Paradis perdu

Note: 2.71/5
(2.71/5 pour 31 avis)

Il suffit d'un faux pas... ... pour traverser la frontière qui sépare le Paradis et l'Enfer.


Anges Diables et démons La BD au féminin Lanfeust Mag

Un Ange, un jour, a fait ce faux pas pour sauver un enfant. Quelques minutes de l'autres coté auront suffi pour qu'il en voit trop.... pour qu'il se trouve pris, sans le savoir, dans un piege qui décidera de l'avenir de l'humanité... pour qu'il décide d'aller chercher, à la force de l'épée, la démone dont il a entrevu le visage et qui hante ses rêves depuis toujours... La descente aux Enfers a commencé.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Avril 2002
Statut histoire Série terminée 4 tomes parus

Couverture de la série Paradis perdu © Soleil 2002
Les notes
Note: 2.71/5
(2.71/5 pour 31 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

28/11/2001 | Kael
Modifier


L'avatar du posteur Noirdésir

Bon, ben là, je dis non ! J’ai failli mettre deux étoiles, en arrondissant, pour le dessin, mais, vu comment je me suis fait ch… en lisant l’intégrale (heureusement empruntée – j’ai une petite pensée pour ceux qui l’ont achetée !...), et bien ce sera une étoile et un conseil très appuyé pour éviter de perdre son argent (c’est sûr), mais aussi son temps avec cette série ratée. Autant le dire tout de suite, je n’ai pas compris grand-chose de cette histoire, et le peu que j’y ai discerné m’a paru hautement indigeste. En effet, ces histoires d’anges, de démons sont d’emblée obscures (ceci étant aggravé par un découpage, voire une explosion des cases) : le lecteur est perdu. Et quand on retrouve la trace de l’intrigue, on tombe alors sur les dialogues, qui sont souvent affligeants, lourds, redondants et/ou sans intérêt. On ne peut s’attacher ni aux personnages ni à l’intrigue ! Reste le dessin, convenable. Le changement de dessinateur – que je n’aime généralement pas au sein d’une même série n’est ici pas trop préjudiciable, même si je préfère le dessin des personnages de Xavier. Le dessin est en tout cas l’aspect le moins raté de la série (même s’il n’est pas non plus génial). Je suis très étonné par les quelques « bonnes notes » recueillies par « Paradis Perdu » sur ce site. Comme quoi, les goûts et les couleurs… Dispensable !!!

18/01/2017 (modifier)
Par sloane
Note: 1/5
L'avatar du posteur sloane

Aïe, Aïe, Aïe! Qui a décidé sur le site qu'un avis devait être un poil charpenté, avoir des arguments sur le scénario, le dessin, vous savez quoi les trucs qui font qu'on aime, un peu, beaucoup, à la folie, etc.... Argumentez qu'ils disaient, j'aimerais bien, mais quoi c'est l'heure?, la fatigue?, ce que j'ai lu dernièrement? Je dois et j'ai envie de respecter la charte du site, mais franchement c'est pas possible. Emprunté dans ma bibliothèque favorite je me suis dit après un bref regard et au vu de la quatrième de couv que ça pouvait être pas mal. Re aïe. Le premier truc qui m'a fait craquer c'est qu'en moins de deux pages il y avait des raccourcis vraiment trop. Un gars, on s'en fout de qui c'est, descend dans le métro et trouve un gamin, pourquoi il est là ?, le gars se dit qu'il faut le sauver, ah oui lui il sait c'est un ange mineur, (J'adore cette expression! Tu fais quoi dans la vie? Moi, Ange mineur, genre le type il a raté son exam sinon il était Ange majeur, à propos de majeur...., non interdit!!!) Certains s'esbaudissent sur le dessin, soit! Personnellement je vous conseillerais de vous abstenir.

