Une bonne BD assez délirante où Fred décrit un monde complétement délirant et où l'auteur se laisse aller à ses "fantasmes" les plus fous. Cependant ce qui ne m'a pas permis, de peut-être, apprécier son travail à sa juste valeur, c'est le dessin auquel je n'accroche vraiment pas, dommage (surtout pour moi).
C'est clair que ce n'est pas la meilleur BD qui m'est été conseillé mais elle reste pour moi un bon divertissement.
Ainsi on constate une multitude de références actuelles (surtout des films).
On a donc une BD de second choix au dessin moyen et avec un scénario loin d'être prise de tête.
Une BD sympa... Le dessin est pas superbe mais on s'y fait vite et on s'y attache peu à peu.
L'histoire est étrange, inconpréhensible, on attend toujours la suite, on veut comprendre... Pourquoi a t-il touché ce cheque? La réponse n'arrive jamais comme si le scénariste lui même n'y avait pas trouvé de réponse. Donc l'histoire tourne en rond sur la fin et c'est bien dommage parce que ça devenait bien prenant!
Je m'attendait évidemment à une meilleure fin mais bon la BD n'est pas si mal non plus et on peut y prendre quelque peu de plaisir...
Non ce n'est pas une BD indispendable mais ça se lit tranquilement et ça fait réel!
Humour, graphisme rapprochant de celui de Will Eisner, dont Terry More s'en fait un peu l'héritier.
L'énigme est bien ficelé, des bons délires, plans foireux, les méchants se font doubler par une espiègle et maline Katchoo,et les gaffes de Francine.
Le noir et blanc tres bien géré, un trait impecable, des dialogues corosif, excellente cohérence du scénario,un suspense bien menné avec beaucoup de rebondissements, une peinture vitriollée du Gangsterisme et de la société US...
"Les aigles décapitées" sont une réussite, tant sur le plan scénaristique que graphique. Si justement le graphisme est on ne peut plus classique, il brille par sa fluidité et sa clarté. Jamais les dessins ne sont un obstacle à la lecture, bien au contraire. Malgré le fait que trois dessinateurs différents se soient relayés, ils constituent un complément parfait à l'histoire qu'ils servent.
J'aime bien, du Binet loin d'être transcendant mais qui reste tout de même assez bon dans l'ensemble.
Bon je vais pas m'attarder, en clair si vous appréciez le travail de l'auteur vous aimerez, sinon ... bah ... vous aimerez pas.
Un western plutôt sympathique, moi qui d'habitude n'en suis pas un grand fan. Sans doute le fait que les personnages principaux soient féminin, on en a pas vraiment l'habitude dans les western :)
Le dessin est agréable, les couleurs bien choisies, et même si le scénario reste classique (de la bande de mexicains au duel dans la rue) l'album reste un bon investissement :)
Comme l'histoire cet album est très étrange, imprimé en vert et blanc où Nicole Claveloux nous entraîne dans un monde très personnel, celui de l'imaginaire.....
Il manque pourtant quelque chose pour que l'histoire m'accroche vraiment (une sensibilité peut-être trop féminine pour moi...)
J'ai aimé, je n'ai pas aimé, je ne sais pas vraiment! mais je suis restée sur ma faim avec cet album. Mais dans les pays imaginaires y a-t-il réellement une fin ?
Par contre l'album est entre-coupé par des "Temps Morts" sur la vie d'un couple de bigorneaux sur une plage. Très marrant.
Album déroutant.
Sorti du contexte belgo-belge défini par Steril cette BD montre ce qu'aurait pu être notre pays entre les mains de celui que l'on ne nomme pas.
La mise en place du régime fasciste est rapide et n'épargne aucune rêgle du parti : extermination des vieux, trains à immigrés, lavage de cerveau pour les "déviants", fermeture des frontières ... Et l'organisation de l'opposition n'est pas une chose facile, la confiance ne peut pas être donnée à n'importe qui ...
Les dessins sont assez spéciaux mais aprés avoir lu "La Hyène" tout semble beau et agréable à regarder :) toute fois j'aime bien les couleurs, surtout celles des personnages.
le second volume montre limites de ces sytèmes gouvernementaux et la montée du contre pouvoir. Craan est la personne rêvée pour accomplir ce genre d'action, personne ne le pleurera.
