C'est du tout bon cette adaptation. Je ne m'attarderais pas sur les qualités graphiques de Tardi, puisque j'ai déjà eu l'occasion de dire tout le bien que je pensais de ses autres productions. Et pour Nestor Burma, il est encore et toujours trés en forme.
Sur le plan du scénar, c'est trés bien ficelé. Je suis entré sans problème dans les histoires, et il m'a été trés difficile de les lacher avant le mot fin.
Mon album préféré est "120 rue de la gare". J'ai été scotché du début à la fin par une intrigue diabolique. Cela me permet d'insister à nouveau sur les qualités indéniables des adaptations de Tardi. En la matière ce dernier, est certainement ce qui se fait de mieux dans la bd.
Je me résume donc. Nestor Burma est une bd, de trés trés bonne facture.
C'est effectivement une bonne surprise. La trajectoire de Lincoln, est trés amusante et ce qui est d'abord un voyage initiatique entre le bien et le mal, est abordé de manière trés décalée et bourrée d'humour.
Le dessin est au diapason. Trés dépouillé, il possède toutefois d'évidentes qualités de lisibilité et de dynamisme. Cela contribue à mettre en valeur le propos et à le souligner avec force.
Bref, une bd d'humour qui par les thèmes qu'elle touche, invite aussi à une réflexion sur la vie, qui ne manque pas d'intérêt.
Voici un Manga vraiment différent de ce qui se fait habituellement dans le Manga et... Différent aussi de pas mal de BDs d'ailleurs.
Cinreralla Baby-doll brutalement arrachée de son mode de vie paisible fait de dur labeur, se retrouve dans un monde inconnu et doit se donner bien de la peine pour arriver à satisfaire son entourage et accomplir sa destinée.
Cinderalla est une Bd qui nous emmène dans un univers flashy et psychédélique qui sent bon les sixties.
Zombies, Stars du rock, fées déprimées, animaux intelligents, belles soeurs insupportables et monstres en tous genres forment la faune de cet étrange univers.
Les dessins sont très travaillés et bien qu'ils paraissent forts simples ils sont d'une beauté rare (à mes yeux bien evidemment). Les couleurs sont... Indéfinissables, c'est vague désolé mais je n'ai pas d'autre mots.
Ma conclusion: Je ne sais pas à quel public s'adresse cette BD, ce que je sais c'est qu'elle m'a touché. Donc j'en conseille l'achat conscient que c'est une oeuvre étrange qui sera loin de faire l'unanimité. D'ailleurs la mention: Pour public averti que l'on trouve au dos de la BD prend ici un sens inédit: Feuilletage conseillé!
En tout cas si vous aimez les belles histoires et appréciez les contes de fées...
J'ai découvert Blueberry alors qu'il était recruté par le général Dodge pour protèger la construction du "cheval de fer". J'étais en CM2 et un camarade avait gagné cet album dans une station service.
A cette époque lointaine, il y avait encore le mardi soir sur la 3, des Western de Ford et des figurines très bien faite, de tout ce qui peuplaient et créaient "l'ouest sauvage", étaient exposées dans les vitrines des marchants de jouet.
Aussi loin que je me souvienne, les indiens d'amérique et leur univers, ont occupé mon esprit et Blueberry a immédiatement été pour moi une référence graphique en la matière.
En effet, grâce aux fantastiques dessins de Gir, je pouvais en permanence me plonger dans l'ouest sauvage.
Je n'ai, par contre, jamais été fasciné, a proprement dit, par les histoires car je trouvais Charlier trop loin de la réalitée des faits. Même enfant, Allister était trop loin de Custer pour m'interêsser, alors que les fabuleux paysages du pays sioux en hivers me transcendaient à chaque re-lecture . En fait, je "n'entrais" pratiquement pas dans les aventures de Blueb., j'admirais à l'infini les dessins et imaginais ma "propre" histoire, à la lumière des récits historique de l'ouest américain.
Aujourd'hui, à 40 ans, Blueb fait toujours partis de ma vie. J'ai souvant été sur sa piste dans l'ouest sauvage ces 20 dernières années, découvrant enfin la réalitée physique de ces lieux sacrées.
Toutes ces critiques face au nouveau cycle de "Mister Blueberry", me font mal pour Gir, car jamais encore, Mike n'a été aussi proche de la réalitée de son époque.
Geronimo, par expl., qui s'interêsse au personnage, ne peut être que sidéré par sa représentation dans ces derniers Album. Cela n'a plus rien à voir avec les caricatures naïves qu'étaient Victorio et Cochise.
