Bon franchement, lanfeust j'ai dévoré les 6 premiers tomes mais là...Lanfeust des étoiles???
C'est toujours la même recette, des gags répétitifs et un scénario un peu trop facile. C'est vu et revu. Les tomes se suivent et... se ressemblent.
Quant au dessin, s'il n'est pas empreint d'originalité, il demeure cependant de bonne facture "classique".
En bref, pour ceux qui découvrent la série des Lanfeust, reportez-vous de préférence à la première: Lanfeust de Troy. Si elle n'est pas excellente, elle a pour elle, le goût de la découverte.
Bon, OK, c'est du Bilal. Cela veut dire que le dessin est superbe, quasiment de la peinture et qu'il se suffit à lui-même. Et c'est bien là que le bat blesse !
Car, le scénario ne tient pas la route : trop complexe, trop difficile à appréhender, bref, pas bon... Et c'est dommage car la complexité n'est pas forcément rédhibitoire, mais, là, cela en devient impossible à suivre. Ou alors, il ne s'agit plus que de regarder de belles images, mais en ce cas ce n'est plus de la BD...
Je vais faire grincer quelques dents quand je vois tout ce monde qui aime cette BD, mais mes goûts personnels font que je la trouve "bof, sans plus". En effet, je n'ai pris quasiment aucun plaisir à sa lecture. Ce style de dessin n'est pas mon genre du tout : trop épuré, trop sombre, trait trop gras. Le scénario, qui se veut poétique, ne m'a absolument pas touché. Je suppose qu'on doit se sentir proche du héros, et comme lui voir dans le Capitaine la poésie, l'aventure et un être captivant... Eh bien pas du tout : j'ai trouvé aussi bien le héros que le capitaine antipathiques, voire prétentieux en ce qui concerne le Capitaine. Et du côté poétique de cette BD, je n'ai vu qu'une BD sombre, légèrement violente et... et avec un je ne sais quoi qui fait que je me sens en opposition avec cette BD et son message.
Bref, malgré un talent certain au niveau du dessin et un scénario original, je n'ai personnellement pas aimé.
Bouh... Ca me rend triste de devoir mettre une telle note quand je vois que cette série plait tant aux autres et en plus quand c'est une très bonne amie qui me l'a prêtée en me disant que c'était peut-être sa BD préférée... :o/
Quoiqu'il en soit, franchement, je n'ai pas pris de plaisir à lire les 3 premiers tomes.
Tout d'abord au niveau de la densité des albums : je les ai lus si vite que j'ai eu l'impression d'avoir parcouru une unique BD, ou au mieux 1.5 BD. Bref, moi qui aime les BDs denses et qu'on peut prendre son temps à lire, ça ne m'allait pas du tout.
Ensuite, c'est la même chose au niveau du dessin. Il est trop dépouillé à mon goût et je n'aime pas franchement le choix de couleurs. Mais c'est une question de goût sans doute.
Et puis vient le scénario... Il y a un bon côté : on peut se renseigner sur la religion juive à l'époque de l'occupation romaine... et encore... Les dialogues ont été modernisés pour que tout coule bien, mais on dirait des gars de banlieue ou des ados de notre époque qui causent dans la rue alors que ça se passe il y a plus de 2000 ans, et pour moi ça passe difficilement. De même, ce à quoi a l'air de se résumer le monde antique sous l'occupation romaine, c'est une suite d'engueulades, quelques meurtres vite expédiés et un résumé des pensées des personnages à des envies de manger ou de baiser. A cela s'ajoutent par dessus quelques petites discussions philosophiques, théologiques ou religieuses qui passent bien car très rapides et légères, mais qui m'ont plus ennuyé qu'intéressé.
Oui, en bref, c'est vraiment ça que j'ai ressenti durant ces 3 tomes : je me suis ennuyé. Je n'avais pas envie de suivre ces personnages (seul le père du gamin au début du tome 1 me plaisait bien), pas envie de connaître leurs discussions sur le sexe, la vie, etc., et pas envie non plus de suivre leurs "aventures" simplifiées dans une société de l'époque que je trouve irréaliste et simplifiée telle qu'elle est présentée ici.
Désolé, mais Lagaffe, ça ne passe pas. Je n'ai jamais ri à ses "gaffes". Je n'ai jamais trouvé le moindre de ses albums intéressant. A telle enseigne que je me demande si je suis tout à fait normal au vu du bonheur qu'il semble apporter à tant de lecteurs...
