J'ai trouvé ce manga assez moyen après la lecture de 3 tomes.
Ce qui me gêne dans l'histoire, ce sont ces drôles de forteresses volantes. Qu'es- ce que ça vient faire dans un monde médiéval ?
Les scènes de combats ne sont pas assez dynamiques à mon goût.
Mais je pense que l'auteur nous réserve quelques petites surprises, surtout la transformation de son héros. J'espère que ce manga va monter en puissance aux tomes suivants car pour l'instant l'intrigue tient sur le tranchant d'un couteau.
Le sujet aurait pu être intéressant, mais moi, je me suis emmerdé à la lecture. L'histoire n'est pas du tout passionnante et aussi très confuse. Il y a plusieurs moments où j'ai dû relire deux ou trois fois pour comprendre un peu ce qui se passait.
De plus, les personnages sont stéréotypés et pas du tout intéressants. Pour finir, je trouve le dessin moche, mais c'est plutôt parce que ce n'est pas mon style et non parce que le dessinateur n'a pas de talent.
Une fois n'est pas coutume, ShogunMag publie un manga à l'européenne... réalisé par une japonaise. Vairocana est la première publication de Moa Hato et elle est directement destinée à la France. Du coup, contrairement aux autres mangas de ShogunMag, la lecture de celui-ci est en sens japonais et les textes sont traduits du japonais.
Sa couverture et le feuilletage de ses pages m'avait donné envie de l'aimer. Mais cela n'a pas fonctionné.
Le dessin ne présente pas à première vue de défauts majeurs. Il se révèle cependant rapidement assez limité en plus d'être très cliché dans l'univers du manga. Et surtout, sa narration graphique est assez mauvaise. Les scènes d'action sont la plupart du temps incompréhensibles, le dessin devenant brouillon et la mise en page confuse au possible.
Et ce souci de narration graphique affecte la quasi totalité du récit. Est-ce que cela vient uniquement d'un manque de maturité et de technique de l'auteur ? Pas uniquement. En effet, la traduction semble y être pour beaucoup tant il est fréquent que les dialogues ne correspondent pas aux bulles, voir que deux bulles répètent exactement le même texte.
Pire, alors que la lecture est en sens japonais, certains strips semblent avoir été inversés et pas d'autres. Sur une même page, on réalise après réflexion (parce que sans cela, on n'y comprend rien) qu'il faut lire d'abord de droite à gauche, puis gauche à droite, puis re-droite à gauche.
Quant au scénario, il est véritablement cliché. L'histoire du jeune personnage frêle et doux qui est possédé par un horrible démon qui prend le dessus sur lui quand ça arrange le scénariste, j'ai déjà vu cela de trop nombreuses fois. En manga, mes premières pensées vont à Inu yasha ou à Samuraï Deeper Kyo mais j'ai déjà vu cela souvent ailleurs, notamment en jeu de rôles car j'ai constaté (à trois reprises précisément) que c'est le genre de personnages que de jeunes joueuses féminines aiment à incarner.
Alors, au-delà du cliché, je dois dire que j'aime bien les personnages, notamment celui de Tenma qui est à la fois imposant et amusant. J'ai donc lu le récit sans trop de déplaisir. Mais le faible intérêt du scénario et la trop grande immaturité de la narration m'ont empêché de trouver davantage d'intérêt à ce manga.
Je n'ai pour l'instant lu que deux tomes de la série (T1 et T3), mais ça ne m'a malheureusement pas donné envie de continuer. Je reverrais peut être mon avis en lisant d'autre tome.
Je ne critiquerais pas le dessin que je trouve assez bien et respectant bien l'idée que je m'en faisais et l'époque où se déroule les histoires. Le principal souci pour moi, c'est la rapidité : 47 planches, c'est trop peu pour raconter de l'Agatha Christie.
Lorsque j'ai lu le premier tome (Le Secret de Chimneys), j'avoue avoir eu beaucoup de mal à suivre le scénario (je ne connaissais pas ce roman) et j'ai dû de nombreuses fois revenir en arrière pour essayer de comprendre. Les personnages ne sont pas assez développés et l'action est beaucoup trop rapide. C'est dommage pour une œuvre de cette qualité qui aurait mérité mieux.
Pour le troisième tome (Dix Petits Nègres), j'ai moins ressenti le même sentiment car je connais bien ce roman, mais j'ai quand même eu la même impression de scénario allant trop vite sans avoir le temps de fouiller un peu les personnalités.
Je pense que deux ou trois tomes par roman aurait été vraiment nécessaire pour un rendu nettement supérieur à celui-là, surtout pour l'adaptation d'une œuvre aussi connue qu'Agatha Christie qui allait forcément être sous les projecteurs.
