En réponse à Téo, le tome 6 est au contraire magnifique ! c'est une fin logique de ce deuxième cycle. On a souvent reproché dans les critiques que j'ai lue l'allusion au nazisme. C'est vrai que c'est délicat mais c'est dans la bd tout à fait bien placé. La période du nazisme est une période de trouble, de doute et de changement tout comme les autres périodes évoquées aux tomes précédents. Non ?
Un incontournable. Les dessins sont peut etre un peu (un tout petit peu) rebuttants au début mais dès qu'on est dedans on lit les trois tomes d'une seule traite.
Pas besoin d'en dire plus, dans mon désir de ne pas abuser des 5/5, j'avais mis 4/5 ...... honte sur moi, je viens de reparer cette erreur.
Meilleur que bien !!!
A la fois une évocation du Japon actuel par rapport à celui des années 70, et une enquète pseudo-policière très subtile servant à montrer des comprortements de personnes face aux évènements !
Dans VAGABOND, il y a d'abord "VAGUE"...
... Comme celle d'Hokusaï, qui en créant (au 17ème siècle) les 15 volumes de la Mangwa (recueils de dessins foisonnants embrassant tous les aspects de la vie) inventa le nom de la BD au Japon.
... Comme le regard du héros Miyamoto Musashi lorsqu'il comprend lors d'un duel que bien voir n'est pas fixer un point précis mais au contraire s'imprégner de l'ensemble.
... Comme le nombre d'assauts successifs dont il faut parfois se fendre pour venir à bout d'un adversaire coriace.
... Comme la nouvelle génération de Mangakas, respectueux de leurs maîtres et pourtant innovants en permanence, dont fait partie Takehiko Inoue.
... Comme celles de la mer qui, semblables d'aspect mais pourtant toujours différentes, viennent régulièrement se poser sur la plage comme le font les volumes de cette saga sur les tables des librairies (déjà 13 au Japon).
Dans VAGABOND, il y a ensuite "A"...
... Comme la lettre qui revient le plus souvent dans les mots "Samouraï", "Katana"... "Manga" et "Kodansha", l'éditeur Japonais de cette série.
... Comme les jambes écartées et bien plantées dans le sol des duellistes qui se font face, immobiles, tandis que s'affrontent leurs énergies vitales.
... Comme la seule lettre qu'à le temps de crier le vaincu avant de mourir, coupé en deux à la vitesse de l'éclair.
Dans VAGABOND, il y a enfin "BOND"
... Comme l'élan que prennent les bretteurs pour se propulser l'un vers l'autre en cherchant le geste parfait qui leur permettra de tuer dès la lame sortie du fourreau.
... Comme celui en arrière qui me replonge dans mes souvenirs de lecture de "La pierre et le sabre" puis "La parfaite lumière" d'Eiji Yoshikawa , romans exceptionnels dont ce récit est l'adaptation libre.
... Comme la maturité soudaine qu'à gagnée Takehiko Inoue en passant de la réalisation d'un bon shonen (manga pour garçons adolescents) dribblant comme Slam Dunk à une œuvre dans laquelle toute la puissance réside dans le statisme : Celui qui précède l'attaque pour les personnages, celui qu'il faut adopter pour créer des histoires aussi fortes et celui qu'il faut pour les lire en les appréciant à leur juste valeur.
Pour conclure, dans VAGABOND, il y a "BON"...
... et c'est un euphémisme pour signifier la qualité de ce manga.
j'suis mort de rire presque tout le temps. c'est tellement vrai. de temps en temps ça me fait penser à mes mômes. Et puis c'est un dessin simple qui a une super pêche.
c'est super efficace.
C'est mon "livre de chevet".
Le travail de Claire Wendling est, de la mise en scene au dessin, merveilleux.
Elle est vraiment forte. C'est l'une des plus grosse claques que j'ai pu prendre.
Ce nouvel opus de Lanfeust est tout simplement époustouflant. Cet univers totalement recréé est superbement réalisé ainsi que l'humour, toujours autant soigné de Tarquin, et les dessins, surtout les poses incrédules de Lanfeust par Arleston, font toujours un délice pour les yeux. En un mot : cette bd et sa suite seront toujours dans les mémoires en tant que série d'Heroic-Fantasy d'exception!
