Je n'aime vraiment pas le dessin de Veyron. Outre ses décors vides et ses couleurs moches, je trouve son trait certes réaliste mais surtout enlaidissant ses personnages. Ce style de dessin est, à mes yeux, désuet.
Bref, cette BD est assez moche à mes yeux, presque rendue vide par cette absence quasi complète de décor, et ne serait-ce que pour cela, je ne l'achèterais sûrement pas.
Concernant l'histoire, maintenant, elle fait assez post-soixante-huitarde. Ce sont vraiment des errances sexuelles d'un personnage médiocre qui se retrouve impliqué dans des affaires sexuelles toutes aussi médiocres à droite à gauche, le tout saupoudré d'un humour pas toujours fameux. Les dialogues sont parfois longs, fastidieux et surtout franchement ennuyeux. On suit au passage une sorte d'intrigue sexuelle et amoureuse (ou si peu) entre le héros, une femme et son point G. Quelques scènes ont l'avantage d'être un peu excitantes, mais globalement, la médiocrité du tout m'a empêché d'apprécier cette BD que ce soit dans un sens (BD érotique) ou dans un autre (BD humoristique ou bien histoire de moeurs).
Ca donne un peu l'impression de lire un manuel sur la sexualité libérée dans années 70-80, le tout très moyennement illustré et doté d'un humour tout juste bon à faire sourire.
Très moyen, quoi.
Comme beaucoup, je jetais un regard distrait sur les planches de cette BD quand je lisais le Journal de Mickey. A tel point que c'est avec une certaine surprise que j'ai découvert qu'un album avait finalement été publié en 2004 à partir de ces gags.
Le dessin est loin d'être fameux. Assez moderne dans le style (notamment les visages des humains qui sont un peu dans le style comics), ce n'est pas moche, très lisible, mais franchement, il n'y a pas de quoi s'extasier. Les corps des deux enfants (Tomi et Flo) font même un peu disproportionnés au niveau des jambes, je trouve.
Quant aux gags... Ils ne sont franchement pas drôles.
Alors faut-il être indulgent parce que ce sont des gags destinés aux plus jeunes et que donc "ils ont le droit d'être très moyens", admettons... Mais franchement, côté humour, on a fait plus original. La BD joue sur les gags basiques et complètement dépassés liés aux robots : ils comprennent de travers ce qu'on leur dit, ils exagèrent tout, ils mangent des boulons, ils parlent avec les boîtes de conserves... Chaque chute de gag est tellement prévisible et déjà-vu que j'en soupirais presque à chaque fin de page.
A lire avec indulgence pour les moins jeunes et peut-être que ça plaira aux plus jeunes comme ça a dû plaire à certains lecteurs du Journal de Mickey.
Que c'est laborieux. Tout comme Ghost in the Shell, j'ai trouvé ce manga ennuyeux mais vraiment. Le premier tome arrivait à être encore assez intéressant, mais j'ai carrément dû me forcer pour finir le deuxième et j'ai arrêté là. Je suis d'ailleurs incapable de résumer l'histoire de ces 2 tomes.
Le dessin est super fouillé mais personnellement j'aime pas trop sans pouvoir l'expliquer.
J'ai vu l'animé dans le même temps, et bien c'est du même niveau. C'est plus ou moins inspiré des mangas mais le résultat est le même car il n'y a rien de très palpitant.
Pour la première fois, Fred me déçoit... Cet album me donne la désagréable impression d'avoir été fait à la va-vite, scénario bâclé ou je ne sais quoi. Bref, ce coup-ci, l'alchimie ne fonctionne pas. Même si ça reste du Fred !
Un album plein de poésie, mais qui m'a laissé froid malgré tout.
Le problème, c'est que je n'ai pas de reproches particuliers à formuler sur cet album, le dessin est vraiment agréable, l'histoire plutôt belle est bien foutue, mais... mais j'ai pas accroché. Je suis resté vachement extérieur à cette histoire, sans me sentir concerné (ni même intéressé) par ce Capitaine Ecarlate.
