Bonne vieille BD fantastique, au dessin et aux couleurs un peu "vieille école", mais efficace. Un instant de lecture bien agréable, qui, pour ma part, s'est un peu effondré avec un dénouement aussi absurde qu'illogique et inexpliqué.
Une autre déception en lisant une BD de Manara, pour ma part. Il n'y a pas à dire, je trouve toujours le dessin très bon (enfin essentiellement les personnages), et les couleurs aussi me plaisent bien.
Mais par contre, au niveau du scénario, c'est toujours aussi rase-moquette et ridicule. En gros, ici, on reprend le scénario du livre des Voyages de Gulliver, et à chaque épisode du livre, on le transforme pour en faire quelque chose d'érotique. Et évidemment, c'est tiré par les cheveux. Gulliveriana se laisse aller comme une nymphomane sans cervelle, sans raison apparente qui pourrait donner de la cohérence et surtout aider à "exciter" l'imagination du lecteur.
Bref, c'est de l'exhibitionnisme gratuit sans véritable touche d'érotisme susceptible de titiller le lecteur.
J'ai sur cette BD un peu le même avis que sur "Le Déclic", du même auteur. A nouveau, cette série montre à quel point Manara dessine bien les femmes et leurs corps. Et une fois de plus, l'idée de départ du scénario se rapproche d'un fantasme récurrent chez les hommes (et peut-être aussi les femmes) : profiter d'être invisible pour assouvir ses pulsions de voyeurs et plus si affinités.
Mais à nouveau les personnages de cette BD sont mièvres et ridicules. Tout est exagéré pour favoriser un érotisme facile (les filles se déshabillent comme ça pour le plaisir, l'héroïne pense aussitôt au sexe pour résoudre une situation, etc.).
Bref, à nouveau une BD érotique qui m'énerve par la bêtise de son scénario et surtout de ses personnages. Franchement dispensable.
Une BD pas déplaisante mais pas passionnante, qui a les qualités mais aussi les défauts des sympathiques documentaires touristiques comme on peut en voir certains après-midi sur La Cinquième, c’est-à-dire que c’est bien foutu, documenté, c’est dépaysant, qu’on découvre un pays lointain et méconnu, qu’on apprend des trucs, mais qu’en même temps, c’est pas non plus quelque chose de palpitant dans lequel on va se plonger avec passion (dommage que Golo n’ait pas la drôlerie du Trondheim de Carnets de bord pour raconter ses péripéties et anecdotes de voyage), ça reste un peu superficiel et ça sent le produit approuvé par l’Office du Tourisme local : à lire cette BD, on croirait que tout est beau et sympa à Taïwan (par exemple le problème de la pauvreté est évacué en 2 planches, à la fin : « Taïwan c’est l’anti-Tiers Monde, ici la pauvreté est imperceptible, ici tout est possible pour ceux qui sont prêts à bosser dur » ; et malgré le titre de l’album, Golo ne parle pas du tout des conditions de travail dans les usines d’où proviennent tous les produits « Made in Taïwan »)…
Bref, si vous êtes curieux de connaître un peu Taïwan, c’est une façon assez sympa de découvrir un peu cette île, mais sinon, c’est une lecture sur laquelle vous pouvez faire l’impasse sans regret.
Une grosse impression de gâchis à la lecture de cette BD... La dessinatrice est talentueuse, l'histoire aurait pu être intéressante... mais à la fin on a une BD à la narration vieillote et au découpage assez moyen, où les personnages ne sont pas développés, et où il se passe trop de choses.
On dirait un résumé, ou une histoire en avance rapide. Du gâchis, vraiment.
Cette série est actuellement en prépublication dens les pages de "Je Bouquine", où j'ai pu la lire. J'aime beaucoup le style très particulier des dessins, mais j'ai été bien déçue par l'histoire.
Un peu de vie quotidienne de pré-ados au collège, un peu de leurs délires revendicatifs, le tout n'est finalement ni très drôle, ni très passionant. L'histoire tourne à une guéguerre entre leurs amis et un groupe de filles du collège, sans grande surprise : ils tendent un piège à l'une d'entre elles, elle tombe dedans, ah ah ah. Ah non, parfois ils se font punir. Bon, c'est la vie...
