Les derniers avis (20190 avis)

Par Mithreus
Note: 2/5
Couverture de la série Atalante - La Légende
Atalante - La Légende

Après un premier tome qui laissait entrevoir quelques perspectives, je trouve que l'histoire s'embourbe vite dans une suite de one-shot qui ne conduisent nulle part. Crisse est toujours aussi brillant dans le dessin, d'autant plus que son style colle vraiment au sujet. Mais dans le scénar, et la matière travaillée, c'est moyen moyen... Il emprunte à la mythologie grecque des éléments épars, histoire de faire un joli patchwork, sans vraiment réfléchir sur la matière travaillée. Ce qui fait donc qu'Atalante reste fondamentalement une BD de divertissement de premier degré, dont la référence à la mythologie est avant tout ornementale. Dommage qu'il n'y ait pas un vrai scénario derrière, car pour l'ornement on était déjà servi par les dessins :) (mon avis par rapport au travail du mythe plus développé ici) Une BD à lire quand on a une demi-heure à tuer, mais vraiment rien de plus.

20/07/2004 (modifier)
Par Kael
Note: 2/5
Couverture de la série Tatiana K.
Tatiana K.

Oui, Meynet a bien fait de se consacrer uniquement aux Eternels, parce que Tatiana n'a rien pour elle, si ce n'est son physique. J'ai lu les deux premiers tomes, me disant que ce serait pas prise de tête, genre une série d'action simple, avec une jolie nana jamais très habillée (ou du moins toujours sexy) mais ça se révèle être une série vraiment relou dans l'intrigue, ça part dans tous les sens, mélangeant allégrement religion, pays de l'est communistes et mafia (?) et ça devient complètement indigeste très rapidement. Oui c'est sûr, Tatiana motive à elle seule nos envies de lire cette BD, mais finalement non, je ne peux pas acheter ça...

18/07/2004 (modifier)
Couverture de la série Robert le Robot
Robert le Robot

Une de plus, en ce moment c'est le grand revival de mes vieilleries en une planche. Les souvenirs ressurgissent (mauvais souvenirs). Alors voila, le dessin est assez sympa mais un peu trop géométrique parfois.... mais les gags... mon dieu:(. J'hésite à donner un exemple : - Robert, tu a trouvé un système pour éloigner les oiseaux ? - Oui patron (réponds le robot), un épouvantail. Case suivante, on s'aperçoit que Robert a dessiné sur le toit de la maison une figure de monstre qui effraie les oiseaux... Voilà... Euh, c'est fini le gag là... Allez hop... On rigole s'il vous plaît !!! Pas facile hein?:( La plupart du temps, la chute finale (une bêtise du robot) est dessinée sur une case 4 fois plus grande que les autres qui nous saute aux yeux à la lecture et nous dispense de nous prendre le choux à lire la page en entier, de toute façon c'est pas drôle alors... Pour les 6 / 9 ans. :(:(:(:(

17/07/2004 (modifier)
Couverture de la série Cross Fire
Cross Fire

Mouais, l'histoire, qui tourne autour du fantastique, n'est pas trop mal mais le duo est on ne peut plus classique, l'humour vole bas et le comique est convenu, les situations... Bref, un truc on ne peut plus banal qui peut passer le temps mais sans plus. On n'a même pas envie de savoir la suite alors que la fin est brutale et qu'on lâche nos deux héros en plein bordel !

16/07/2004 (modifier)
Par Kael
Note: 2/5
Couverture de la série La Croisière des Oubliés
La Croisière des Oubliés

Pfff... Les vieux Bilal ne sont pas les meilleurs hein... Loin de là même. Le dessin est trèèèèèès loin du génie de la trilogie Nikopol ou du Sommeil du monstre. C'est froid, statique, et ça a mal vieilli. Ici, on a une histoire loin d'être désagréable, mais encore plus loin d'être intéressante. Ca fleure bon les bons sentiments écolos, mais avec de gros sabots bien gras. "Oh la méchante usine", "oh la vilaine construction", etc etc. C'est vraiment de l'écologie de rigolo. Pouah beurk ! Qu'on ne me dise pas que c'est une oeuvre engagée ou j'enrage.

15/07/2004 (modifier)
Par Altaïr
Note: 2/5
Couverture de la série Naruto
Naruto

Mouaiche... Bon, c'est sûr, je ne suis pas fana shônen à la base, mais bon j'en aime bien quelques-uns tout de même. Là, et bien... ça commençait super bien : le premier tome est enlevé, poilant, le héros attachant, bref, j'ai vraiment bien aimé. Mais la suite tombe dans le banal et le répétitif, et est d'autant plus décevante que ça partait sur les chapeaux de roues. Donc, dans le genre, c'est sûr que c'est pas mal mais je préfère de loin Hikaru no Go. ^_^

15/07/2004 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
Couverture de la série Le Val des Ânes
Le Val des Ânes

Enième autobiographie en BD, Le Val des Ânes ne se démarque pas vraiment du tout-venant, sauf peut-être dans sa forme. Ainsi cet album commence par quatre courts récits, puis se poursuit par une longue histoire (en fait un collage de courtes). On a un peu l’impression que Blanchin s’est laissé guider par ses pensées, couchant sur le papier les souvenirs (avérés ou fantasmés) au fur et à mesure de leur venue. Forcément, il y a des moments drôles, d’autres assez tristes, mais le reste est d’une affligeante banalité. Le dessin n’aide pas à fermer la mâchoire, ouverte par un bâillement tenace, car il s’avère assez décevant et irrégulier. En effet, on a du mal à reconnaître les personnages d’une case à l’autre. Dommage, car cet album a été Couronné "Prix Alph-Art du Meilleur Premier Album" au festival d'Angoulême 2002. Je me demande bien pourquoi...