Personnellement j'ai eu l'impression d'avoir été floué par une opération commerciale se servant d'un grand nom, ce qui m'a beaucoup déçu.
Dans cette longue épopée historique de science-fiction, on voit les humains décliner après avoir modifié génétiquement les chimpanzés pour en faire des esclaves modernes. Les mammifères dominants au niveau de l'intelligence finissent par être les dauphins comme le titre de l'album l'indique de manière formelle. La fin de l'histoire réserve d'ailleurs une belle surprise au lecteur...
Ces quelques histoires courtes suffisent à l'auteur pour nous raconter ces dix millénaires fictifs à la manière d'un livre d'histoire qui fouille dans les vestiges d'une antique civilisation: celle des hommes. Le concept attirera plus d'un amateur de science-fiction. Mais encore faut 'il croire en ce devenir ce qui n'est manifestement pas mon cas. « Demain les dauphins » était le second album de Prado publié en France. Il a fait beaucoup mieux depuis.
Cependant, cet album a des qualités intrinsèques propres: entre lyrisme, efficacité graphique et mordant des dialogues... A bon entendeur...
Je n'ai pas du tout accroché aux histoires farfelues de ce jeune génie des sciences.
Chaque petite histoire détourne une théorie scientifique, comme par exemple la courbure de la lumière expliquée par l'état d'ébriété des photons.
Ca aurait pu me faire rire mais la narration est trop lourdingue et ça dérive vers du grand n'importe quoi. Un bon concept de départ, tel que le détournement des lois de la Physique, ne suffit pas à faire un récit captivant... j'ai décroché aux 2/3 de la BD... je n'ai pas pu la finir.
En revanche, rien à redire sur le dessin. Maîtrisé et rigolo, il aurait sublimé la narration si celle-ci tenait la route.
Evidemment, dès qu'on n'est pas familier de l'univers préexistant, on apprécie moins. C'est mon cas. Je suis plus orienté vers les univers fantasy.
Cependant cela ne m'a pas empêché de lire cette BD, dont le déroulement m'a paru assez chaotique. Il eût été de bon ton de mettre un avant-propos replaçant la BD dans son contexte de jeu pour que l'on en comprenne tous les enjeux. Du coup j'ai un peu décroché pendant ma lecture. Je me suis assez vite désintéressé des personnages, trop lisses, trop monolithiques à mon goût.
Le dessin n'est pas franchement mauvais, mais pas exceptionnel non plus. Je pense que d'autres auteurs plus chevronnés auraient été plus indiqués pour lancer une série accolée à un univers aussi populaire, quitte à ensuite confier certains épisodes à des débutants.
Pas mon univers, pas passionnant, pas très joli... je passe.
Sympathique mais beaucoup trop de clichés et lieux communs de l'enfance passés à la campagne (ah les bonnes confitures de mamie etc.). Et pas hyper bien dessiné, dans le même thème voir plutôt le Pirouette de Dutertre au potager moderne.
J’apprécie pourtant beaucoup les polars. Celui-là est basé sur une histoire de serial killer. C’est certes classique, mais il suffit parfois de pas grand chose pour en faire facilement une histoire efficace. Hélas ce n’est pas le cas ici.
La faute en partie à des dialogues terriblement clichés. La faute à une histoire à laquelle on ne peut pas croire une seconde. Ca semble tellement bateau : La façon dont la flic s’adresse à l’adjoint du procureur, la façon dont elle va obtenir des renseignements grâce à un indic, la façon dont elle retrouve l’adresse du coupable... Il y a beaucoup trop d’exemples à mettre dans cette énumération. Tout sonne faux. Rien n’est crédible.
Sans doute qu’un public beaucoup plus jeune sera moins regardant sur ces détails et trouvera son compte dans cette histoire. Moi je n’ai pas accroché.
Un manga à réserver aux amateurs de "ton irrévérencieux" comme on dit pudiquement, ou de vulgarité si cela vous parle d'avantage. Car l'œuvre est crue, dès le premier chapitre on peut voir le meilleur ami du héros se "pognetter" en matant une VHS porno... Les dialogues ne sont pas en reste question vulgarité vous l'aurez deviné...
Les "talents" de serrurier (crocheteur, voleur...) du héros n'apportent pas grand chose à l'histoire et l'on a rapidement l'impression de tourner en rond. Ajoutez à cela une morale déplorable (la copine dealeuse, fallait oser !!) et vous obtiendrez un manga que je n'ai pas aimé du tout.
Mais les amateurs du genre South Park y trouveront sans doute leur compte grâce à un scénario et un graphisme très dynamiques. Ces tomes se lisent tout de même un peu rapidement du fait de leur manque de dialogues, ce qui, vu le tarif du tome, est un peu dommage.
