A mes yeux, la série culte sur le Western.
La qualité du dessin de Swolfs est remarquable. Et c'est surtout le côté efficace de la série qui, pour moi, en fait une série culte.
Certes les scénarios ne sont pas aussi complexes que ceux de Blueberry, mais je les trouve plus réalistes, et plus proche de l'idée que je me fais de l'univers du Western.
Les passages du style "Seul contre tous", où Durango plante une balle entre les deux yeux de la vingtaine d'hommes face à lui, peuvent agacer, mais c'est exactement ce que j'attend d'un héros dans le far-west.
Bref autant par ses dessins que par son univers, Durango ne pourra que plaire à tous ceux qui apprécient le Western.
J'ai decouvert cette BD pratiquement le jour de sa sortie il y a 10 ans. Ah... que cette collection Berthet etait de qualité. Les themes abordés par Andreas n'ont pas vieilli d'un poil. (cf. The Matrix) et le dessin de Berthet etait bien moins conventionel que maintenant avec le parti pris de faire des cadrages originaux et egalement une utilisation un peu differente des cases.
Vraiment superbe.
Cette BD est un monument.
Une telle qualité de scénario et de dessin, pour une BD diffusée à raison d'une planche par semaine dans un hebdomadaire, c'est assez rare.
Malgrès le style assez rigide de l'oeuvre tant au niveau du découpage des planches, qu'au niveau de la variété des scénarios, ca se laisse lire trés facilement, grâce à une action trés soutenue, ainsi qu'au dévelopement du caractère de l'ensemble des personnages.
Le dessin rappelle trés vite l'âge de la BD, mais il reste intéressant, et devant la banalisation des dessins de type Soleil aujourd'hui, c'en est presque raffraichissant.
Maintenant cette BD souffre quand même de ce son mode de découpage, le rebondissement de l'action à chaque fin de planche peu lasser à la longue. Et on ne peut pas dire non plus que la trame générale du scénario varie beaucoup de tome en tome.
En définitive cette BD nous permet de redécouvrir les aventures d'un chevalier de la table ronde de manière très romancée et agréable.
Et une BD de 50 ans d'âge, ca ne peut pas se rater pour un grand amateur...
pas culte, mais à connaitre.
J'adore Lapinot.
Pourtant je suis parti avec des tas d'à priori en voyant le dessin, et lisant rapidement quelques planches.
En réalité, on finit carrément par apprécier le dessin de Lewis Trondheim, qui colle parfaitement à l'ambiance.
On lisant un Lapinot, on est quasiment sûr de rigoler un bon moment, ce qui compte énormement. Et comme d'habitude, quelques clins d'oeil à des scénes de vie ordinaire apparaissent, pour notre plus grand plaisir.
Bref, on peut penser qu'il s'agit à la base d'un humour potache, mais en réalité, c'est une bd tout simplement hyper plaisante à lire
(une petite préférence pour slaloms quand même :) )
Au départ, je comprenais pas super ce concept d'aventures sans Lapinot, mais à vrai dire, connaissant un peu l'auteur à travers des entrecoupements bordéliques ( mais tellement sympathiques ) tels que les séries de donjon, je me suis dit que j'allais testé un tome de cette série .
Je suis donc tombé sur ordinateur mon ami.
Je dois dire qu'un tome, c'est bien peu pour juger une série, mais que pour le moment j'ai été conquis par la simplicité, l'humour et l'ambiance qui ont emergé de cet album.
Pour le moment je reste à 4/5, car je ne me suis pas autant marré que pour les aventures avec lapinot, mais c'est en attendant d'aller en acheter d'autres :)
Un manga très difficile à lire, surtout le tome 1, qui paradoxalement contient moins de scènes de combat, mais qui est beaucoup plus choquant.
Cette série qui raconte l'histoire d'un enfant brillant qui tue ses parents, et va attérir en maison de correction, est narré sur un ton extremement crû, dur, comme pour mieux renforcer le sentiment de malaise et de gêne que l'auteur veut nous faire partager.
