J'ai beaucoup aimé.
Le dessin est superbe, en couleurs directes, Larnoy varie les techniques pour offrir des planches somptueuses, qui rappellent d'autres grands noms de la BD et du cinéma.
L'histoire est certes classique mais le professeur Norn n'a rien du héros habituel.
En fait s'il faut trouver à redire sur cette BD tient surtout au fait qu'il n'y aura jamais de suite...
Gibrat dessine divinement bien; le thème qu'il aborde est des plus originaux et il fait cela en plus avec beaucoup de tact. On est vraiment porté par l'histoire, entre rires et larmes, situations cocasses et tragiques. C'est un peu comme "Rome ville ouverte", de l'humour et de la légéreté au début, auxquels succèdent le drame et la tristesse. J'ai été vraiment bouleversé par la fin qu'a réservé Gibrat à cette superbe histoire d'amour.
L'ensemble est parfois un peu trop statique, non seulement parce que le personnage principal bouge physiquement peu de sa chambre mais aussi à cause de l'abus de voix off qui rend la narration un peu lourde et figée. Domage mais à la relecture, ce n'est pas suffisant pou gacher mon plaisir: immense!
Après avoir lu le premier tome du Vol du corbeau, j'ai été encore plus emballé; Gibrat a de plus réussi le tour de force de créer une femme encore plus belle et troublante que la pourtant divine Cécile!
Little Nemo! J'avais acheté l'intégrale sans trop savoir sur quoi j'allais tomber. Partout dans les livres sérieux sur l'histoire ou le langage de la bande dessinée, on en parle comme l'un des chefs d'oeuvre absolu de l’histoire de la bd, comme d’une oeuvre fondatrice. Voilà qui me donnait envie de me confronter à de la très vieille bd.
Première constatation : malgré la vieillesse des planches (on sent l'outrage du temps), on est visuellement charmé. Mac Cay est un dessinateur très fin, on est loin des laids scribouillages que beaucoup d'autres dessinateurs faisaient à la même époque.
Deuxième constatation : le ton. C'est d'une naïveté incroyable. Doublement naïf même. C'est la naïveté populaire d'une époque additionnée au fait que Mc Cay s'adressait aux enfants. Pourtant cette naïveté n'est jamais un défaut. C'est même là le charme principal de cette bande dessinée.
Troisième constatation : à son époque, Mac Cay maîtrisait déjà fameusement son art. Il y a pleins d'idées graphiques assez géniales là-dedans.
Résultat final : on ne peut s'empêcher d'avoir un regard rétrospectif sur l'oeuvre de Mc Cay. Elle est de son temps. Quand on lit Little Nemo, on sent que l'on communique avec l'imaginaire populaire d'une autre époque. Ca surprend et c'est émouvant à plus d'un égard. D'autres part, on se sent toujours un peu extérieur à cet imaginaire sans arriver tout à fait à combler le vide, on sent le "décalage temporel".
J'ai ressenti à la lecture de ces mignonnes aventures, le même sentiment que le jour où j'ai assisté, éberlué, aux films de Georges Méliès, ce cinéaste magicien des premiers temps du cinéma qui avait mis en scène et inventé les premiers trucages cinématographiques. Cela avait incontestablement vieilli mais il se dégageait de la naïveté de la mise en scène et de l'imagination débridée, une sensation de fraîcheur qui transparaissait de la vieille pellicule. On sentait que pour Méliès tout était à inventer et qu'il s'en donnait à coeur joie. Je pourrais dire la même chose de Mc Cay et de son Little Nemo. La bande dessinée n'en était également qu'à ses balbutiements.
Mais en même temps je sentais qu'il m'était impossible, pour moi, contemporain du début du 3eme millénaire de voir ces films de Méliès avec le même regard que les gens de l'époque, et c'est avec le sentiment d'avoir perdu quelque chose, une espèce de petit vide, que j'avais quitté la salle de projection.
Je referme aujourd'hui Little Nemo avec le même sentiment. Une douce mélancolie... une espèce de nostalgie, pour une époque que je n'ai pas connue.
Ca me gêne de devoir coter cette série. Donner un avis ou faire un critique envers une bande dessinée qui nous est contemporaine, cela a un sens, mais donner son avis sur une série qui a presque un siècle, ça me paraît un peu absurde. Il manque une donnée fondamentale que nous ne maîtrisons pas (à moins d'être historien d'art) : l'histoire.
