Fan de série noire, ce personnage m'est presque familier.
Par moment les dialogues sont dignes d'Audiard, de Mallet ou même de Pouy. Par contre, les scénarios sont de qualité variable : du très bon au moyen.
Après lecture du 5 et 6ème tome, je suis obligé d'admettre que la qualité des scenarios est de plus en plus moyenne... ce qui m'amène à baisser ma note de 4.5/5 à 3.5/5... et me conduit également à vous conseiller d'acheter les 4 premiers tomes uniquement...
Fan du dessin et des couleurs de Lax depuis "Azrayen", je vous recommande vivement, tout de même, de plonger dans l'univers du Choucas.
Contrairement à mon prédécesseur, j'ai vraiment accroché avec le dessin et les couleurs de Lax.
Quant au scénario, il m'a totalement séduit. C'est une "façon plutôt intelligente / élégante" de parler de la guerre d'Algérie (considérée comme guerre civile par l'armée française) - après tout cela reste et doit rester une BD.
Je ne trouve pas que cette BD soit spécialement partiale (voir avis plus bas) : pour l'avoir fait lire à un ancien appelé français en Algérie, je me permets de vous rapporter qu'il a apprécié la justesse des propos et validé quelques anecdotes de l'Oued rapportées par le père de Giroud.
Fan de série noire (je me répète là...), l'œuvre de Léo Mallet est incontournable dans le genre.
Les adaptations en BD sont magnifiques, les enquêtes sont bien rendues, le décor devient un personnage central (Paris et Tardi...), bref que du bon.
Le dessin de Tardi est magnifique et il démontre encore ici qu'il est un grand adaptateur et illustrateur de roman (recherchez ses illustrations des ouvrages de Céline : "Mort à Crédit" ou "Le Voyage au bout de la nuit" - Gallimard édition Futuropolis).
Un anti-héros russe vraiment attachant. On ne peut éprouver que de la sympathie pour ce poltron ambitieux et vénal, opportuniste et sans scrupule, qui se relève de n'importe quel échec et de toutes les humiliations.
Une période de l'histoire qui a bouleversé plus d'une destinée... et qui crédibilise totalement cette saga.
Des planches magnifiques de Rabaté au service de l'émotion (je me demande si je ne vais pas en faire encadrer ?). Et accessoirement, une édition luxueuse de Vents d'Ouest, avec un coffret offert pour le 4ème volume...
Première rencontre avec Bilal :
- les dessins sont magnifiques et me semblent tout à fait convenir à l'histoire de cette "partie d'échec" entre hommes d'influence
- les personnages, qui semblent en pierre, traduisent parfaitement la fin du régime soviétique et sa puissance déchue (comme l'ensemble des icônes de pierre représentant Staline et Lénine qui partent progressivement au rebut - cf. Le regard d'Ulysse de Théo Angelopoulos).
J'avoue que j'ai un peu de mal à considérer la foule actuelle de productions axées sur la fantasy autrement que comme un effet de mode, avec énormément de déchets et seulement deux ou trois perles... tendance amorcée par les Editions Soleil, me rétorquera-t-on...
Pour ma part, alléché par les excellents avis quasi-dithyrambiques trouvés ici et ailleurs, je me suis laissé tenter, et je dois dire que l'essai vaut le coup.
Eh bien pour une fois, je dois dire bravo aux editions Soleil pour avoir repris "Shaman", et permis aux frères Péru de terminer leur trilogie. Et quelle conclusion !
En effet l'affrontement final entre Skeld et Simuel est dantesque, mais il aurait pu l'être encore plus. En cela la fin manque d'un peu de pêche à mon sens. Peut-être est-elle un peu précipitée... Disons qu'un gros tome 3 ou un tome 4 un peu allongé n'auraient pas été une hérésie... Mais on ne peut pas parler de bâclage, tant le plaisir des frères Péru pour réaliser (et surtout terminer !) cette série est évident.
Le plaisir se lit dans l'univers développé, très cohérent, très maîtrisé, mais aussi dans le dessin, qui est somptueux la plupart du temps, très bon dans le reste des cases. Le traitement des couleurs, plutôt sombre dans le tome 2, est plus clair, plus dilué dans ce tome conclusif, et l'on ne s'en plaindra pas.