Comme je l'avais déjà dit pour Just a Pilgrim, l'Irlandais G. Ennis est l'un des meilleurs scénaristes et dialoguistes anglos-saxons actuels, mais ses meilleurs titres attendent toujours d'être traduits ou retraduits de notre côté de l'Atlantique. Pourquoi ni Semic, ni Soleil, ni Rackham, ni Editions USA, ni Delcourt ne tentent de rééditer Preacher ? Verra-t-on "War Story" débarquer chez nous ?
En attendant, il faut se contenter de séries moins intéressantes, comme ici, celle qu'Ennis et son compère S. Dillon (qui a collaboré avec lui sur Preacher, "Heartland" et quelques épisodes de Judge Dredd) ont consacré au Punisher pour la collection "Marvel Knights".
Le Punisher, à la base, c'est pas trop ma tasse de thé... Un héros qui se permet d'appliquer la peine de mort, déjà, ça craint (les autres super-héros ne tuent généralement que par accident ou lorsqu'ils n'ont vraiment pas d'autre choix), alors si en plus, il l'applique systématiquement à tous ceux qui enfreignent la loi, et sans procès, alors là, ça fait carrément chier ! Et comme il n'a aucune vie en dehors de son activité de justicier, il n'y a vraiment pas grand chose qui ne le rende pas totalement atipathique, ce gros facho...
Il fallait donc bien le talent d'un Garth Ennis pour réussir à me faire lire 4 volumes des aventures de ce type... Bons dialogues, scénar pas foncièrement original mais qui tient la route, et surtout, un certain sens du second degré, histoire de nous faire comprendre que bon, l'idéologie du Punisher, ça doit rester dans les BD, parce que dans la vraie vie, "un bon délinquant est un délinquant mort", c'est un concept qui pue ! Alors Ennis donne dans l'outrance, en faisant évoluer son Punisher dans un univers à la limite du cartoon... Quand il tue un méchant, il le fait rarement de façon réaliste, en lui logeant simplement une balle dans la tête ; non, pour tuer un méchant, le Punisher y va au lance-flammes, à la mitrailleuse lourde, à la grenade, ou bien en le balançant du haut de l'Empire State Building, ou en le jetant en pâture à un ours... Les méchants, justement, sont d'authentiques méchants de BD, pas des méchants réalistes : Ma Gnucci est une femme-tronc hystérique capable de faire exécuter ses hommes de mains un par un sous ses yeux juste parce qu'ils posent des question qui l'agacent, le Russe est un géant débile et invincible à qui le Punisher sera obligé de couper la tête pour l'arrêter, et qui résuscitera sous forme de cyborg transexuel... Tout ça pour nous dire, finalement : attention les gars, ce que fait le Punisher, ça n'est acceptable que dans une BD, et encore, dans une BD de pur divertissement ne se prenant pas du tout au sérieux.
Dans ces conditions, la pilule "Punisher" passe, et la série se laisse lire avec plaisir (le tome 4 est cependant moins intéressant que les 3 premiers). Il n'y a cependant pas de quoi crier au génie, et on ne peut pas dire que cette série restera dans les annales.
**à propos de l'avis de woody**
"résumé : il y a la guerre civile en Irlande pasque les méchants irlandais tuent les gentils anglais"
Personnellement ce n'est pas du tout comme ça que j'interpèrte cet épisode... Pour moi, le message d'Ennis, c'est plutôt que l'Irlandais de base n'a pas forcément envie d'obtenir l'indépendance par rapport au Royaume-Uni, et que si les combats continuent de ravager sa chère ville natale au nom de l'indépendance, c'est surtout parce que la pègre du coin les encourage en douce parce qu'elle profite de ce climat de guerre, et pas tellement parce que des indépendantistes idéalistes veulent libérer le bon peuple du joug de la perfide Albion. Voilà. Maintenant, je peux me tromper, hein.