Quant aux deux jumeaux, ils ne sont pas spécialement sympathiques : Léo est très mou, et Léa assez cruelle finalement. En fait, je préfère de loin Alicia, la "méchante" de service, et si je lis la suite, ce sera pour voir si elle arrive un jour à prendre sa revanche. ;)
Enfin... quand je pense qu'avant, dans les premières pages de "Je Bouquine", y avait des strips de Trondheim. :(
"Volunteer" est une BD super classique mais ça n'est pas ce qui m'embête. Si un thème est recyclé avec brio, ça ne me gène pas le moins du monde qu'il soit aussi frais que le cadavre de Bela Lugosi. Mais là, on sombre fréquemment dans l'ennui, n'en sortant que lors de trop rares scènes d'action, assez efficaces pour les amoureux des émissions animalières sur le déchiquetage des gnous au Kalahari. L'ensemble dure en plus sur 60 pages, manière d'enfoncer le clou.
Le dessin, ben, je l'ai déjà oublié alors que j'ai lu la BD il y a à peine une semaine. Sans vouloir m'apesantir et déjuger ArzaK, au goût souvent assez sûr, on est à mon sens bien loin de "Rapaces", y compris au niveau scénaristique : là où Dufaux m'envoute, Sevestre m'endord. Un premier tome surestimé à mon avis.
J'avais été attiré par la couverture de l'album et le fait que de manière générale, j'aime bien les BDs de Ptiluc. Mais je dois avouer ne pas avoir été réceptif à cet album là.
Le dessin déjà n'est pas exceptionnel (je préfère quand Ptiluc dessine ses rats). En outre, je trouve la colorisation terne et mièvre, presque un boulot d'amateur loin des belles planches grises en aquarelles de Pacush Blues ou de La geste de Gilles de Chin et du dragon de Mons.
Ensuite l'histoire aurait pu être pas mal. Enfin disons qu'elle commençait bien. Une discussion entre un jars et une jeune fille, ça peut toujours être intéressant. Mais Ptiluc tombe dans ses travers que personnellement je n'aime pas trop : trop de réflexion, de prise de tête, de lamentation sur la vie et son absurdité, et surtout aucun rythme dans la narration et l'histoire. C'est bien simple : je n'ai pas du tout été intéressé par l'histoire dès les premières pages passées.
Ah, et puis le côté humour m'est complètement passé à côté.
Dommage... Heureusement, Ptiluc a fait mieux depuis.
Et vlan, 3e déception de suite après lecture de 3 albums de Trondheim (la prochaine fois, je m'attaque à "Carnet de Bord" qui m'a l'air engageant et va sans doute me réconcicilier avec cet auteur dont pourtant j'admire l'humour et l'imagination).
Mais donc pour revenir à "Kaput et Zösky", déjà, je ne dois pas être le bon public. D'habitude, quand Trondheim fait de la BD jeunesse, ça ressemble plus à des petits contes avec beaucoup d'humour et une réflexion intéressante à même d'ouvrir les yeux des enfants et de faire réfléchir les grands. Mais là, j'ai trouvé que tant au niveau de l'humour que de la réflexion, ce n'était pas du tout à la hauteur.
Les gags et situations ne font pas vraiment honneur à l'imagination de Trondheim, il y a pas mal de déjà-vu, ne serait-ce que dans l'idée de base de 2 personnages bêtes et méchants désireux de conquérir ou détruire les mondes qu'ils visitent. Je n'ai pas ri et à peine souri à la lecture de ces aventures sans grande finesse à mes yeux.
Et quant au côté intelligence et reflexion, il n'y a vraiment pas grand chose là-dedans.
En résumé, je pense que cette BD peut plaire à certains jeunes mais moi, peut-être trop adulte, ou peut-être pas assez, je n'ai pas vraiment apprécié.
J'ai vraiment été déçue par cet album.
Fan des Léturgie à l'humour parfois bien gras et souvent bien gore, je trouve là-dedans une resucée de pauvres gags, pour la plupart déjà lus dans l'album de Dav, "Flibustor".
Rien de neuf sous le soleil du côté des Léturgie, relisez "Polstar" ou "Spoon et White" en attendant leur prochain album, en espérant que ce ne soit pas "Space Cake 2".