16/01/2015 (modifier)
Par zébu
Note: 1/5

Après la lecture des 4 tomes Une série qui n'a vraiment rien pour elle, à part peut être les dessins et encore il faut aimer le style. Car au niveau du scénario ça n'a ni queue ni tête, on n'y comprend pas grand chose et je parle même pas des dialogues d'une bêtise et d'une pauvreté affligeante. Pour moi une pure série commerciale qui ne raconte, au final, que du vent. Je mets 1.5 uniquement pour les dessins ; dès que je peux je revends ces 4 tomes.

04/11/2011 (MAJ le 24/11/2011) (modifier)

ATTENTION SPOILERS (et accessoirement, énorme pavé indigeste!) Bon, par où commencer... Causons un peu de l’histoire : il était une fois Gabriel, un ange mineur (non, il ne creuse pas), Veilleur responsable de la surveillance d’un passage entre le Paradis, la Terre et l’Enfer, qui rencontre fortuitement une charmante tête blonde en la personne de Julien qui a eu la mauvaise idée de traverser ledit passage. Le beau châtain (c’est même pas un beau brun ténébreux) décide de tirer le garçon de ce mauvais pas... et au cours de ce haut fait viril (et sanglant), il aperçoit une ange-démone qu’il a bien connue, aux prises avec des méchants démons tout pas beaux. Après avoir récupéré le gamin, il décide d’aller rechercher la fille, faisant fi de son statut de larbin céleste...mais le Julien en question semble attiser les convoitises d’En-Haut comme d’En-Bas ! Et la petite balade en Enfer de commencer... Eliminons d’abord la question de l’histoire : je n’ai pas aimé, je me suis ennuyé ! Dire que ça tient sur un papier à cigarette tient de l’euphémisme, un Dead Hunter ou un 666 est plus fourni ! Un gamin fait une petite promenade en Enfer, rencontre un bonhomme ailé qui se fritte avec des démons et des chiens écorchés qui sortent des murs. Il fait en plus la connaissance d’un séraphin, une grosse huile céleste. Et bien, il admire tout ce beau monde comme si c’était tout naturel... Il se contente juste de trouver Gabriel gentil et tous les autres méchants... c’est beau l’innocence. C’est pratique surtout et ça a bon dos ! Et puis ces dialogues... Mise en situation : Gabriel et le gamin sont en enfer, le petit vient d’être à nouveau sauvé par l’ange et celui-ci lui fait un petit topo de la situation (admirez au passage la coïncidence qui veut que Gabriel retrouve Julien au beau milieu de l’Enfer, pile poil pour le sauver des griffes d’un gros tout moche… les voies du Seigneur sont décidément impénétrables) : Gaby : « J’ai interrogé le précédent occupant de ce costume (celui qu’il porte, un truc moulant, je vous dis que ça!) » Juju : « Interrogé... ? » « Oh. » Gaby : « Elle doit être dans le huitième cercle. C’est là qu’ils les détiennent. » Juju : « Elle ? » « Oh elle. » « Je l’avais presque oubliée. » En image, c’est encore plus ridicule... un beau dialogue de sourds. Deuxième moment d’anthologie : Quand tout notre beau monde s’échappe du huitième cercle, Anya (l’ange-démone) et Juju parviennent à sortir d’un puits et Anya (vous savez, l’ange-démone) donne un coup de tatane à Gaby qui manque de se gaufrer au niveau d’en-dessous... Juju : « Tu l’as poussé, tu as essayé de le tuer. » Anya : « Je suis un démon. Qu’est-ce que vous croyiez ? » Pour se raviser l’image suivante : « Cela ne se reproduira plus. J’ai agi sur une impulsion, et c’était stupide. J’ai besoin de vous pour… » Warf, warf, warf ! t’appelles ça un dialogue crédible? C’est niveau série Z ! du nanar pure souche ! Autre scène inoubliable (je ne sais plus si c’est avant ou après la scène du puits) : quand Anya se fout