15/07/2004 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
Couverture de la série Sans issue
Sans issue

Ici sont rassemblés les récits les plus pessimistes de Crumb. Une vision noire du présent et de l’avenir, relayée par un dessin assez craspec par moments. Malheureusement, ces craintes sont truffées de clichés, et l’ensemble se lit très vite, et l’on n’en garde que très peu de souvenirs une fois l’album refermé…

15/07/2004 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
Couverture de la série Mister Nostalgia
Mister Nostalgia

Ceci est le premier ouvrage de Crumb que je suis amené à lire. Probablement pas son meilleur. Du moins je l’espère. Car mis à part quelques évocations historiques sur le blues, l’ensemble manque quelque peu d’intérêt. Juxtaposition d’histoires très dispersées dans l’époque de leur réalisation –des années 1970 à 1996-, elles ont pour seul point commun la musique et la passion qu’elle suscite chez Crumb. De même, la différence d’époque des récits induit des niveaux graphiques différents. Je ne suis déjà pas très fan de son trait, alors s’il évolue dans tous les sens au sein du même album, cela devient difficile. Cependant, cela reste un album sympathique, du fait de sa liberté d’expression, mais sans plus.

15/07/2004 (modifier)
Par Ro
Note: 2/5
Couverture de la série Slam Dunk
Slam Dunk

A la base, je n'aime pas (voire vraiment pas) le basket. J'ai donc longuement hésité à acheter cette série mais j'ai fini par m'y mettre à force de voir tant de personnes la considérer comme immanquable sur BDthèque. Hélas, j'aurais dû m'en tenir à mon intuition, pour une fois... Alors ce que je n'ai pas aimé dans cette série tient surtout de mon goût personnel. Il n'y a rien de vraiment médiocre dans Slam Dunk et je peux comprendre que beaucoup apprécient la série. Mais voilà, il y a des gens comme moi à qui ça ne plait pas. Concernant le dessin, c'est le style manga classique. L'auteur mélange des images très réalistes, aux décors et personnages fouillés et sérieux, et des images plus délirantes dans le style "émotions exacerbées" (pleurs, rires, surprise, etc...) spécifique aux shonens. Cela donne une impression de souffler le chaud et le froid qui ne serait en principe pas désagréable pour un lecteur qui rentre bien dans l'histoire. Mais c'est justement dans l'histoire que je n'arrive pas à rentrer, et aux personnages que je ne m'attache pas du tout. Le héros est une grande brute au bon coeur, mais il reste néanmoins brutal et un peu foufou. L'auteur joue sur ce côté surexcité de Sakuragi Hanamichi, sur le fait qu'il balance des coups de boule à tous ceux qui se mettent en travers de sa route, qu'il n'a qu'une idée en tête : montrer qu'il peut être le plus fort au basket et épater tout le monde pour séduire sa belle. Mais moi, il m'agace plus qu'autre chose. En outre, je désapprouve cette habitude qu'il a de recourir à la violence en permanence : non, je ne trouve pas ça marrant du tout. Alors bien sûr, l'idée c'est justement qu'il va s'assagir avec le temps, mais il ne me donne pas envie de le suivre sur la longueur. Hormis ce personnage, les autres sont plutôt basiques et peu originaux. On a le capitaine de l'équipe très fort et très sage, le super joueur au regard ténébreux qui-fait-craquer-les-filles-mais-lui-il-s'en-fout, le gentil sportif binoclard, la bande de potes faire-valoir, la jolie fille sage dont le héros est amoureux, la fille un peu plus fofolle qui manage l'équipe, etc... Rien de nouveau dans le monde des shonens. Quant à l'histoire, eh bien, c'est une éloge du basket. On commence par apprendre les bases avec le héros, on présente ce sport comme une passion qu'on doit respecter ("Moi, je suis basketteur", dit-il comme il aurait pu dire qu'il est chevalier de la Table Ronde), et puis ensuite l'auteur nous montre comment on peut s'amuser avec ce noble sport et affronter des équipes adverses pour se dépasser et participer à un sport fascinant... Oui mais... Et si même après avoir lu ça, on n'aime toujours pas le basket, qu'on ne s'amuse pas du tout à lire des histoires de gens qui y jouent (ou qui se bastonnent à côté) et qu'on ne s'attache pas aux personnages, on fait quoi ? Eh bien, comme moi, on arrête de lire et on regrette d'avoir acheter des tomes de cette série. Donc, personnellement, je ne conseille pas cette série mais je comprends que d'autres, plus passionnés par le basket ou sachant s'attacher à ces personnages, puissent aimer.

15/07/2004 (modifier)