"Shaman" est probablement l'une des meilleurs séries de fantasy des années 2000, mais à cause de la confidentialité de Nucléa² et de l'afflux du genre chez Soleil, elle passe inaperçue, et c'est bien dommage...
Cet album est une pure merveille...
Le ton est direct, très franc, réaliste, mais emprunt d'une immense poésie... Les auteurs ont l'art de sublimer le quotidien pour en dégager la tendresse... C'est une histoire qui donne envie de profiter de tout son coeur de l'instant présent.
On peut objecter que le prix est assez élevé en regard du faible volume de l'ouvrage, et de la vitesse à laquelle on le finit... Mais, pour dix minutes d'une telle beauté, 8 euros, ce n'est vraiment pas cher payé.
"Dragon Ball" pour moi, est un manga qui malgré ses airs de combat à tout bout de champ, permet d’apprendre des bons préceptes de la vie. J’entends par là que l’on rencontre un cas décrit par Brassens qui dit « qu’au lieu de mettre en joue quelque vague ennemi, il vaut mieux attendre un peu qu’on le change en ami ». Cela se traduit dans Dragon Ball par le fait de savoir pardonner, mais aussi par le fait de tenter toujours la discussion avant de se battre réellement.
"Dragon Ball" véhicule des idées morales que personnellement je considère bonnes, en se servant d’un moyen de communication qui peut toucher les plus jeunes. Car si on regarde bien l’œuvre d’Akira Toriyama on se rendra compte que dans ces manga ("Dr Slump", "Dragon Ball",…) il essaye toujours de faire comprendre au monde que l’on peut vivre tous ensemble quelles que soit les différences qui nous séparent à première vue.
En plus, chose qui ne gâche rien, "Dragon Ball" est drôle. Surtout dans les 12 premiers tomes quand les héros sont jeunes.
Après on entre surtout dans une phase de combat ou personnellement je me rends compte que l’humour à été délaissé mais pas abandonné.
Heureusement l’humour revient en force avec les enfants des héros vers le tome 36 (la période de bou).
Même si comme je le dis l’humour est délaissé, toute apparition de Krilin (personnage attachant par son envie d’aider malgré son écart de force en général) entraîne toujours le rire.
Et puis pour les gens qui aiment (comme moi) tout ce qui est arts martiaux, "Dragon Ball" est tout ce qu’il y a de plus conseillé pour eux. Un petit tome de "Dragon Ball" chaque soir et c’est une bonne soirée en perspective. C’est le docteur yobenny qui vous le dit.
En plus, ajoutez à tout cela le fait que ça se passe dans un univers loufoque et futuriste. Mélangez le tout, ajoutez une pointe de dessinateur de génie, et vous obtiendrez un manga qui pour moi est tout simplement CULTE.
J'ai été attiré par cette BD, car elle se passe dans une époque et dans un lieu qui m'ont toujours attirés (la chine du 17ème siècle avec ses mystères, les codes d'honneur et tout le reste).
Et je n'ai pas été déçu : l'histoire est bien menée, intéressante et le scénario est bien découpé : sur fond d'histoire principale, on dévie vers trois histoires retraçant le passé des héros (qui ne le sont pas encore tous des héros, d'ailleurs) avant la finale qui les fait se retrouver suite à leurs aventures du passé (vous suivez toujours ?).
En résumé : Une histoire avec trois sous-histoires...
Bien sûr, ceci étant, on n'obtient jamais qu'une BD d'introduction à la série. Mais cette intro est bien ficelée, présente du suspense et permet de s'attacher aux persos ==> pas de problème.
Seuls petits bémols : les noms sont durs (impossibles) à retenir (mais bon, vu l'époque et le lieu, c'est normal), et il manque peut-être un cadre historique en tant qu'introduction : qui connaît la situation politique de la Chine au 17ème siècle? Il aurait peut-être fallu un supplément expliquant ce cadre, afin de ne pas plonger les lecteurs dans un environnement complexe sans bouée...
Bon, vivement le tome 2 maintenant...
Une BD différente, dans un univers à part... Pas encore culte parce que c'est le premier tome, mais destiné à le devenir !
Les personnages existent, l'histoire est envoûtante. Le dessin est différent lui aussi, mais sert parfaitement le scénario.
Bravo !