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Philémon
Une bonne BD assez délirante où Fred décrit un monde complétement délirant et où l'auteur se laisse aller à ses "fantasmes" les plus fous. Cependant ce qui ne m'a pas permis, de peut-être, apprécier son travail à sa juste valeur, c'est le dessin auquel je n'accroche vraiment pas, dommage (surtout pour moi).
Spoon & White
C'est clair que ce n'est pas la meilleur BD qui m'est été conseillé mais elle reste pour moi un bon divertissement. Ainsi on constate une multitude de références actuelles (surtout des films). On a donc une BD de second choix au dessin moyen et avec un scénario loin d'être prise de tête.
Le saumon
Une BD sympa... Le dessin est pas superbe mais on s'y fait vite et on s'y attache peu à peu. L'histoire est étrange, inconpréhensible, on attend toujours la suite, on veut comprendre... Pourquoi a t-il touché ce cheque? La réponse n'arrive jamais comme si le scénariste lui même n'y avait pas trouvé de réponse. Donc l'histoire tourne en rond sur la fin et c'est bien dommage parce que ça devenait bien prenant! Je m'attendait évidemment à une meilleure fin mais bon la BD n'est pas si mal non plus et on peut y prendre quelque peu de plaisir... Non ce n'est pas une BD indispendable mais ça se lit tranquilement et ça fait réel!
Strangers in Paradise
Humour, graphisme rapprochant de celui de Will Eisner, dont Terry More s'en fait un peu l'héritier. L'énigme est bien ficelé, des bons délires, plans foireux, les méchants se font doubler par une espiègle et maline Katchoo,et les gaffes de Francine. Le noir et blanc tres bien géré, un trait impecable, des dialogues corosif, excellente cohérence du scénario,un suspense bien menné avec beaucoup de rebondissements, une peinture vitriollée du Gangsterisme et de la société US...
Les Aigles décapitées
"Les aigles décapitées" sont une réussite, tant sur le plan scénaristique que graphique. Si justement le graphisme est on ne peut plus classique, il brille par sa fluidité et sa clarté. Jamais les dessins ne sont un obstacle à la lecture, bien au contraire. Malgré le fait que trois dessinateurs différents se soient relayés, ils constituent un complément parfait à l'histoire qu'ils servent.
Monsieur le Ministre
J'aime bien, du Binet loin d'être transcendant mais qui reste tout de même assez bon dans l'ensemble. Bon je vais pas m'attarder, en clair si vous appréciez le travail de l'auteur vous aimerez, sinon ... bah ... vous aimerez pas.
Trio Grande - Adios Palomita
Un western plutôt sympathique, moi qui d'habitude n'en suis pas un grand fan. Sans doute le fait que les personnages principaux soient féminin, on en a pas vraiment l'habitude dans les western :) Le dessin est agréable, les couleurs bien choisies, et même si le scénario reste classique (de la bande de mexicains au duel dans la rue) l'album reste un bon investissement :)
Morte Saison
Comme l'histoire cet album est très étrange, imprimé en vert et blanc où Nicole Claveloux nous entraîne dans un monde très personnel, celui de l'imaginaire..... Il manque pourtant quelque chose pour que l'histoire m'accroche vraiment (une sensibilité peut-être trop féminine pour moi...) J'ai aimé, je n'ai pas aimé, je ne sais pas vraiment! mais je suis restée sur ma faim avec cet album. Mais dans les pays imaginaires y a-t-il réellement une fin ? Par contre l'album est entre-coupé par des "Temps Morts" sur la vie d'un couple de bigorneaux sur une plage. Très marrant. Album déroutant.
Une aventure de Gérard Craan
Sorti du contexte belgo-belge défini par Steril cette BD montre ce qu'aurait pu être notre pays entre les mains de celui que l'on ne nomme pas. La mise en place du régime fasciste est rapide et n'épargne aucune rêgle du parti : extermination des vieux, trains à immigrés, lavage de cerveau pour les "déviants", fermeture des frontières ... Et l'organisation de l'opposition n'est pas une chose facile, la confiance ne peut pas être donnée à n'importe qui ... Les dessins sont assez spéciaux mais aprés avoir lu "La Hyène" tout semble beau et agréable à regarder :) toute fois j'aime bien les couleurs, surtout celles des personnages. le second volume montre limites de ces sytèmes gouvernementaux et la montée du contre pouvoir. Craan est la personne rêvée pour accomplir ce genre d'action, personne ne le pleurera.
