Bouncer je le dis tout de suite cela faisait très longtemps qu'une bd ne m’avait pas autant accroché!! Au début j'étais légèrement réfractaire au style western m'étant gavé de Blueberry étant petit j’avais peur de tomber sur du déjà vu mais là je dois avouer que je me suis trouvé con.
Je me suis remis aux bd il y a peu de temps et du coup ma copine s'y met aussi... elle m'interdit de lire le tome 3 !! car ça l'énerve de devoir attendre le 4 et du coup je me dis que c’est un mal pour un bien :)
Pour parler du dessin et des couleurs brièvement je les trouve tout simplement grandioses... Voili voilou c’est la première fois que je poste un avis ;)
Je m'enflamme peut-être un peu, mais j'ai trouvé cet album carrément sympa. Le dessin de Bernet en N&B est absolument nickel pour ce type d'histoire, et même si tout n'est pas parfait, il réussit à créer une vraie ambiance western. Une fois encore, il nous gâte en jolies femmes, ce qui n'est pas pour me déplaire ;)
Les différentes histoires courtes sont assez homogènes bien qu'assez différentes (la seule constante est que Snake est un looser) et chacune se lit très vite (pas bla bla inutile, on va droit au but)
Bref, un album dans la plus pure tradition des westerns qui ne se prennent pas la tête.
Voilà un très chouette premier album.
Pourtant, j'avoue qu'au départ le sujet lui-même, l'art urbain, ne m'intéressait pas particulièrement, voire pas du tout. Et avant d'ouvrir l'album, je me disais, "pfffff, encore un de ces jeunes auteurs intellos qui se la pètent".
Mais finalement, non, c'est très sympa comme BD, et le premier qui dit du mal de Pome Bernos, style "pfffff, encore un de ces jeunes auteurs intellos qui se la pètent", j'y casse la gueule.
Loin des élucubrations pompeuses que nous pondent habituellement les jeunes étudiants narcissico-dépressifs frais émoulus des Beaux-Arts, la délicieuse Pome Bernos signe un premier album à son image, c'est-à-dire plein de charme, et tout en simplicité. Parler d'art sans tomber soit dans le prétentieux chiant soit dans le superficiel sans intérêt n'est pas donné à tout le monde, et pourtant, la jeune et troublante demoiselle y parvient avec talent, grâce, délicatesse, tendresse et parfois même drôlerie, mais je vais me calmer un peu sur les superlatifs ou ça va finir par se voir, que je suis amoureux de Pome Bernos.
Bref, en un mot comme en cent, voilà une jeune femme dont je suivrai la carrière avec intérêt, et en attendant son prochain livre, Chroniques d'un pigeon parisien, c'est très bien, achetez-le, si possible en plusieurs exemplaires.
Comme d’autres lecteurs, je m’attendais à un thriller au paradis, et j’ai donc été agacée par les premières pages qui se déroulent de nos jours à San Francisco. Le contraste entre la très belle couverture et les graphismes de comic moderne est déjà un peu décevant, et puis on se retrouve à regarder avec impatience ce jeune homme nous faire part de ses réflexions sur le plan de la ville ou discuter avec une fille. Mais la suite vaut le coup, et quand on rentre vraiment dans l’histoire, c’est tout de suite autre chose.
Si comme le dit le « clochard », il fut un temps où les histoires étaient une monnaie d’échange, la sienne vaut son pesant d’or. Moitié conte, moitié enquête policière, on découvre une vision du paradis originale et cohérente, très travaillée. La création du monde est en cours, et avec elle celle des émotions. Cela donne un enjeu difficile à réaliser, puisque les anges ne sont pas des humains avec des super pouvoirs, mais des êtres différents, ne connaissant pas (pour le moment ?) de sentiments très marqués. L’auteur s’en tire très bien, et arrive malgré cela à mettre en place dans son Royaume de Dieu des personnages marquant voire attachants. La conclusion de l’enquête n’est pas très surprenante, mais est bien ammenée et déclanche des réactions vraiment intéressantes.
Et la fin du récit donne enfin un peu d’intérêt aux premières pages, que je me suis empressée d’aller relire. Ceci dit, c’est surtout pour le récit central que cet album vaut la lecture.
