Coq de combat vous avait choqué ? Alors "Imbéciles heureux" vous choquera. Cette succession de petites histoires (entre 30 et 60 pages chacune) se révèle en effet du pur vitriol ! Le regard porté par l'auteur sur la société japonaise et sur l'homme en général est d'un cynisme extrême. Il dissèque nos petits travers et les exacerbe dans des histoires dont le ton n'est pas sans rappeler parfois les contes de la crypte.
Il faut dire que le ton en question varie, entre un thriller quasi-horrifique pour "Le droit chemin" jusqu'à du fantastique gore et absurde pour "Rue du parc", en passant par de l'humour tout de même un peu glauque pour "Plus fort que moi". L'auteur semble se renouveler sans cesse, et propose des nouvelles très variées qui surprennent sans cesse.
Côté dessin, le style est un peu particulier, et certainement personnel. Les visages surtout, demandent peut-être un petit temps d'adaptation (?), mais ils participent réellement à donner son ambiance si spéciale à cette série.
Très bonne surprise en tout cas, du coup j'attends la suite avec impatience.
Si le tome 2 est du même tonneau, le tome 3 en revanche m'a un peu déçu. Il comporte en fait trois histoires, dont une très courte, et les deux autres en trois chapitres chacune. La première (J'aime Maman ?) est vraiment bien faite, et traite de deux grands thèmes :
- l'hypocrisie face à ses propres sentiments de violence, qu'on éprouve mais qu'on réprouve aussitôt. L'intériorisation du tabou est bien montrée.
- l'aide qu'on peut recevoir de façon tout à fait inattendue, et qui n'est pas toujours souhaitée, avec différentes conséquences.
La situation montrée par l'auteur est (volontairement, bien sûr) limite, de celles dont il n'est pas facile de se dépêtrer, et est en ce sens très intéressante puisqu'elle suscite beaucoup de questionnement en proposant quelques éléments de réponse mais sans aucunement les imposer.
La seconde par contre (La beauté du sophisme), si elle a une construction voisine de ce que je viens de dire de la première, fonctionne moins bien. Elle traite cette fois-ci de la peine de mort et de la fragilité/solidité des convictions de chacun, toujours dans une situation limite. Seulement elle est longue et aboutit malheureusement à une fin assez convenue, et donne donc une impression mitigée sur l'ensemble du tome, dommage.
Dernier mot sur La vie en rose, la petite histoire du milieu (~30 pages), qui met en scène une larve d'insecte qui se transforme et devient une cigale (?) avant de se faire attraper par un oiseau. L'air de rien, l'interrogation sur le sens de la vie est percutante et pertinente, et ce malgré l'étrangeté que consiste le fait de s'identifer à un insecte. Aucun doute pour moi : que ses nouvelles plaisent ou non, Shaku Eishô a un talent certain pour créer et mettre en scène des situations étranges et limites, qui sous des dehors souvent bouffons reflètent bien des choses de l'âme humaine.
Très bonne série. Et j'espère qu'Akata fera le choix de publier la première série de l'auteur du même genre, Happy people.
Pour une première c’est un bon début, des dessins sont très bon et l’utilisation de technique moderne en ce qui concerne la colorisation (fait par informatique). L’intrigue tient en haleine mais la suite se fait un peu désirer (le tome 3 n’est pas encore sorti) ! Le scénariste n’est pas réellement un débutant vu qu’il a déjà travaillé sur de nombreuses autres BD mais en tant que dessinateur.
Très très bonne série. Il s'agit d'une aventure au début du siècle mêlant enquête policière et magie noire.
J'ai été séduit par la variété des personnages intervenant tout au long du récit ainsi que leurs prises diverses sur le scénario (je m'explique chacun personnage suit la même "quête" mais la façon de l'aborder est différente si bien que ces derniers ne se rencontrent pas forcément)
Comme on le signale dans l'avis précédent, il me semble qu'il y a un changement de ton à la fin du second tome (on a l'impression de lire une série B gore)Cela dit j'ai quand même hâte de connaître la suite.
Enfin coté dessin, j'ai véritablement accroché, le mieux pour se faire un avis est de consulter la galerie mais il est très fourni, j'apprécie les couleurs, en résumé il est à mon goût :-)
Difficile de noter une série forcément inégale car très fouilli. "Donjon monsters" est la porte que les auteurs ont créé vers une liberté désormais totale dans l'univers du donjon. C'est en cela que les tomes les plus intéressants à mon goût, sont ceux qui sortent totalement des époques déjà traitées par les autres Donjon. Non pas que ces derniers soient mauvais (les deux derniers tomes de la trilogie crépuscule sont magnifiques, et Crève-coeur, de l'époque Potron-minet, m'a bien pris aux tripes), mais ils n'apportent pas vraiment d'angle nouveau à l'univers. Là où réside l'intérêt des Monsters, c'est lorsque les évênements se situent dans les époques intermédiaires, quand on est emportés malgré nous dans un récit annexe sans jamais vraiment savoir quelle est la situation du donjon, ni quelle tournure ont pris les évênements. Les tomes "Du ramdam chez les brasseurs" et le récent "Les profondeurs" en sont de bons exemples.