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Übel Blatt
J'ai trouvé ce manga assez moyen après la lecture de 3 tomes. Ce qui me gêne dans l'histoire, ce sont ces drôles de forteresses volantes. Qu'es- ce que ça vient faire dans un monde médiéval ? Les scènes de combats ne sont pas assez dynamiques à mon goût. Mais je pense que l'auteur nous réserve quelques petites surprises, surtout la transformation de son héros. J'espère que ce manga va monter en puissance aux tomes suivants car pour l'instant l'intrigue tient sur le tranchant d'un couteau.
A l'ombre de la croix
Le sujet aurait pu être intéressant, mais moi, je me suis emmerdé à la lecture. L'histoire n'est pas du tout passionnante et aussi très confuse. Il y a plusieurs moments où j'ai dû relire deux ou trois fois pour comprendre un peu ce qui se passait. De plus, les personnages sont stéréotypés et pas du tout intéressants. Pour finir, je trouve le dessin moche, mais c'est plutôt parce que ce n'est pas mon style et non parce que le dessinateur n'a pas de talent.
Vairocana
Une fois n'est pas coutume, ShogunMag publie un manga à l'européenne... réalisé par une japonaise. Vairocana est la première publication de Moa Hato et elle est directement destinée à la France. Du coup, contrairement aux autres mangas de ShogunMag, la lecture de celui-ci est en sens japonais et les textes sont traduits du japonais. Sa couverture et le feuilletage de ses pages m'avait donné envie de l'aimer. Mais cela n'a pas fonctionné. Le dessin ne présente pas à première vue de défauts majeurs. Il se révèle cependant rapidement assez limité en plus d'être très cliché dans l'univers du manga. Et surtout, sa narration graphique est assez mauvaise. Les scènes d'action sont la plupart du temps incompréhensibles, le dessin devenant brouillon et la mise en page confuse au possible. Et ce souci de narration graphique affecte la quasi totalité du récit. Est-ce que cela vient uniquement d'un manque de maturité et de technique de l'auteur ? Pas uniquement. En effet, la traduction semble y être pour beaucoup tant il est fréquent que les dialogues ne correspondent pas aux bulles, voir que deux bulles répètent exactement le même texte. Pire, alors que la lecture est en sens japonais, certains strips semblent avoir été inversés et pas d'autres. Sur une même page, on réalise après réflexion (parce que sans cela, on n'y comprend rien) qu'il faut lire d'abord de droite à gauche, puis gauche à droite, puis re-droite à gauche. Quant au scénario, il est véritablement cliché. L'histoire du jeune personnage frêle et doux qui est possédé par un horrible démon qui prend le dessus sur lui quand ça arrange le scénariste, j'ai déjà vu cela de trop nombreuses fois. En manga, mes premières pensées vont à Inu yasha ou à Samuraï Deeper Kyo mais j'ai déjà vu cela souvent ailleurs, notamment en jeu de rôles car j'ai constaté (à trois reprises précisément) que c'est le genre de personnages que de jeunes joueuses féminines aiment à incarner. Alors, au-delà du cliché, je dois dire que j'aime bien les personnages, notamment celui de Tenma qui est à la fois imposant et amusant. J'ai donc lu le récit sans trop de déplaisir. Mais le faible intérêt du scénario et la trop grande immaturité de la narration m'ont empêché de trouver davantage d'intérêt à ce manga.
Agatha Christie
Je n'ai pour l'instant lu que deux tomes de la série (T1 et T3), mais ça ne m'a malheureusement pas donné envie de continuer. Je reverrais peut être mon avis en lisant d'autre tome. Je ne critiquerais pas le dessin que je trouve assez bien et respectant bien l'idée que je m'en faisais et l'époque où se déroule les histoires. Le principal souci pour moi, c'est la rapidité : 47 planches, c'est trop peu pour raconter de l'Agatha Christie. Lorsque j'ai lu le premier tome (Le Secret de Chimneys), j'avoue avoir eu beaucoup de mal à suivre le scénario (je ne connaissais pas ce roman) et j'ai dû de nombreuses fois revenir en arrière pour essayer de comprendre. Les personnages ne sont pas assez développés et l'action est beaucoup trop rapide. C'est dommage pour une œuvre de cette qualité qui aurait mérité mieux. Pour le troisième tome (Dix Petits Nègres), j'ai moins ressenti le même sentiment car je connais bien ce roman, mais j'ai quand même eu la même impression de scénario allant trop vite sans avoir le temps de fouiller un peu les personnalités. Je pense que deux ou trois tomes par roman aurait été vraiment nécessaire pour un rendu nettement supérieur à celui-là, surtout pour l'adaptation d'une œuvre aussi connue qu'Agatha Christie qui allait forcément être sous les projecteurs. Personnellement j'ai eu l'impression d'avoir été floué par une opération commerciale se servant d'un grand nom, ce qui m'a beaucoup déçu.
