Très décevant.
J'adore le dessin de Gimenez mais c'est à peu prêt le seul bon point de ce one-shot (même si Gimenez est capable d'encore plus beau)
L'histoire se lit vite, très vite, si vite qu'on s'apperçoit rapidement que ce n'est que du vide. C'est banal à souhait, mais pas mauvais. Juste furieusement banal...
Et à la fin, je me suis simplement dit "c'est tout ?!"
Allez, juste pour le dessin de Gimenez quoi...
Après avoir lu les 3 premiers tomes.
Ce n’est pas de la grande bd mais ça se lit bien. L’histoire de la recherche d’une cité légendaire c’est déjà vue, mais là ce sont 2 gamins les héros de l’histoire et il n’est pas question pour eux de richesse, de vie éternel ou de jeunesse infinie, le but est d’une grande simplicité : rejoindre un père qu’Eline n’a pas vu depuis qu’elle avait 2 ans. Sam ne fait que l’accompagner, pour la protéger.
Dans les 2 premiers tomes, beaucoup d’éléments m’ont plu, la façon dont ces deux ados avancent dans leur quête est assez originale : à savoir observer un homme qui n’a plus toute sa raison afin de se servir d’un curieux instrument comme d’une boussole. Le tout agrémenté de personnages mystérieux et bien introduits ça sonnait juste. Dommage que le troisième tome ne poursuive pas dans le même sens que les deux premiers, au lieu d’avancer l’aventure se fige sur une île et je n’ai pas vraiment adhéré aux personnages qui s'y trouvent, ils sont assez spéciaux et hermétiques, ni aux aventures qui s’y déroulent. Au final je ne vois pas vraiment en quoi ce tome fait avancer l’histoire.
Le dessin est assez vieillot et je pense que sa vient aussi des couleurs qui sont assez fades à mon goût. C'est parfois maladroit, les persos n'ont pas toujours des visages trés beaux c'est le moins qu'on puisse dire.
J’étofferai l’avis après lecture des derniers tomes que je n’ai pas pu me procurer directement.
Après avoir lu le reste, je ne peux que baisser ma note. Le dessin ne s'améliore pas et l'histoire semble être un résumé. On dirait que les auteurs ont confondu vitesse et précipitation.
Au final le meilleur tome est celui scénarisé par Ferry.
Après lecture des deux premiers tomes.
Bon ben je ne regrette pas vraiment de pas l’avoir acheté. Déjà en regardant les premières planches je constatais que c’était très sombre, et en feuilletant l’album je remarquais que c’est tout l’album qui était comme ça. C’est étouffant, quelques scènes auraient mérité d'avoir quelques rayons de soleil parce que là... ça m’a pas aidé à rentrer dans l’histoire.
Pourtant le dessin est chouette, mis à part la tête de William que je n’aime pas du tout, il fait trop caricature à côté des autres.
Et puis la narration est lourde, ça manque de vivacité, de mouvement, on dirait presque que ça tourne au ralenti. J’ai quand même voulu savoir ce qui se passait après lecture du 1, ben… l’idée de laisser le lecteur chercher une (grosse) partie des explications est bonne mais j’avoue que quelques pages de plus pour m’éclairer ça aurait été utile, je pense pas non plus être un idiot.
Faudrait que je relise les 2 tomes maintenant mais je m’en sens pas vraiment le courage. Plus tard peut être.
J'ai beaucoup aimé la série 24 heures chrono ; enfin, la première saison. C'est donc avec curiosité, mais sans a priori, que j'ai lu cette BD, contant un épisode antérieur à la première saison. Le résultat est quand même un peu décevant. Car si l'on retrouve l'"esprit" de la série (frénésie, nervosité, intrigue géopolitique parfois complexe), et si la série Tv avait un côté "comics" avec son split-screen, disons qu'il est difficile de retranscrire la technique en BD. L'action paraît s'enliser, alors que la série jouait sur le hachage et donc, un rythme effréné parfois. De plus, le dessin est assez moche. Le dessinateur semble s'être inspiré de photos des principaux acteurs de la série, Kiefer Sutherland en tête, mais ce n'est pas ce qui lui confère de la vie.
Au contraire, cette option fige totalement les personnages, rendant l'effet inverse que celui escompté. Ce qui rend la lecture carrément pénible par moments.
Mouais...au départ, j'ai été assez intrigué par le coté surnaturel de l'histoire, mais malheureusement, mon intérêt pour cette bd est très vite retombé.
Premièrement, certains dessins sont vraiment ratés, comme par exemple ceux du guide de la visite, qui change constament de tête et de morphologie. on à une impression d'à peu près tout au long de la lecture.
