Je ne vais pas redire ce que les autres ont dit à propos de ce chef d'oeuvre. Je pense que toute amateur de BD devrait lire au moins une fois dans sa vie "Maus". Quelle force et quelle profondeur dans le récit !!!
Culte et immanquable.
Intéressant ce microcosme dans un train. Un roman BD post-apocalyptique tout ce qu'il y a de sérieux et bien réalisé. Pas de temps mort, une histoire très prenante... Le noir et blanc renforce l'impression assez manichéenne que l'on a à la lecture de l'histoire. Vraiment très très bon, dans la description des moeurs, et dans la réalisation.
Un classique du genre, qui m'a rappelé un peu La compagnie des glaces.
Sans conteste une des meilleures bd qu’il m’ait été donné de lire !
La qualité des scénarios de Vehlmann surprend. Non pas que je m’attendais à quelque chose de banal, mais j’ai été littéralement captivé par la richesse et l'inventivité de chaque "nouvelle". Pourtant, le cadre de ces récits ne prête guère au réjouissances. Les défis lancés par les lords au Green Manor’s Club sont à la fois cyniques, machiavéliques, astucieux et audacieux. De plus, la narration colle parfaitement à l’idée qu’on peut se faire de la bourgeoisie anglaise de cette fin 19e. On s’amuse à imaginer le fin mot de l’histoire et on est a chaque fois bluffé par le dénouement.
Quant au travail fourni par Bodart, il est conséquent. J’ai rarement vu une telle pléthore de personnages.
"Culte" car tous les récits sont de la même qualité graphique et narrative. Il n’y en a pas un qui souffre de la moindre faiblesse. C’est assez rare que pour être souligné!
J’ai lu une nouvelle du Green Manor dans le mag Spirou, à paraître dans le tome 3. Cela promet ! Dommage que ce tome soit le dernier de la série...
Bon, il est clair que je ne vais rien dire de nouveau mais il est bon d'encourager les auteurs. :)
Cela faisait un moment que je n'avais pas pris une telle claque à la lecture d'un album. Tout d'abord les dessins, superbes, magnifiques... Que dire si ce n'est que si l'on accroche un peu au style, on ne peut que succomber... et dans le cas contraire, devenir un converti !
Quant à l'histoire, elle est très prometteuse, même s'il faut bien dire que cela reste un premier album, donc une mise en place... J'attends la suite avec impatience !
Peut-être que certains trouveront le 5/5 exagéré, mais elle rentre direct dans mon top du top. :)
Le prix est un peu élevé vu le N&B, vu le papier et vu le format, mais bon, quelle BD sympa !
Les persos avec leurs faiblesses, leurs défauts et pour certains leurs zones d'ombres, sont bien vus et formidablement vivants. On se sent seul en refermant le bouquin ! Davodeau a le chic pour évoquer les mimiques, les expressions, certaines scènes sentent le vécu, d'autres sont hilarantes. Cette bande de potes qui s'offrent quelques jours "entre mecs" devrait particulièrement plaire au lectorat masculin néo-trentenaire ou pas loin, assez copieusement représenté sur Bdthèque (cf. forum [Bédéphiles, qui êtes-vous?], mais pas exclusivement.
Alors la, bravo ! Un one shot remarquable mené de main de maître. Une fois passée la première impression de déjà vu des 4 premières planches où l'on craint un mauvais remake de "retour vers le futur", le scenario s'emballe et s'entrecoupe de petites histoires toutes très originales.
Le dessin est classique et soigné.
A se procurer sans délai.
Je dois dire (honte à moi) que je n'ai découvert la "Joe Bar Team" que très récemment grâce à l'édition double album de France Loisirs (très économique d'ailleurs).
Et bien que n'étant pas motard, ces strips-gags m'ont bien fait marrer. Que ce soit dans le volume 1 à l'époque des seventies ou dans le 2 bien plus tard, avec la nouvelle génération d'"easy riders", les références à la mécanique ne m'ont pas semblé trop nombreuses et le côté "je me vautre dans chaque virage", "je bidouille ma bécane" et "je suis un naze de la mécanique" leur donne un caractère comique et loin du super-héros chevauchant son fidèle destrier.
J'en recommande donc l'achat (du moins pour les 2 premiers tomes).
Culte sans hésiter, malgré les derniers tomes, qui se traînent lamentablement (en fait, depuis le disparition de Goscinny).
Vraiment une bd phare, presque fondatrice. C'est le genre de série qui a vraiment fait décoller la bd franco-belge. L'humour y est omniprésent, fin, jamais vulgaire. Les pays visités par nos héros y sont toujours merveilleusement exposés, en evitant soigneusement les lieux communs ou les clichés.