D'ailleurs, étant donné que je poste cet avis à l'occasion de la sortie de ce-dernier tome, je vais m'attarder un peu dessus. Pour moi, c'est peut-être le meilleur de la série. Une intrigue totalement originale à l'ambiance très différente de ce à quoi les auteurs nous ont habitué. Un réalisme surprenant, usant à vrai dire d'une violence qui serait insoutenable si les protagonistes étaient humains (le début du tome est particulièrement difficile)...et surtout une fin en suspens qui laisse augurer de choses encore meilleures tant Trondheim et Sfar semblent de plus en plus se surpasser. Oeuvre culte, cela va sans dire désormais.
Superbe! Voici une BD d'heroic fantaisy qui sort vraiment de l'ordinaire, un univers noir impressionnant avec cette absence de la mort, c'est parfois gore aussi. Enfin Morvan nous sort là encore un véritble chef d'oeuvre comme Sillage ou 7 secondes...
Epoustouflant ! Trop beau !
Cette série subit pas mal de critiques assez dures tant au niveau du graphisme que du scénario. Alors je me demande si on a lu et vu la même BD !
La structure de l'histoire, bien qu'elle soit plutôt simple (mais là encore tout est relatif), est très accrocheuse et bien construite. Pas étonnant de la part de Corbeyran.
Quant aux frères Moreno, Marc et Eric, ce sont de vrais peintres ! Ils ont su trouver un style graphique pouvant retranscrire parfaitement l'environnement années 30 dans un futur cybernétique. Je reste scotché encore sur certaines illustrations.
Culte !
Etant la même personne que celle qui conseille vivement de lire fruits basket, je conseille également Love Hina qui est aussi une super histoire! Je pense que c'est plus pour les adolescents que Fruits basket... mais je préfère quand même Fruits basket! Mais Love Hina, c'est pas pareil! Love Hina c'est plus comique, entraînant et en plus l'histoire est déjà finie(c'est pas pour démolir Fruits basket que je dis ça, mais en l'espace de 1 mois j'ai déjà acheté tout les tome et je dois encore attendre le tome11 qui sort à la mi septembre)! Voila comme c'est un commentaire sur Love Hina et non pas sur Fruits basket je vais parler de Love Hina! Vous trouverez pleins de bonnes aventures avec Keitaro et Naru! Voila j'espère vous avoir convaincu! Bonne lecture!
Je suis triste de voir que peu de gens conseille l'achat mais quand vous aurez commencé à le lire vous ne pourrez plus vous en séparer... Bien sur je dis ça pas pour que le manga se vende mieux mais pour vous!
Je trouve cette petite histoire fantastique!! Les personnages sont très attachants et leurs petites histoires plutôt amusantes! Je conseille vivement à ceux qui ne connaissent pas encore de l'acheter car vous trouverez cette histoire passionnante et aurez envie de vivre les aventures de Tohru Honda! Mes félicitations à Natsuki Takaya!
Comment faire la BD du siècle ?
-Avoir une famille spéciale que l'on va caricaturer.
-Prendre un animal (connu de préférence), et lui ajouter un mauvais caractère
-Ajouter à ce caractère la paresse et la gourmandise
-Exagérer ces traits de caractère
-Lui donner un maître idiot qui se fait repousser de tous et qui n'arrive à rien
-Créer à ce maître une famille de fermiers qui n'ont aucune connaissance du monde moderne...
-Donner au héros un animal à martiriser (un animal connu mais pas de la même espèce !), et quelques souris
-Dans la mesure du possible, lui offrir une fiancée...
-Mélanger le tout
Et vous obtenez Garfield, la meilleure BD jamais inventée !!!
Ahaha j'en ris encore tellement c'est excellent. Maester est un de mes auteurs favoris de l'éditeur Fluide Glacial, et cette série ne fait que le confirmer. C'est vraiment hilarant, bourré de références cinématographiques (Basic instinct, alien, pulp fiction etc. pour le premier tome). Bref vraiment à voir.
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Imbéciles heureux !