Le graphisme de l’ensemble est moyen. Les couleurs sont très typées « comic » ; les visages sont plus ou moins réussis (si j’aime beaucoup le personnage du clochard, j’ai par contre du mal avec Lucifer, d’autant plus que le narrateur nous le décrit comme étant d’une beauté sans mesure …) ; certains effets, comme lorsqu’un ange se laisse envahir par sa fonction, sont un peu lassants ; quant à la représentation de la création, si elle a le mérite d’être originale, elle est quand même un peu bizarre.
Mais l’ensemble reste très très bon, et laisse songeur à la fin sur les voies impénétrables du Dieu omniscient qui gouverne ce paradis.
Si on devait classer cette bd pour son originalité, je pense que celle-ci figurerait sûrement en bonne place parmi les premiers. Etienne Lécroart nous fait découvrir, ici, un univers loufoque mais où il se dégage beaucoup d'intelligence et de justesse.
L'histoire est difficilement racontable mais croyez-moi, cela vaut vraiment le coup d'oeil. Pourtant, en lisant les premières pages, on a un peu de mal en cerner les intentions de l'auteur. Mais au bout d'un moment, tout devient clair et à partir de là, les évènements s'enchaînent pour notre plus grande joie.
Sans exagérer, je pense que le talent y est pour beaucoup dans la réussite de ce one-shot.
Cercle Vicieux est un album à posséder et à conseiller !
Je pense que l'on peut dire qu'avec ce one-shot, Corbeyran a fait fort. Le climat général du récit est tout à fait singulier ainsi que le scénario qui, lui non plus, ne manque pas d'originalité.
L'histoire nous plonge dans une ambiance glauque et oppressante. Dans cet univers, le temps semble figé et on suit le parcours d'un enfant que les parents ont laissé en pension dans un établissement hors du commun. A partir de là, on va essayer de découvrir avec notre pensionnaire, les secrets de cette école assez particulière.
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce one-shot. Le récit est haletant et on tourne les pages avec beaucoup de curiosité. La narration est fluide et l'auteur ne fait aucune concession quant à l'aboutissement de cette histoire. En résumé, ce récit est dramatiquement beau !
Amaury Bouillez ("Pest") nous offre un dessin à la mesure du récit. Son trait épuré convient parfaitement à l'atmosphère crée par le scénariste.
A noter : Les visages sont très expressifs surtout devant la peur, ce qui intensifie la crédibilité de l'histoire.
Le Phalanstère du Bout du Monde ne manque vraiment pas d'intérêt. C'est un album qui mérite d'être lu.
Je le conseille vivement !!!!
Quelle poilade !!! De la bonne, très bonne BD humoristique où les gags s'enchaînent plus drôles les uns que les autres. Les deux auteurs ont un univers commun basé sur l'absurde qui est un véritable remède contre la morosité. A consommer sans modération !
PS. : pour l'anecdote, mon gag préféré est celui des Révoltés du Bounty, il m'a fait chialer de rire.
Voilà un bon exemple de BD pour adultes qui ne se prend pas au sérieux. On est très loin des délires plus ou moins heureux, ce sont juste des histoires assez crédibles (toutes proportions gardées bien sûr) vécues par des jeunes filles délurées, le tout traité de manière souvent amusante.
Le dessin est pas mal du tout si on n'essaie de ne pas être trop pointilleux sur certains détails.
Bref, de la BD X très sympa :)
Tout simplement magnifique.
Je dois avouer que je ne m'attendais pas du tout à une telle réussite. Avec tous ces avis je m'étais dit que c'était sans nul doute une très bonne bd, mais à ce point ! Dessin magnifique, texte superbe, personnages attachants, tout pour plaire.
Lol ! Je n'avais pas pensé au (vieux) jeu Day of the Tentacle en lisant cette BD, mais c'est clair que le design est très proche. Excellent :)
Plus sérieusement, le dessin est assez génial. Le dessinateur se fait vraiment plaisir dans la mise en scène, ça se sent. Comme en plus il maîtrise bien son sujet, ça donne des planches de toute beauté. Je trouve que les cases sans bordures noires donnent un charme particuliers très intéressant (comme dans "des frites au chocolat" du même scénariste par exemple)
L'histoire a certains côtés jubilatoires et noirs comme je les aime. Le héros est d'un cynisme à toutes épreuves, et chaque fois on croit qu'il va se planter... et non. C'est une ordure qui s'en sort toujours contre toute attente.
Ce n'est qu'on one-shot, alors que vu les qualités de ce tome, j'aurais bien aimé en lire un peu plus...
