Je conseille fortement l'achat de cette BD.
Encore une fois Fred Brr a su s'entourer ! Donald : issu de la même école que Barbucci et Canepa (c'est pas n'importe qui quand même !)
Je me suis vraiment amusé à lire cette histoire loufoque, j'ai passé du bon temps à lire l'aventure d'Aliénor qui n'a pas grand chose d'une souveraine......
Le dessin est tout simplement exquis : très coloré, très cartoon.
Vivement la suite!
Voyant le peu d'enthousiasme suscité par cette BD, je me sens obliger de prendre la plume, avant que le pauvre Baudoin ne décide d'aller vendre des sucettes...
Mettons les points sur les i : tout le monde ne peut pas aimer un album au scénario inexistant et au dessin il est vrai quelque peu particulier (de premier abord).
Baudoin ne fait ici que mettre en scène les relations complexes entre un artiste et son modèle, les liens qui se tissent.
En résulte un album graphiquement magnifique, d'où se dégage une poésie mêlant philosophie et amour, entre un peintre fasciné et son modèle à la fois farouche et innocent.
Et croyez-moi c'est assez rare de nos jours pour être souligné.
Il est assez drôle de lire certaines critiques concernant les albums de Breccia.
Toutes reconnaissent en cet auteur un des monstres de la bande dessinée, ainsi qu' un talent graphique peut-être jamais égalé.
D'où certains commentaires blasés concernant Breccia : pourquoi s'attacher à lire des albums frôlant la perfection, où il n'y a pas grand chose à redire (en fait rien), quand il est si jouissif de mettre le doigt sur la pauvreté et les lacunes d'une grandes partie des BD actuelles...
Que voulez-vous,le "génie", ça lasse...
Ainsi va "Perramus", génial, fabuleux, grave. A la fois témoignage et réquisitoire, portrait d'une Argentine riche en couleurs (pour un travail en noir et blanc...) refusant d'abdiquer. C'est bien LE chef d'oeuvre de ma BDthèque.
Je plains les pauvres auteurs actuels. Avec un tel héritage, je réfléchirais à deux fois avant de me lancer dans la realisation d'albums.
Un constat S'IMPOSE :
Mieux vaut oublier Breccia, et ce dans l'intérêt général (malheureusement je n'y arrive pas...).
Cette bd vaut 4/5, mais pas en tant que bd. Je m'explique : l'humour est hilarant, mais très peu souvent visuel, et la plupart des gags sont simplement des blagues racontées en 3 cases par le chat. Dans tous les cas ça fait mouche chez moi et je ne demande pas mieux.
Alors oui le dessin est dégueu, oui le prix est monstrueux (c'est d'ailleurs pour ça que je ne conseille pas l'achat, mieux vaut lire les albums en les empruntant ou en se les faisant offrir ^^), mais le plaisir est au rendez-vous et Gelluck fait très fort...
Moi ce que j'aime en BD, c'est quand on m'en donne pour mon argent. J'ettends par là que je ne suis pas pris pour un imbecile à qui on raconte une histoire vue cent fois (avec par exemple des filles en petites tenues et grandes épées). Alors ici, du coup, j'ai craqué !
Les dessins sont hilarants. Le stype de ce Laigle annonce un grand dessinateur (caricaturiste, de multiple influence de la BD franco-belge mais avec un truc perso, bien à lui). Les couleurs sont elles aussi très personnelles, on aime ou pas mais moi encore une fois je craque. Bref tout ça renforce l'ambiance qui transpire déjà dans le scénario. L'histoire est forte, très bien ammenée et j'ai impatience de lire la suite. D'ailleurs, si cette suite est aussi bonne, alors c'est sur ça deviendra une de mes série culte !
Tome 1 : 3/5
"Les contes de la désolation" portent mal leur titre. D'accord le style graphique est loin d'un "Gargouilles" et les couleurs ne sont pas flashy comme celles d'un ordinateur Soleil :) Mais bon, pas de quoi déprimer non plus…
Je ne reviendrai pas sur le dessin si particulier de Vanoli, on aime ou on n'aime pas, ça ne se commande pas. Je continue de découvrir ce trait et je suis de plus en plus emballé : tourmenté, expressionniste à outrance, j'adore.
Deux histoires composent ce premier tome, et autant la deuxième m'a laissé un peu sur ma faim au niveau du sujet et de l'ambiance, autant l'atmosphère et le thème de la première m'ont véritablement passionné.
Sur le thème des villes bâties à flanc de colline, Vanoli explore le cheminement des passages physiques et spirituels en mélangeant réalité et rêve. Comme sur la butte Montmartre ou sur la colline de la Croix Rousse à Lyon (où Vanoli a bossé 1 an) l'atmosphère "artistique" est présente au détour d'une ruelle pavée ou d'un porche plongé dans l'obscurité. Les cafés et autres bars de quartier sont plus vrais que nature, et encore une fois Vanoli parvient à doser parfaitement les ingrédients d'une BD qui nous renvoie notre propre image derrière le prisme de son imaginaire.