Pour le moment nous n'en sommes qu'au tome deux, et pas mal de chose ce sont passé, que ce soit au niveau de l'évolution du personnage principal, Narushima, ou de l'action, puisqu'à la fin du second opus, ce dernier sort de maison de correction avec un énorme bagage martial.
Cette série ne s'adresse pas qu'aux fans de combats, ces derniers seront néanmoins comblés par le réalisme et la violence de ceux ci, mais aussi à tous fans de mangas en règle général.
Beaucoup de qualités, que ce soient dans le dessin ou l'histoire.
Epatant, hallucinant, fantasmagorique, caustique, ironique, fabuleux... Qu'est-ce que c'est chouette... Je comprend que cela ne plaise pas à tout le monde, que ce ne soit pas interessant pour certains... Il se trouve que j'adore, tout simplement.
Peut-être parce que ces filles pourraient être parmi mes meilleures amies...Peut-être parce que certaines de leurs réactions ou de leurs discussions me sont vraiment familières...Peut-être parce que d'une certaine manière je me sens proche d'elles...de leur manière de vivre, de s'exclure en quelque sorte du monde qui les entoure...De se donner cette impression d'être uniques et différentes par de petits actes anodins...
Il s'agit en fait d'une sorte de recueil, d'une succession de chapitres, qui sont autant de tranches de vie, de moments d'existence de Rebecca et Enid...Le tout est cependant très cohérent, et il se dégage de l'ensemble une atmosphère presque surréaliste liée à l'étroitesse de la ville, au confinement forcé dans ces lieux où la marginalité constitue un échappatoire vers un "ailleurs" au même titre que la ligne de bus n°5...
Le graphisme est vraiment idéal et extremement adapté à l'histoire. Je n'imagine pas du tout un autre style, ou même une colorisation différente. Cet épurement, ce dépouillement du trait et des couleurs (ou plutôt des non-couleurs...) permet de faire passer de nombreux sentiments, et réflexions de manière très intelligente. Les personnages ne sont jamais "parfaits", ils ont tous une humanité apparente, ce sont des gens ordinaires, ni des modèles, ni des anti-héros, juste des êtres normaux, comme on pourrait en croiser au coin de la rue.
Ghost World, le monde fantôme, celui où on ne peut vivre ni avec les autres, ni sans eux, celui où malgré tout on reste prisonnier d'un système, sauf quand on est deux, et qu'on est deux "barges", socialement parlant, se construisant une vie plus belle que celle qui nous est destinée, en faisant de l'ordinaire un extraordinaire perpetuel, en faisant de la monotonie une aventure, en faisant du quotidien un certain moment de rêve.
Aprés la lecture des deux premiers tomes, je dois dire que le savoir faire de Léo fonctionne toujours aussi bien, même s'il faut avouer que la mécanique de départ a des points communs plus que sensibles avec aldebaran. On retrouve en effet, le même type de question (à quoi sont dues les mystérieuses manifestations auxquelles nous assistons ?), le même type de personnages (l'héroïne pleine de charme et de ressources), et la même envie d'en savoir toujours plus pour le lecteur (moi en tous les cas).
Je ne vais pas m'attarder sur le graphisme de Léo. Tout a été dit et écrit à ce sujet lors des post d'aldebaran. Là aussi, ma position est toujours tranchée : moi j'aime bien.
bref, kenya n'a sans doute pas la fraicheur et l'inventivité d'aldebaran, mais ca reste quand même de la trés bonne bd.
Voilà une série de science-fiction très intéressante. Servain assure un dessin clair et précis. La mise en scène et le scénario sont bien réalisés et l'intrigue assez déroutante.
On est véritablement captivé par cette histoire.
Bref, une bonne BD à posséder tout comme l' histoire de Siloë du même auteur.
Très bon début pour ces jeunes auteurs !
J'ai beacoup aimé le scénario, alliant SF, HF et Aventure mais aussi les dessins de Floch (très sympatique) qui me rappelle un certain Tarquin.
J'ai trouvé le tome 2 vraiment bien réalisé ! Une série qui s'annonce très prometeuse !
