DU même avis que Kael...
Ca a vieilli, c'était pas si drôle que ça en fait...
Mais quand on est petit c'est marrant et après tout c'est ce qui compte, non ? :)
Je n'ai pas trop aimé cette bd...
Bon d'accord les dessins sont plutôt bons mais hélas ça ne fait pas tout et le scénario est trop farfelu à mon goût...
De plus on a l'impression qu'il ne se passe rien dans la bd, on s'ennuie ferme.
Je dois dire que je n'en garde pas un très bon souvenir, d'autant que l'on m'en avait dit du bien.
De Cromwell, j'aime beaucoup Anita Bomba. Et pourtant je n'ai pas accroché aux Minettos.
En effet, les personnages sont originaux, délurés et défoulants. Mais je trouve la narration difficile et le dessin et la mise en page n'aident pas. En gros, j'ai peiné à lire ces BDs, pas réussi à m'intéresser à l'histoire, ni rien. Tant et si bien que je n'ai que feuilleté la suite des pages sans plus rien trouver qui me motivait à me replonger dans l'histoire.
Dommage...
Et dommage que Cromwell ne se remette pas à la suite d'Anita Bomba.
Amusant, Davodeau se veut très authentique dans ses descriptions et moi j'ai quand même l'impression que son ronron est quand même souvent à coté de la plaque.
Ses personnages sont trop souvent surréalistes ainsi que les situations, ça sonne souvent un peu convenu, très "propre pour la télé", voire des fois un peu démago.
Bon, cette B.D c'est la réflexion sur la condition des joueurs de football, un tantinet exagérée voire encore une fois à côté.
Bon, le champion de foot qui accepte d'aller dîner chez le quidam en fin de course, en soi, c'est déja pas très crédible, le coup de l'enlèvement et du doigt coupé etc. c'est la troisième dimension.
Tout ça pour qu'il en ressorte finalement que les joueurs de foot sont une vrai marchandise, un produit marketing (ça on le savait déja), mais de la à dire qu'ils sont a plaindre, qu'il y en a qui ne s'en sont pas rendu compte, voire même qu'ils détestent ça... tous ces grands champions connaissent les effets de leurs notoriété et en profitent à fond.
Le tapeur de balle qui quitte son club pour ne plus "être la vil marchandise du système de business footballeux" et qui fait une croix sur sa carrière, quitte à aller pointer au chom'du pour préserver sa "liberté" et ne plus être un objet marketing... n'importe quoi.
Davodeau doit être un type vachement bien, mais ses persos sont tous des types avec des principes qu'ils ne lâchent pas, dussent-ils en mourrir. Au lieu de nous peindre des "mecs moyens" il nous offre le portrait de surhomme à principes quasiment prêts à mourir pour leurs idéaux.
Mais les gens "normaux" sont pas comme ça. Encore moins les stars, redescendons sur terre.
Bon déjà, user un Pavillon Rouge entier pour juste le premier album de ce truc j'ai trouvé ça moyen....
Sinon la série en elle-même n'est pas déplaisante, même si le dessin est un peu trop ordi.
Bon, y a un scénario : les débuts d'un jeune pilote de course en parallèle avec une histoire d'enlèvement et de rançon (pour l'instant, aucun lien n'a été fait avec les deux histoires)... loin d'être ma tasse de thé, personnellement.
Pour donner une touche de "stayle", on étale quelques gonzesses en tenue sexy.
Pour l'instant on se demande où ça va aller mais il est peu probable que je suive (je lirai peut-être le deuxième à la sauvette à la FNAC).
J'ai tout d'abord été surpris qu'autant d'auteurs de BD se soient prêtés au jeu. De voir les personnages de Dany ou de Walthéry dans des situations érotiques, c'est courant. Mais de voir De Gieter (Papyrus), Jidehem (Sophie et aussi Ginger), Turk (Robin Dubois), le Docteur Justice, Jess Long et tant d'autres s'y mettre aussi, c'est surprenant.
Mais hélas, les gags érotiques ne sont pas franchement marrants comme on pourrait s'en douter, et n'ont pas de quoi émoustiller un jeune adolescent.
Par contre, certains gags du troisième tome sur les héros 20 ans après ne sont pas mauvais. Je retiens par exemple celui de Lucky Luke vieilli qui se fait ramener par bobonne (Calamity Jane) à la maison à bord de son vieux tacot dont la marque est J.Jumper.