Punisher (Ennis/Dillon)
Comme je l'avais déjà dit pour Just a Pilgrim, l'Irlandais G. Ennis est l'un des meilleurs scénaristes et dialoguistes anglos-saxons actuels, mais ses meilleurs titres attendent toujours d'être traduits ou retraduits de notre côté de l'Atlantique. Pourquoi ni Semic, ni Soleil, ni Rackham, ni Editions USA, ni Delcourt ne tentent de rééditer Preacher ? Verra-t-on "War Story" débarquer chez nous ? En attendant, il faut se contenter de séries moins intéressantes, comme ici, celle qu'Ennis et son compère S. Dillon (qui a collaboré avec lui sur Preacher, "Heartland" et quelques épisodes de Judge Dredd) ont consacré au Punisher pour la collection "Marvel Knights". Le Punisher, à la base, c'est pas trop ma tasse de thé... Un héros qui se permet d'appliquer la peine de mort, déjà, ça craint (les autres super-héros ne tuent généralement que par accident ou lorsqu'ils n'ont vraiment pas d'autre choix), alors si en plus, il l'applique systématiquement à tous ceux qui enfreignent la loi, et sans procès, alors là, ça fait carrément chier ! Et comme il n'a aucune vie en dehors de son activité de justicier, il n'y a vraiment pas grand chose qui ne le rende pas totalement atipathique, ce gros facho... Il fallait donc bien le talent d'un Garth Ennis pour réussir à me faire lire 4 volumes des aventures de ce type... Bons dialogues, scénar pas foncièrement original mais qui tient la route, et surtout, un certain sens du second degré, histoire de nous faire comprendre que bon, l'idéologie du Punisher, ça doit rester dans les BD, parce que dans la vraie vie, "un bon délinquant est un délinquant mort", c'est un concept qui pue ! Alors Ennis donne dans l'outrance, en faisant évoluer son Punisher dans un univers à la limite du cartoon... Quand il tue un méchant, il le fait rarement de façon réaliste, en lui logeant simplement une balle dans la tête ; non, pour tuer un méchant, le Punisher y va au lance-flammes, à la mitrailleuse lourde, à la grenade, ou bien en le balançant du haut de l'Empire State Building, ou en le jetant en pâture à un ours... Les méchants, justement, sont d'authentiques méchants de BD, pas des méchants réalistes : Ma Gnucci est une femme-tronc hystérique capable de faire exécuter ses hommes de mains un par un sous ses yeux juste parce qu'ils posent des question qui l'agacent, le Russe est un géant débile et invincible à qui le Punisher sera obligé de couper la tête pour l'arrêter, et qui résuscitera sous forme de cyborg transexuel... Tout ça pour nous dire, finalement : attention les gars, ce que fait le Punisher, ça n'est acceptable que dans une BD, et encore, dans une BD de pur divertissement ne se prenant pas du tout au sérieux. Dans ces conditions, la pilule "Punisher" passe, et la série se laisse lire avec plaisir (le tome 4 est cependant moins intéressant que les 3 premiers). Il n'y a cependant pas de quoi crier au génie, et on ne peut pas dire que cette série restera dans les annales. **à propos de l'avis de woody** "résumé : il y a la guerre civile en Irlande pasque les méchants irlandais tuent les gentils anglais" Personnellement ce n'est pas du tout comme ça que j'interpèrte cet épisode... Pour moi, le message d'Ennis, c'est plutôt que l'Irlandais de base n'a pas forcément envie d'obtenir l'indépendance par rapport au Royaume-Uni, et que si les combats continuent de ravager sa chère ville natale au nom de l'indépendance, c'est surtout parce que la pègre du coin les encourage en douce parce qu'elle profite de ce climat de guerre, et pas tellement parce que des indépendantistes idéalistes veulent libérer le bon peuple du joug de la perfide Albion. Voilà. Maintenant, je peux me tromper, hein.