Si je devais comparer ce premier tome au cinéma, je dirais qu'il s'agit de série B très très moyenne, voire de série Z.
Les histoires sont prétexte à de l'angoisse un peu à la manière des contes de la crypte (qui eux portaient sur l'humour) : une base pour l'histoire, et hop, on y va, en sacrifiant beaucoup à la vraisemblance.
Ce qui fait (ou devrait faire) beaucoup, c'est le dessin, des visages suants, angoissés, terrifiés, torturés presque à chaque page, des pages très sombres.
Mais bon, c'est très mal développé, outrageusement outré (comme pour les caricatures de films d'horreur), et franchement sans aucune surprise puisqu'on sait ce qui va arriver au bout de trois pages. :(
Ca plaira peut-être aux moins de 12 ans, mais sinon, qu'on ait ou non aimé Spirale, "La femme défigurée" ne lui arrive de loin pas à la cheville. Bref, bof.
Tome 2 : idem tome 1, sauf que ça devient totalement ridicule. De quoi rire.
Ben là on est dans le domaine de la SF, c'est sûr, mais bien que le dessin soit bien, le contexte de l'histoire pas mal, le scénario honnête, je n'arrive pas à aimer, je sais pas, peut-être trop conventionnel, je ne sais pas mais je n'accroche pas. C'est plaisant à lire une fois, mais pas deux; c'est comme une série TV : c'est bien une fois mais on ne veut pas revoir les épisodes, et si on en rate un on n'est pas catastrophé...
Ma note casse un peu, d'autant que je n'ai pas vraiment eu de déplaisir à lire cette BD. Je l'ai trouvée très belle, la plupart du temps. Le graphisme est très réussi et original. Mais c'est plus au niveau de l'idée et du scénario que je coince.
Déjà j'avais des doutes d'avoir vraiment une BD entre les mains. Ca ressemblait plus pour moi au départ à une suite d'illustrations et d'essais esthétiques.
Mais non, c'en est bien une (enfin en principe). Et le scénario est assez ésotérique. Mais aussi un peu hermétique. Il y a de quoi se demander clairement où l'auteur veut en venir. Et c'est bien ça que je crains : que sur la suite, ça ne mène à rien du tout.
Cette série me fait fortement penser à une tentative artistique de faire quelque chose de différent. Son scénario crée un mystère qui, tant qu'on n'en a pas la solution, intrigue et passionne (enfin peut passionner, moi ça m'a pas passionné), mais il y a tous les risques que ça retombe comme un soufflé.
Bref, une BD dont je n'ai pas aimé l'ambiance ni le style de narration.
Je n'ai pas aimé cette série. Non pas que je lui reproche son dessin qui est plutôt bon, ni son ambition qui était énorme au départ : une histoire double, dessinée par deux personnes, où l'on suit les aventures d'un héros et d'une héroïne avec chacun leur vision de la même aventure ou presque.
Au départ, ça ressemble pas mal à du "Flash Gordon", je trouve. Notamment le style graphique et les personnages. L'histoire est tout aussi sans limite dans l'imagination SF. On dirait vraiment un scénario de vieux pulp des années 30.
Mais le tout devient à vitesse grand V beaucoup trop fouillis, trop compliqué. Et j'ai tout aussi rapidement décroché de l'histoire. Les personnages ne m'attiraient pas, l'histoire ne m'intéressait pas. Cette suite d'actions, de rebondissements, d'explosions et autres m'a très vite saoulé. Il se passe tellement de choses différentes que je serais bien en peine de faire un résumé de l'histoire.
C'est... trop.
Je ne suis pas assez réceptif à l'humour de Gaudelette. Ce que je vois dans cette BD, c'est une suite de planches couvertes de cases sans décor avec seulement le personnage de Gaudelette (sa caricature) au milieu qui parle de ce qui lui passe par la tête, et qui croise parfois un autre auteur ou éditeur de Fluide, et voilà voilà... C'est de la parlotte mise en BD. C'est Gaudelette qui dit ce qui lui vient sur les festivals, sur Fluide, sur les autres et sur lui.