Felicitation Gir, tu as parfaitement capté l'esprit des chiricahuas. Pourvu que tu puisse encore trouver l'energie de continuer, car les "aventures" de Mike Steve Blueberry ont réellement démarré à partir du momment où tu as repris seul l'histoire !
Contrairement à certains internautes, j'estime que cette BD ne souffre pas de la comparaison avec "Quartier lointain".
"Le Journal de mon Père" est une œuvre plus personnelle dont les silences sont emplis de sens... Outre le fait que la culture et la sensibilité japonaises me semblent particulièrement bien retranscrites au fil des planches, Taniguchi "ouvre son coeur" et offre à son lecteur cette douleur sourde aux "accents de vérité" (cf. ThePatrick).
Même si les circonstances de la prise de conscience de Yoichi sont singulières (décès du père), son parcours émotionnel est ordinaire... et par conséquent universel !
Plus généralement on considère que cet éveil intervient lorsque l’enfant "quitte le nid", se responsabilise (début de la vie en couple ou de la vie professionnelle) et plus assurément lorsqu’il devient parent à son tour...
Ici, la singularité du récit de Taniguchi vient du fait que cette prise de conscience intervient tardivement, presque trop tard (les enfants de Yoichi en bénéficieront) et est par conséquent douloureuse, saturée de frustration, de mélancolie et de culpabilité.
A lire pour les enfants que nous sommes et les parents en devenir...
Comme toujours chez Taniguchi, ça démarre lentement, on se dit que le sujet à été traité des dizaines de fois, que la fin est prévisible, que les dessins sont répétitifs...et puis l'émotion monte petit à petit, on s'accroche à l'histoire, l'auteur nous emmène là où il veut avec un scénario d'une simplicité déconcertante. C'est du talent à l'état pur.
A lire absolument, tout le monde aura quelque chose à y trouver.
Un mot tout de même sur la version "occidentale" du manga: affreuse!
Pourquoi une oeuvre aussi magistrale doit elle être déteriorée à ce point dans un but commercial discutable? La lecture devient laborieuse, on ne sait plus par quelle bulle commencer, à tel point qu'on aurait parfois tendance à reprendre accidentellement le sens de lecture original. Je ne vois pas ce que peut apporter cette "inversion": je pense qu'elle va énerver les amateurs du genre et déconcerter les néophites.
Bien sûr cette serie est devenue culte. Les dessins sont soignés, l'intrigue à la X-Files passionante.
Mais quand même ils abusent un peu beaucoup :
- au bout de 6 tomes la fin laisse un peu à désirer quand même. (Pour mieux rebondir ?)
- ils décident de conclure en 3x6=18 tomes !!! (exploitation du filon)
- ils changent le format (histoire de se faire plus de pognon ; 12euros au lieu de 9euros par tome, le calcul est simple) à partir du 2ème tome du 2nd cycle (foutage de gueule : obligé de racheter le premier tome dans le nouveau format)
- ils étendent les spin-off à l'infini avec pour l'instant 5 séries au total (Le Maitre de Jeu (avec Charlet en 6 tomes), Le Clan des Chimères (avec Suro en 6 tomes), Les Hydres d'Ares (avec Sentenac) et Asphodèle (T3&4)
C'est la série qui m'a donné le goût de la BD moderne, mais aujourd'hui, impossible de mettre plus de 4 étoiles...
Je ne l’ai pas relue récemment et pour cause je l’ai achetée il y a au moins 20 ans dans une solderie et elle est maintenant dans mes archives à la campagne. C’est un album broché grand format et j’ai été enthousiasmé d’emblée par le dessin et par le scénar qui semblait sortir du vécu années 70, début des planches à roulettes, premières amours et mobylette. Depuis il y a eu Baru pour donner dans le même ton, mais le dessin de Gibrat n&b ligne clair ça a été une révélation et je suis un fan depuis.
Cette Bd est fantastique, c'est une des premières bds que j'ai achetées et depuis je ne manque plus la sortie d'un seul tome ! Pour moi elle est simplement culte.
De plus le dessinateur Richard Guérineau est vraiment sympa et fait de bonnes dédicaces.
L'histoire est vraiment béton et la "saison 2" commence très bien.
Je la conseille fortement alors avis à tous les amateurs de complots !
Excellent. J'adore l'humour de Quino et ses gags en une page voire en une image. Son dessin est tout en simplicité et en finesse : il colle parfaitement.
Dan cet album comme dans Pas mal et vous, Quino met en scène le quotidien de manière caustique et pleine d'intelligence. Il arrive à nous glisser des touches de politique et de réflexion sociale tout en jouant sur les émotions, tout ça sans aucune lourdeur et de telle manière qu'on en rigole tout en y réflechissant.