Un premier tome qui n'est pas désagréable à lire, mais qui ne m'a pas passionné pour autant.
Je suis un tout petit lecteur de mangas, je n'ai donc pas l'habitude de lire "à l'envers", ça a forcement gêné ma lecture... Pas plus que les dessins très "manga", sans grande personnalité mais pas laids.
Le problème de ce premier tome est qu'il n'avance pas assez. Pouf, ça se termine quand ça pouvait éventuellement devenir intéressant. "Enfin de l'action !" me disais-je, et non, pouf, terminé. Déjà que j'avais du mal avec ce coeur qui se découvre presque un esprit...
Et là, on m'a mis le T2 entre les mains... et je l'ai rendu. Non, pas envie de lire la suite, vraiment pas.
Ma première vraie déception après avoir lu une BD de MAM.
J'aime toujours autant son type de dessin, mais à part ça...
Il a le goût de l'absurde, c'est sûr, mais ça devient un peu indigeste dans Mémoire Morte, et finalement, ça lasse.
Il y a ce personnage central, le parfait anti-héros puisqu'il ne décide finalement de rien et ne fait que subir les événements, mais on ne s'attache pas à lui parce que justement, il subit trop, c'est même limite une larve qui se laisse aller. L'ordinateur central (un peu à la 2001 de Kubrick comme le remarque Don Lope) sait tout, voit tout, comprend tout... Et le lecteur ? Bah moi je me suis vite ennuyé.
Je crois que le résumé made by cac donne mon sentiment sur le scénario de base qui ne brille pas par son originalité. Si vous connaissez la série TV Code Lisa, c'est la même chose. Je ne sais pas si l'un s'inspire de l'autre.
Voici une oeuvre antérieure au grand succès de l'auteur Akamatsu qu'est Love Hina. Elle reprend un peu la même recette. On plante un pauvre gars tout à fait banal qui n'a jamais eu d'histoire d'amour de sa vie, et qui souffre en plus d'une timidité maladive. On lui colle dans les pattes une jeune et jolie fille pas farouche en plus vu que c'est un programme elle connaît rien à la vie. Ceci a pour conséquence le déclenchement de situations embarrassantes pour notre jeune ado. On retrouve le milieu scolaire avec sa concurrence et ses jalousies, les examens etc.
Je n'ai pas trouvé cette série très marrante, d'ailleurs je ne me rappelle pas avoir ri (et pourtant je l'ai lu il y a une heure).
Les explications informatiques font un peu pitié (voire beaucoup quand on s'y connaît un peu). Je suppose que l'auteur a dans le même temps voulu vulgariser un peu quelques concepts informatiques ou alors sortir sa science car il dit lui-même qu'il était féru d'informatique quand il était à la fac.
Les dessins sont moins beaux que dans Love Hina mais c'est un peu normal vu que cette série est plus ancienne. Juste un mot sur l'adaptation de Pika que je trouve très bonne, ce papier n'est néanmoins vraiment pas agréable ni au toucher ni à la vue.
Pour ma part je ne l'aurais pas lu et encore moins acheté si je ne l'avais eu pour presque rien, en tout cas ça m'étonnerait que je prenne la suite.
Bref si vous avez vraiment aimé Love Hina ou encore Video Girl Ai dont cette série se rapproche également, vous pouvez toujours essayer ai non stop. Pour les autres vous pouvez dire stop tout de suite.
Mon avis ne concerne que le premier tome "Les aventures de l’Univers". Pour être honnête, et au risque de déplaire à plus d’un, j’ai trouvé la lecture très ennuyeuse, voire fastidieuse ! Je reconnais ne pas être un fan assidu de Lewis Trondheim mais j’avais pourtant apprécié Les formidables aventures de Lapinot. Les planches sont ici constituées d'une accumulation de faits anodins sur la vie de tous les jours traités de manière naïve voire gentillette par moments. L’ensemble est donc trop décousu et inintéressant. Ce n’est certes pas un album humoristique mais de là à en faire un recueil de réflexions banales... A noter la présence (trop rare) d’une chute pas trop mal mais franchement convenue et pas des plus amusante. Précisons aussi que le scan des planches n’est pas des plus parfaits avec un degré de pixellisation visible à l’œil nu !
