J'ai découvert Brrémaud avec "Kochka", que j'ai lu à peu près deux heures avant de lire "Banana Fight". Alors, ceux qui ont lu mon avis concernant "Kochka" le savent, je ne suis pas tombé fou d'admiration devant son scénario. C'est donc que moyennement motivé que je me lance dans la lecture de Banana Fight.
Et là, je suis scié.
C'est drôle, c'est gore, c'est décalé,... J'adore. On commence par une jolie histoire de jeunes voyous pour passer à un récit étrange avec un monstre violet, puis on arrive dans un western, dans une histoire de bandits, de science-fiction, d'horreur, même... Et tout ça en 46 pages. C'est pas commun, avouez-le.
Mais du coup, on a du mal à voir quel public est ciblé par cette BD. Dans tout les cas, moi, j'adore. C'est fabuleux.
Quant aux dessins de Reynes, ce sont eux qui m'ont poussé à acquérir cet album. Ils sont aussi déments que le scénario, et donc, correspondent parfaitement. A quand la suite?
Bon, moi, j'adore "le Marsupilami" dans Spirou, et donc, pas étonnant que je le trouve toujours aussi attachant dans sa propre série. Les dessins sont fabuleux (décors, animaux, personnages...) et les scénarios passent de franchement médiocres ("Mars le noir", "le bébé du bout du monde") à exceptionnels ("le papillon des cimes", "le pollen du mont"...).
Donc, rien à rajouter sur cette série originale et génialement divertissante.
Alors contrairement à la plupart, je ne connaissais pas Tom Tirabosco (ou très peu) avant de découvrir "L'oeil de la forêt". Les dessins sont effectivement extraordinaires (bien que particuliers).
Et j'avoue que je ne m'attendais pas, mais alors pas du tout à un thriller de ce genre. Je m'attendais à une gentille histoire sur le rapport entre les enfants et la nature, les animaux, la magie (genre Chabouté ou Comès), et si l'histoire démarre à peu près comme je l'attendais, on finit par déraper dans la BD pour grands ados. Et du coup, je suis un peu surpris par la tournure que prennent les événements.
Mais une fois plongé dans cette nouvelle ambiance, c'est vrai que cette BD est une oeuvre vraiment exceptionnelle. Mais évidemment, si on la prend comme un thriller à proprement parler, on risque d'être déçu. Car c'est malgré tout assez lent et assez simple.
Mais ça reste très divertissant. Bucolique...
Je suis tout de suite tombé amoureux du "style" de cette BD. La mise en page, les couleurs, les dessins, les jeux d'angle... Donc, je l'achète et je la lis.
Et que dire, que c'est l'une des plus divertissantes BD qu'il m'ait été donné de lire. C'est sympa, c'est naïf, c'est... formidable. Du début à la fin, un vrai bonheur. On tourne les pages sans s'en rendre compte, et on arrive au bout sans avoir vu le temps passer, tellement on s'est amusé.
Génial! La suite, s.v.p.
Une très jolie surprise (merci Don Lope).
Je cherchais désespérément une bande dessinée érotique qui mette en scène la sensualité et le désir, au lieu d'un sexe pornographique et vulgaire... Bon, ma recherche n'est pas totalement satisfaite vu qu'il s'agit plus de nouvelles illustrées que de véritables bandes dessinées... Mais, cet album est vraiment digne d'intéret. Il se décompose en trois histoires, et aucune ne m'a déçue.
- La première est une sorte de courte poésie en prose qui m'a laissée assez perplexe... Il y a un texte (très joliment écrit)... Il y a des dessins (superbes)... Mais le lien entre les deux ne m'est pas apparu comme évident... :D
- La seconde est à mon avis la meilleure... Dans une ambiance médiévale, à la nuit de la Saint Jean, un jeune noble puceau va découvrir les plaisirs offerts par le corps des femmes et, petit à petit, apprendre à en donner. Cru mais non dénué de finesse, et délicieusement sensuel. La narration alterne entre texte et dessin... C'est très original.
- La troisième histoire m'a, de prime abord, un peu moins attirée, sans doute car elle se déroule dans l'atmosphère décadente du carnaval de Venise, et met en scène des rapports complexes de dominant-dominé qui, a priori, ne m'attirent pas vraiment. L'héroïne est une jeune fille de province au trouble passé qui, sous une apparence docile, cache en fait un grand appétit et une grande maîtrise du sexe... Je n'en dévoilerai pas plus pour ne pas gâcher l'ambiance de ce récit plein de suspense... Mais sachez que la fin est délicieuse.