Bon, je m'arrête là, c'est de toute manière une série que j'ai tellement lue, relue, intégrée, que je peux en citer des passages entiers par coeur. Et pourtant je prend encore plaisir à la relire encore et toujours.
J'hésite entre 3 et 4... Allez 4 parce que j'ai vraiment apprécié quand même.
On a là une très jolie couverture (surtout au niveau des couleurs), qui est assez représentative du contenu, à mon avis.
Les dessins sont très mignons, c'est assez agréable. Les couleurs sont pas mal, même si c'est quelquefois trop flashy, trop tape àl'oeil. Mais bon, dans l'ensemble ça reste bon.
L'histoire est assez mystérieuse, on se demande un peu où on va, où l'auteur veut en venir. Ceci dit ça se concrétisera très certainement au tome 2, je n'en doute pas. En tout cas sur la forme, c'est superbe. Les dialogues sont franchement bons, et puis l'amitié naissante assez bien retranscrite, moi ça m'a bien plu.
J'espère donc que la suite continuera dans ce sens, avec peut-être un poil plus de densité dans l'action. :)
Mais en attendant, c'est un bon premier tome, à lire ! :)
10 ans après le deuxième tome, 20 ans après le premier, Andréas clôt enfin l'histoire de Cromwell Stone et de sa clé. Graphiquement, l'ensemble est impressionant; en noir et blanc c'est ce que j'ai vu de plus maîtrisé avec Miller, mais dans des genres absolument opposés. Là où Miller construit ses pages avec des aplats et un noir toujours distinct du blanc, Andréas ne connaît presque que le gris et multiplie les hachures. Certaines cases sont visuellement époustouflantes (les scènes maritimes dans le tome 2, la page de la tour dans le tome 3...).
Comme d'habitude avec Andréas, l'ensemble de la série laisse quand même un peu songeur. La clé (c'est le cas de le dire) pour comprendre la totalité de l'histoire n'est pas donnée par l'auteur et il faut aller la chercher, ce qui fait qu'on reste parfois un peu dubitatif. Mais j'ai trouvé tout de même "Cromwell Stone" moins hermétique que "Rork" et plus accessible. Une oeuvre très originale (sans surprise), à connaître, ne serait-ce que pour la qualité de son dessin.
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Maus
Je ne vais pas redire ce que les autres ont dit à propos de ce chef d'oeuvre. Je pense que toute amateur de BD devrait lire au moins une fois dans sa vie "Maus". Quelle force et quelle profondeur dans le récit !!! Culte et immanquable.
Le Transperceneige
Intéressant ce microcosme dans un train. Un roman BD post-apocalyptique tout ce qu'il y a de sérieux et bien réalisé. Pas de temps mort, une histoire très prenante... Le noir et blanc renforce l'impression assez manichéenne que l'on a à la lecture de l'histoire. Vraiment très très bon, dans la description des moeurs, et dans la réalisation. Un classique du genre, qui m'a rappelé un peu La compagnie des glaces.
Green Manor
Sans conteste une des meilleures bd qu’il m’ait été donné de lire ! La qualité des scénarios de Vehlmann surprend. Non pas que je m’attendais à quelque chose de banal, mais j’ai été littéralement captivé par la richesse et l'inventivité de chaque "nouvelle". Pourtant, le cadre de ces récits ne prête guère au réjouissances. Les défis lancés par les lords au Green Manor’s Club sont à la fois cyniques, machiavéliques, astucieux et audacieux. De plus, la narration colle parfaitement à l’idée qu’on peut se faire de la bourgeoisie anglaise de cette fin 19e. On s’amuse à imaginer le fin mot de l’histoire et on est a chaque fois bluffé par le dénouement. Quant au travail fourni par Bodart, il est conséquent. J’ai rarement vu une telle pléthore de personnages. "Culte" car tous les récits sont de la même qualité graphique et narrative. Il n’y en a pas un qui souffre de la moindre faiblesse. C’est assez rare que pour être souligné! J’ai lu une nouvelle du Green Manor dans le mag Spirou, à paraître dans le tome 3. Cela promet ! Dommage que ce tome soit le dernier de la série...