J'ai été tellement absorbée par l'histoire qu'il m'a fallu trois tomes pour voir que Williamson est une fille...c'est dire si tout ça m'a troublé!
Sérieusement c'est une des meilleures histoires de SF que j'ai jamais lu en BD, cela se rapproche de certaines nouvelles des années 80...Même si le sujet n'est pas très original et plutôt récurrent, il est traité ici de manière plus que plaisante et les données scientifiques sont vraiment intéressantes. Les relations entre les personnages sont assez ambigües et bien développées. Chacun à son rôle, son importance (ou sa non importance...), sa personnalité...
La qualité de l'illustration est démentielle et les scenes dans l'espace sont tout simplement à tomber !
(petit bémol pour certains gros plans sur les têtes des héros)
J'aime beaucoup le coté mystique que Bajram donne à tout ça et ses parallèles avec les textes bibliques.
Cette Bd est excellente par son histoire d'intrigues et par les dessins de Marini qui sont grandioses. Les trois tomes réussissent à bien posés l'intrigue et à la faire évoluée. On a envie que le quatre soit déjà sorti tellement l'histoire est palpitante.
Que dire sinon achetez là!
Je n'ai pas lu toute la série, mais la dizaine d'albums que j'ai eue entre les mains m'a bien fait rire ! C'est débile, c'est absurde, ça part dans tous les sens... Moi, je trouve que ça a un côté quasi "pythonesque". Maintenant, je conçois qu'on n'accroche pas du tout à ce genre d'humour crétin...
Un peu de tendresse, de simplicité et d'optimisme dans ce monde de brutes. Je viens juste de boucler l'intégrale que j'attendais depuis longtemps, et je ne suis pas décu. Voila une bd trés bien dessinnée, pleine de vie et bons sentiments. Un pur joyau à lire par les petits et les grands.
Tout à fait d'accord avec Cedric et Piehr cette album est genial
Les dessins et les couleurs tres sombres sont superbes ils donnent une ambiance tres particuliere à l'album oppressante et stressante
Le scenar bien que sans grande originalite est parfaitement conçu
Une BD d'exeption apres MMGD Magnifique.
L'Innocente est un témoignage poignant sur la 2ème guerre mondiale.
Oui, le nazisme a été une horreur.
Non, tous les allemands n'étaient pas nazis.
Sans fausse pudeur, nous nous retrouvons plongé au cœur de la honte, du doute, de l'horreur, et de l'angoisse.
Le dessin et le texte de Warnauts et de Raives sont comme toujours superbes, d'une grande sensibilité, extrêmement soignés et plein de réalisme.
C'est un album témoignage, un roman dessiné, une des multiples facettes de l’histoire.
Les auteurs nous offrent ici une œuvre grandiose.
Le meilleur du « couple » Warnauts / Raives.
La nouvelle série de Warnants et Raives est de qualité.
ils maintiennent avec élégance leur habituel standard :
-langueurs tropicales (Cette fois on se trouve aux Caraïbes), ses beautés mais aussi, les pourrissements secrets et les compromissions en tous genres.
On est à la fois dans une intrigue politique et une intrigue amoureuse.
Le personnage principal dénommé Lafleur reste assez mystérieux au début de l’histoire mais petit à petit,il va se dévoiler, s’esquisser par touches successives et il va finir par constituer un personnage captivant.
Il y a aussi des bulles mémorables dans cette série, comme celle ci : « Il faut voir la mort comme un piment, sans elle, la vie n’aurait aucun goût… ». Tout simplement superbe…
Le scénario est servi par de magnifiques dessins avec des couleurs aux tons chatoyants qui nous baignent dans la chaleur sud-américaine. Ces couleurs créent différentes ambiances dans ce récit, pour preuve, des tons plus durs nous entraînent un court instant dans une scène de nuit digne des meilleurs polars.
Si vous recherchez des dessins très réalistes et en même temps harmonieux, si vous avez envie de couleurs flamboyantes et que vous recherchez de l’intimité avec les personnages et du dépaysement, n’hésitez pas : plongez dans cette série, et dans tous les ouvrages qu’ont pu faire le « couple » Warnants et Raives .