Le héros, Keitaro Urashima, viré de chez lui par ses parents car il n'arrive pas à rentrer à Todai (Fac de Tokyo bien réputée) pour la 2eme fois.
Notre héros va donc chercher de l'aide auprès de sa grand-mère qui possède une pension spécialisée pour filles (lui ne le sais pas).
Le pauvre se fait donc éjécter une seconde fois et c'est alors que sa grand-mère lui donne toute la pension et il devient le nouveau gérant !
Le problème? Keitaro a 19 ans, il est un peu maladroit et surtout, il n'a jamais eu de petite copine de sa vie.
Je vous laisse imaginer dans quelles drôles de situations va se mettre ce dernier avec 5 canons dans une pension où il est le seul garçon.
Gags HILARANTS et rebondissements, on attend la suite avec impatience.
Waow !! Vraiment, quelle grande surprise que ce premier tome ! Nous voici embarqué dans une histoire très originale, réalisée de main de maître et seul (Scénario, illustrations et couleurs) par Jérome Simon.
J'ai toujours eu un faible pour les auteurs complets (aahhh Bajram, oohhh Turf !) et je dois dire que Simon s'en sort vraiment très bien lui aussi !
Attention, c'est glauque, vraiment glauque. Cette mignonne petite ninon qui dévore innocemment le bras d'un cadavre en parlant aux oiseaux, c'est une scène qui chamboule, obligatoirement !
Cette BD est en effet à des kilomètres des précepts établis par notre société, des codes, des règles, etc... et on est tout simplement troublé par autant de naiveté conjuguée à des images aussi crues.
Le scénario est excellent, pas primaire du tout (bien au contraire !) et nous promène a la recherche de la cité merveilleuse que la petite Ninon percoit dans son "rêve bizarre", au milieu de contrées désolées ou le grondement du tonnerre est omni-présent. Bonjour l'ambiance !
Le personnage principal, pourtant nécrophage, est tout simplement attendrissant : pari gagné pour l'auteur, donc, qui nous fait aimer cette petite sauvage !
Le dessin est tout simplement... génial. Rien à redire, vraiment ! le trait est ultra particulier, et donc difficile à comparer à d'autres auteurs du même style. Assez épais, il est surtout très géométrique (jusqu'au tracé des phylactères qui sont rectangulaires), et le résultat vaut vraiment le coup d'oeil.
En couleur directes, les planches sont superbes. Ultracontrastées, les teintes sont bien utilisées afin de créer des atmosphères ultra-particulières et originales, metant par la meme ocasion en reliefs les superbes illustrationde de Jérome Simon.
Je ne sais pas quoi dire, sérieusement... je suis impressionné, vraiment !
Hellboy:
Je ne sous estime pas ma note , cette BD est belle et bien UNE oeuvre culte!
bien que beaucoup de gens passent à coté, car le graphisme est assez difficile a apprecier aux premiers abords, et pourtant Mike Mignola, le papa de hellboy a bien la un style graphique des plus remarquables!
son encrage que tout le monde lui a piqué (enfin, dont tout le monde s'est inspiré !) a marqué tout une generation d'auteurs telle que Vatine wendling lauffray springer bajram,thierry Robin, la liste est longue...
De la même trampe que son compagnon Franck Miller, cette BD reste un l'incontournable du comics!
le scenarion est simple et lisible grace a une narration des plus claires!
si on analyse tous les nouveaux comics, on s'aperçoit qu'ils sont bourrés de clins d'oeil , que se soit au niveau des cadrages, comme des mises en pages osées! (ex: battle chasers)
Mignola a eu du mal a se faire entendre de son style , les editeurs trop hesitant de voir en face d'eux un trait poussé en clarté des aplats noir franc (des masses) et au resultat un dessin surement trop épuré a leur gout.
