger car ça serait quand même dommage de passer à côté de bds bien meilleures.
Alors là, la quintescence de la connerie dans la bd...
Jamais vu un concept aussi nul... Comment faire une série de bd tournant uniquement autour de la télévision ?? Et bien... je n'appellerais pas ça faire de la bd, mais tenter d'arracher des euros à de pauvres lecteurs de bd qui n'ont pas les moyens de se tromper...
Heureusement les lecteurs avertis ne s'y tromperont pas justement, et éviteront d'y toucher sous peine de crise de rage et de tentative de meurtre envers les vendeurs de grands magasins (bien entendu on voit beaucoup plus souvent "les zappeurs" que d'autres séries largement meilleures mais hélas moins "grand public" comme on l'appelle)...
Bon en même temps vous allez me dire que les grandes surfaces ne sont pas faites pour acheter des bd... Et vous aurez raison !
MAIS, car il y'a un mais, cela ne justifie pas le fait d'essayer de vendre 11 tomes d'une série inintéressante et répétitive à souhait...
A la limite qu'on tente de nouveaux concepts parfois, cela paraît logique... mais continuer à en produire DIX autres...
Bref.
Très mauvais... à part si vous ne lisez qu'un gag ou deux dans votre vie.
Je mets toutefois 2/5 pour les dessins qui me rappellent "Clin d'oeil", une série bien meilleure et qui me rappelle des souvenirs (j'en avais quelques-uns quand j'étais piti ^^)
Le thème est carrément original de même que la période choisie (une Amérique vacillante se relevant à peine des ses querelles intestines qui ont débouchées sur une guerre civile des plus traumatisantes). Malheureusement si l'univers est assez soigné, on a grand peine à être passionné par l'histoire vraiment linéaire, presque ennuyante. Le dessin est propret mais ce n'est clairement pas ma tasse de thé. Au final, cela donne une BD sans saveur à mon goût mais ça ne sera probablement pas le cas pour tout le monde, surtout si la marine et les grandes découvertes à la Jules Verne vous intéressent.
La fin très ouverte et qui pourrait déboucher sur un deuxième tome beaucoup plus fantastique me parait intéressante ; je tâcherai de lire la suite si l'occasion se présente. Mais il faudra un peu de piment à cette histoire pour que je persévère au-delà.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
S.O.S. Bonheur
Aïe, je suis très déçu. Je m'attendais à une bd dont le fond était largement politisé, mais pas de cette manière. Là, j'ai eu l'impression de lire une bd de comptoir, tout étant exposé sans la moindre finesse, sans vraie réflexion. Alors oui, on nous parle politique, ne nous voilons pas non plus la face, mais de quelle manière ! Je suis presque outré que cette bd soit tant aimée. Je résume vite fait ce qui ressort de cette bd : la droite c'est la liberté à tout prix, la gauche c'est l'égalité à tout prix. Mouais, même au début de ma "vie politique" je n'ai pas été aussi ridiculement manichéen. Que je sois d'accord ou non avec les idées de l'auteur, je trouve ça d'une bêtise navrante, on nage en pleine chasse aux sorcières. Alors moi, je lis cette bd en grimaçant, entre rire jaune et étonnement (comment oser sortir des trucs aussi débiles ?!) Qu'on ne me dise pas que "SOS Bonheur" ressemble à "1984" ou je meurs. Alors oui, je ne base mon avis que sur la politique, c'est clair, mais n'est-ce pas le sujet central de cette bd ?! Je suis révolté par cette bd, c'est clair, mais il faut quand même avouer que c'est bien mis en scène, donc je resterai soft...
Station Debout
C'est loin d'être le meilleur Chauvel... en tout cas, niveau polar, c'est le moins bon de ceux que j'ai pu lire. On voit clairement le Chauvel touch, mais ici, ça me fatigue parce que ça manque cruellement de profondeur, c'est trop vite joué, trop vite expédié, trop vite bouclé. Tout arrive sans vraie surprise : plaf, il se passe un truc, mais oh ! On l'attendait. J'éxagère à peine. Je ne peux pas dire que me suis ennuyé, mais bon, je ne suis jamais vraiment entré dans cette bd. Pas besoin de s'appeler Chauvel pour faire ce genre de scénario, tant tout est convenu d'avance.
La mutation
Marc Antoine Mathieu nous replonge ici dans ses univers de bureaucratie impersonnelle, à la limite du cauchemar kafkaïen. Ses encrages noirs sont toujours aussi beaux, intrigants et cette bichromie reste aussi séduisante que dans les autres œuvres plus connues de l'auteur. L'alternance de texte sur une page et de planche sur l'autre est bien fichue, et finalement le gros défaut tient de la fin un peu trop hâtive à mon goût. J'ai effectivement trouvé que si le décor et l'ambiance ont déjà été développés dans d'autres albums (voir la série "Julius Corentin Acquefaques"), cette idée de "mutation" aurait franchement mérité d'être transportée à une longue et véritable histoire, plus étoffée, plus introspective encore, bref, mieux finie. Témoin de cet arrière-goût de déception qui m'est resté un peu au milieu de la gorge, ma notation pourra sembler un peu sévère mais à moins d'être un fan inconditionnel de Mathieu, je ne vois absolument pas ce que peut apporter la lecture de cette patte de mouche.