Alim le tanneur
Bon, il est clair que je ne vais rien dire de nouveau mais il est bon d'encourager les auteurs. :) Cela faisait un moment que je n'avais pas pris une telle claque à la lecture d'un album. Tout d'abord les dessins, superbes, magnifiques... Que dire si ce n'est que si l'on accroche un peu au style, on ne peut que succomber... et dans le cas contraire, devenir un converti ! Quant à l'histoire, elle est très prometteuse, même s'il faut bien dire que cela reste un premier album, donc une mise en place... J'attends la suite avec impatience ! Peut-être que certains trouveront le 5/5 exagéré, mais elle rentre direct dans mon top du top. :)
Quelques jours avec un menteur
Le prix est un peu élevé vu le N&B, vu le papier et vu le format, mais bon, quelle BD sympa ! Les persos avec leurs faiblesses, leurs défauts et pour certains leurs zones d'ombres, sont bien vus et formidablement vivants. On se sent seul en refermant le bouquin ! Davodeau a le chic pour évoquer les mimiques, les expressions, certaines scènes sentent le vécu, d'autres sont hilarantes. Cette bande de potes qui s'offrent quelques jours "entre mecs" devrait particulièrement plaire au lectorat masculin néo-trentenaire ou pas loin, assez copieusement représenté sur Bdthèque (cf. forum [Bédéphiles, qui êtes-vous?], mais pas exclusivement.
Des lendemains sans nuage
Alors la, bravo ! Un one shot remarquable mené de main de maître. Une fois passée la première impression de déjà vu des 4 premières planches où l'on craint un mauvais remake de "retour vers le futur", le scenario s'emballe et s'entrecoupe de petites histoires toutes très originales. Le dessin est classique et soigné. A se procurer sans délai.
Joe Bar Team
Je dois dire (honte à moi) que je n'ai découvert la "Joe Bar Team" que très récemment grâce à l'édition double album de France Loisirs (très économique d'ailleurs). Et bien que n'étant pas motard, ces strips-gags m'ont bien fait marrer. Que ce soit dans le volume 1 à l'époque des seventies ou dans le 2 bien plus tard, avec la nouvelle génération d'"easy riders", les références à la mécanique ne m'ont pas semblé trop nombreuses et le côté "je me vautre dans chaque virage", "je bidouille ma bécane" et "je suis un naze de la mécanique" leur donne un caractère comique et loin du super-héros chevauchant son fidèle destrier. J'en recommande donc l'achat (du moins pour les 2 premiers tomes).
Astérix
Culte sans hésiter, malgré les derniers tomes, qui se traînent lamentablement (en fait, depuis le disparition de Goscinny). Vraiment une bd phare, presque fondatrice. C'est le genre de série qui a vraiment fait décoller la bd franco-belge. L'humour y est omniprésent, fin, jamais vulgaire. Les pays visités par nos héros y sont toujours merveilleusement exposés, en evitant soigneusement les lieux communs ou les clichés. Bon, je m'arrête là, c'est de toute manière une série que j'ai tellement lue, relue, intégrée, que je peux en citer des passages entiers par coeur. Et pourtant je prend encore plaisir à la relire encore et toujours.
Carême
J'hésite entre 3 et 4... Allez 4 parce que j'ai vraiment apprécié quand même. On a là une très jolie couverture (surtout au niveau des couleurs), qui est assez représentative du contenu, à mon avis. Les dessins sont très mignons, c'est assez agréable. Les couleurs sont pas mal, même si c'est quelquefois trop flashy, trop tape àl'oeil. Mais bon, dans l'ensemble ça reste bon. L'histoire est assez mystérieuse, on se demande un peu où on va, où l'auteur veut en venir. Ceci dit ça se concrétisera très certainement au tome 2, je n'en doute pas. En tout cas sur la forme, c'est superbe. Les dialogues sont franchement bons, et puis l'amitié naissante assez bien retranscrite, moi ça m'a bien plu. J'espère donc que la suite continuera dans ce sens, avec peut-être un poil plus de densité dans l'action. :) Mais en attendant, c'est un bon premier tome, à lire ! :)
Cromwell Stone
10 ans après le deuxième tome, 20 ans après le premier, Andréas clôt enfin l'histoire de Cromwell Stone et de sa clé. Graphiquement, l'ensemble est impressionant; en noir et blanc c'est ce que j'ai vu de plus maîtrisé avec Miller, mais dans des genres absolument opposés. Là où Miller construit ses pages avec des aplats et un noir toujours distinct du blanc, Andréas ne connaît presque que le gris et multiplie les hachures. Certaines cases sont visuellement époustouflantes (les scènes maritimes dans le tome 2, la page de la tour dans le tome 3...). Comme d'habitude avec Andréas, l'ensemble de la série laisse quand même un peu songeur. La clé (c'est le cas de le dire) pour comprendre la totalité de l'histoire n'est pas donnée par l'auteur et il faut aller la chercher, ce qui fait qu'on reste parfois un peu dubitatif. Mais j'ai trouvé tout de même "Cromwell Stone" moins hermétique que "Rork" et plus accessible. Une oeuvre très originale (sans surprise), à connaître, ne serait-ce que pour la qualité de son dessin.