La limite entre le bien et le mal vu par Alan Moore ! Un scénario comme toujours parfait et sans faille. Une histoire qui se révèle patiemment de page en page jusqu'à la conclusion, surprenante et tellement banale à la fois. Alan Moore en profite aussi pour revisiter les mythes américains du super héros avec un oeil neuf, très acerbe. Le seul bémol finalement restera quand meme le dessin, très proche des Stranges et autres Marvels, mais dans lequelle j'ai toujours beaucoup de mal à me plonger.
Une BD sans prétention qui au fil des tomes montre un regard de plus en plus désabusés sur notre futur. Les personnages sont haut en couleur et le passage à Venise est somptueux. Les dessins très proches du style "année 70" fait parfois sourire par sa superposition de marron, orange pas toujours très chatoyant, mais l'histoire est riche et bien ficelé. Le Tome 10 aurait pu (du ?) terminé cette série qui est pour moi la meilleure du duo Gine-Convard un peu devant "Finkel"
J'aime beaucoup la noirceur de cette série qui se prolonge au fil des tomes. Le scénario est assez riche en rebondissement tout en gardant une certaine cohérence . Malheureusement la série est gachée puisqu'elle ne s'achève pas vraiment avec le tome 10...
Du délire à l'état pure. Cette BD associe un dessin tout simplement magique à un scénario très riches et très drôles. En plus Turf semble nous réserver une surprise pour la conclusion qui se dessine au fil des tomes. Qui tire les ficelles ?
Une série plein de conte de fées avec un Autre Monde tellement attachant aux dessins superbes. Les 4 saisons sont magnifiquement représentés, notamment l'hiver et ces Pères Noëls. Une BD à découvrir absolument.
Les couleurs de cette BD sont totalement déconcertante. Cette superposition de vert et de ce violet font de certaines planches des merveilles. Le scénario est bien construit et c'est avec un grand plaisir que je me replonge parfois dans cette oeuvre qui méritait une réedition.
Quelle originalité, quel plaisir que de se plonger dans l'univers truculent de Julius ! Une bande dessinée imprévisible, au "découpage" surprenant et aux histoires loufoques et pourtant parfaitement maitrisées. On est vite pris par la "spirale" infernale de la vie en "monochrome" de cette héros "renversant".
Difficile de dire si cette série sera culte ou pas, vu que nous en sommes au Tome 6 sur 18 de prévus ! En attendant, l'histoire est tout simplement hallucinante. Andreas nous balade pendant 4 albums dans un univers étrange avec des créatures tout aussi bizarres à travers quelques héros projetés bien malgré eux dans ce monde. Et lorsque l'on commence à s'imprégner de cette univers à la fois noire et désabusé mais aussi riche par sa diversité, Andréas nous explique gentiment que tout ceci n'est que...
A vous de découvrir la suite, mais vous ne serez pas déçu.
L'idée de base n'est pas, mais alors là, pas du tout originale! Le gars de cinquante ans qui se retrouve dans un corps d'enfant et replongé dans son passé, ça c'est déjà vu une bonne cinquantaine de fois. Seulement voilà, Taniguchi est un auteur à la sensibilité particulière. Cette vague idée n'est qu'un prétexte à émotion. Ce n'est que le fil conducteur pour mettre en scène un personnage qui s'interroge sur sa propre vie, ses choix, sa destinée, les trous noirs de son enfance... de l'universel, en somme! Et malgré la grandeur et le caractère "Proustien" et donc casse-gueule du sujet, l'auteur s'en sort très bien: c'est prenant, intimiste et poétique.
Etrange livre que ces Ineffables. En le commençant je me suis demandé s'il s'agissait de bande dessinée... Je m'explique : les histoires en une page sont toujours présentées de la même façon, texte au-dessus de chaque case; l'enchaînement entre ces cases n'est pas toujours évident, et le texte à lui seul suffit à comprendre l'histoire, les images n'étant finalement "que" des illustrations. D'un autre côté, lesdites images s'enchainent (tout de même !) pour former des séquences, ce qui en fait de facto une bande dessinée.
Bon, trève de blabla, c'était pour dire que ça m'avait paru étrange (comprenez original) au début.
Les histoires sont très inégales, certaines sont franchement excellentes, d'autres pas mal du tout, et une ou deux m'ont laissé de marbre. Quoi qu'il en soit, l'originalité et là, et bien là. Ces petites (inef)fables sont teintées de noir, de cynisme, d'humour noir, d'un regard chargé d'ironie, ce qui leur donne un charme certain.
Histoires courtes par nature, elles pourront laisser un peu perplexes au départ, mais on en apprécie bien vite la saveur ! Alors si vous aimez Trondheim, si vous aimez l'originalité, jetez-vous dessus ! Sinon, lisez-en quelques pages et ne vous arrêtez pas à la première impression (sauf si elle est bonne :)).