Bref, des parodies assez moyennes mais qui ont le mérite d'être faites pour une bonne partie par les auteurs originels.
Bof... C'est pas mal mais bon, dans le domaine, Sfar nous a déjà pondu des albums bien plus pointus, plus fouillés, plus complets et plus complexes. Ca reste un peu au ras des paquerettes, entendu, classique, bref, très moyen; surtout pour du Sfar...
Quant aux dessins de Blain, comment dire... Ils sont dans la lignée de l'histoire : leur auteur bourré de talent semble se réserver, être resté en dedans... Dommage !
Du polar honnête, ultra classique mais efficace, pas grand chose à en dire et pas de quoi se relever la nuit. J'avoue ne pas être très excité par le dessin réaliste de Mako. Fusse t-il extraordinairement bien réalisé, c'est le genre de trait qui me laisse passablement indifférent.
Pour l'histoire en elle même le principal intérêt réside dans la réalité historique qu'elle dénonce (pour éviter de gâcher le plaisir de lecture je n'en dirai pas plus :)). Pour le reste, il ne s'agit jamais que d'un énième polar : les amateurs apprécieront...
Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est très original :o) : on est très loin d'autres BD racontant de façons humouristiques la vie de jeunes enfants (Petit spirou, Titeuf, Cédric, ...)
Si certains gags sont très drôles (grace aux répliques innatendus de l'un des triplés), voir par exemple l'histoire du Zoo dans la galerie, la plupart font juste sourire, voire se demander de quelle planète viennent ces enfants.
Les dessins sont simples, très propres, les couleurs aussi. Un détail ammusant : les cadrages sont souvents faits pour nous faire voir la scène du point de vue des enfants : les adultes ne sont qu'une paire de jambes immenses et une voie qui vient d'en haut.
Bon, après tout, c'est pê la seule BD "autorisée" dans certains milieux :o)
Certaines des histoires courtes de ce recueil sont plutôt originales mais elles sont au final trop nombreuses pour éviter cette désagréable impression de vide qu’il y a régulièrement en BD érotique. Comme le dessin est propret sans être éblouissant (comme de bien entendu avec Mazzotti), on a au final un volume juste passable.
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Pim Pam Poum
DU même avis que Kael... Ca a vieilli, c'était pas si drôle que ça en fait... Mais quand on est petit c'est marrant et après tout c'est ce qui compte, non ? :)
Anges
Je n'ai pas trop aimé cette bd... Bon d'accord les dessins sont plutôt bons mais hélas ça ne fait pas tout et le scénario est trop farfelu à mon goût... De plus on a l'impression qu'il ne se passe rien dans la bd, on s'ennuie ferme. Je dois dire que je n'en garde pas un très bon souvenir, d'autant que l'on m'en avait dit du bien.
Les Minettos Desperados
De Cromwell, j'aime beaucoup Anita Bomba. Et pourtant je n'ai pas accroché aux Minettos. En effet, les personnages sont originaux, délurés et défoulants. Mais je trouve la narration difficile et le dessin et la mise en page n'aident pas. En gros, j'ai peiné à lire ces BDs, pas réussi à m'intéresser à l'histoire, ni rien. Tant et si bien que je n'ai que feuilleté la suite des pages sans plus rien trouver qui me motivait à me replonger dans l'histoire. Dommage... Et dommage que Cromwell ne se remette pas à la suite d'Anita Bomba.
Ceux qui t'aiment
Amusant, Davodeau se veut très authentique dans ses descriptions et moi j'ai quand même l'impression que son ronron est quand même souvent à coté de la plaque. Ses personnages sont trop souvent surréalistes ainsi que les situations, ça sonne souvent un peu convenu, très "propre pour la télé", voire des fois un peu démago. Bon, cette B.D c'est la réflexion sur la condition des joueurs de football, un tantinet exagérée voire encore une fois à côté. Bon, le champion de foot qui accepte d'aller dîner chez le quidam en fin de course, en soi, c'est déja pas très crédible, le coup de l'enlèvement et du doigt coupé etc. c'est la troisième dimension. Tout ça pour qu'il en ressorte finalement que les joueurs de foot sont une vrai marchandise, un produit marketing (ça on le savait déja), mais de la à dire qu'ils sont a plaindre, qu'il y en a qui ne s'en sont pas rendu compte, voire même qu'ils détestent ça... tous ces grands champions connaissent les effets de leurs notoriété et en profitent à fond. Le tapeur de balle qui quitte son club pour ne plus "être la vil marchandise du système de business footballeux" et qui fait une croix sur sa carrière, quitte à aller pointer au chom'du pour préserver sa "liberté" et ne plus être un objet marketing... n'importe quoi. Davodeau doit être un type vachement bien, mais ses persos sont tous des types avec des principes qu'ils ne lâchent pas, dussent-ils en mourrir. Au lieu de nous peindre des "mecs moyens" il nous offre le portrait de surhomme à principes quasiment prêts à mourir pour leurs idéaux. Mais les gens "normaux" sont pas comme ça. Encore moins les stars, redescendons sur terre.