A acheter pour les fans (collection Mimolette à 6€ ce n'est pas la ruine), à lire pour les curieux !
tome 2: 4/5
Revoilà Vanoli pour notre plus grand plaisir dans le deuxième tome de ses "Contes de la désolation" qui font la part belle aux ambiances et au rêve.
Deux histoires composent ce T2, deux histoires d'amour mais on sait bien qu'avec Vanoli, tout n'est jamais aussi simple que ça… Derrière l'amour il y a dans ces histoires un peu de douleur, des souvenirs, la fracture du temps passé et le retour, surtout, il y a cette notion de retour. Retour à la ville et retrouvailles avec un amour perdu dans la première histoire, retour à la campagne et retrouvailles avec la terre où jadis, un amour s'est éteint avec la vie de l'être aimé.
Vanoli explore ces tourments de l'âme et du cœur avec une tendresse toute particulière, très intimiste. La première histoire est mâtinée d'une dimension fantastique qui fait la part belle aux émotions, avec un dessin splendide, jouant avec brio sur les ombres, les clairs de jour et les obscurités. La deuxième histoire est plus proche d'un récit de voyage à la fois sombre et léger, où le romantisme flotte partout, depuis les souvenirs du narrateur liés à cette terre jusqu'à la terre elle même, vallonnée et fleurie de l'Italie.
Edgar Allan Poe, Maupassant, De Musset, et Stendhal : voilà les noms des grands hommes de lettres auxquels m'a fait penser cette lecture de Vanoli… Une vraie belle grande BD.
Bon, c'est vrai, c'est pas évident a lire. Mais c'est fini le temps où on vous lisait les histoires... Faut faire un effort pour apprécier les belles choses. Un album sans concessions, ça fait pas du bien?
Quand on voit toutes ces bd qui se ressemblent, qui se copient les unes sur les autres, toutes formatées... et qu'on voit le psychopompe... ouf !
Y a de l'espoir.
Merci delmas. Merci delcourt.
Que ça plaise ou pas, c'est un superbe travail.
Les dessins sont superbes, les couleurs aussi. Mais ce qui m'a le plus impressionné c'est le réalisme des personnages, chaque animal choisi correspond parfaitement au caractère du personnage qu'il représente. Par exemple pour le tome 1 l'éléphant de mer (gueulant) pour le producteur de cinéma ; un lézard pour un tueur perfide et silencieux...
La qualité des histoires n'est pas en reste, toutes les qualités d'un excellent polar sont réunies, énigme, disparition, bagarre...
Bref pour moi c'est une des meilleures BD de ma collection et je conseille vivement de la lire !
Sur le conseil d'un ami je me suis décidé à acheter cette BD malgré la mauvaise impression que me donnait la couverture.
Mais même si le dessin n'est pas très bon, à première vue, on s’habitue et on plonge dans une histoire rondement menée.
Plusieurs choses m'ont beaucoup plu (tellement que je ne sais pas si je pourrais toutes les citer).
La façon de revenir sur les événements anciens à travers le récit du héros est bien trouvée, l'évolution de ce dernier, du pauvre gosse auquel un formidable pouvoir apparaît au personnage réfléchi et déterminé de la fin. La représentation du rythme cardiaque qui s’accélère, signe de l'utilisation du pouvoir, est sympa.
La fin est très originale et laisse augurer d'une suite que j'attends avec impatience (je ne suis pas le seul) !
Un conseil : à lire !!!
P.S : le dessin n'est pas si mal, et on appréciera les nombreux détails et les couleurs.
Naoki Urasawa est sans conteste mon auteur de manga préféré. C’est grâce à ce site que je l’ai découvert. Après avoir été émerveillé par la série «Monster», dont j’attends la suite avec impatience, j’ai acheté les deux premiers tomes de la série «20th Century Boys».
Mes attentes étaient grandes. Heureusement, « The Patrick » nous prévient que le premier tome a un rythme plutôt lent. J’ai effectivement trouvé ça très lent, mais je suis resté calme et concentré, faisant confiance au fait que ce premier tome mettait les bases pour un récit enlevant. Je n’ai pas été déçu, le deuxième tome est génial.
Urasawa rend fascinant et captivant tous les personnages qu’il met en scène. C’est dû autant à son talent de dessinateur, qu’à son talent de scénariste. À chaque nouveau tome, il a le don d’ajouter de nouveaux personnages très forts, qui parfois ne font que passer, mais qui s’intègrent toujours parfaitement à l’histoire.