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Le Choucas
Fan de série noire, ce personnage m'est presque familier. Par moment les dialogues sont dignes d'Audiard, de Mallet ou même de Pouy. Par contre, les scénarios sont de qualité variable : du très bon au moyen. Après lecture du 5 et 6ème tome, je suis obligé d'admettre que la qualité des scenarios est de plus en plus moyenne... ce qui m'amène à baisser ma note de 4.5/5 à 3.5/5... et me conduit également à vous conseiller d'acheter les 4 premiers tomes uniquement... Fan du dessin et des couleurs de Lax depuis "Azrayen", je vous recommande vivement, tout de même, de plonger dans l'univers du Choucas.
Azrayen'
Contrairement à mon prédécesseur, j'ai vraiment accroché avec le dessin et les couleurs de Lax. Quant au scénario, il m'a totalement séduit. C'est une "façon plutôt intelligente / élégante" de parler de la guerre d'Algérie (considérée comme guerre civile par l'armée française) - après tout cela reste et doit rester une BD. Je ne trouve pas que cette BD soit spécialement partiale (voir avis plus bas) : pour l'avoir fait lire à un ancien appelé français en Algérie, je me permets de vous rapporter qu'il a apprécié la justesse des propos et validé quelques anecdotes de l'Oued rapportées par le père de Giroud.
Nestor Burma
Fan de série noire (je me répète là...), l'œuvre de Léo Mallet est incontournable dans le genre. Les adaptations en BD sont magnifiques, les enquêtes sont bien rendues, le décor devient un personnage central (Paris et Tardi...), bref que du bon. Le dessin de Tardi est magnifique et il démontre encore ici qu'il est un grand adaptateur et illustrateur de roman (recherchez ses illustrations des ouvrages de Céline : "Mort à Crédit" ou "Le Voyage au bout de la nuit" - Gallimard édition Futuropolis).
Ibicus
Un anti-héros russe vraiment attachant. On ne peut éprouver que de la sympathie pour ce poltron ambitieux et vénal, opportuniste et sans scrupule, qui se relève de n'importe quel échec et de toutes les humiliations. Une période de l'histoire qui a bouleversé plus d'une destinée... et qui crédibilise totalement cette saga. Des planches magnifiques de Rabaté au service de l'émotion (je me demande si je ne vais pas en faire encadrer ?). Et accessoirement, une édition luxueuse de Vents d'Ouest, avec un coffret offert pour le 4ème volume...
Partie de chasse
Première rencontre avec Bilal : - les dessins sont magnifiques et me semblent tout à fait convenir à l'histoire de cette "partie d'échec" entre hommes d'influence - les personnages, qui semblent en pierre, traduisent parfaitement la fin du régime soviétique et sa puissance déchue (comme l'ensemble des icônes de pierre représentant Staline et Lénine qui partent progressivement au rebut - cf. Le regard d'Ulysse de Théo Angelopoulos).
Shaman
J'avoue que j'ai un peu de mal à considérer la foule actuelle de productions axées sur la fantasy autrement que comme un effet de mode, avec énormément de déchets et seulement deux ou trois perles... tendance amorcée par les Editions Soleil, me rétorquera-t-on... Pour ma part, alléché par les excellents avis quasi-dithyrambiques trouvés ici et ailleurs, je me suis laissé tenter, et je dois dire que l'essai vaut le coup. Eh bien pour une fois, je dois dire bravo aux editions Soleil pour avoir repris "Shaman", et permis aux frères Péru de terminer leur trilogie. Et quelle conclusion ! En effet l'affrontement final entre Skeld et Simuel est dantesque, mais il aurait pu l'être encore plus. En cela la fin manque d'un peu de pêche à mon sens. Peut-être est-elle un peu précipitée... Disons qu'un gros tome 3 ou un tome 4 un peu allongé n'auraient pas été une hérésie... Mais on ne peut pas parler de bâclage, tant le plaisir des frères Péru pour réaliser (et surtout terminer !) cette série est évident. Le plaisir se lit dans l'univers développé, très cohérent, très maîtrisé, mais aussi dans le dessin, qui est somptueux la plupart du temps, très bon dans le reste des cases. Le traitement des couleurs, plutôt sombre dans le tome 2, est plus clair, plus dilué dans ce tome conclusif, et l'on ne s'en plaindra pas. "Shaman" est probablement l'une des meilleurs séries de fantasy des années 2000, mais à cause de la confidentialité de Nucléa² et de l'afflux du genre chez Soleil, elle passe inaperçue, et c'est bien dommage...