Bref, je lirai les deux autres tomes car, selon les avis ci-dessous, ils ont l’air franchement pas mal comparé à celui-ci... Avis susceptible d’être sujet à des modifications ultérieures !
Euh... dites-moi... ce mec discute avec un parasite extraterrestre qui a élu domicile dans sa main ?
Oui ?
Bon alors j’ai bien compris.
Je m’attendais à un truc gore et une ambiance sombre et violente.
Je tombe sur un espèce de Teen-Manga où le jeune étudiant amoureux de sa copine va sauver le monde et se retrouver dans des situations burlesques à cause de son Parasite encombrant …
…avec lequel il devient « copain» ce qui donne une phrase culte à la fin :
- Je ne regrette pas de ne pas t’avoir sucé le cerveau… ou un truc du genre… au passage moi je rigole !
Une jolie déception donc, je croyais tomber sur un bon manga d’horreur ( euh … j’ai mis le mot « bon » avec « manga » ? ) et je tombe sur une nullité ado un peu gore mais surtout très bête !
Quant à l’originalité, ça oscille entre l’invasion des mutants bactériologiques de l’espace et l’ado, style : « Vais-je avoir mon bac, sortir avec une fille et sauver le monde ??? »
Donc, amateurs du manga d’horreur allez voir chez Spirale ou Tomié si j’y suis et laissez Shin’shi colloquer avec son vers de la main qui lui transforme le bras en pénis géant en plein milieu de la cantine pour lui mettre la honte devant les filles.
Mais quoi, je vous jure c’est un Manga d’horreur !
Croyez-moi…
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
L'Amour Propre (Ne le reste ...)
Je n'aime vraiment pas le dessin de Veyron. Outre ses décors vides et ses couleurs moches, je trouve son trait certes réaliste mais surtout enlaidissant ses personnages. Ce style de dessin est, à mes yeux, désuet. Bref, cette BD est assez moche à mes yeux, presque rendue vide par cette absence quasi complète de décor, et ne serait-ce que pour cela, je ne l'achèterais sûrement pas. Concernant l'histoire, maintenant, elle fait assez post-soixante-huitarde. Ce sont vraiment des errances sexuelles d'un personnage médiocre qui se retrouve impliqué dans des affaires sexuelles toutes aussi médiocres à droite à gauche, le tout saupoudré d'un humour pas toujours fameux. Les dialogues sont parfois longs, fastidieux et surtout franchement ennuyeux. On suit au passage une sorte d'intrigue sexuelle et amoureuse (ou si peu) entre le héros, une femme et son point G. Quelques scènes ont l'avantage d'être un peu excitantes, mais globalement, la médiocrité du tout m'a empêché d'apprécier cette BD que ce soit dans un sens (BD érotique) ou dans un autre (BD humoristique ou bien histoire de moeurs). Ca donne un peu l'impression de lire un manuel sur la sexualité libérée dans années 70-80, le tout très moyennement illustré et doté d'un humour tout juste bon à faire sourire. Très moyen, quoi.