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Durango
A mes yeux, la série culte sur le Western. La qualité du dessin de Swolfs est remarquable. Et c'est surtout le côté efficace de la série qui, pour moi, en fait une série culte. Certes les scénarios ne sont pas aussi complexes que ceux de Blueberry, mais je les trouve plus réalistes, et plus proche de l'idée que je me fais de l'univers du Western. Les passages du style "Seul contre tous", où Durango plante une balle entre les deux yeux de la vingtaine d'hommes face à lui, peuvent agacer, mais c'est exactement ce que j'attend d'un héros dans le far-west. Bref autant par ses dessins que par son univers, Durango ne pourra que plaire à tous ceux qui apprécient le Western.
Mortes saisons
J'ai decouvert cette BD pratiquement le jour de sa sortie il y a 10 ans. Ah... que cette collection Berthet etait de qualité. Les themes abordés par Andreas n'ont pas vieilli d'un poil. (cf. The Matrix) et le dessin de Berthet etait bien moins conventionel que maintenant avec le parti pris de faire des cadrages originaux et egalement une utilisation un peu differente des cases. Vraiment superbe.
Prince Valiant
Cette BD est un monument. Une telle qualité de scénario et de dessin, pour une BD diffusée à raison d'une planche par semaine dans un hebdomadaire, c'est assez rare. Malgrès le style assez rigide de l'oeuvre tant au niveau du découpage des planches, qu'au niveau de la variété des scénarios, ca se laisse lire trés facilement, grâce à une action trés soutenue, ainsi qu'au dévelopement du caractère de l'ensemble des personnages. Le dessin rappelle trés vite l'âge de la BD, mais il reste intéressant, et devant la banalisation des dessins de type Soleil aujourd'hui, c'en est presque raffraichissant. Maintenant cette BD souffre quand même de ce son mode de découpage, le rebondissement de l'action à chaque fin de planche peu lasser à la longue. Et on ne peut pas dire non plus que la trame générale du scénario varie beaucoup de tome en tome. En définitive cette BD nous permet de redécouvrir les aventures d'un chevalier de la table ronde de manière très romancée et agréable. Et une BD de 50 ans d'âge, ca ne peut pas se rater pour un grand amateur... pas culte, mais à connaitre.
Les Formidables Aventures de Lapinot
J'adore Lapinot. Pourtant je suis parti avec des tas d'à priori en voyant le dessin, et lisant rapidement quelques planches. En réalité, on finit carrément par apprécier le dessin de Lewis Trondheim, qui colle parfaitement à l'ambiance. On lisant un Lapinot, on est quasiment sûr de rigoler un bon moment, ce qui compte énormement. Et comme d'habitude, quelques clins d'oeil à des scénes de vie ordinaire apparaissent, pour notre plus grand plaisir. Bref, on peut penser qu'il s'agit à la base d'un humour potache, mais en réalité, c'est une bd tout simplement hyper plaisante à lire (une petite préférence pour slaloms quand même :) )
Les Formidables Aventures sans Lapinot
Au départ, je comprenais pas super ce concept d'aventures sans Lapinot, mais à vrai dire, connaissant un peu l'auteur à travers des entrecoupements bordéliques ( mais tellement sympathiques ) tels que les séries de donjon, je me suis dit que j'allais testé un tome de cette série . Je suis donc tombé sur ordinateur mon ami. Je dois dire qu'un tome, c'est bien peu pour juger une série, mais que pour le moment j'ai été conquis par la simplicité, l'humour et l'ambiance qui ont emergé de cet album. Pour le moment je reste à 4/5, car je ne me suis pas autant marré que pour les aventures avec lapinot, mais c'est en attendant d'aller en acheter d'autres :)
Coq de combat
Un manga très difficile à lire, surtout le tome 1, qui paradoxalement contient moins de scènes de combat, mais qui est beaucoup plus choquant. Cette série qui raconte l'histoire d'un enfant brillant qui tue ses parents, et va attérir en maison de correction, est narré sur un ton extremement crû, dur, comme pour mieux renforcer le sentiment de malaise et de gêne que l'auteur veut nous faire partager. Pour le moment nous n'en sommes qu'au tome deux, et pas mal de chose ce sont passé, que ce soit au niveau de l'évolution du personnage principal, Narushima, ou de l'action, puisqu'à la fin du second opus, ce dernier sort de maison de correction avec un énorme bagage martial. Cette série ne s'adresse pas qu'aux fans de combats, ces derniers seront néanmoins comblés par le réalisme et la violence de ceux ci, mais aussi à tous fans de mangas en règle général. Beaucoup de qualités, que ce soient dans le dessin ou l'histoire.
