Le dessin est assez bien mais on a du mal après 3 tomes à savoir où on va... On bascule de l'humour à la quête plus sérieuse, bref, les personnages n'ont pas de relief et surtout, on n'arrive pas à s'attacher à eux, ce qui est plutôt négatif...
Opinion globale : mgnouibofpourquoiquejaiprisça ? :o/
Prenons les films du genre policier thriller avec un soupçon de folie (genre Seven) ou de fantastique (genre je sais pas quoi mais vous trouverez bien), avec un serial killer et un personnage féminin qui se trouve rêver les meurtres que commet le serial killer. Maintenant, choisissons celui qui incarne le plus cet esprit, celui qui fera ressortir le plus les clichés et les grosses ficelles. Donnons-le à réaliser à un mangaka coréen, et on obtient "Mémoires du masque". :o/
L'intrigue est tellement convenue et classique que "banal" n'est pas suffisamment banal pour la décrire. Aucune surprise, aucune originalité, rien. Il y a juste que les personnages sont comme transposés dans cet univers depuis celui du manga.
Bref, à lire pour s'endormir. (quoi que la série puisse plaire aux lecteurs plus jeunes, mais il y a deux trois scènes assez immondes... bin non, finalement il ne convient pour personne ce bouquin ;) )
Ah oui, j'oubliais... La reliure est faite de telle sorte qu'elle empiète sur le dessin d'environ un centimètre, est qu'il est donc rigoureusement impossible de lire les textes proches de la reliure en question. C'est vraiment pas génial.
J’avais envie d’aimer cet album, son sujet et son dessin mignon tout plein m’attiraient. Peut-être en attendais-je trop ? Car je suis globalement déçu. Certes, en terme de qualité, cette bd est sans doute plus intéressante que les trois quarts des albums qui sont sortis cette année. Mais dans le registre du roman graphique, il est difficile de commettre la moindre erreur. L’erreur que commet ici Efa c’est de jouer les équilibristes, son histoire démarre bien puis on tombe dans l’évocation de l’arbitraire d’une justice fasciste (celle de Franco) pour retomber à la fin sur une histoire de famille… Je l’avoue : je n’ai pas compris le lien entre tout ces éléments, je n’ai pas compris ce que l’auteur voulait exprimer… Pour moi, il passe du coq à l’âne avec une facilité déconcertante et cela joue sur des émotions un peu trop suggérées…. Pire : j’ai eu du mal à saisir le fin mot de l’histoire…. Problème de traduction ? Il manque une planche? En tout cas, ça m’est passé sous le nez…
Mmmmh ce premier tome n’est pas mauvais, loin de là. Mais j’ai éprouvé des difficultés à accrocher à cette histoire mafieuse de trafic d’armes nucléaires russes. Peut-être parce que dans cet univers assez froid, je me suis senti trop distant des personnages… Pourtant, en y réfléchissant bien, je n’ai rien d’important à reprocher au travail de l’auteur : dessin réaliste classique bien foutu, intrigue touffue et crédible… Les dialogues sont bien tournés… Mais la sauce n’a pas pris, il manquait le petit truc en plus qui m’aurait rendu cet album attachant et donné l’envie d’attendre le deuxième tome. Il est vrai par ailleurs que je ne suis pas spécialement fan du genre... Insiders et toutes les séries du genre, c'est pas mon truc...
J'ai lu ce tome deux fois, la première pour découvrir la bd et une seconde pour savoir si je n avais pas loupé un passage... Il ne se passe vraiment pas grand chose dans ce premier tome… Il met en place l'histoire qui devrait se dérouler en 5 tomes, on voit Dread toutes les 3 pages avec les seins à l'air, elle est mignonne mais cela ne fait pas tout, le dessin n'est pas des plus précis dans les proportions, les premiers plans. La scène de l’abordage ne vaut celle dessiné dans les "barbe rouge".