Ensuite le rhytme. Au début, au vu des explications, de la présentation des personnages, etc, j'ai de suite pensé qu'on se dirigeait vers une série en plusieurs tomes. puis non, lla fin arrive tout de suite, sans prévenir et sans apporter grand chose, à vrai dire.
Dernière critique: la psychologie des personnage, digne d'un sitcom américain.
Au final, la lecture à juste été distrayante, sans plus.
Bon, moi je me souviens avoir lu quasiment tous les albums !
Ni vraiment bon ni vraiment drôle, ça occupe le week-end quand on s'ennuie et ça se lit en pensant à autre chose et ça s'oublie vite !
A tel point qu'après m'être farcie la quasi totalité des albums, je suis pas foutu de me rappeller de beaucoup de gagas !
Bref, du très moyen pour salle d'attente !
Autant j'ai aimé "Les larmes de la bête", un autre recueil de nouvelles du même auteur, autant j'ai été assez déçu par ce "Good bye".
Cet album m'a d'abord séduit car je trouve la couverture très belle; de plus j'apprécie le style graphique particulier, à peine esquissé mais pourtant très expressif et vivant de Tatsumi.
Hélas... les nouvelles présentes ici ne m'ont pas fait l'effet escompté, au lieu d'être touché, ému, ou même choqué, je me suis surtout un peu ennuyé. Comprenez-moi bien, c'est un travail honnête mais beaucoup moins percutant que "Les larmes de la bête", donc si vous voulez lire un album de Tatsumi...
Ma note est sévère mais c'est en conséquence de ma déception.
Pour moi c'est un beau et séduisant album mais au contenu un peu creux, un objet qui fait envie mais qui se révèle décevant, dommage.
Naïf est le mot qui me vient à l'esprit pour décrire la série Aldébaran.
Le bestiaire est sympa, c'est vrai mais on n'y croit pas vraiment. Les personnages sont absolument insupportables et Leo leur fait dire des choses dignes d'Hélène et les garçons. Atroce.
Bon, pour moi, Aldébaran, c'est Le Cycle de Cyann pour les 15-18 ans.
Et je me demande toujours pourquoi j'ai acheté les 5 tomes....?????
Bof. Cet univers carcéral semble plutôt bien mis en scène, avec toute sa violence latente, ses haines et ses jeux de pouvoir, mais ce cadre reste très classique et archi-connu. Cf entre autres Runaway Train, Les évadés, et tous ces fillms...
Le dessin de Corben est particulier, avec surtout ces têtes toutes caricaturales et ce trait étrangement arrondi, et ne colle pas forcément avec l'idée qu'on peut se faire de l'ambiance. Il est également très figé.
Mais ce qui m'a vraiment déplu dans cet album, c'est que... bin au-delà des apparences, on ne comprend rien. Qui est Constantine, qu'est-ce qu'il vient faire là, pourquoi crâne-t-il aussi éffrontement, quels sont les supposés pouvoirs qu'il a, quel est son passé ? Autant de questions auxquelles on n'aura pas de réponse. Je suppose que "Hard Time" est un simple épisode pour ce qui doit être un personnage de comics bien connu, mais ne le connaissant pas, l'épisode en question m'a laissé très dépassionné. En tout cas lire cet album sans connaître le personnage au préalable a été pour moi nettement plus ennuyeux qu'intrigant.
Hum hum.
Je tiens à préciser que je n'ai jamais été fan de la franchise Robocop. J'ai vu les 3 films, et je n'en retire pas grand-chose de positif. Cependant, par curiosité, j'ai voulu voir ce que ça pouvait donner en comics.
Mes pires craintes se sont confirmées. Robocop est vraiment une histoire bancale, qui ne repose pas sur des bases solides. Certes, il doit y avoir un second degré derrière l'apologie de la violence. Certes, on essaie de fustiger le pouvoir des medias, des psychologues, et d'autres vers qui rongent la grosse pomme. Mais cela reste bien maladroit, minime et, surtout, risible. Cette histoire était soi-disant le premier scénario (pour le cinéma) de Frank Miller. Il faut un début à tout. Et partir d'aussi bas (je parle du comics, là) a permis tout de même à Miller de monter très haut. c'est mérité, car Miller est un grand auteur par ailleurs. Mais associer son nom à un truc aussi mal dessiné (on dirait Les Schtroumpfs à Gotham City) relève de l'erreur marketing. Bien des gens seront trompés par la seule apparition de son nom sur la couverture (parce que, justement, il n'a dessiné que la couverture). Un rapide coup d'oeil à l'intérieur les détrompera, bien sûr.
Bref, voilà une BD idiote, mal dessinée, probablement mal traduite et au marketing douteux, de mon point de vue.