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Bouncer
Bouncer je le dis tout de suite cela faisait très longtemps qu'une bd ne m’avait pas autant accroché!! Au début j'étais légèrement réfractaire au style western m'étant gavé de Blueberry étant petit j’avais peur de tomber sur du déjà vu mais là je dois avouer que je me suis trouvé con. Je me suis remis aux bd il y a peu de temps et du coup ma copine s'y met aussi... elle m'interdit de lire le tome 3 !! car ça l'énerve de devoir attendre le 4 et du coup je me dis que c’est un mal pour un bien :) Pour parler du dessin et des couleurs brièvement je les trouve tout simplement grandioses... Voili voilou c’est la première fois que je poste un avis ;)
Snake
Je m'enflamme peut-être un peu, mais j'ai trouvé cet album carrément sympa. Le dessin de Bernet en N&B est absolument nickel pour ce type d'histoire, et même si tout n'est pas parfait, il réussit à créer une vraie ambiance western. Une fois encore, il nous gâte en jolies femmes, ce qui n'est pas pour me déplaire ;) Les différentes histoires courtes sont assez homogènes bien qu'assez différentes (la seule constante est que Snake est un looser) et chacune se lit très vite (pas bla bla inutile, on va droit au but) Bref, un album dans la plus pure tradition des westerns qui ne se prennent pas la tête.
Chroniques d'un pigeon parisien
Voilà un très chouette premier album. Pourtant, j'avoue qu'au départ le sujet lui-même, l'art urbain, ne m'intéressait pas particulièrement, voire pas du tout. Et avant d'ouvrir l'album, je me disais, "pfffff, encore un de ces jeunes auteurs intellos qui se la pètent". Mais finalement, non, c'est très sympa comme BD, et le premier qui dit du mal de Pome Bernos, style "pfffff, encore un de ces jeunes auteurs intellos qui se la pètent", j'y casse la gueule. Loin des élucubrations pompeuses que nous pondent habituellement les jeunes étudiants narcissico-dépressifs frais émoulus des Beaux-Arts, la délicieuse Pome Bernos signe un premier album à son image, c'est-à-dire plein de charme, et tout en simplicité. Parler d'art sans tomber soit dans le prétentieux chiant soit dans le superficiel sans intérêt n'est pas donné à tout le monde, et pourtant, la jeune et troublante demoiselle y parvient avec talent, grâce, délicatesse, tendresse et parfois même drôlerie, mais je vais me calmer un peu sur les superlatifs ou ça va finir par se voir, que je suis amoureux de Pome Bernos. Bref, en un mot comme en cent, voilà une jeune femme dont je suivrai la carrière avec intérêt, et en attendant son prochain livre, Chroniques d'un pigeon parisien, c'est très bien, achetez-le, si possible en plusieurs exemplaires.
Le Premier Meurtre (Les Mysteres du Meurtre)
Comme d’autres lecteurs, je m’attendais à un thriller au paradis, et j’ai donc été agacée par les premières pages qui se déroulent de nos jours à San Francisco. Le contraste entre la très belle couverture et les graphismes de comic moderne est déjà un peu décevant, et puis on se retrouve à regarder avec impatience ce jeune homme nous faire part de ses réflexions sur le plan de la ville ou discuter avec une fille. Mais la suite vaut le coup, et quand on rentre vraiment dans l’histoire, c’est tout de suite autre chose. Si comme le dit le « clochard », il fut un temps où les histoires étaient une monnaie d’échange, la sienne vaut son pesant d’or. Moitié conte, moitié enquête policière, on découvre une vision du paradis originale et cohérente, très travaillée. La création du monde est en cours, et avec elle celle des émotions. Cela donne un enjeu difficile à réaliser, puisque les anges ne sont pas des humains avec des super pouvoirs, mais des êtres différents, ne connaissant pas (pour le moment ?) de sentiments très marqués. L’auteur s’en tire très bien, et arrive malgré cela à mettre en place dans son Royaume de Dieu des personnages marquant voire attachants. La conclusion de l’enquête n’est pas très surprenante, mais est bien ammenée et déclanche des réactions vraiment intéressantes. Et la fin du récit donne enfin un peu d’intérêt aux premières pages, que je me suis empressée d’aller relire. Ceci dit, c’est surtout pour le récit central que cet album vaut la lecture. Le graphisme de l’ensemble est moyen. Les couleurs sont très typées « comic » ; les visages sont plus ou moins réussis (si j’aime beaucoup le personnage du clochard, j’ai par contre du mal avec Lucifer, d’autant plus que le narrateur nous le décrit comme étant d’une beauté sans mesure …) ; certains effets, comme lorsqu’un ange se laisse envahir par sa fonction, sont un peu lassants ; quant à la représentation de la création, si elle a le mérite d’être originale, elle est quand même un peu bizarre. Mais l’ensemble reste très très bon, et laisse songeur à la fin sur les voies impénétrables du Dieu omniscient qui gouverne ce paradis.