Bon, c'est assez sympa d'entendre parler des auteurs de Fluide (que j'aime bien) et de leur (presque) vraie vie dans les festivals ou ailleurs. Mais de là à payer un album aussi vide de dessin et qui ne me fait pas rire (alors que c'est le but)... Lire ça dans les marges de Fluide, j'aime bien, mais lire ça en un album entier, non.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Lanfeust des Etoiles
Bon franchement, lanfeust j'ai dévoré les 6 premiers tomes mais là...Lanfeust des étoiles??? C'est toujours la même recette, des gags répétitifs et un scénario un peu trop facile. C'est vu et revu. Les tomes se suivent et... se ressemblent. Quant au dessin, s'il n'est pas empreint d'originalité, il demeure cependant de bonne facture "classique". En bref, pour ceux qui découvrent la série des Lanfeust, reportez-vous de préférence à la première: Lanfeust de Troy. Si elle n'est pas excellente, elle a pour elle, le goût de la découverte.
Le Sommeil du Monstre
Bon, OK, c'est du Bilal. Cela veut dire que le dessin est superbe, quasiment de la peinture et qu'il se suffit à lui-même. Et c'est bien là que le bat blesse ! Car, le scénario ne tient pas la route : trop complexe, trop difficile à appréhender, bref, pas bon... Et c'est dommage car la complexité n'est pas forcément rédhibitoire, mais, là, cela en devient impossible à suivre. Ou alors, il ne s'agit plus que de regarder de belles images, mais en ce cas ce n'est plus de la BD...
Le Capitaine Ecarlate
Je vais faire grincer quelques dents quand je vois tout ce monde qui aime cette BD, mais mes goûts personnels font que je la trouve "bof, sans plus". En effet, je n'ai pris quasiment aucun plaisir à sa lecture. Ce style de dessin n'est pas mon genre du tout : trop épuré, trop sombre, trait trop gras. Le scénario, qui se veut poétique, ne m'a absolument pas touché. Je suppose qu'on doit se sentir proche du héros, et comme lui voir dans le Capitaine la poésie, l'aventure et un être captivant... Eh bien pas du tout : j'ai trouvé aussi bien le héros que le capitaine antipathiques, voire prétentieux en ce qui concerne le Capitaine. Et du côté poétique de cette BD, je n'ai vu qu'une BD sombre, légèrement violente et... et avec un je ne sais quoi qui fait que je me sens en opposition avec cette BD et son message. Bref, malgré un talent certain au niveau du dessin et un scénario original, je n'ai personnellement pas aimé.
Les Olives noires
Bouh... Ca me rend triste de devoir mettre une telle note quand je vois que cette série plait tant aux autres et en plus quand c'est une très bonne amie qui me l'a prêtée en me disant que c'était peut-être sa BD préférée... :o/ Quoiqu'il en soit, franchement, je n'ai pas pris de plaisir à lire les 3 premiers tomes. Tout d'abord au niveau de la densité des albums : je les ai lus si vite que j'ai eu l'impression d'avoir parcouru une unique BD, ou au mieux 1.5 BD. Bref, moi qui aime les BDs denses et qu'on peut prendre son temps à lire, ça ne m'allait pas du tout. Ensuite, c'est la même chose au niveau du dessin. Il est trop dépouillé à mon goût et je n'aime pas franchement le choix de couleurs. Mais c'est une question de goût sans doute. Et puis vient le scénario... Il y a un bon côté : on peut se renseigner sur la religion juive à l'époque de l'occupation romaine... et encore... Les dialogues ont été modernisés pour que tout coule bien, mais on dirait des gars de banlieue ou des ados de notre époque qui causent dans la rue alors que ça se passe il y a plus de 2000 ans, et pour moi ça passe difficilement. De même, ce à quoi a l'air de se résumer le monde antique sous l'occupation romaine, c'est une suite d'engueulades, quelques meurtres vite expédiés et un résumé des pensées des personnages à des envies de manger ou de baiser. A cela s'ajoutent par dessus quelques petites discussions philosophiques, théologiques ou religieuses qui passent bien car très rapides et légères, mais qui m'ont plus ennuyé qu'intéressé. Oui, en bref, c'est vraiment ça que j'ai ressenti durant ces 3 tomes : je me suis ennuyé. Je n'avais pas envie de suivre ces personnages (seul le père du gamin au début du tome 1 me plaisait bien), pas envie de connaître leurs discussions sur le sexe, la vie, etc., et pas envie non plus de suivre leurs "aventures" simplifiées dans une société de l'époque que je trouve irréaliste et simplifiée telle qu'elle est présentée ici.
Gaston Lagaffe
Désolé, mais Lagaffe, ça ne passe pas. Je n'ai jamais ri à ses "gaffes". Je n'ai jamais trouvé le moindre de ses albums intéressant. A telle enseigne que je me demande si je suis tout à fait normal au vu du bonheur qu'il semble apporter à tant de lecteurs...