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Nestor Burma
C'est du tout bon cette adaptation. Je ne m'attarderais pas sur les qualités graphiques de Tardi, puisque j'ai déjà eu l'occasion de dire tout le bien que je pensais de ses autres productions. Et pour Nestor Burma, il est encore et toujours trés en forme. Sur le plan du scénar, c'est trés bien ficelé. Je suis entré sans problème dans les histoires, et il m'a été trés difficile de les lacher avant le mot fin. Mon album préféré est "120 rue de la gare". J'ai été scotché du début à la fin par une intrigue diabolique. Cela me permet d'insister à nouveau sur les qualités indéniables des adaptations de Tardi. En la matière ce dernier, est certainement ce qui se fait de mieux dans la bd. Je me résume donc. Nestor Burma est une bd, de trés trés bonne facture.
Lincoln
C'est effectivement une bonne surprise. La trajectoire de Lincoln, est trés amusante et ce qui est d'abord un voyage initiatique entre le bien et le mal, est abordé de manière trés décalée et bourrée d'humour. Le dessin est au diapason. Trés dépouillé, il possède toutefois d'évidentes qualités de lisibilité et de dynamisme. Cela contribue à mettre en valeur le propos et à le souligner avec force. Bref, une bd d'humour qui par les thèmes qu'elle touche, invite aussi à une réflexion sur la vie, qui ne manque pas d'intérêt.
Cinderalla
Voici un Manga vraiment différent de ce qui se fait habituellement dans le Manga et... Différent aussi de pas mal de BDs d'ailleurs. Cinreralla Baby-doll brutalement arrachée de son mode de vie paisible fait de dur labeur, se retrouve dans un monde inconnu et doit se donner bien de la peine pour arriver à satisfaire son entourage et accomplir sa destinée. Cinderalla est une Bd qui nous emmène dans un univers flashy et psychédélique qui sent bon les sixties. Zombies, Stars du rock, fées déprimées, animaux intelligents, belles soeurs insupportables et monstres en tous genres forment la faune de cet étrange univers. Les dessins sont très travaillés et bien qu'ils paraissent forts simples ils sont d'une beauté rare (à mes yeux bien evidemment). Les couleurs sont... Indéfinissables, c'est vague désolé mais je n'ai pas d'autre mots. Ma conclusion: Je ne sais pas à quel public s'adresse cette BD, ce que je sais c'est qu'elle m'a touché. Donc j'en conseille l'achat conscient que c'est une oeuvre étrange qui sera loin de faire l'unanimité. D'ailleurs la mention: Pour public averti que l'on trouve au dos de la BD prend ici un sens inédit: Feuilletage conseillé! En tout cas si vous aimez les belles histoires et appréciez les contes de fées...
Blueberry
J'ai découvert Blueberry alors qu'il était recruté par le général Dodge pour protèger la construction du "cheval de fer". J'étais en CM2 et un camarade avait gagné cet album dans une station service. A cette époque lointaine, il y avait encore le mardi soir sur la 3, des Western de Ford et des figurines très bien faite, de tout ce qui peuplaient et créaient "l'ouest sauvage", étaient exposées dans les vitrines des marchants de jouet. Aussi loin que je me souvienne, les indiens d'amérique et leur univers, ont occupé mon esprit et Blueberry a immédiatement été pour moi une référence graphique en la matière. En effet, grâce aux fantastiques dessins de Gir, je pouvais en permanence me plonger dans l'ouest sauvage. Je n'ai, par contre, jamais été fasciné, a proprement dit, par les histoires car je trouvais Charlier trop loin de la réalitée des faits. Même enfant, Allister était trop loin de Custer pour m'interêsser, alors que les fabuleux paysages du pays sioux en hivers me transcendaient à chaque re-lecture . En fait, je "n'entrais" pratiquement pas dans les aventures de Blueb., j'admirais à l'infini les dessins et imaginais ma "propre" histoire, à la lumière des récits historique de l'ouest américain. Aujourd'hui, à 40 ans, Blueb fait toujours partis de ma vie. J'ai souvant été sur sa piste dans l'ouest sauvage ces 20 dernières années, découvrant enfin la réalitée physique de ces lieux sacrées. Toutes ces critiques face au nouveau cycle de "Mister Blueberry", me font mal pour Gir, car jamais encore, Mike n'a été aussi proche de la réalitée de son époque. Geronimo, par expl., qui s'interêsse au personnage, ne peut être que sidéré par sa représentation dans ces derniers Album. Cela n'a plus rien à voir avec les caricatures naïves qu'étaient Victorio et Cochise. Felicitation Gir, tu as parfaitement capté l'esprit des chiricahuas. Pourvu que tu puisse encore trouver l'energie de continuer, car les "aventures" de Mike Steve Blueberry ont réellement démarré à partir du momment où tu as repris seul l'histoire !