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L'Étoile noire
Très décevant. J'adore le dessin de Gimenez mais c'est à peu prêt le seul bon point de ce one-shot (même si Gimenez est capable d'encore plus beau) L'histoire se lit vite, très vite, si vite qu'on s'apperçoit rapidement que ce n'est que du vide. C'est banal à souhait, mais pas mauvais. Juste furieusement banal... Et à la fin, je me suis simplement dit "c'est tout ?!" Allez, juste pour le dessin de Gimenez quoi...
Les Chroniques de Panchrysia
Après avoir lu les 3 premiers tomes. Ce n’est pas de la grande bd mais ça se lit bien. L’histoire de la recherche d’une cité légendaire c’est déjà vue, mais là ce sont 2 gamins les héros de l’histoire et il n’est pas question pour eux de richesse, de vie éternel ou de jeunesse infinie, le but est d’une grande simplicité : rejoindre un père qu’Eline n’a pas vu depuis qu’elle avait 2 ans. Sam ne fait que l’accompagner, pour la protéger. Dans les 2 premiers tomes, beaucoup d’éléments m’ont plu, la façon dont ces deux ados avancent dans leur quête est assez originale : à savoir observer un homme qui n’a plus toute sa raison afin de se servir d’un curieux instrument comme d’une boussole. Le tout agrémenté de personnages mystérieux et bien introduits ça sonnait juste. Dommage que le troisième tome ne poursuive pas dans le même sens que les deux premiers, au lieu d’avancer l’aventure se fige sur une île et je n’ai pas vraiment adhéré aux personnages qui s'y trouvent, ils sont assez spéciaux et hermétiques, ni aux aventures qui s’y déroulent. Au final je ne vois pas vraiment en quoi ce tome fait avancer l’histoire. Le dessin est assez vieillot et je pense que sa vient aussi des couleurs qui sont assez fades à mon goût. C'est parfois maladroit, les persos n'ont pas toujours des visages trés beaux c'est le moins qu'on puisse dire. J’étofferai l’avis après lecture des derniers tomes que je n’ai pas pu me procurer directement. Après avoir lu le reste, je ne peux que baisser ma note. Le dessin ne s'améliore pas et l'histoire semble être un résumé. On dirait que les auteurs ont confondu vitesse et précipitation. Au final le meilleur tome est celui scénarisé par Ferry.
Algernon Woodcock
Après lecture des deux premiers tomes. Bon ben je ne regrette pas vraiment de pas l’avoir acheté. Déjà en regardant les premières planches je constatais que c’était très sombre, et en feuilletant l’album je remarquais que c’est tout l’album qui était comme ça. C’est étouffant, quelques scènes auraient mérité d'avoir quelques rayons de soleil parce que là... ça m’a pas aidé à rentrer dans l’histoire. Pourtant le dessin est chouette, mis à part la tête de William que je n’aime pas du tout, il fait trop caricature à côté des autres. Et puis la narration est lourde, ça manque de vivacité, de mouvement, on dirait presque que ça tourne au ralenti. J’ai quand même voulu savoir ce qui se passait après lecture du 1, ben… l’idée de laisser le lecteur chercher une (grosse) partie des explications est bonne mais j’avoue que quelques pages de plus pour m’éclairer ça aurait été utile, je pense pas non plus être un idiot. Faudrait que je relise les 2 tomes maintenant mais je m’en sens pas vraiment le courage. Plus tard peut être.
24 Heures chrono
J'ai beaucoup aimé la série 24 heures chrono ; enfin, la première saison. C'est donc avec curiosité, mais sans a priori, que j'ai lu cette BD, contant un épisode antérieur à la première saison. Le résultat est quand même un peu décevant. Car si l'on retrouve l'"esprit" de la série (frénésie, nervosité, intrigue géopolitique parfois complexe), et si la série Tv avait un côté "comics" avec son split-screen, disons qu'il est difficile de retranscrire la technique en BD. L'action paraît s'enliser, alors que la série jouait sur le hachage et donc, un rythme effréné parfois. De plus, le dessin est assez moche. Le dessinateur semble s'être inspiré de photos des principaux acteurs de la série, Kiefer Sutherland en tête, mais ce n'est pas ce qui lui confère de la vie. Au contraire, cette option fige totalement les personnages, rendant l'effet inverse que celui escompté. Ce qui rend la lecture carrément pénible par moments.
La Maison Winchester
Mouais...au départ, j'ai été assez intrigué par le coté surnaturel de l'histoire, mais malheureusement, mon intérêt pour cette bd est très vite retombé. Premièrement, certains dessins sont vraiment ratés, comme par exemple ceux du guide de la visite, qui change constament de tête et de morphologie. on à une impression d'à peu près tout au long de la lecture. Ensuite le rhytme. Au début, au vu des explications, de la présentation des personnages, etc, j'ai de suite pensé qu'on se dirigeait vers une série en plusieurs tomes. puis non, lla fin arrive tout de suite, sans prévenir et sans apporter grand chose, à vrai dire. Dernière critique: la psychologie des personnage, digne d'un sitcom américain. Au final, la lecture à juste été distrayante, sans plus.