J’ai été déçu par la lecture et le deuxième tome ne m'a pas convaincu non plus d'autant plus que notre héroïne va assumer sa féminité auprès du capitaine crochet sans vraiment apporter un plus à cette histoire somme toute banale et pas assez captivante à mon goût... Mais Dread est vraiment bien dessinée(contrairement au reste) mais cela ne fait pas tout!!!
Je suis assez de l'avis de Thorn. Prado aime bien tordre le réel pour en faire jaillir l'absurde potentiel. Du coup, on a droit à des saynètes relativement convenues, mais pas vraiment originales.
Certaines, comme la dernière (des soldats américains qui débarquent en Espagne en croyant que c'est l'Iran et dégomment les gens parce qu'ils ne comprennent pas l'anglais) font pourtant froid dans le dos.
Mais l'ensemble est assez médiocre.
Cela fait des années que j'attendais l'occasion de lire enfin les aventures de Corto Maltese. Et à mon grand regret je n'ai pas réussi à accrocher.
J'admets que le dessin est signé, soigné (encore qu'inégale sur certaines planches). L'exotisme, la mer, les bateaux... tous les ingrédients sont là! Mais l'histoire ne décolle pas. Ou plutôt ça décolle et ça retombe aussitôt. Je trouve les scénarios très faibles et l'histoire racontée de manière discontinue. Du coup on se force à lire...
Tout comme Ro, je n’accroche pas à cette série.
Le dessin n’est pas en cause. En effet, le trait de Munuera est toujours aussi réussi.
En fait, je n’ai pas compris où Morvan voulait en venir avec ces courts récits. J’ai rarement aussi peu ri avec une bd qui se veut pourtant humoristique. A la fin de chaque histoire, je me dis "oui, et après ?" ou bien "c’est tout ?". Soit ce genre d’humour me laisse de marbre, soit il m’a complètement échappé. De plus, le personnage de Sir Pyle m’insupporte de par son comportement de sale-mioche-sans-gêne.
Bref, série sans grand intérêt et sans saveur selon moi.
Mouais, pas très convaincu par ce premier tome malgré ses qualités.
Ne connaissant pas la pièce de théâtre dont il est tiré, mon appréciation se porte sur le plaisir de lecture perçu et non sur la qualité de l’adaptation en elle même. D’ailleurs, ce ne semble pas être la première adaptation de cette "farce" en BD.
Le dessin se situe à mi-chemin entre du O. Milhiet et du Dumontheuil. Le graphisme convient donc au côté absurde de la bd. Il me paraît toutefois un peu froid et figé. La mise en forme théâtrale du récit est intéressante mais le côté grand-guignolesque me gêne un peu. A trop vouloir en faire, ça agace plus que ça amuse ... De plus, certaines transitions sont un peu abruptes pour celui qui, comme moi, ne connaît pas l’oeuvre d’A. Jarry. A noter également des dialogues parfois assez déroutant dans la forme.
Pas facile donc de se plonger dans cette histoire qui m’a quand même interpellé. A ce titre, et si l’occasion se présente, je lirai l’adaptation de Casanave qui semble valoir le détour.
Déjà le dessin est vraiment affreux, c'est peut-être voulu en même temps pour faire peur aux ptites n'enfants. Les couvertures sont vraiment laides avec ces petites filles les yeux exhorbités.
Ensuite les histoires exploitent des légendes urbaines telles que la femme à la bouche déchirée qui s'avère être la mère d'une écolière, il y a aussi une histoire avec des escargots je crois un peu comme dans Spirale et ses limaces hommes. Une autre nouvelle évoque une jeune fille pas belle qui se maquille et oh miracle elle devient canon, mais ça finit par la rendre monstrueuse et elle finit à l'asile.
Bref si vous recherchez un petit frisson ça peut le faire, d'autant que le dessin est plutôt bien adapté mais les histoires ne sont pas innovantes je pense.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Aberzen
Le dessin est assez bien mais on a du mal après 3 tomes à savoir où on va... On bascule de l'humour à la quête plus sérieuse, bref, les personnages n'ont pas de relief et surtout, on n'arrive pas à s'attacher à eux, ce qui est plutôt négatif...