Golden Cup
Bon déjà, user un Pavillon Rouge entier pour juste le premier album de ce truc j'ai trouvé ça moyen.... Sinon la série en elle-même n'est pas déplaisante, même si le dessin est un peu trop ordi. Bon, y a un scénario : les débuts d'un jeune pilote de course en parallèle avec une histoire d'enlèvement et de rançon (pour l'instant, aucun lien n'a été fait avec les deux histoires)... loin d'être ma tasse de thé, personnellement. Pour donner une touche de "stayle", on étale quelques gonzesses en tenue sexy. Pour l'instant on se demande où ça va aller mais il est peu probable que je suive (je lirai peut-être le deuxième à la sauvette à la FNAC).
Parodies
J'ai tout d'abord été surpris qu'autant d'auteurs de BD se soient prêtés au jeu. De voir les personnages de Dany ou de Walthéry dans des situations érotiques, c'est courant. Mais de voir De Gieter (Papyrus), Jidehem (Sophie et aussi Ginger), Turk (Robin Dubois), le Docteur Justice, Jess Long et tant d'autres s'y mettre aussi, c'est surprenant. Mais hélas, les gags érotiques ne sont pas franchement marrants comme on pourrait s'en douter, et n'ont pas de quoi émoustiller un jeune adolescent. Par contre, certains gags du troisième tome sur les héros 20 ans après ne sont pas mauvais. Je retiens par exemple celui de Lucky Luke vieilli qui se fait ramener par bobonne (Calamity Jane) à la maison à bord de son vieux tacot dont la marque est J.Jumper. Bref, des parodies assez moyennes mais qui ont le mérite d'être faites pour une bonne partie par les auteurs originels.
Socrate le demi-chien
Bof... C'est pas mal mais bon, dans le domaine, Sfar nous a déjà pondu des albums bien plus pointus, plus fouillés, plus complets et plus complexes. Ca reste un peu au ras des paquerettes, entendu, classique, bref, très moyen; surtout pour du Sfar... Quant aux dessins de Blain, comment dire... Ils sont dans la lignée de l'histoire : leur auteur bourré de talent semble se réserver, être resté en dedans... Dommage !
Le Train des Oubliés
Du polar honnête, ultra classique mais efficace, pas grand chose à en dire et pas de quoi se relever la nuit. J'avoue ne pas être très excité par le dessin réaliste de Mako. Fusse t-il extraordinairement bien réalisé, c'est le genre de trait qui me laisse passablement indifférent. Pour l'histoire en elle même le principal intérêt réside dans la réalité historique qu'elle dénonce (pour éviter de gâcher le plaisir de lecture je n'en dirai pas plus :)). Pour le reste, il ne s'agit jamais que d'un énième polar : les amateurs apprécieront...
Les Triplés
Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est très original :o) : on est très loin d'autres BD racontant de façons humouristiques la vie de jeunes enfants (Petit spirou, Titeuf, Cédric, ...) Si certains gags sont très drôles (grace aux répliques innatendus de l'un des triplés), voir par exemple l'histoire du Zoo dans la galerie, la plupart font juste sourire, voire se demander de quelle planète viennent ces enfants. Les dessins sont simples, très propres, les couleurs aussi. Un détail ammusant : les cadrages sont souvents faits pour nous faire voir la scène du point de vue des enfants : les adultes ne sont qu'une paire de jambes immenses et une voie qui vient d'en haut. Bon, après tout, c'est pê la seule BD "autorisée" dans certains milieux :o)
Métamorphoses
Certaines des histoires courtes de ce recueil sont plutôt originales mais elles sont au final trop nombreuses pour éviter cette désagréable impression de vide qu’il y a régulièrement en BD érotique. Comme le dessin est propret sans être éblouissant (comme de bien entendu avec Mazzotti), on a au final un volume juste passable.