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Shadowslayer
J'ai beaucoup aimé. Le dessin est superbe, en couleurs directes, Larnoy varie les techniques pour offrir des planches somptueuses, qui rappellent d'autres grands noms de la BD et du cinéma. L'histoire est certes classique mais le professeur Norn n'a rien du héros habituel. En fait s'il faut trouver à redire sur cette BD tient surtout au fait qu'il n'y aura jamais de suite...
Le Sursis
Gibrat dessine divinement bien; le thème qu'il aborde est des plus originaux et il fait cela en plus avec beaucoup de tact. On est vraiment porté par l'histoire, entre rires et larmes, situations cocasses et tragiques. C'est un peu comme "Rome ville ouverte", de l'humour et de la légéreté au début, auxquels succèdent le drame et la tristesse. J'ai été vraiment bouleversé par la fin qu'a réservé Gibrat à cette superbe histoire d'amour. L'ensemble est parfois un peu trop statique, non seulement parce que le personnage principal bouge physiquement peu de sa chambre mais aussi à cause de l'abus de voix off qui rend la narration un peu lourde et figée. Domage mais à la relecture, ce n'est pas suffisant pou gacher mon plaisir: immense! Après avoir lu le premier tome du Vol du corbeau, j'ai été encore plus emballé; Gibrat a de plus réussi le tour de force de créer une femme encore plus belle et troublante que la pourtant divine Cécile!
Little Nemo in Slumberland
Little Nemo! J'avais acheté l'intégrale sans trop savoir sur quoi j'allais tomber. Partout dans les livres sérieux sur l'histoire ou le langage de la bande dessinée, on en parle comme l'un des chefs d'oeuvre absolu de l’histoire de la bd, comme d’une oeuvre fondatrice. Voilà qui me donnait envie de me confronter à de la très vieille bd. Première constatation : malgré la vieillesse des planches (on sent l'outrage du temps), on est visuellement charmé. Mac Cay est un dessinateur très fin, on est loin des laids scribouillages que beaucoup d'autres dessinateurs faisaient à la même époque. Deuxième constatation : le ton. C'est d'une naïveté incroyable. Doublement naïf même. C'est la naïveté populaire d'une époque additionnée au fait que Mc Cay s'adressait aux enfants. Pourtant cette naïveté n'est jamais un défaut. C'est même là le charme principal de cette bande dessinée. Troisième constatation : à son époque, Mac Cay maîtrisait déjà fameusement son art. Il y a pleins d'idées graphiques assez géniales là-dedans. Résultat final : on ne peut s'empêcher d'avoir un regard rétrospectif sur l'oeuvre de Mc Cay. Elle est de son temps. Quand on lit Little Nemo, on sent que l'on communique avec l'imaginaire populaire d'une autre époque. Ca surprend et c'est émouvant à plus d'un égard. D'autres part, on se sent toujours un peu extérieur à cet imaginaire sans arriver tout à fait à combler le vide, on sent le "décalage temporel". J'ai ressenti à la lecture de ces mignonnes aventures, le même sentiment que le jour où j'ai assisté, éberlué, aux films de Georges Méliès, ce cinéaste magicien des premiers temps du cinéma qui avait mis en scène et inventé les premiers trucages cinématographiques. Cela avait incontestablement vieilli mais il se dégageait de la naïveté de la mise en scène et de l'imagination débridée, une sensation de fraîcheur qui transparaissait de la vieille pellicule. On sentait que pour Méliès tout était à inventer et qu'il s'en donnait à coeur joie. Je pourrais dire la même chose de Mc Cay et de son Little Nemo. La bande dessinée n'en était également qu'à ses balbutiements. Mais en même temps je sentais qu'il m'était impossible, pour moi, contemporain du début du 3eme millénaire de voir ces films de Méliès avec le même regard que les gens de l'époque, et c'est avec le sentiment d'avoir perdu quelque chose, une espèce de petit vide, que j'avais quitté la salle de projection. Je referme aujourd'hui Little Nemo avec le même sentiment. Une douce mélancolie... une espèce de nostalgie, pour une époque que je n'ai pas connue. Ca me gêne de devoir coter cette série. Donner un avis ou faire un critique envers une bande dessinée qui nous est contemporaine, cela a un sens, mais donner son avis sur une série qui a presque un siècle, ça me paraît un peu absurde. Il manque une donnée fondamentale que nous ne maîtrisons pas (à moins d'être historien d'art) : l'histoire.