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Watchmen
La limite entre le bien et le mal vu par Alan Moore ! Un scénario comme toujours parfait et sans faille. Une histoire qui se révèle patiemment de page en page jusqu'à la conclusion, surprenante et tellement banale à la fois. Alan Moore en profite aussi pour revisiter les mythes américains du super héros avec un oeil neuf, très acerbe. Le seul bémol finalement restera quand meme le dessin, très proche des Stranges et autres Marvels, mais dans lequelle j'ai toujours beaucoup de mal à me plonger.
Neige
Une BD sans prétention qui au fil des tomes montre un regard de plus en plus désabusés sur notre futur. Les personnages sont haut en couleur et le passage à Venise est somptueux. Les dessins très proches du style "année 70" fait parfois sourire par sa superposition de marron, orange pas toujours très chatoyant, mais l'histoire est riche et bien ficelé. Le Tome 10 aurait pu (du ?) terminé cette série qui est pour moi la meilleure du duo Gine-Convard un peu devant "Finkel"
Les Naufragés du temps
J'aime beaucoup la noirceur de cette série qui se prolonge au fil des tomes. Le scénario est assez riche en rebondissement tout en gardant une certaine cohérence . Malheureusement la série est gachée puisqu'elle ne s'achève pas vraiment avec le tome 10...
La Nef des fous
Du délire à l'état pure. Cette BD associe un dessin tout simplement magique à un scénario très riches et très drôles. En plus Turf semble nous réserver une surprise pour la conclusion qui se dessine au fil des tomes. Qui tire les ficelles ?
L'Autre Monde
Une série plein de conte de fées avec un Autre Monde tellement attachant aux dessins superbes. Les 4 saisons sont magnifiquement représentés, notamment l'hiver et ces Pères Noëls. Une BD à découvrir absolument.
L'Orchidée Noire (Black Orchid)
Les couleurs de cette BD sont totalement déconcertante. Cette superposition de vert et de ce violet font de certaines planches des merveilles. Le scénario est bien construit et c'est avec un grand plaisir que je me replonge parfois dans cette oeuvre qui méritait une réedition.
Julius Corentin Acquefacques
Quelle originalité, quel plaisir que de se plonger dans l'univers truculent de Julius ! Une bande dessinée imprévisible, au "découpage" surprenant et aux histoires loufoques et pourtant parfaitement maitrisées. On est vite pris par la "spirale" infernale de la vie en "monochrome" de cette héros "renversant".
Arq
Difficile de dire si cette série sera culte ou pas, vu que nous en sommes au Tome 6 sur 18 de prévus ! En attendant, l'histoire est tout simplement hallucinante. Andreas nous balade pendant 4 albums dans un univers étrange avec des créatures tout aussi bizarres à travers quelques héros projetés bien malgré eux dans ce monde. Et lorsque l'on commence à s'imprégner de cette univers à la fois noire et désabusé mais aussi riche par sa diversité, Andréas nous explique gentiment que tout ceci n'est que... A vous de découvrir la suite, mais vous ne serez pas déçu.
Quartier lointain
L'idée de base n'est pas, mais alors là, pas du tout originale! Le gars de cinquante ans qui se retrouve dans un corps d'enfant et replongé dans son passé, ça c'est déjà vu une bonne cinquantaine de fois. Seulement voilà, Taniguchi est un auteur à la sensibilité particulière. Cette vague idée n'est qu'un prétexte à émotion. Ce n'est que le fil conducteur pour mettre en scène un personnage qui s'interroge sur sa propre vie, ses choix, sa destinée, les trous noirs de son enfance... de l'universel, en somme! Et malgré la grandeur et le caractère "Proustien" et donc casse-gueule du sujet, l'auteur s'en sort très bien: c'est prenant, intimiste et poétique.
Les Ineffables
Etrange livre que ces Ineffables. En le commençant je me suis demandé s'il s'agissait de bande dessinée... Je m'explique : les histoires en une page sont toujours présentées de la même façon, texte au-dessus de chaque case; l'enchaînement entre ces cases n'est pas toujours évident, et le texte à lui seul suffit à comprendre l'histoire, les images n'étant finalement "que" des illustrations. D'un autre côté, lesdites images s'enchainent (tout de même !) pour former des séquences, ce qui en fait de facto une bande dessinée. Bon, trève de blabla, c'était pour dire que ça m'avait paru étrange (comprenez original) au début. Les histoires sont très inégales, certaines sont franchement excellentes, d'autres pas mal du tout, et une ou deux m'ont laissé de marbre. Quoi qu'il en soit, l'originalité et là, et bien là. Ces petites (inef)fables sont teintées de noir, de cynisme, d'humour noir, d'un regard chargé d'ironie, ce qui leur donne un charme certain. Histoires courtes par nature, elles pourront laisser un peu perplexes au départ, mais on en apprécie bien vite la saveur ! Alors si vous aimez Trondheim, si vous aimez l'originalité, jetez-vous dessus ! Sinon, lisez-en quelques pages et ne vous arrêtez pas à la première impression (sauf si elle est bonne :)).