Mémoires du masque
Opinion globale : mgnouibofpourquoiquejaiprisça ? :o/ Prenons les films du genre policier thriller avec un soupçon de folie (genre Seven) ou de fantastique (genre je sais pas quoi mais vous trouverez bien), avec un serial killer et un personnage féminin qui se trouve rêver les meurtres que commet le serial killer. Maintenant, choisissons celui qui incarne le plus cet esprit, celui qui fera ressortir le plus les clichés et les grosses ficelles. Donnons-le à réaliser à un mangaka coréen, et on obtient "Mémoires du masque". :o/ L'intrigue est tellement convenue et classique que "banal" n'est pas suffisamment banal pour la décrire. Aucune surprise, aucune originalité, rien. Il y a juste que les personnages sont comme transposés dans cet univers depuis celui du manga. Bref, à lire pour s'endormir. (quoi que la série puisse plaire aux lecteurs plus jeunes, mais il y a deux trois scènes assez immondes... bin non, finalement il ne convient pour personne ce bouquin ;) ) Ah oui, j'oubliais... La reliure est faite de telle sorte qu'elle empiète sur le dessin d'environ un centimètre, est qu'il est donc rigoureusement impossible de lire les textes proches de la reliure en question. C'est vraiment pas génial.
L'Âme du vin
J’avais envie d’aimer cet album, son sujet et son dessin mignon tout plein m’attiraient. Peut-être en attendais-je trop ? Car je suis globalement déçu. Certes, en terme de qualité, cette bd est sans doute plus intéressante que les trois quarts des albums qui sont sortis cette année. Mais dans le registre du roman graphique, il est difficile de commettre la moindre erreur. L’erreur que commet ici Efa c’est de jouer les équilibristes, son histoire démarre bien puis on tombe dans l’évocation de l’arbitraire d’une justice fasciste (celle de Franco) pour retomber à la fin sur une histoire de famille… Je l’avoue : je n’ai pas compris le lien entre tout ces éléments, je n’ai pas compris ce que l’auteur voulait exprimer… Pour moi, il passe du coq à l’âne avec une facilité déconcertante et cela joue sur des émotions un peu trop suggérées…. Pire : j’ai eu du mal à saisir le fin mot de l’histoire…. Problème de traduction ? Il manque une planche? En tout cas, ça m’est passé sous le nez…
Les Nouveaux Tsars
Mmmmh ce premier tome n’est pas mauvais, loin de là. Mais j’ai éprouvé des difficultés à accrocher à cette histoire mafieuse de trafic d’armes nucléaires russes. Peut-être parce que dans cet univers assez froid, je me suis senti trop distant des personnages… Pourtant, en y réfléchissant bien, je n’ai rien d’important à reprocher au travail de l’auteur : dessin réaliste classique bien foutu, intrigue touffue et crédible… Les dialogues sont bien tournés… Mais la sauce n’a pas pris, il manquait le petit truc en plus qui m’aurait rendu cet album attachant et donné l’envie d’attendre le deuxième tome. Il est vrai par ailleurs que je ne suis pas spécialement fan du genre... Insiders et toutes les séries du genre, c'est pas mon truc...
Dread Mac Farlane
J'ai lu ce tome deux fois, la première pour découvrir la bd et une seconde pour savoir si je n avais pas loupé un passage... Il ne se passe vraiment pas grand chose dans ce premier tome… Il met en place l'histoire qui devrait se dérouler en 5 tomes, on voit Dread toutes les 3 pages avec les seins à l'air, elle est mignonne mais cela ne fait pas tout, le dessin n'est pas des plus précis dans les proportions, les premiers plans. La scène de l’abordage ne vaut celle dessiné dans les "barbe rouge". J’ai été déçu par la lecture et le deuxième tome ne m'a pas convaincu non plus d'autant plus que notre héroïne va assumer sa féminité auprès du capitaine crochet sans vraiment apporter un plus à cette histoire somme toute banale et pas assez captivante à mon goût... Mais Dread est vraiment bien dessinée(contrairement au reste) mais cela ne fait pas tout!!!