La Femme Défigurée
Si je devais comparer ce premier tome au cinéma, je dirais qu'il s'agit de série B très très moyenne, voire de série Z. Les histoires sont prétexte à de l'angoisse un peu à la manière des contes de la crypte (qui eux portaient sur l'humour) : une base pour l'histoire, et hop, on y va, en sacrifiant beaucoup à la vraisemblance. Ce qui fait (ou devrait faire) beaucoup, c'est le dessin, des visages suants, angoissés, terrifiés, torturés presque à chaque page, des pages très sombres. Mais bon, c'est très mal développé, outrageusement outré (comme pour les caricatures de films d'horreur), et franchement sans aucune surprise puisqu'on sait ce qui va arriver au bout de trois pages. :( Ca plaira peut-être aux moins de 12 ans, mais sinon, qu'on ait ou non aimé Spirale, "La femme défigurée" ne lui arrive de loin pas à la cheville. Bref, bof. Tome 2 : idem tome 1, sauf que ça devient totalement ridicule. De quoi rire.
Golden City
Ben là on est dans le domaine de la SF, c'est sûr, mais bien que le dessin soit bien, le contexte de l'histoire pas mal, le scénario honnête, je n'arrive pas à aimer, je sais pas, peut-être trop conventionnel, je ne sais pas mais je n'accroche pas. C'est plaisant à lire une fois, mais pas deux; c'est comme une série TV : c'est bien une fois mais on ne veut pas revoir les épisodes, et si on en rate un on n'est pas catastrophé...
XXe ciel.com
Ma note casse un peu, d'autant que je n'ai pas vraiment eu de déplaisir à lire cette BD. Je l'ai trouvée très belle, la plupart du temps. Le graphisme est très réussi et original. Mais c'est plus au niveau de l'idée et du scénario que je coince. Déjà j'avais des doutes d'avoir vraiment une BD entre les mains. Ca ressemblait plus pour moi au départ à une suite d'illustrations et d'essais esthétiques. Mais non, c'en est bien une (enfin en principe). Et le scénario est assez ésotérique. Mais aussi un peu hermétique. Il y a de quoi se demander clairement où l'auteur veut en venir. Et c'est bien ça que je crains : que sur la suite, ça ne mène à rien du tout. Cette série me fait fortement penser à une tentative artistique de faire quelque chose de différent. Son scénario crée un mystère qui, tant qu'on n'en a pas la solution, intrigue et passionne (enfin peut passionner, moi ça m'a pas passionné), mais il y a tous les risques que ça retombe comme un soufflé. Bref, une BD dont je n'ai pas aimé l'ambiance ni le style de narration.
Vortex
Je n'ai pas aimé cette série. Non pas que je lui reproche son dessin qui est plutôt bon, ni son ambition qui était énorme au départ : une histoire double, dessinée par deux personnes, où l'on suit les aventures d'un héros et d'une héroïne avec chacun leur vision de la même aventure ou presque. Au départ, ça ressemble pas mal à du "Flash Gordon", je trouve. Notamment le style graphique et les personnages. L'histoire est tout aussi sans limite dans l'imagination SF. On dirait vraiment un scénario de vieux pulp des années 30. Mais le tout devient à vitesse grand V beaucoup trop fouillis, trop compliqué. Et j'ai tout aussi rapidement décroché de l'histoire. Les personnages ne m'attiraient pas, l'histoire ne m'intéressait pas. Cette suite d'actions, de rebondissements, d'explosions et autres m'a très vite saoulé. Il se passe tellement de choses différentes que je serais bien en peine de faire un résumé de l'histoire. C'est... trop.
La Vie des Festivals
Je ne suis pas assez réceptif à l'humour de Gaudelette. Ce que je vois dans cette BD, c'est une suite de planches couvertes de cases sans décor avec seulement le personnage de Gaudelette (sa caricature) au milieu qui parle de ce qui lui passe par la tête, et qui croise parfois un autre auteur ou éditeur de Fluide, et voilà voilà... C'est de la parlotte mise en BD. C'est Gaudelette qui dit ce qui lui vient sur les festivals, sur Fluide, sur les autres et sur lui. Bon, c'est assez sympa d'entendre parler des auteurs de Fluide (que j'aime bien) et de leur (presque) vraie vie dans les festivals ou ailleurs. Mais de là à payer un album aussi vide de dessin et qui ne me fait pas rire (alors que c'est le but)... Lire ça dans les marges de Fluide, j'aime bien, mais lire ça en un album entier, non.