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Le Bal du rat mort
Bonne vieille BD fantastique, au dessin et aux couleurs un peu "vieille école", mais efficace. Un instant de lecture bien agréable, qui, pour ma part, s'est un peu effondré avec un dénouement aussi absurde qu'illogique et inexpliqué.
Gulliveriana
Une autre déception en lisant une BD de Manara, pour ma part. Il n'y a pas à dire, je trouve toujours le dessin très bon (enfin essentiellement les personnages), et les couleurs aussi me plaisent bien. Mais par contre, au niveau du scénario, c'est toujours aussi rase-moquette et ridicule. En gros, ici, on reprend le scénario du livre des Voyages de Gulliver, et à chaque épisode du livre, on le transforme pour en faire quelque chose d'érotique. Et évidemment, c'est tiré par les cheveux. Gulliveriana se laisse aller comme une nymphomane sans cervelle, sans raison apparente qui pourrait donner de la cohérence et surtout aider à "exciter" l'imagination du lecteur. Bref, c'est de l'exhibitionnisme gratuit sans véritable touche d'érotisme susceptible de titiller le lecteur.
Le Parfum de l'Invisible
J'ai sur cette BD un peu le même avis que sur "Le Déclic", du même auteur. A nouveau, cette série montre à quel point Manara dessine bien les femmes et leurs corps. Et une fois de plus, l'idée de départ du scénario se rapproche d'un fantasme récurrent chez les hommes (et peut-être aussi les femmes) : profiter d'être invisible pour assouvir ses pulsions de voyeurs et plus si affinités. Mais à nouveau les personnages de cette BD sont mièvres et ridicules. Tout est exagéré pour favoriser un érotisme facile (les filles se déshabillent comme ça pour le plaisir, l'héroïne pense aussitôt au sexe pour résoudre une situation, etc.). Bref, à nouveau une BD érotique qui m'énerve par la bêtise de son scénario et surtout de ses personnages. Franchement dispensable.
Made in Taïwan
Une BD pas déplaisante mais pas passionnante, qui a les qualités mais aussi les défauts des sympathiques documentaires touristiques comme on peut en voir certains après-midi sur La Cinquième, c’est-à-dire que c’est bien foutu, documenté, c’est dépaysant, qu’on découvre un pays lointain et méconnu, qu’on apprend des trucs, mais qu’en même temps, c’est pas non plus quelque chose de palpitant dans lequel on va se plonger avec passion (dommage que Golo n’ait pas la drôlerie du Trondheim de Carnets de bord pour raconter ses péripéties et anecdotes de voyage), ça reste un peu superficiel et ça sent le produit approuvé par l’Office du Tourisme local : à lire cette BD, on croirait que tout est beau et sympa à Taïwan (par exemple le problème de la pauvreté est évacué en 2 planches, à la fin : « Taïwan c’est l’anti-Tiers Monde, ici la pauvreté est imperceptible, ici tout est possible pour ceux qui sont prêts à bosser dur » ; et malgré le titre de l’album, Golo ne parle pas du tout des conditions de travail dans les usines d’où proviennent tous les produits « Made in Taïwan »)… Bref, si vous êtes curieux de connaître un peu Taïwan, c’est une façon assez sympa de découvrir un peu cette île, mais sinon, c’est une lecture sur laquelle vous pouvez faire l’impasse sans regret.
A la recherche de la Licorne
Une grosse impression de gâchis à la lecture de cette BD... La dessinatrice est talentueuse, l'histoire aurait pu être intéressante... mais à la fin on a une BD à la narration vieillote et au découpage assez moyen, où les personnages ne sont pas développés, et où il se passe trop de choses. On dirait un résumé, ou une histoire en avance rapide. Du gâchis, vraiment.