Coq de combat vous avait choqué ? Alors "Imbéciles heureux" vous choquera. Cette succession de petites histoires (entre 30 et 60 pages chacune) se révèle en effet du pur vitriol ! Le regard porté par l'auteur sur la société japonaise et sur l'homme en général est d'un cynisme extrême. Il dissèque nos petits travers et les exacerbe dans des histoires dont le ton n'est pas sans rappeler parfois les contes de la crypte. Il faut dire que le ton en question varie, entre un thriller quasi-horrifique pour "Le droit chemin" jusqu'à du fantastique gore et absurde pour "Rue du parc", en passant par de l'humour tout de même un peu glauque pour "Plus fort que moi". L'auteur semble se renouveler sans cesse, et propose des nouvelles très variées qui surprennent sans cesse. Côté dessin, le style est un peu particulier, et certainement personnel. Les visages surtout, demandent peut-être un petit temps d'adaptation (?), mais ils participent réellement à donner son ambiance si spéciale à cette série. Très bonne surprise en tout cas, du coup j'attends la suite avec impatience. Si le tome 2 est du même tonneau, le tome 3 en revanche m'a un peu déçu. Il comporte en fait trois histoires, dont une très courte, et les deux autres en trois chapitres chacune. La première (J'aime Maman ?) est vraiment bien faite, et traite de deux grands thèmes : - l'hypocrisie face à ses propres sentiments de violence, qu'on éprouve mais qu'on réprouve aussitôt. L'intériorisation du tabou est bien montrée. - l'aide qu'on peut recevoir de façon tout à fait inattendue, et qui n'est pas toujours souhaitée, avec différentes conséquences. La situation montrée par l'auteur est (volontairement, bien sûr) limite, de celles dont il n'est pas facile de se dépêtrer, et est en ce sens très intéressante puisqu'elle suscite beaucoup de questionnement en proposant quelques éléments de réponse mais sans aucunement les imposer. La seconde par contre (La beauté du sophisme), si elle a une construction voisine de ce que je viens de dire de la première, fonctionne moins bien. Elle traite cette fois-ci de la peine de mort et de la fragilité/solidité des convictions de chacun, toujours dans une situation limite. Seulement elle est longue et aboutit malheureusement à une fin assez convenue, et donne donc une impression mitigée sur l'ensemble du tome, dommage. Dernier mot sur La vie en rose, la petite histoire du milieu (~30 pages), qui met en scène une larve d'insecte qui se transforme et devient une cigale (?) avant de se faire attraper par un oiseau. L'air de rien, l'interrogation sur le sens de la vie est percutante et pertinente, et ce malgré l'étrangeté que consiste le fait de s'identifer à un insecte. Aucun doute pour moi : que ses nouvelles plaisent ou non, Shaku Eishô a un talent certain pour créer et mettre en scène des situations étranges et limites, qui sous des dehors souvent bouffons reflètent bien des choses de l'âme humaine. Très bonne série. Et j'espère qu'Akata fera le choix de publier la première série de l'auteur du même genre, Happy people.
Witness 4
Pour une première c’est un bon début, des dessins sont très bon et l’utilisation de technique moderne en ce qui concerne la colorisation (fait par informatique). L’intrigue tient en haleine mais la suite se fait un peu désirer (le tome 3 n’est pas encore sorti) ! Le scénariste n’est pas réellement un débutant vu qu’il a déjà travaillé sur de nombreuses autres BD mais en tant que dessinateur.
L'Ombre de l'échafaud
Très très bonne série. Il s'agit d'une aventure au début du siècle mêlant enquête policière et magie noire. J'ai été séduit par la variété des personnages intervenant tout au long du récit ainsi que leurs prises diverses sur le scénario (je m'explique chacun personnage suit la même "quête" mais la façon de l'aborder est différente si bien que ces derniers ne se rencontrent pas forcément) Comme on le signale dans l'avis précédent, il me semble qu'il y a un changement de ton à la fin du second tome (on a l'impression de lire une série B gore)Cela dit j'ai quand même hâte de connaître la suite. Enfin coté dessin, j'ai véritablement accroché, le mieux pour se faire un avis est de consulter la galerie mais il est très fourni, j'apprécie les couleurs, en résumé il est à mon goût :-)
Donjon Monsters
Difficile de noter une série forcément inégale car très fouilli. "Donjon monsters" est la porte que les auteurs ont créé vers une liberté désormais totale dans l'univers du donjon. C'est en cela que les tomes les plus intéressants à mon goût, sont ceux qui sortent totalement des époques déjà traitées par les autres Donjon. Non pas que ces derniers soient mauvais (les deux derniers tomes de la trilogie crépuscule sont magnifiques, et Crève-coeur, de l'époque Potron-minet, m'a bien pris aux tripes), mais ils n'apportent pas vraiment d'angle nouveau à l'univers. Là où réside l'intérêt des Monsters, c'est lorsque les évênements se situent dans les époques intermédiaires, quand on est emportés malgré nous dans un récit annexe sans jamais vraiment savoir quelle est la situation du donjon, ni quelle tournure ont pris les évênements. Les tomes "Du ramdam chez les brasseurs" et le récent "Les profondeurs" en sont de bons exemples. D'ailleurs, étant donné que je poste cet avis à l'occasion de la sortie de ce-dernier tome, je vais m'attarder un peu dessus. Pour moi, c'est peut-être le meilleur de la série. Une intrigue totalement originale à l'ambiance très différente de ce à quoi les auteurs nous ont habitué. Un réalisme surprenant, usant à vrai dire d'une violence qui serait insoutenable si les protagonistes étaient humains (le début du tome est particulièrement difficile)...et surtout une fin en suspens qui laisse augurer de choses encore meilleures tant Trondheim et Sfar semblent de plus en plus se surpasser. Oeuvre culte, cela va sans dire désormais.