Robert le Robot
Comme beaucoup, je jetais un regard distrait sur les planches de cette BD quand je lisais le Journal de Mickey. A tel point que c'est avec une certaine surprise que j'ai découvert qu'un album avait finalement été publié en 2004 à partir de ces gags. Le dessin est loin d'être fameux. Assez moderne dans le style (notamment les visages des humains qui sont un peu dans le style comics), ce n'est pas moche, très lisible, mais franchement, il n'y a pas de quoi s'extasier. Les corps des deux enfants (Tomi et Flo) font même un peu disproportionnés au niveau des jambes, je trouve. Quant aux gags... Ils ne sont franchement pas drôles. Alors faut-il être indulgent parce que ce sont des gags destinés aux plus jeunes et que donc "ils ont le droit d'être très moyens", admettons... Mais franchement, côté humour, on a fait plus original. La BD joue sur les gags basiques et complètement dépassés liés aux robots : ils comprennent de travers ce qu'on leur dit, ils exagèrent tout, ils mangent des boulons, ils parlent avec les boîtes de conserves... Chaque chute de gag est tellement prévisible et déjà-vu que j'en soupirais presque à chaque fin de page. A lire avec indulgence pour les moins jeunes et peut-être que ça plaira aux plus jeunes comme ça a dû plaire à certains lecteurs du Journal de Mickey.
Apple Seed
Que c'est laborieux. Tout comme Ghost in the Shell, j'ai trouvé ce manga ennuyeux mais vraiment. Le premier tome arrivait à être encore assez intéressant, mais j'ai carrément dû me forcer pour finir le deuxième et j'ai arrêté là. Je suis d'ailleurs incapable de résumer l'histoire de ces 2 tomes. Le dessin est super fouillé mais personnellement j'aime pas trop sans pouvoir l'expliquer. J'ai vu l'animé dans le même temps, et bien c'est du même niveau. C'est plus ou moins inspiré des mangas mais le résultat est le même car il n'y a rien de très palpitant.
L'Histoire de la dernière image
Pour la première fois, Fred me déçoit... Cet album me donne la désagréable impression d'avoir été fait à la va-vite, scénario bâclé ou je ne sais quoi. Bref, ce coup-ci, l'alchimie ne fonctionne pas. Même si ça reste du Fred !
Le Capitaine Ecarlate
Un album plein de poésie, mais qui m'a laissé froid malgré tout. Le problème, c'est que je n'ai pas de reproches particuliers à formuler sur cet album, le dessin est vraiment agréable, l'histoire plutôt belle est bien foutue, mais... mais j'ai pas accroché. Je suis resté vachement extérieur à cette histoire, sans me sentir concerné (ni même intéressé) par ce Capitaine Ecarlate.
Angel Heart
Un premier tome qui n'est pas désagréable à lire, mais qui ne m'a pas passionné pour autant. Je suis un tout petit lecteur de mangas, je n'ai donc pas l'habitude de lire "à l'envers", ça a forcement gêné ma lecture... Pas plus que les dessins très "manga", sans grande personnalité mais pas laids. Le problème de ce premier tome est qu'il n'avance pas assez. Pouf, ça se termine quand ça pouvait éventuellement devenir intéressant. "Enfin de l'action !" me disais-je, et non, pouf, terminé. Déjà que j'avais du mal avec ce coeur qui se découvre presque un esprit... Et là, on m'a mis le T2 entre les mains... et je l'ai rendu. Non, pas envie de lire la suite, vraiment pas.
Mémoire morte
Ma première vraie déception après avoir lu une BD de MAM. J'aime toujours autant son type de dessin, mais à part ça... Il a le goût de l'absurde, c'est sûr, mais ça devient un peu indigeste dans Mémoire Morte, et finalement, ça lasse. Il y a ce personnage central, le parfait anti-héros puisqu'il ne décide finalement de rien et ne fait que subir les événements, mais on ne s'attache pas à lui parce que justement, il subit trop, c'est même limite une larve qui se laisse aller. L'ordinateur central (un peu à la 2001 de Kubrick comme le remarque Don Lope) sait tout, voit tout, comprend tout... Et le lecteur ? Bah moi je me suis vite ennuyé.
Ai non-stop !