Le Journal de mon père
Contrairement à certains internautes, j'estime que cette BD ne souffre pas de la comparaison avec "Quartier lointain". "Le Journal de mon Père" est une œuvre plus personnelle dont les silences sont emplis de sens... Outre le fait que la culture et la sensibilité japonaises me semblent particulièrement bien retranscrites au fil des planches, Taniguchi "ouvre son coeur" et offre à son lecteur cette douleur sourde aux "accents de vérité" (cf. ThePatrick). Même si les circonstances de la prise de conscience de Yoichi sont singulières (décès du père), son parcours émotionnel est ordinaire... et par conséquent universel ! Plus généralement on considère que cet éveil intervient lorsque l’enfant "quitte le nid", se responsabilise (début de la vie en couple ou de la vie professionnelle) et plus assurément lorsqu’il devient parent à son tour... Ici, la singularité du récit de Taniguchi vient du fait que cette prise de conscience intervient tardivement, presque trop tard (les enfants de Yoichi en bénéficieront) et est par conséquent douloureuse, saturée de frustration, de mélancolie et de culpabilité. A lire pour les enfants que nous sommes et les parents en devenir...
Le Journal de mon père
Comme toujours chez Taniguchi, ça démarre lentement, on se dit que le sujet à été traité des dizaines de fois, que la fin est prévisible, que les dessins sont répétitifs...et puis l'émotion monte petit à petit, on s'accroche à l'histoire, l'auteur nous emmène là où il veut avec un scénario d'une simplicité déconcertante. C'est du talent à l'état pur. A lire absolument, tout le monde aura quelque chose à y trouver. Un mot tout de même sur la version "occidentale" du manga: affreuse! Pourquoi une oeuvre aussi magistrale doit elle être déteriorée à ce point dans un but commercial discutable? La lecture devient laborieuse, on ne sait plus par quelle bulle commencer, à tel point qu'on aurait parfois tendance à reprendre accidentellement le sens de lecture original. Je ne vois pas ce que peut apporter cette "inversion": je pense qu'elle va énerver les amateurs du genre et déconcerter les néophites.
Le Chant des Stryges
Bien sûr cette serie est devenue culte. Les dessins sont soignés, l'intrigue à la X-Files passionante. Mais quand même ils abusent un peu beaucoup : - au bout de 6 tomes la fin laisse un peu à désirer quand même. (Pour mieux rebondir ?) - ils décident de conclure en 3x6=18 tomes !!! (exploitation du filon) - ils changent le format (histoire de se faire plus de pognon ; 12euros au lieu de 9euros par tome, le calcul est simple) à partir du 2ème tome du 2nd cycle (foutage de gueule : obligé de racheter le premier tome dans le nouveau format) - ils étendent les spin-off à l'infini avec pour l'instant 5 séries au total (Le Maitre de Jeu (avec Charlet en 6 tomes), Le Clan des Chimères (avec Suro en 6 tomes), Les Hydres d'Ares (avec Sentenac) et Asphodèle (T3&4) C'est la série qui m'a donné le goût de la BD moderne, mais aujourd'hui, impossible de mettre plus de 4 étoiles...
Goudard
Je ne l’ai pas relue récemment et pour cause je l’ai achetée il y a au moins 20 ans dans une solderie et elle est maintenant dans mes archives à la campagne. C’est un album broché grand format et j’ai été enthousiasmé d’emblée par le dessin et par le scénar qui semblait sortir du vécu années 70, début des planches à roulettes, premières amours et mobylette. Depuis il y a eu Baru pour donner dans le même ton, mais le dessin de Gibrat n&b ligne clair ça a été une révélation et je suis un fan depuis.
Le Chant des Stryges
Cette Bd est fantastique, c'est une des premières bds que j'ai achetées et depuis je ne manque plus la sortie d'un seul tome ! Pour moi elle est simplement culte. De plus le dessinateur Richard Guérineau est vraiment sympa et fait de bonnes dédicaces. L'histoire est vraiment béton et la "saison 2" commence très bien. Je la conseille fortement alors avis à tous les amateurs de complots !
Bien chez soi
Excellent. J'adore l'humour de Quino et ses gags en une page voire en une image. Son dessin est tout en simplicité et en finesse : il colle parfaitement. Dan cet album comme dans Pas mal et vous, Quino met en scène le quotidien de manière caustique et pleine d'intelligence. Il arrive à nous glisser des touches de politique et de réflexion sociale tout en jouant sur les émotions, tout ça sans aucune lourdeur et de telle manière qu'on en rigole tout en y réflechissant.