Bref, un très bel album, à conseiller à tous ceux et celles qui aiment l'érotisme cru et sensuel.
Je n'avais jamais entendu parler de Fabrice Lebeault avant de lire "Horologiom" et franchementl, il est doué. Très doué, même. L'univers farfelu dans lequel il nous entraîne est tout bonnement fabuleux. Les personnages sont géniaux, les décors incroyables et les couleurs fabuleuses. Quelle ville, mais quelle ville! C'est beau.
Le scénario est d'une impressionnante ingéniosité et cette série mériterait sans aucun doute la note maximale si la fin n'était pas si médiocre. En effet, le tome 5 n'est pas du tout à la hauteur de ce que l'on pouvait en attendre. Tant pis.
De l'excellent Morvan, je suis enthousiasmé alors que nombre de ses dernières BD m'ont plutôt déçues (Al'Togo, Troll 4, La Mandiguerre, notamment).
JDM dresse un portrait acerbe de notre proche futur en s'inspirant très fortement de "Strange Days", le sous évalué film de Kathryn Bigelow, à savoir que non seulement on assiste à de la real TV bien trash mais en plus on peut ressentir ce que les protagonistes ressentent! Morvan est cynique à souhait et démonte dans l'intimité des coulisses le mythe autour de son héros, un looser qui a perdu l'amour de sa vie et n'existe que pour le show et les paillettes.
L'enquête elle-même sur le serial killer part plutôt bien et intrigue par son côté surnaturel. Le tome 2 répond aux attentes suscitées et livre un coup de théâtre final plutôt sympa; il est qualitativement tout à fait égal au premier, chose toujours agréable. Le tome 3 conclut sans faux pas le premier cycle même si la clé de l'énigme était attendue.
Aux dessins, l'espagnol Francis Porcel fait un superbe boulot en revisitant l'architecture barcelonaise mais je regrette vraiment la petitesse des cases et leur grand nombre, ça a moins de gueule et ça rend la lecture un peu pénible parfois (c'est une constante dans les derniers albums de JDM).
Ceci dit, quand on pense qu'aux Etats-Unis, il existe, depuis un moment déjà, des émissions de Real TV suivant les flics locaux lors des arrestations qu'ils effectuent (et souvent les morts que ces interventions laissent dans la rue), quand on voit que le journal de 20h, quelle que soit la chaine, exhibe les cadavres de tous pays où que la presse à scandale se bat pour un cliché d'un Cantat dans l'isoloir ou d'une Marie Trintignant dans le coma, on se rend compte que JDM n'est finalement pas tant dans l'anticipation que ça.
J'étais tout de suite tombé sous le charme du dessin d'Andreae et donc, il ne m'a pas fallu longtemps avant de me décider à acheter cet album. Et alors? Et bien effectivement, le design est grandiose. Précis, clair, brillant, décors superbes... GRANDIOSE!
Puis, le scénario est absolument remarquable. Je ne connaissais pas du tout Fitou mais je dois avouer que c'est un très grand scénariste. Bon, ça peut paraître un peu enfantin et le texte n'est pas forcément incroyable. Néanmoins, on s'attache aux personnages et on plonge dans leurs aventures avec délice. Certaines situations sont fabuleuses, comme la scène de l'interrogatoire dans la chambre froide. Génial!
Donc, "franchement bien", voici un terme qui convient parfaitement à "Oceanica".
Voici la "suite" du "corbac aux baskets".
Et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est toujours aussi jouissif. L'absurde, la poësie, l'humour noir... Tout ce qu'on avait adoré dans l'"histoire du corbac aux baskets" revient pour notre plus grand bonheur. Bon, les dessins ne sont toujours pas extraordinaires et l'histoire en elle-même est quand-même moins farfelue que celle du corbac. Mais si on considère cet album comme n'importe lequel,(c'est-à-dire, sans le comparer à un autre), c'est vrai que ça reste exceptionnel.
Le scénario, les personnages, les textes... Du tout grand Fred.
Je ne peux pas aller jusqu'à culte. Le scénar est vraiment béton et les dessins n'en parlons même pas... magnifiques. Mais ce qui m'a gênée dans la lecture, c'est la mise en page, c'est juste un peu trop trop... enfin pas assez clair.