Hellboy sera l'exemple a suivre pour tout les futurs auteurs de BD/Comics
La SF voit la de beaux jours en perspectives, pourvu que l'on en abuse pas malgré tout
Hellboy doit rester Hellboy
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Le Prince de la Nuit
En réponse à Téo, le tome 6 est au contraire magnifique ! c'est une fin logique de ce deuxième cycle. On a souvent reproché dans les critiques que j'ai lue l'allusion au nazisme. C'est vrai que c'est délicat mais c'est dans la bd tout à fait bien placé. La période du nazisme est une période de trouble, de doute et de changement tout comme les autres périodes évoquées aux tomes précédents. Non ?
La Guerre Eternelle
Un incontournable. Les dessins sont peut etre un peu (un tout petit peu) rebuttants au début mais dès qu'on est dedans on lit les trois tomes d'une seule traite. Pas besoin d'en dire plus, dans mon désir de ne pas abuser des 5/5, j'avais mis 4/5 ...... honte sur moi, je viens de reparer cette erreur.
20th Century Boys
Meilleur que bien !!! A la fois une évocation du Japon actuel par rapport à celui des années 70, et une enquète pseudo-policière très subtile servant à montrer des comprortements de personnes face aux évènements !
Vagabond
Dans VAGABOND, il y a d'abord "VAGUE"... ... Comme celle d'Hokusaï, qui en créant (au 17ème siècle) les 15 volumes de la Mangwa (recueils de dessins foisonnants embrassant tous les aspects de la vie) inventa le nom de la BD au Japon. ... Comme le regard du héros Miyamoto Musashi lorsqu'il comprend lors d'un duel que bien voir n'est pas fixer un point précis mais au contraire s'imprégner de l'ensemble. ... Comme le nombre d'assauts successifs dont il faut parfois se fendre pour venir à bout d'un adversaire coriace. ... Comme la nouvelle génération de Mangakas, respectueux de leurs maîtres et pourtant innovants en permanence, dont fait partie Takehiko Inoue. ... Comme celles de la mer qui, semblables d'aspect mais pourtant toujours différentes, viennent régulièrement se poser sur la plage comme le font les volumes de cette saga sur les tables des librairies (déjà 13 au Japon). Dans VAGABOND, il y a ensuite "A"... ... Comme la lettre qui revient le plus souvent dans les mots "Samouraï", "Katana"... "Manga" et "Kodansha", l'éditeur Japonais de cette série. ... Comme les jambes écartées et bien plantées dans le sol des duellistes qui se font face, immobiles, tandis que s'affrontent leurs énergies vitales. ... Comme la seule lettre qu'à le temps de crier le vaincu avant de mourir, coupé en deux à la vitesse de l'éclair. Dans VAGABOND, il y a enfin "BOND" ... Comme l'élan que prennent les bretteurs pour se propulser l'un vers l'autre en cherchant le geste parfait qui leur permettra de tuer dès la lame sortie du fourreau. ... Comme celui en arrière qui me replonge dans mes souvenirs de lecture de "La pierre et le sabre" puis "La parfaite lumière" d'Eiji Yoshikawa , romans exceptionnels dont ce récit est l'adaptation libre. ... Comme la maturité soudaine qu'à gagnée Takehiko Inoue en passant de la réalisation d'un bon shonen (manga pour garçons adolescents) dribblant comme Slam Dunk à une œuvre dans laquelle toute la puissance réside dans le statisme : Celui qui précède l'attaque pour les personnages, celui qu'il faut adopter pour créer des histoires aussi fortes et celui qu'il faut pour les lire en les appréciant à leur juste valeur. Pour conclure, dans VAGABOND, il y a "BON"... ... et c'est un euphémisme pour signifier la qualité de ce manga.
Calvin et Hobbes
j'suis mort de rire presque tout le temps. c'est tellement vrai. de temps en temps ça me fait penser à mes mômes. Et puis c'est un dessin simple qui a une super pêche. c'est super efficace.
Les Lumières de l'Amalou
C'est mon "livre de chevet". Le travail de Claire Wendling est, de la mise en scene au dessin, merveilleux. Elle est vraiment forte. C'est l'une des plus grosse claques que j'ai pu prendre.
Lanfeust des Etoiles
Ce nouvel opus de Lanfeust est tout simplement époustouflant. Cet univers totalement recréé est superbement réalisé ainsi que l'humour, toujours autant soigné de Tarquin, et les dessins, surtout les poses incrédules de Lanfeust par Arleston, font toujours un délice pour les yeux. En un mot : cette bd et sa suite seront toujours dans les mémoires en tant que série d'Heroic-Fantasy d'exception!