Zorn & Dirna
Superbe! Voici une BD d'heroic fantaisy qui sort vraiment de l'ordinaire, un univers noir impressionnant avec cette absence de la mort, c'est parfois gore aussi. Enfin Morvan nous sort là encore un véritble chef d'oeuvre comme Sillage ou 7 secondes...
Le Régulateur
Epoustouflant ! Trop beau ! Cette série subit pas mal de critiques assez dures tant au niveau du graphisme que du scénario. Alors je me demande si on a lu et vu la même BD ! La structure de l'histoire, bien qu'elle soit plutôt simple (mais là encore tout est relatif), est très accrocheuse et bien construite. Pas étonnant de la part de Corbeyran. Quant aux frères Moreno, Marc et Eric, ce sont de vrais peintres ! Ils ont su trouver un style graphique pouvant retranscrire parfaitement l'environnement années 30 dans un futur cybernétique. Je reste scotché encore sur certaines illustrations. Culte !
Love Hina
Etant la même personne que celle qui conseille vivement de lire fruits basket, je conseille également Love Hina qui est aussi une super histoire! Je pense que c'est plus pour les adolescents que Fruits basket... mais je préfère quand même Fruits basket! Mais Love Hina, c'est pas pareil! Love Hina c'est plus comique, entraînant et en plus l'histoire est déjà finie(c'est pas pour démolir Fruits basket que je dis ça, mais en l'espace de 1 mois j'ai déjà acheté tout les tome et je dois encore attendre le tome11 qui sort à la mi septembre)! Voila comme c'est un commentaire sur Love Hina et non pas sur Fruits basket je vais parler de Love Hina! Vous trouverez pleins de bonnes aventures avec Keitaro et Naru! Voila j'espère vous avoir convaincu! Bonne lecture! Je suis triste de voir que peu de gens conseille l'achat mais quand vous aurez commencé à le lire vous ne pourrez plus vous en séparer... Bien sur je dis ça pas pour que le manga se vende mieux mais pour vous!
Fruits Basket
Je trouve cette petite histoire fantastique!! Les personnages sont très attachants et leurs petites histoires plutôt amusantes! Je conseille vivement à ceux qui ne connaissent pas encore de l'acheter car vous trouverez cette histoire passionnante et aurez envie de vivre les aventures de Tohru Honda! Mes félicitations à Natsuki Takaya!
Garfield
Comment faire la BD du siècle ? -Avoir une famille spéciale que l'on va caricaturer. -Prendre un animal (connu de préférence), et lui ajouter un mauvais caractère -Ajouter à ce caractère la paresse et la gourmandise -Exagérer ces traits de caractère -Lui donner un maître idiot qui se fait repousser de tous et qui n'arrive à rien -Créer à ce maître une famille de fermiers qui n'ont aucune connaissance du monde moderne... -Donner au héros un animal à martiriser (un animal connu mais pas de la même espèce !), et quelques souris -Dans la mesure du possible, lui offrir une fiancée... -Mélanger le tout Et vous obtenez Garfield, la meilleure BD jamais inventée !!!
Meurtres Fatals
Ahaha j'en ris encore tellement c'est excellent. Maester est un de mes auteurs favoris de l'éditeur Fluide Glacial, et cette série ne fait que le confirmer. C'est vraiment hilarant, bourré de références cinématographiques (Basic instinct, alien, pulp fiction etc. pour le premier tome). Bref vraiment à voir.