Cercle vicieux
Si on devait classer cette bd pour son originalité, je pense que celle-ci figurerait sûrement en bonne place parmi les premiers. Etienne Lécroart nous fait découvrir, ici, un univers loufoque mais où il se dégage beaucoup d'intelligence et de justesse. L'histoire est difficilement racontable mais croyez-moi, cela vaut vraiment le coup d'oeil. Pourtant, en lisant les premières pages, on a un peu de mal en cerner les intentions de l'auteur. Mais au bout d'un moment, tout devient clair et à partir de là, les évènements s'enchaînent pour notre plus grande joie. Sans exagérer, je pense que le talent y est pour beaucoup dans la réussite de ce one-shot. Cercle Vicieux est un album à posséder et à conseiller !
Le phalanstère du bout du monde
Je pense que l'on peut dire qu'avec ce one-shot, Corbeyran a fait fort. Le climat général du récit est tout à fait singulier ainsi que le scénario qui, lui non plus, ne manque pas d'originalité. L'histoire nous plonge dans une ambiance glauque et oppressante. Dans cet univers, le temps semble figé et on suit le parcours d'un enfant que les parents ont laissé en pension dans un établissement hors du commun. A partir de là, on va essayer de découvrir avec notre pensionnaire, les secrets de cette école assez particulière. Je dois dire que j'ai beaucoup aimé ce one-shot. Le récit est haletant et on tourne les pages avec beaucoup de curiosité. La narration est fluide et l'auteur ne fait aucune concession quant à l'aboutissement de cette histoire. En résumé, ce récit est dramatiquement beau ! Amaury Bouillez ("Pest") nous offre un dessin à la mesure du récit. Son trait épuré convient parfaitement à l'atmosphère crée par le scénariste. A noter : Les visages sont très expressifs surtout devant la peur, ce qui intensifie la crédibilité de l'histoire. Le Phalanstère du Bout du Monde ne manque vraiment pas d'intérêt. C'est un album qui mérite d'être lu. Je le conseille vivement !!!!
La Vie est courte
Quelle poilade !!! De la bonne, très bonne BD humoristique où les gags s'enchaînent plus drôles les uns que les autres. Les deux auteurs ont un univers commun basé sur l'absurde qui est un véritable remède contre la morosité. A consommer sans modération ! PS. : pour l'anecdote, mon gag préféré est celui des Révoltés du Bounty, il m'a fait chialer de rire.
Les Petites Vicieuses
Voilà un bon exemple de BD pour adultes qui ne se prend pas au sérieux. On est très loin des délires plus ou moins heureux, ce sont juste des histoires assez crédibles (toutes proportions gardées bien sûr) vécues par des jeunes filles délurées, le tout traité de manière souvent amusante. Le dessin est pas mal du tout si on n'essaie de ne pas être trop pointilleux sur certains détails. Bref, de la BD X très sympa :)
De Cape et de Crocs
Tout simplement magnifique. Je dois avouer que je ne m'attendais pas du tout à une telle réussite. Avec tous ces avis je m'étais dit que c'était sans nul doute une très bonne bd, mais à ce point ! Dessin magnifique, texte superbe, personnages attachants, tout pour plaire.
Mémoires d'une vermine
Lol ! Je n'avais pas pensé au (vieux) jeu Day of the Tentacle en lisant cette BD, mais c'est clair que le design est très proche. Excellent :) Plus sérieusement, le dessin est assez génial. Le dessinateur se fait vraiment plaisir dans la mise en scène, ça se sent. Comme en plus il maîtrise bien son sujet, ça donne des planches de toute beauté. Je trouve que les cases sans bordures noires donnent un charme particuliers très intéressant (comme dans "des frites au chocolat" du même scénariste par exemple) L'histoire a certains côtés jubilatoires et noirs comme je les aime. Le héros est d'un cynisme à toutes épreuves, et chaque fois on croit qu'il va se planter... et non. C'est une ordure qui s'en sort toujours contre toute attente. Ce n'est qu'on one-shot, alors que vu les qualités de ce tome, j'aurais bien aimé en lire un peu plus...