Fragments de l'encyclopédie des dauphins (Demain les dauphins)
Dans cette longue épopée historique de science-fiction, on voit les humains décliner après avoir modifié génétiquement les chimpanzés pour en faire des esclaves modernes. Les mammifères dominants au niveau de l'intelligence finissent par être les dauphins comme le titre de l'album l'indique de manière formelle. La fin de l'histoire réserve d'ailleurs une belle surprise au lecteur... Ces quelques histoires courtes suffisent à l'auteur pour nous raconter ces dix millénaires fictifs à la manière d'un livre d'histoire qui fouille dans les vestiges d'une antique civilisation: celle des hommes. Le concept attirera plus d'un amateur de science-fiction. Mais encore faut 'il croire en ce devenir ce qui n'est manifestement pas mon cas. « Demain les dauphins » était le second album de Prado publié en France. Il a fait beaucoup mieux depuis. Cependant, cet album a des qualités intrinsèques propres: entre lyrisme, efficacité graphique et mordant des dialogues... A bon entendeur...
Jack B. Quick - Enfant prodige
Je n'ai pas du tout accroché aux histoires farfelues de ce jeune génie des sciences. Chaque petite histoire détourne une théorie scientifique, comme par exemple la courbure de la lumière expliquée par l'état d'ébriété des photons. Ca aurait pu me faire rire mais la narration est trop lourdingue et ça dérive vers du grand n'importe quoi. Un bon concept de départ, tel que le détournement des lois de la Physique, ne suffit pas à faire un récit captivant... j'ai décroché aux 2/3 de la BD... je n'ai pas pu la finir. En revanche, rien à redire sur le dessin. Maîtrisé et rigolo, il aurait sublimé la narration si celle-ci tenait la route.
Warhammer 40,000
Evidemment, dès qu'on n'est pas familier de l'univers préexistant, on apprécie moins. C'est mon cas. Je suis plus orienté vers les univers fantasy. Cependant cela ne m'a pas empêché de lire cette BD, dont le déroulement m'a paru assez chaotique. Il eût été de bon ton de mettre un avant-propos replaçant la BD dans son contexte de jeu pour que l'on en comprenne tous les enjeux. Du coup j'ai un peu décroché pendant ma lecture. Je me suis assez vite désintéressé des personnages, trop lisses, trop monolithiques à mon goût. Le dessin n'est pas franchement mauvais, mais pas exceptionnel non plus. Je pense que d'autres auteurs plus chevronnés auraient été plus indiqués pour lancer une série accolée à un univers aussi populaire, quitte à ensuite confier certains épisodes à des débutants. Pas mon univers, pas passionnant, pas très joli... je passe.
Un Air de paradis
Sympathique mais beaucoup trop de clichés et lieux communs de l'enfance passés à la campagne (ah les bonnes confitures de mamie etc.). Et pas hyper bien dessiné, dans le même thème voir plutôt le Pirouette de Dutertre au potager moderne.
Dolls Killer
J’apprécie pourtant beaucoup les polars. Celui-là est basé sur une histoire de serial killer. C’est certes classique, mais il suffit parfois de pas grand chose pour en faire facilement une histoire efficace. Hélas ce n’est pas le cas ici. La faute en partie à des dialogues terriblement clichés. La faute à une histoire à laquelle on ne peut pas croire une seconde. Ca semble tellement bateau : La façon dont la flic s’adresse à l’adjoint du procureur, la façon dont elle va obtenir des renseignements grâce à un indic, la façon dont elle retrouve l’adresse du coupable... Il y a beaucoup trop d’exemples à mettre dans cette énumération. Tout sonne faux. Rien n’est crédible. Sans doute qu’un public beaucoup plus jeune sera moins regardant sur ces détails et trouvera son compte dans cette histoire. Moi je n’ai pas accroché.
Saru Lock
Un manga à réserver aux amateurs de "ton irrévérencieux" comme on dit pudiquement, ou de vulgarité si cela vous parle d'avantage. Car l'œuvre est crue, dès le premier chapitre on peut voir le meilleur ami du héros se "pognetter" en matant une VHS porno... Les dialogues ne sont pas en reste question vulgarité vous l'aurez deviné... Les "talents" de serrurier (crocheteur, voleur...) du héros n'apportent pas grand chose à l'histoire et l'on a rapidement l'impression de tourner en rond. Ajoutez à cela une morale déplorable (la copine dealeuse, fallait oser !!) et vous obtiendrez un manga que je n'ai pas aimé du tout. Mais les amateurs du genre South Park y trouveront sans doute leur compte grâce à un scénario et un graphisme très dynamiques. Ces tomes se lisent tout de même un peu rapidement du fait de leur manque de dialogues, ce qui, vu le tarif du tome, est un peu dommage.