Y'a plus de justice
Je suis assez de l'avis de Thorn. Prado aime bien tordre le réel pour en faire jaillir l'absurde potentiel. Du coup, on a droit à des saynètes relativement convenues, mais pas vraiment originales. Certaines, comme la dernière (des soldats américains qui débarquent en Espagne en croyant que c'est l'Iran et dégomment les gens parce qu'ils ne comprennent pas l'anglais) font pourtant froid dans le dos. Mais l'ensemble est assez médiocre.
Corto Maltese
Cela fait des années que j'attendais l'occasion de lire enfin les aventures de Corto Maltese. Et à mon grand regret je n'ai pas réussi à accrocher. J'admets que le dessin est signé, soigné (encore qu'inégale sur certaines planches). L'exotisme, la mer, les bateaux... tous les ingrédients sont là! Mais l'histoire ne décolle pas. Ou plutôt ça décolle et ça retombe aussitôt. Je trouve les scénarios très faibles et l'histoire racontée de manière discontinue. Du coup on se force à lire...
Sir Pyle
Tout comme Ro, je n’accroche pas à cette série. Le dessin n’est pas en cause. En effet, le trait de Munuera est toujours aussi réussi. En fait, je n’ai pas compris où Morvan voulait en venir avec ces courts récits. J’ai rarement aussi peu ri avec une bd qui se veut pourtant humoristique. A la fin de chaque histoire, je me dis "oui, et après ?" ou bien "c’est tout ?". Soit ce genre d’humour me laisse de marbre, soit il m’a complètement échappé. De plus, le personnage de Sir Pyle m’insupporte de par son comportement de sale-mioche-sans-gêne. Bref, série sans grand intérêt et sans saveur selon moi.
Ubu Roi (Reuzé)
Mouais, pas très convaincu par ce premier tome malgré ses qualités. Ne connaissant pas la pièce de théâtre dont il est tiré, mon appréciation se porte sur le plaisir de lecture perçu et non sur la qualité de l’adaptation en elle même. D’ailleurs, ce ne semble pas être la première adaptation de cette "farce" en BD. Le dessin se situe à mi-chemin entre du O. Milhiet et du Dumontheuil. Le graphisme convient donc au côté absurde de la bd. Il me paraît toutefois un peu froid et figé. La mise en forme théâtrale du récit est intéressante mais le côté grand-guignolesque me gêne un peu. A trop vouloir en faire, ça agace plus que ça amuse ... De plus, certaines transitions sont un peu abruptes pour celui qui, comme moi, ne connaît pas l’oeuvre d’A. Jarry. A noter également des dialogues parfois assez déroutant dans la forme. Pas facile donc de se plonger dans cette histoire qui m’a quand même interpellé. A ce titre, et si l’occasion se présente, je lirai l’adaptation de Casanave qui semble valoir le détour.
La Femme Défigurée
Déjà le dessin est vraiment affreux, c'est peut-être voulu en même temps pour faire peur aux ptites n'enfants. Les couvertures sont vraiment laides avec ces petites filles les yeux exhorbités. Ensuite les histoires exploitent des légendes urbaines telles que la femme à la bouche déchirée qui s'avère être la mère d'une écolière, il y a aussi une histoire avec des escargots je crois un peu comme dans Spirale et ses limaces hommes. Une autre nouvelle évoque une jeune fille pas belle qui se maquille et oh miracle elle devient canon, mais ça finit par la rendre monstrueuse et elle finit à l'asile. Bref si vous recherchez un petit frisson ça peut le faire, d'autant que le dessin est plutôt bien adapté mais les histoires ne sont pas innovantes je pense.