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Banana fight
J'ai découvert Brrémaud avec "Kochka", que j'ai lu à peu près deux heures avant de lire "Banana Fight". Alors, ceux qui ont lu mon avis concernant "Kochka" le savent, je ne suis pas tombé fou d'admiration devant son scénario. C'est donc que moyennement motivé que je me lance dans la lecture de Banana Fight. Et là, je suis scié. C'est drôle, c'est gore, c'est décalé,... J'adore. On commence par une jolie histoire de jeunes voyous pour passer à un récit étrange avec un monstre violet, puis on arrive dans un western, dans une histoire de bandits, de science-fiction, d'horreur, même... Et tout ça en 46 pages. C'est pas commun, avouez-le. Mais du coup, on a du mal à voir quel public est ciblé par cette BD. Dans tout les cas, moi, j'adore. C'est fabuleux. Quant aux dessins de Reynes, ce sont eux qui m'ont poussé à acquérir cet album. Ils sont aussi déments que le scénario, et donc, correspondent parfaitement. A quand la suite?
Marsupilami
Bon, moi, j'adore "le Marsupilami" dans Spirou, et donc, pas étonnant que je le trouve toujours aussi attachant dans sa propre série. Les dessins sont fabuleux (décors, animaux, personnages...) et les scénarios passent de franchement médiocres ("Mars le noir", "le bébé du bout du monde") à exceptionnels ("le papillon des cimes", "le pollen du mont"...). Donc, rien à rajouter sur cette série originale et génialement divertissante.
L'Oeil de la Forêt
Alors contrairement à la plupart, je ne connaissais pas Tom Tirabosco (ou très peu) avant de découvrir "L'oeil de la forêt". Les dessins sont effectivement extraordinaires (bien que particuliers). Et j'avoue que je ne m'attendais pas, mais alors pas du tout à un thriller de ce genre. Je m'attendais à une gentille histoire sur le rapport entre les enfants et la nature, les animaux, la magie (genre Chabouté ou Comès), et si l'histoire démarre à peu près comme je l'attendais, on finit par déraper dans la BD pour grands ados. Et du coup, je suis un peu surpris par la tournure que prennent les événements. Mais une fois plongé dans cette nouvelle ambiance, c'est vrai que cette BD est une oeuvre vraiment exceptionnelle. Mais évidemment, si on la prend comme un thriller à proprement parler, on risque d'être déçu. Car c'est malgré tout assez lent et assez simple. Mais ça reste très divertissant. Bucolique...
Gargouilles
Je suis tout de suite tombé amoureux du "style" de cette BD. La mise en page, les couleurs, les dessins, les jeux d'angle... Donc, je l'achète et je la lis. Et que dire, que c'est l'une des plus divertissantes BD qu'il m'ait été donné de lire. C'est sympa, c'est naïf, c'est... formidable. Du début à la fin, un vrai bonheur. On tourne les pages sans s'en rendre compte, et on arrive au bout sans avoir vu le temps passer, tellement on s'est amusé. Génial! La suite, s.v.p.
Troubles fêtes
Une très jolie surprise (merci Don Lope). Je cherchais désespérément une bande dessinée érotique qui mette en scène la sensualité et le désir, au lieu d'un sexe pornographique et vulgaire... Bon, ma recherche n'est pas totalement satisfaite vu qu'il s'agit plus de nouvelles illustrées que de véritables bandes dessinées... Mais, cet album est vraiment digne d'intéret. Il se décompose en trois histoires, et aucune ne m'a déçue. - La première est une sorte de courte poésie en prose qui m'a laissée assez perplexe... Il y a un texte (très joliment écrit)... Il y a des dessins (superbes)... Mais le lien entre les deux ne m'est pas apparu comme évident... :D - La seconde est à mon avis la meilleure... Dans une ambiance médiévale, à la nuit de la Saint Jean, un jeune noble puceau va découvrir les plaisirs offerts par le corps des femmes et, petit à petit, apprendre à en donner. Cru mais non dénué de finesse, et délicieusement sensuel. La narration alterne entre texte et dessin... C'est très original. - La troisième histoire m'a, de prime abord, un peu moins attirée, sans doute car elle se déroule dans l'atmosphère décadente du carnaval de Venise, et met en scène des rapports complexes de dominant-dominé qui, a priori, ne m'attirent pas vraiment. L'héroïne est une jeune fille de province au trouble passé qui, sous une apparence docile, cache en fait un grand appétit et une grande maîtrise du sexe... Je n'en dévoilerai pas plus pour ne pas gâcher l'ambiance de ce récit plein de suspense... Mais sachez que la fin est délicieuse. Bref, un très bel album, à conseiller à tous ceux et celles qui aiment l'érotisme cru et sensuel.