Love Hina
Le héros, Keitaro Urashima, viré de chez lui par ses parents car il n'arrive pas à rentrer à Todai (Fac de Tokyo bien réputée) pour la 2eme fois. Notre héros va donc chercher de l'aide auprès de sa grand-mère qui possède une pension spécialisée pour filles (lui ne le sais pas). Le pauvre se fait donc éjécter une seconde fois et c'est alors que sa grand-mère lui donne toute la pension et il devient le nouveau gérant ! Le problème? Keitaro a 19 ans, il est un peu maladroit et surtout, il n'a jamais eu de petite copine de sa vie. Je vous laisse imaginer dans quelles drôles de situations va se mettre ce dernier avec 5 canons dans une pension où il est le seul garçon. Gags HILARANTS et rebondissements, on attend la suite avec impatience.
Elend
Waow !! Vraiment, quelle grande surprise que ce premier tome ! Nous voici embarqué dans une histoire très originale, réalisée de main de maître et seul (Scénario, illustrations et couleurs) par Jérome Simon. J'ai toujours eu un faible pour les auteurs complets (aahhh Bajram, oohhh Turf !) et je dois dire que Simon s'en sort vraiment très bien lui aussi ! Attention, c'est glauque, vraiment glauque. Cette mignonne petite ninon qui dévore innocemment le bras d'un cadavre en parlant aux oiseaux, c'est une scène qui chamboule, obligatoirement ! Cette BD est en effet à des kilomètres des précepts établis par notre société, des codes, des règles, etc... et on est tout simplement troublé par autant de naiveté conjuguée à des images aussi crues. Le scénario est excellent, pas primaire du tout (bien au contraire !) et nous promène a la recherche de la cité merveilleuse que la petite Ninon percoit dans son "rêve bizarre", au milieu de contrées désolées ou le grondement du tonnerre est omni-présent. Bonjour l'ambiance ! Le personnage principal, pourtant nécrophage, est tout simplement attendrissant : pari gagné pour l'auteur, donc, qui nous fait aimer cette petite sauvage ! Le dessin est tout simplement... génial. Rien à redire, vraiment ! le trait est ultra particulier, et donc difficile à comparer à d'autres auteurs du même style. Assez épais, il est surtout très géométrique (jusqu'au tracé des phylactères qui sont rectangulaires), et le résultat vaut vraiment le coup d'oeil. En couleur directes, les planches sont superbes. Ultracontrastées, les teintes sont bien utilisées afin de créer des atmosphères ultra-particulières et originales, metant par la meme ocasion en reliefs les superbes illustrationde de Jérome Simon. Je ne sais pas quoi dire, sérieusement... je suis impressionné, vraiment !
Hellboy
Hellboy: Je ne sous estime pas ma note , cette BD est belle et bien UNE oeuvre culte! bien que beaucoup de gens passent à coté, car le graphisme est assez difficile a apprecier aux premiers abords, et pourtant Mike Mignola, le papa de hellboy a bien la un style graphique des plus remarquables! son encrage que tout le monde lui a piqué (enfin, dont tout le monde s'est inspiré !) a marqué tout une generation d'auteurs telle que Vatine wendling lauffray springer bajram,thierry Robin, la liste est longue... De la même trampe que son compagnon Franck Miller, cette BD reste un l'incontournable du comics! le scenarion est simple et lisible grace a une narration des plus claires! si on analyse tous les nouveaux comics, on s'aperçoit qu'ils sont bourrés de clins d'oeil , que se soit au niveau des cadrages, comme des mises en pages osées! (ex: battle chasers) Mignola a eu du mal a se faire entendre de son style , les editeurs trop hesitant de voir en face d'eux un trait poussé en clarté des aplats noir franc (des masses) et au resultat un dessin surement trop épuré a leur gout. Hellboy sera l'exemple a suivre pour tout les futurs auteurs de BD/Comics La SF voit la de beaux jours en perspectives, pourvu que l'on en abuse pas malgré tout Hellboy doit rester Hellboy