Je crois que le résumé made by cac donne mon sentiment sur le scénario de base qui ne brille pas par son originalité. Si vous connaissez la série TV Code Lisa, c'est la même chose. Je ne sais pas si l'un s'inspire de l'autre. Voici une oeuvre antérieure au grand succès de l'auteur Akamatsu qu'est Love Hina. Elle reprend un peu la même recette. On plante un pauvre gars tout à fait banal qui n'a jamais eu d'histoire d'amour de sa vie, et qui souffre en plus d'une timidité maladive. On lui colle dans les pattes une jeune et jolie fille pas farouche en plus vu que c'est un programme elle connaît rien à la vie. Ceci a pour conséquence le déclenchement de situations embarrassantes pour notre jeune ado. On retrouve le milieu scolaire avec sa concurrence et ses jalousies, les examens etc. Je n'ai pas trouvé cette série très marrante, d'ailleurs je ne me rappelle pas avoir ri (et pourtant je l'ai lu il y a une heure). Les explications informatiques font un peu pitié (voire beaucoup quand on s'y connaît un peu). Je suppose que l'auteur a dans le même temps voulu vulgariser un peu quelques concepts informatiques ou alors sortir sa science car il dit lui-même qu'il était féru d'informatique quand il était à la fac. Les dessins sont moins beaux que dans Love Hina mais c'est un peu normal vu que cette série est plus ancienne. Juste un mot sur l'adaptation de Pika que je trouve très bonne, ce papier n'est néanmoins vraiment pas agréable ni au toucher ni à la vue. Pour ma part je ne l'aurais pas lu et encore moins acheté si je ne l'avais eu pour presque rien, en tout cas ça m'étonnerait que je prenne la suite. Bref si vous avez vraiment aimé Love Hina ou encore Video Girl Ai dont cette série se rapproche également, vous pouvez toujours essayer ai non stop. Pour les autres vous pouvez dire stop tout de suite.
Les Formidables Aventures sans Lapinot
Mon avis ne concerne que le premier tome "Les aventures de l’Univers". Pour être honnête, et au risque de déplaire à plus d’un, j’ai trouvé la lecture très ennuyeuse, voire fastidieuse ! Je reconnais ne pas être un fan assidu de Lewis Trondheim mais j’avais pourtant apprécié Les formidables aventures de Lapinot. Les planches sont ici constituées d'une accumulation de faits anodins sur la vie de tous les jours traités de manière naïve voire gentillette par moments. L’ensemble est donc trop décousu et inintéressant. Ce n’est certes pas un album humoristique mais de là à en faire un recueil de réflexions banales... A noter la présence (trop rare) d’une chute pas trop mal mais franchement convenue et pas des plus amusante. Précisons aussi que le scan des planches n’est pas des plus parfaits avec un degré de pixellisation visible à l’œil nu ! Bref, je lirai les deux autres tomes car, selon les avis ci-dessous, ils ont l’air franchement pas mal comparé à celui-ci... Avis susceptible d’être sujet à des modifications ultérieures !
Parasite
Euh... dites-moi... ce mec discute avec un parasite extraterrestre qui a élu domicile dans sa main ? Oui ? Bon alors j’ai bien compris. Je m’attendais à un truc gore et une ambiance sombre et violente. Je tombe sur un espèce de Teen-Manga où le jeune étudiant amoureux de sa copine va sauver le monde et se retrouver dans des situations burlesques à cause de son Parasite encombrant … …avec lequel il devient « copain» ce qui donne une phrase culte à la fin : - Je ne regrette pas de ne pas t’avoir sucé le cerveau… ou un truc du genre… au passage moi je rigole ! Une jolie déception donc, je croyais tomber sur un bon manga d’horreur ( euh … j’ai mis le mot « bon » avec « manga » ? ) et je tombe sur une nullité ado un peu gore mais surtout très bête ! Quant à l’originalité, ça oscille entre l’invasion des mutants bactériologiques de l’espace et l’ado, style : « Vais-je avoir mon bac, sortir avec une fille et sauver le monde ??? » Donc, amateurs du manga d’horreur allez voir chez Spirale ou Tomié si j’y suis et laissez Shin’shi colloquer avec son vers de la main qui lui transforme le bras en pénis géant en plein milieu de la cantine pour lui mettre la honte devant les filles. Mais quoi, je vous jure c’est un Manga d’horreur ! Croyez-moi…