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Aliénor
Je conseille fortement l'achat de cette BD. Encore une fois Fred Brr a su s'entourer ! Donald : issu de la même école que Barbucci et Canepa (c'est pas n'importe qui quand même !) Je me suis vraiment amusé à lire cette histoire loufoque, j'ai passé du bon temps à lire l'aventure d'Aliénor qui n'a pas grand chose d'une souveraine...... Le dessin est tout simplement exquis : très coloré, très cartoon. Vivement la suite!
Les yeux dans le mur
Voyant le peu d'enthousiasme suscité par cette BD, je me sens obliger de prendre la plume, avant que le pauvre Baudoin ne décide d'aller vendre des sucettes... Mettons les points sur les i : tout le monde ne peut pas aimer un album au scénario inexistant et au dessin il est vrai quelque peu particulier (de premier abord). Baudoin ne fait ici que mettre en scène les relations complexes entre un artiste et son modèle, les liens qui se tissent. En résulte un album graphiquement magnifique, d'où se dégage une poésie mêlant philosophie et amour, entre un peintre fasciné et son modèle à la fois farouche et innocent. Et croyez-moi c'est assez rare de nos jours pour être souligné.
Perramus
Il est assez drôle de lire certaines critiques concernant les albums de Breccia. Toutes reconnaissent en cet auteur un des monstres de la bande dessinée, ainsi qu' un talent graphique peut-être jamais égalé. D'où certains commentaires blasés concernant Breccia : pourquoi s'attacher à lire des albums frôlant la perfection, où il n'y a pas grand chose à redire (en fait rien), quand il est si jouissif de mettre le doigt sur la pauvreté et les lacunes d'une grandes partie des BD actuelles... Que voulez-vous,le "génie", ça lasse... Ainsi va "Perramus", génial, fabuleux, grave. A la fois témoignage et réquisitoire, portrait d'une Argentine riche en couleurs (pour un travail en noir et blanc...) refusant d'abdiquer. C'est bien LE chef d'oeuvre de ma BDthèque. Je plains les pauvres auteurs actuels. Avec un tel héritage, je réfléchirais à deux fois avant de me lancer dans la realisation d'albums. Un constat S'IMPOSE : Mieux vaut oublier Breccia, et ce dans l'intérêt général (malheureusement je n'y arrive pas...).
Le Chat
Cette bd vaut 4/5, mais pas en tant que bd. Je m'explique : l'humour est hilarant, mais très peu souvent visuel, et la plupart des gags sont simplement des blagues racontées en 3 cases par le chat. Dans tous les cas ça fait mouche chez moi et je ne demande pas mieux. Alors oui le dessin est dégueu, oui le prix est monstrueux (c'est d'ailleurs pour ça que je ne conseille pas l'achat, mieux vaut lire les albums en les empruntant ou en se les faisant offrir ^^), mais le plaisir est au rendez-vous et Gelluck fait très fort...
Slender Fungus
Moi ce que j'aime en BD, c'est quand on m'en donne pour mon argent. J'ettends par là que je ne suis pas pris pour un imbecile à qui on raconte une histoire vue cent fois (avec par exemple des filles en petites tenues et grandes épées). Alors ici, du coup, j'ai craqué ! Les dessins sont hilarants. Le stype de ce Laigle annonce un grand dessinateur (caricaturiste, de multiple influence de la BD franco-belge mais avec un truc perso, bien à lui). Les couleurs sont elles aussi très personnelles, on aime ou pas mais moi encore une fois je craque. Bref tout ça renforce l'ambiance qui transpire déjà dans le scénario. L'histoire est forte, très bien ammenée et j'ai impatience de lire la suite. D'ailleurs, si cette suite est aussi bonne, alors c'est sur ça deviendra une de mes série culte !