Le coeur des ombres
Seconde lecture dans la collection "Patte de Mouche" pour un mini-album de Marc Antoine Mathieu qu'on a connu bien mieux inspiré. J'ai trouvé le dessin moins fini que dans les autres œuvres de Mathieu, mais il est vrai qu'il varie très légèrement de ce à quoi l'auteur nous avait habitué. L'idée en elle-même est loin d'être mauvaise, et on ne pourra pas reprocher à Mathieu de manquer d'originalité de ton ou d'audace narrative, il montre encore une fois ici qu'il reste un créateur hors pair. Toutefois, le traitement de cette histoire m'a très largement déçu, et vraiment laissé sur ma faim. Les idées sont certes là mais sous-exploitées, et doublées de textes peu inspirés. Dans le genre, on est en tous les cas très loin de ce qu'a pu faire David B. sur le thème des ombres (ne serait-ce que sur son dernier album paru en juin chez Poisson Pilote).
Jehanne au pied du mur
Bon et bien la preuve est faite que je n’apprécie pas F’murr, « Le génie des alpages » mis à part. Jehanne, c’est une petite centaine de pages publiée par petites tranches (de deux à quatre pages si j’ai bien regardé) chaque mois dans (A suivre). L’histoire est très très librement basée sur les personnages de Jeanne d’Arc et d’Attila. On retrouve également des extraterrestres bien psychédéliques, un peu façon génie des alpages… Le problème c’est qu’il n’y a pas de vraie continuité entre les morceaux, et les aventures de notre alcoolique héroïne sont un peu décousues, à l’avenant, vraiment improvisées au fur et à mesure. Mais le pire c’est que l’humour ne marche pas. Bon, d’accord, c’est sympa et loufoque la plupart du temps. Parfois même j’ai ri (« Dieu est mort ! », dommage que l’ange qui braille ça ne s’appelle pas Nietzsche…). Mais dans l’ensemble ça se traîne, c’est répétitif, peu inspiré, pas recherché. Conclusion : bof, vraiment pas la peine de se ruer dessus, même si cet album peut éventuellement faire passer une longue nuit d’hiver.
Incantations
Je ne fais clairement pas partie du coeur de cible de cette bd. C'est ouvertement pour les teen et/ou ceux qui aiment les séries genre buffy et smallville. Donc même principe, c'est pas désagréable, mais dieu que c'est banal et sans réel originalité dans le récit... Le dessin est plutôt sympa, ça va, mais il ne suffit pas à rattraper un scénario trop moyen.
Spiritus & Sancti
L'art et manière de me faire perdre mon temps à la fnac (en même temps, j'y étais pour ça) Bamboo essaie de se diversifier et l'intention est louable, mais la qualité est loin d'être au rendez-vous avec cette bd. Certes, le dessin n'est pas mauvais, loin de là, mais le scénario ne tient pas la route, et la mise en scène est complètement bancale. Je passe sur les tentatives d'humour tant elles sont ridicules... C'est typiquement le genre de bd que je ne regrette pas d'avoir lu, mais que je ne retoucherai plus. Ca ne m'a rien apporté, je n'y ai pris aucun plaisir.
Les Femmes en blanc
"Les femmes en blanc"... des infirmières dans un hôpital... moui. Bof. Ca aurait pu être drôle, mais en fait ça l'est très rarement, et parfois très lourdingue... Les dessins sont moyens et les gags répétitifs (peut-être pas autant que dans "Pierre Tombal" toutefois). Bref, je ne conseille pas du tout cette bd... à la limite si on vous offre un tome lisez-le si vous ne connaissez pas... mais sinon allez l'échanger car ça serait quand même dommage de passer à côté de bds bien meilleures.
Les Zappeurs
Alors là, la quintescence de la connerie dans la bd... Jamais vu un concept aussi nul... Comment faire une série de bd tournant uniquement autour de la télévision ?? Et bien... je n'appellerais pas ça faire de la bd, mais tenter d'arracher des euros à de pauvres lecteurs de bd qui n'ont pas les moyens de se tromper... Heureusement les lecteurs avertis ne s'y tromperont pas justement, et éviteront d'y toucher sous peine de crise de rage et de tentative de meurtre envers les vendeurs de grands magasins (bien entendu on voit beaucoup plus souvent "les zappeurs" que d'autres séries largement meilleures mais hélas moins "grand public" comme on l'appelle)... Bon en même temps vous allez me dire que les grandes surfaces ne sont pas faites pour acheter des bd... Et vous aurez raison ! MAIS, car il y'a un mais, cela ne justifie pas le fait d'essayer de vendre 11 tomes d'une série inintéressante et répétitive à souhait... A la limite qu'on tente de nouveaux concepts parfois, cela paraît logique... mais continuer à en produire DIX autres... Bref. Très mauvais... à part si vous ne lisez qu'un gag ou deux dans votre vie. Je mets toutefois 2/5 pour les dessins qui me rappellent "Clin d'oeil", une série bien meilleure et qui me rappelle des souvenirs (j'en avais quelques-uns quand j'étais piti ^^)
Le Neptune
Le thème est carrément original de même que la période choisie (une Amérique vacillante se relevant à peine des ses querelles intestines qui ont débouchées sur une guerre civile des plus traumatisantes). Malheureusement si l'univers est assez soigné, on a grand peine à être passionné par l'histoire vraiment linéaire, presque ennuyante. Le dessin est propret mais ce n'est clairement pas ma tasse de thé. Au final, cela donne une BD sans saveur à mon goût mais ça ne sera probablement pas le cas pour tout le monde, surtout si la marine et les grandes découvertes à la Jules Verne vous intéressent. La fin très ouverte et qui pourrait déboucher sur un deuxième tome beaucoup plus fantastique me parait intéressante ; je tâcherai de lire la suite si l'occasion se présente. Mais il faudra un peu de piment à cette histoire pour que je persévère au-delà.