Toupet
Bon, moi je me souviens avoir lu quasiment tous les albums ! Ni vraiment bon ni vraiment drôle, ça occupe le week-end quand on s'ennuie et ça se lit en pensant à autre chose et ça s'oublie vite ! A tel point qu'après m'être farcie la quasi totalité des albums, je suis pas foutu de me rappeller de beaucoup de gagas ! Bref, du très moyen pour salle d'attente !
Good bye
Autant j'ai aimé "Les larmes de la bête", un autre recueil de nouvelles du même auteur, autant j'ai été assez déçu par ce "Good bye". Cet album m'a d'abord séduit car je trouve la couverture très belle; de plus j'apprécie le style graphique particulier, à peine esquissé mais pourtant très expressif et vivant de Tatsumi. Hélas... les nouvelles présentes ici ne m'ont pas fait l'effet escompté, au lieu d'être touché, ému, ou même choqué, je me suis surtout un peu ennuyé. Comprenez-moi bien, c'est un travail honnête mais beaucoup moins percutant que "Les larmes de la bête", donc si vous voulez lire un album de Tatsumi... Ma note est sévère mais c'est en conséquence de ma déception. Pour moi c'est un beau et séduisant album mais au contenu un peu creux, un objet qui fait envie mais qui se révèle décevant, dommage.
Aldébaran
Naïf est le mot qui me vient à l'esprit pour décrire la série Aldébaran. Le bestiaire est sympa, c'est vrai mais on n'y croit pas vraiment. Les personnages sont absolument insupportables et Leo leur fait dire des choses dignes d'Hélène et les garçons. Atroce. Bon, pour moi, Aldébaran, c'est Le Cycle de Cyann pour les 15-18 ans. Et je me demande toujours pourquoi j'ai acheté les 5 tomes....?????
Brian Azzarello présente Hellblazer
Bof. Cet univers carcéral semble plutôt bien mis en scène, avec toute sa violence latente, ses haines et ses jeux de pouvoir, mais ce cadre reste très classique et archi-connu. Cf entre autres Runaway Train, Les évadés, et tous ces fillms... Le dessin de Corben est particulier, avec surtout ces têtes toutes caricaturales et ce trait étrangement arrondi, et ne colle pas forcément avec l'idée qu'on peut se faire de l'ambiance. Il est également très figé. Mais ce qui m'a vraiment déplu dans cet album, c'est que... bin au-delà des apparences, on ne comprend rien. Qui est Constantine, qu'est-ce qu'il vient faire là, pourquoi crâne-t-il aussi éffrontement, quels sont les supposés pouvoirs qu'il a, quel est son passé ? Autant de questions auxquelles on n'aura pas de réponse. Je suppose que "Hard Time" est un simple épisode pour ce qui doit être un personnage de comics bien connu, mais ne le connaissant pas, l'épisode en question m'a laissé très dépassionné. En tout cas lire cet album sans connaître le personnage au préalable a été pour moi nettement plus ennuyeux qu'intrigant.
RoboCop
Hum hum. Je tiens à préciser que je n'ai jamais été fan de la franchise Robocop. J'ai vu les 3 films, et je n'en retire pas grand-chose de positif. Cependant, par curiosité, j'ai voulu voir ce que ça pouvait donner en comics. Mes pires craintes se sont confirmées. Robocop est vraiment une histoire bancale, qui ne repose pas sur des bases solides. Certes, il doit y avoir un second degré derrière l'apologie de la violence. Certes, on essaie de fustiger le pouvoir des medias, des psychologues, et d'autres vers qui rongent la grosse pomme. Mais cela reste bien maladroit, minime et, surtout, risible. Cette histoire était soi-disant le premier scénario (pour le cinéma) de Frank Miller. Il faut un début à tout. Et partir d'aussi bas (je parle du comics, là) a permis tout de même à Miller de monter très haut. c'est mérité, car Miller est un grand auteur par ailleurs. Mais associer son nom à un truc aussi mal dessiné (on dirait Les Schtroumpfs à Gotham City) relève de l'erreur marketing. Bien des gens seront trompés par la seule apparition de son nom sur la couverture (parce que, justement, il n'a dessiné que la couverture). Un rapide coup d'oeil à l'intérieur les détrompera, bien sûr. Bref, voilà une BD idiote, mal dessinée, probablement mal traduite et au marketing douteux, de mon point de vue.