Contes de la désolation
Tome 1 : 3/5 "Les contes de la désolation" portent mal leur titre. D'accord le style graphique est loin d'un "Gargouilles" et les couleurs ne sont pas flashy comme celles d'un ordinateur Soleil :) Mais bon, pas de quoi déprimer non plus… Je ne reviendrai pas sur le dessin si particulier de Vanoli, on aime ou on n'aime pas, ça ne se commande pas. Je continue de découvrir ce trait et je suis de plus en plus emballé : tourmenté, expressionniste à outrance, j'adore. Deux histoires composent ce premier tome, et autant la deuxième m'a laissé un peu sur ma faim au niveau du sujet et de l'ambiance, autant l'atmosphère et le thème de la première m'ont véritablement passionné. Sur le thème des villes bâties à flanc de colline, Vanoli explore le cheminement des passages physiques et spirituels en mélangeant réalité et rêve. Comme sur la butte Montmartre ou sur la colline de la Croix Rousse à Lyon (où Vanoli a bossé 1 an) l'atmosphère "artistique" est présente au détour d'une ruelle pavée ou d'un porche plongé dans l'obscurité. Les cafés et autres bars de quartier sont plus vrais que nature, et encore une fois Vanoli parvient à doser parfaitement les ingrédients d'une BD qui nous renvoie notre propre image derrière le prisme de son imaginaire. A acheter pour les fans (collection Mimolette à 6€ ce n'est pas la ruine), à lire pour les curieux ! tome 2: 4/5 Revoilà Vanoli pour notre plus grand plaisir dans le deuxième tome de ses "Contes de la désolation" qui font la part belle aux ambiances et au rêve. Deux histoires composent ce T2, deux histoires d'amour mais on sait bien qu'avec Vanoli, tout n'est jamais aussi simple que ça… Derrière l'amour il y a dans ces histoires un peu de douleur, des souvenirs, la fracture du temps passé et le retour, surtout, il y a cette notion de retour. Retour à la ville et retrouvailles avec un amour perdu dans la première histoire, retour à la campagne et retrouvailles avec la terre où jadis, un amour s'est éteint avec la vie de l'être aimé. Vanoli explore ces tourments de l'âme et du cœur avec une tendresse toute particulière, très intimiste. La première histoire est mâtinée d'une dimension fantastique qui fait la part belle aux émotions, avec un dessin splendide, jouant avec brio sur les ombres, les clairs de jour et les obscurités. La deuxième histoire est plus proche d'un récit de voyage à la fois sombre et léger, où le romantisme flotte partout, depuis les souvenirs du narrateur liés à cette terre jusqu'à la terre elle même, vallonnée et fleurie de l'Italie. Edgar Allan Poe, Maupassant, De Musset, et Stendhal : voilà les noms des grands hommes de lettres auxquels m'a fait penser cette lecture de Vanoli… Une vraie belle grande BD.
Le Psychopompe
Bon, c'est vrai, c'est pas évident a lire. Mais c'est fini le temps où on vous lisait les histoires... Faut faire un effort pour apprécier les belles choses. Un album sans concessions, ça fait pas du bien? Quand on voit toutes ces bd qui se ressemblent, qui se copient les unes sur les autres, toutes formatées... et qu'on voit le psychopompe... ouf ! Y a de l'espoir. Merci delmas. Merci delcourt. Que ça plaise ou pas, c'est un superbe travail.
Blacksad
Les dessins sont superbes, les couleurs aussi. Mais ce qui m'a le plus impressionné c'est le réalisme des personnages, chaque animal choisi correspond parfaitement au caractère du personnage qu'il représente. Par exemple pour le tome 1 l'éléphant de mer (gueulant) pour le producteur de cinéma ; un lézard pour un tueur perfide et silencieux... La qualité des histoires n'est pas en reste, toutes les qualités d'un excellent polar sont réunies, énigme, disparition, bagarre... Bref pour moi c'est une des meilleures BD de ma collection et je conseille vivement de la lire !
Phenomenum
Sur le conseil d'un ami je me suis décidé à acheter cette BD malgré la mauvaise impression que me donnait la couverture. Mais même si le dessin n'est pas très bon, à première vue, on s’habitue et on plonge dans une histoire rondement menée. Plusieurs choses m'ont beaucoup plu (tellement que je ne sais pas si je pourrais toutes les citer). La façon de revenir sur les événements anciens à travers le récit du héros est bien trouvée, l'évolution de ce dernier, du pauvre gosse auquel un formidable pouvoir apparaît au personnage réfléchi et déterminé de la fin. La représentation du rythme cardiaque qui s’accélère, signe de l'utilisation du pouvoir, est sympa. La fin est très originale et laisse augurer d'une suite que j'attends avec impatience (je ne suis pas le seul) ! Un conseil : à lire !!! P.S : le dessin n'est pas si mal, et on appréciera les nombreux détails et les couleurs.
20th Century Boys
Naoki Urasawa est sans conteste mon auteur de manga préféré. C’est grâce à ce site que je l’ai découvert. Après avoir été émerveillé par la série «Monster», dont j’attends la suite avec impatience, j’ai acheté les deux premiers tomes de la série «20th Century Boys». Mes attentes étaient grandes. Heureusement, « The Patrick » nous prévient que le premier tome a un rythme plutôt lent. J’ai effectivement trouvé ça très lent, mais je suis resté calme et concentré, faisant confiance au fait que ce premier tome mettait les bases pour un récit enlevant. Je n’ai pas été déçu, le deuxième tome est génial. Urasawa rend fascinant et captivant tous les personnages qu’il met en scène. C’est dû autant à son talent de dessinateur, qu’à son talent de scénariste. À chaque nouveau tome, il a le don d’ajouter de nouveaux personnages très forts, qui parfois ne font que passer, mais qui s’intègrent toujours parfaitement à l’histoire.