Ghost World
Epatant, hallucinant, fantasmagorique, caustique, ironique, fabuleux... Qu'est-ce que c'est chouette... Je comprend que cela ne plaise pas à tout le monde, que ce ne soit pas interessant pour certains... Il se trouve que j'adore, tout simplement. Peut-être parce que ces filles pourraient être parmi mes meilleures amies...Peut-être parce que certaines de leurs réactions ou de leurs discussions me sont vraiment familières...Peut-être parce que d'une certaine manière je me sens proche d'elles...de leur manière de vivre, de s'exclure en quelque sorte du monde qui les entoure...De se donner cette impression d'être uniques et différentes par de petits actes anodins... Il s'agit en fait d'une sorte de recueil, d'une succession de chapitres, qui sont autant de tranches de vie, de moments d'existence de Rebecca et Enid...Le tout est cependant très cohérent, et il se dégage de l'ensemble une atmosphère presque surréaliste liée à l'étroitesse de la ville, au confinement forcé dans ces lieux où la marginalité constitue un échappatoire vers un "ailleurs" au même titre que la ligne de bus n°5... Le graphisme est vraiment idéal et extremement adapté à l'histoire. Je n'imagine pas du tout un autre style, ou même une colorisation différente. Cet épurement, ce dépouillement du trait et des couleurs (ou plutôt des non-couleurs...) permet de faire passer de nombreux sentiments, et réflexions de manière très intelligente. Les personnages ne sont jamais "parfaits", ils ont tous une humanité apparente, ce sont des gens ordinaires, ni des modèles, ni des anti-héros, juste des êtres normaux, comme on pourrait en croiser au coin de la rue. Ghost World, le monde fantôme, celui où on ne peut vivre ni avec les autres, ni sans eux, celui où malgré tout on reste prisonnier d'un système, sauf quand on est deux, et qu'on est deux "barges", socialement parlant, se construisant une vie plus belle que celle qui nous est destinée, en faisant de l'ordinaire un extraordinaire perpetuel, en faisant de la monotonie une aventure, en faisant du quotidien un certain moment de rêve.
Kenya
Aprés la lecture des deux premiers tomes, je dois dire que le savoir faire de Léo fonctionne toujours aussi bien, même s'il faut avouer que la mécanique de départ a des points communs plus que sensibles avec aldebaran. On retrouve en effet, le même type de question (à quoi sont dues les mystérieuses manifestations auxquelles nous assistons ?), le même type de personnages (l'héroïne pleine de charme et de ressources), et la même envie d'en savoir toujours plus pour le lecteur (moi en tous les cas). Je ne vais pas m'attarder sur le graphisme de Léo. Tout a été dit et écrit à ce sujet lors des post d'aldebaran. Là aussi, ma position est toujours tranchée : moi j'aime bien. bref, kenya n'a sans doute pas la fraicheur et l'inventivité d'aldebaran, mais ca reste quand même de la trés bonne bd.
Le Traque Mémoire
Voilà une série de science-fiction très intéressante. Servain assure un dessin clair et précis. La mise en scène et le scénario sont bien réalisés et l'intrigue assez déroutante. On est véritablement captivé par cette histoire. Bref, une bonne BD à posséder tout comme l' histoire de Siloë du même auteur.
Slhoka
Très bon début pour ces jeunes auteurs ! J'ai beacoup aimé le scénario, alliant SF, HF et Aventure mais aussi les dessins de Floch (très sympatique) qui me rappelle un certain Tarquin. J'ai trouvé le tome 2 vraiment bien réalisé ! Une série qui s'annonce très prometeuse !