K une jolie comète
Cet album est une pure merveille... Le ton est direct, très franc, réaliste, mais emprunt d'une immense poésie... Les auteurs ont l'art de sublimer le quotidien pour en dégager la tendresse... C'est une histoire qui donne envie de profiter de tout son coeur de l'instant présent. On peut objecter que le prix est assez élevé en regard du faible volume de l'ouvrage, et de la vitesse à laquelle on le finit... Mais, pour dix minutes d'une telle beauté, 8 euros, ce n'est vraiment pas cher payé.
Dragon Ball
"Dragon Ball" pour moi, est un manga qui malgré ses airs de combat à tout bout de champ, permet d’apprendre des bons préceptes de la vie. J’entends par là que l’on rencontre un cas décrit par Brassens qui dit « qu’au lieu de mettre en joue quelque vague ennemi, il vaut mieux attendre un peu qu’on le change en ami ». Cela se traduit dans Dragon Ball par le fait de savoir pardonner, mais aussi par le fait de tenter toujours la discussion avant de se battre réellement. "Dragon Ball" véhicule des idées morales que personnellement je considère bonnes, en se servant d’un moyen de communication qui peut toucher les plus jeunes. Car si on regarde bien l’œuvre d’Akira Toriyama on se rendra compte que dans ces manga ("Dr Slump", "Dragon Ball",…) il essaye toujours de faire comprendre au monde que l’on peut vivre tous ensemble quelles que soit les différences qui nous séparent à première vue. En plus, chose qui ne gâche rien, "Dragon Ball" est drôle. Surtout dans les 12 premiers tomes quand les héros sont jeunes. Après on entre surtout dans une phase de combat ou personnellement je me rends compte que l’humour à été délaissé mais pas abandonné. Heureusement l’humour revient en force avec les enfants des héros vers le tome 36 (la période de bou). Même si comme je le dis l’humour est délaissé, toute apparition de Krilin (personnage attachant par son envie d’aider malgré son écart de force en général) entraîne toujours le rire. Et puis pour les gens qui aiment (comme moi) tout ce qui est arts martiaux, "Dragon Ball" est tout ce qu’il y a de plus conseillé pour eux. Un petit tome de "Dragon Ball" chaque soir et c’est une bonne soirée en perspective. C’est le docteur yobenny qui vous le dit. En plus, ajoutez à tout cela le fait que ça se passe dans un univers loufoque et futuriste. Mélangez le tout, ajoutez une pointe de dessinateur de génie, et vous obtiendrez un manga qui pour moi est tout simplement CULTE.
Triade
J'ai été attiré par cette BD, car elle se passe dans une époque et dans un lieu qui m'ont toujours attirés (la chine du 17ème siècle avec ses mystères, les codes d'honneur et tout le reste). Et je n'ai pas été déçu : l'histoire est bien menée, intéressante et le scénario est bien découpé : sur fond d'histoire principale, on dévie vers trois histoires retraçant le passé des héros (qui ne le sont pas encore tous des héros, d'ailleurs) avant la finale qui les fait se retrouver suite à leurs aventures du passé (vous suivez toujours ?). En résumé : Une histoire avec trois sous-histoires... Bien sûr, ceci étant, on n'obtient jamais qu'une BD d'introduction à la série. Mais cette intro est bien ficelée, présente du suspense et permet de s'attacher aux persos ==> pas de problème. Seuls petits bémols : les noms sont durs (impossibles) à retenir (mais bon, vu l'époque et le lieu, c'est normal), et il manque peut-être un cadre historique en tant qu'introduction : qui connaît la situation politique de la Chine au 17ème siècle? Il aurait peut-être fallu un supplément expliquant ce cadre, afin de ne pas plonger les lecteurs dans un environnement complexe sans bouée... Bon, vivement le tome 2 maintenant...
Janus
Une BD différente, dans un univers à part... Pas encore culte parce que c'est le premier tome, mais destiné à le devenir ! Les personnages existent, l'histoire est envoûtante. Le dessin est différent lui aussi, mais sert parfaitement le scénario. Bravo !