Horologiom
Je n'avais jamais entendu parler de Fabrice Lebeault avant de lire "Horologiom" et franchementl, il est doué. Très doué, même. L'univers farfelu dans lequel il nous entraîne est tout bonnement fabuleux. Les personnages sont géniaux, les décors incroyables et les couleurs fabuleuses. Quelle ville, mais quelle ville! C'est beau. Le scénario est d'une impressionnante ingéniosité et cette série mériterait sans aucun doute la note maximale si la fin n'était pas si médiocre. En effet, le tome 5 n'est pas du tout à la hauteur de ce que l'on pouvait en attendre. Tant pis.
Reality Show (Mediacop)
De l'excellent Morvan, je suis enthousiasmé alors que nombre de ses dernières BD m'ont plutôt déçues (Al'Togo, Troll 4, La Mandiguerre, notamment). JDM dresse un portrait acerbe de notre proche futur en s'inspirant très fortement de "Strange Days", le sous évalué film de Kathryn Bigelow, à savoir que non seulement on assiste à de la real TV bien trash mais en plus on peut ressentir ce que les protagonistes ressentent! Morvan est cynique à souhait et démonte dans l'intimité des coulisses le mythe autour de son héros, un looser qui a perdu l'amour de sa vie et n'existe que pour le show et les paillettes. L'enquête elle-même sur le serial killer part plutôt bien et intrigue par son côté surnaturel. Le tome 2 répond aux attentes suscitées et livre un coup de théâtre final plutôt sympa; il est qualitativement tout à fait égal au premier, chose toujours agréable. Le tome 3 conclut sans faux pas le premier cycle même si la clé de l'énigme était attendue. Aux dessins, l'espagnol Francis Porcel fait un superbe boulot en revisitant l'architecture barcelonaise mais je regrette vraiment la petitesse des cases et leur grand nombre, ça a moins de gueule et ça rend la lecture un peu pénible parfois (c'est une constante dans les derniers albums de JDM). Ceci dit, quand on pense qu'aux Etats-Unis, il existe, depuis un moment déjà, des émissions de Real TV suivant les flics locaux lors des arrestations qu'ils effectuent (et souvent les morts que ces interventions laissent dans la rue), quand on voit que le journal de 20h, quelle que soit la chaine, exhibe les cadavres de tous pays où que la presse à scandale se bat pour un cliché d'un Cantat dans l'isoloir ou d'une Marie Trintignant dans le coma, on se rend compte que JDM n'est finalement pas tant dans l'anticipation que ça.
Terre mécanique
J'étais tout de suite tombé sous le charme du dessin d'Andreae et donc, il ne m'a pas fallu longtemps avant de me décider à acheter cet album. Et alors? Et bien effectivement, le design est grandiose. Précis, clair, brillant, décors superbes... GRANDIOSE! Puis, le scénario est absolument remarquable. Je ne connaissais pas du tout Fitou mais je dois avouer que c'est un très grand scénariste. Bon, ça peut paraître un peu enfantin et le texte n'est pas forcément incroyable. Néanmoins, on s'attache aux personnages et on plonge dans leurs aventures avec délice. Certaines situations sont fabuleuses, comme la scène de l'interrogatoire dans la chambre froide. Génial! Donc, "franchement bien", voici un terme qui convient parfaitement à "Oceanica".
L'Histoire du conteur électrique
Voici la "suite" du "corbac aux baskets". Et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est toujours aussi jouissif. L'absurde, la poësie, l'humour noir... Tout ce qu'on avait adoré dans l'"histoire du corbac aux baskets" revient pour notre plus grand bonheur. Bon, les dessins ne sont toujours pas extraordinaires et l'histoire en elle-même est quand-même moins farfelue que celle du corbac. Mais si on considère cet album comme n'importe lequel,(c'est-à-dire, sans le comparer à un autre), c'est vrai que ça reste exceptionnel. Le scénario, les personnages, les textes... Du tout grand Fred.
Sha
Je ne peux pas aller jusqu'à culte. Le scénar est vraiment béton et les dessins n'en parlons même pas... magnifiques. Mais ce qui m'a gênée dans la lecture, c'est la mise en page, c'est juste un peu trop trop... enfin pas assez clair. A lire, relire, rerelire, enfin à avoir chez soi.