Universal War One
J'ai été tellement absorbée par l'histoire qu'il m'a fallu trois tomes pour voir que Williamson est une fille...c'est dire si tout ça m'a troublé! Sérieusement c'est une des meilleures histoires de SF que j'ai jamais lu en BD, cela se rapproche de certaines nouvelles des années 80...Même si le sujet n'est pas très original et plutôt récurrent, il est traité ici de manière plus que plaisante et les données scientifiques sont vraiment intéressantes. Les relations entre les personnages sont assez ambigües et bien développées. Chacun à son rôle, son importance (ou sa non importance...), sa personnalité... La qualité de l'illustration est démentielle et les scenes dans l'espace sont tout simplement à tomber ! (petit bémol pour certains gros plans sur les têtes des héros) J'aime beaucoup le coté mystique que Bajram donne à tout ça et ses parallèles avec les textes bibliques.
Le Scorpion
Cette Bd est excellente par son histoire d'intrigues et par les dessins de Marini qui sont grandioses. Les trois tomes réussissent à bien posés l'intrigue et à la faire évoluée. On a envie que le quatre soit déjà sorti tellement l'histoire est palpitante. Que dire sinon achetez là!
Edika
Je n'ai pas lu toute la série, mais la dizaine d'albums que j'ai eue entre les mains m'a bien fait rire ! C'est débile, c'est absurde, ça part dans tous les sens... Moi, je trouve que ça a un côté quasi "pythonesque". Maintenant, je conçois qu'on n'accroche pas du tout à ce genre d'humour crétin...
Le Vent dans les Saules
Un peu de tendresse, de simplicité et d'optimisme dans ce monde de brutes. Je viens juste de boucler l'intégrale que j'attendais depuis longtemps, et je ne suis pas décu. Voila une bd trés bien dessinnée, pleine de vie et bons sentiments. Un pur joyau à lire par les petits et les grands.
Tonnerre Rampant
Tout à fait d'accord avec Cedric et Piehr cette album est genial Les dessins et les couleurs tres sombres sont superbes ils donnent une ambiance tres particuliere à l'album oppressante et stressante Le scenar bien que sans grande originalite est parfaitement conçu Une BD d'exeption apres MMGD Magnifique.
L'Innocente
L'Innocente est un témoignage poignant sur la 2ème guerre mondiale. Oui, le nazisme a été une horreur. Non, tous les allemands n'étaient pas nazis. Sans fausse pudeur, nous nous retrouvons plongé au cœur de la honte, du doute, de l'horreur, et de l'angoisse. Le dessin et le texte de Warnauts et de Raives sont comme toujours superbes, d'une grande sensibilité, extrêmement soignés et plein de réalisme. C'est un album témoignage, un roman dessiné, une des multiples facettes de l’histoire. Les auteurs nous offrent ici une œuvre grandiose. Le meilleur du « couple » Warnauts / Raives.
L'Orfèvre
La nouvelle série de Warnants et Raives est de qualité. ils maintiennent avec élégance leur habituel standard : -langueurs tropicales (Cette fois on se trouve aux Caraïbes), ses beautés mais aussi, les pourrissements secrets et les compromissions en tous genres. On est à la fois dans une intrigue politique et une intrigue amoureuse. Le personnage principal dénommé Lafleur reste assez mystérieux au début de l’histoire mais petit à petit,il va se dévoiler, s’esquisser par touches successives et il va finir par constituer un personnage captivant. Il y a aussi des bulles mémorables dans cette série, comme celle ci : « Il faut voir la mort comme un piment, sans elle, la vie n’aurait aucun goût… ». Tout simplement superbe… Le scénario est servi par de magnifiques dessins avec des couleurs aux tons chatoyants qui nous baignent dans la chaleur sud-américaine. Ces couleurs créent différentes ambiances dans ce récit, pour preuve, des tons plus durs nous entraînent un court instant dans une scène de nuit digne des meilleurs polars. Si vous recherchez des dessins très réalistes et en même temps harmonieux, si vous avez envie de couleurs flamboyantes et que vous recherchez de l’intimité avec les personnages et du dépaysement, n’hésitez pas : plongez dans cette série, et dans tous les ouvrages qu’ont pu faire le « couple » Warnants et Raives .