Léo & Léa
Cette série est actuellement en prépublication dens les pages de "Je Bouquine", où j'ai pu la lire. J'aime beaucoup le style très particulier des dessins, mais j'ai été bien déçue par l'histoire. Un peu de vie quotidienne de pré-ados au collège, un peu de leurs délires revendicatifs, le tout n'est finalement ni très drôle, ni très passionant. L'histoire tourne à une guéguerre entre leurs amis et un groupe de filles du collège, sans grande surprise : ils tendent un piège à l'une d'entre elles, elle tombe dedans, ah ah ah. Ah non, parfois ils se font punir. Bon, c'est la vie... Quant aux deux jumeaux, ils ne sont pas spécialement sympathiques : Léo est très mou, et Léa assez cruelle finalement. En fait, je préfère de loin Alicia, la "méchante" de service, et si je lis la suite, ce sera pour voir si elle arrive un jour à prendre sa revanche. ;) Enfin... quand je pense qu'avant, dans les premières pages de "Je Bouquine", y avait des strips de Trondheim. :(
Volunteer
"Volunteer" est une BD super classique mais ça n'est pas ce qui m'embête. Si un thème est recyclé avec brio, ça ne me gène pas le moins du monde qu'il soit aussi frais que le cadavre de Bela Lugosi. Mais là, on sombre fréquemment dans l'ennui, n'en sortant que lors de trop rares scènes d'action, assez efficaces pour les amoureux des émissions animalières sur le déchiquetage des gnous au Kalahari. L'ensemble dure en plus sur 60 pages, manière d'enfoncer le clou. Le dessin, ben, je l'ai déjà oublié alors que j'ai lu la BD il y a à peine une semaine. Sans vouloir m'apesantir et déjuger ArzaK, au goût souvent assez sûr, on est à mon sens bien loin de "Rapaces", y compris au niveau scénaristique : là où Dufaux m'envoute, Sevestre m'endord. Un premier tome surestimé à mon avis.
Amours Volatiles
J'avais été attiré par la couverture de l'album et le fait que de manière générale, j'aime bien les BDs de Ptiluc. Mais je dois avouer ne pas avoir été réceptif à cet album là. Le dessin déjà n'est pas exceptionnel (je préfère quand Ptiluc dessine ses rats). En outre, je trouve la colorisation terne et mièvre, presque un boulot d'amateur loin des belles planches grises en aquarelles de Pacush Blues ou de La geste de Gilles de Chin et du dragon de Mons. Ensuite l'histoire aurait pu être pas mal. Enfin disons qu'elle commençait bien. Une discussion entre un jars et une jeune fille, ça peut toujours être intéressant. Mais Ptiluc tombe dans ses travers que personnellement je n'aime pas trop : trop de réflexion, de prise de tête, de lamentation sur la vie et son absurdité, et surtout aucun rythme dans la narration et l'histoire. C'est bien simple : je n'ai pas du tout été intéressé par l'histoire dès les premières pages passées. Ah, et puis le côté humour m'est complètement passé à côté. Dommage... Heureusement, Ptiluc a fait mieux depuis.
Kaput & Zösky
Et vlan, 3e déception de suite après lecture de 3 albums de Trondheim (la prochaine fois, je m'attaque à "Carnet de Bord" qui m'a l'air engageant et va sans doute me réconcicilier avec cet auteur dont pourtant j'admire l'humour et l'imagination). Mais donc pour revenir à "Kaput et Zösky", déjà, je ne dois pas être le bon public. D'habitude, quand Trondheim fait de la BD jeunesse, ça ressemble plus à des petits contes avec beaucoup d'humour et une réflexion intéressante à même d'ouvrir les yeux des enfants et de faire réfléchir les grands. Mais là, j'ai trouvé que tant au niveau de l'humour que de la réflexion, ce n'était pas du tout à la hauteur. Les gags et situations ne font pas vraiment honneur à l'imagination de Trondheim, il y a pas mal de déjà-vu, ne serait-ce que dans l'idée de base de 2 personnages bêtes et méchants désireux de conquérir ou détruire les mondes qu'ils visitent. Je n'ai pas ri et à peine souri à la lecture de ces aventures sans grande finesse à mes yeux. Et quant au côté intelligence et reflexion, il n'y a vraiment pas grand chose là-dedans. En résumé, je pense que cette BD peut plaire à certains jeunes mais moi, peut-être trop adulte, ou peut-être pas assez, je n'ai pas vraiment apprécié.
Space Cake
J'ai vraiment été déçue par cet album. Fan des Léturgie à l'humour parfois bien gras et souvent bien gore, je trouve là-dedans une resucée de pauvres gags, pour la plupart déjà lus dans l'album de Dav, "Flibustor". Rien de neuf sous le soleil du côté des Léturgie, relisez "Polstar" ou "Spoon et White" en attendant leur prochain album, en espérant que ce ne soit pas "Space Cake 2".