à poil pour allumer un démon et l’occire par la suite. J’ai l’impression que l’on revisite le coup de la jeune fille charmante qui remonte sa jupe pour montrer ses belles guiboles au garde vicelard avant de lui asséner un coup de latte magistral, tout occupé qu’il était à mater. Mais attention, ici, on fait dans le sophistiqué ! c’est du chiadé. Très approximativement (m’en souviens plus) : Anya : « Grokhlr, tu m’as toujours désirée. » Grokhlr : « Oh oui, je n’ai jamais cessé de penser à toi. » Anya : « Tu peux enfin serrer dans tes bras ce corps dont tu as toujours rêvé. » Grokhlr : « Oh oui, oh oui. » Anya : « Han ! (elle le poignarde) » Grokhlr : « Gargl ! (il est poignardé) » C’est à peine exagéré, c’est juste plus dégoulinant de mauvais dialogues pompeux dans l’original. Franchement, ce passage tombe comme un cheveu sur la soupe. On ne savait absolument rien de la relation des deux personnages et on nous sert une histoire d’amour avoué à demi-mots. On nous présente (brièvement) un démon pas si démoniaque que ça, plutôt fleur bleue, limite langoureux! Pas très crédible, surtout quand on connaît le boulot dudit démon (garde, a priori) et quand on a une vague idée de l’activité favorite des démons en général (ça cogne très fort un démon, sur la tête de préférence). On nous balance aussi une séance de gonzesse à poil, à la plastique certes fort sympathique, mais qui ne sert à rien sauf à émoustiller quelques adolescents. Et après, on a un Gaby qui ne trouve rien d’autre à faire que de plaindre le pauvre démon qui s’est lâchement fait planté (« c’est monstrueux »), reprochant à Anya d’avoir trahi sa confiance (au démon), et elle de rétorquer : « Oui il me connaissait et parce qu’il me connaissait, il aurait vu qu’il ne fallait pas me faire confiance. » En fait, je crois que c’est cette histoire de confiance qui doit justifier cette scène qui elle-même est complémentaire de celle du puits. En gros, Anya dit : « Je suis une méchante fille, c’est pour ça qu’il ne faut pas me faire confiance ! ». Je parie qu’il faut interpréter : « Gaby, je t’aime, mais j’ai une mission à remplir. Et ce que j’ai à faire, tu ne le comprendrais pas et ne l’approuverais pas. Alors surtout, ne cherche pas à me suivre. Je ne veux pas te retrouver pour te perdre à nouveau. Je ne veux pas te faire souffrir davantage. Ne m’en veux pas, je t’en prie. Adieu mon amour ! » Je vois ça gros comme une maison... enfin, sait-on jamais, Ange a une imagination plus fertile que la mienne (normal, à deux). On a donc un des rôles principaux, Gaby, un ange tout de même, le truc qu’on ne voit pas tous les jours sauf quand on abuse de stupéfiants, un type à la base qu’on se dit : « Houa didonc, ça doit être ’achement costaud un emplumé comme ça, ça doit savoir plein de trucs sur les choses de la vie ! » Et ben non, c’est qu’un tâcheron, un nettoyeur de chiottes qui ne comprend même pas ce qui lui arrive, un type rattrapé et torturé par son passé, englouti par quelque chose qui le dépasse. On lui adjoint un mystérieux gamin (serait-ce l’antéchrist ?) sur lequel tout le monde voudrait foutre le grappin, on assaisonne ça de sentiments bien niaisous, avec l’Apocalypse en filigrane. Les anges supérieurs (Séraphi en l'occurrence) sont des incapables, même pas foutus de choper un gamin. Et on nous ressert, histoire d'être très original, les interrogations de ces fichues bestioles ailées à propos des obscures desseins du grand Manitou, que même elles, des créatures divines, ne peuvent saisir (quand on vous dit qu'elles sont impénétrables, ses voies!). Ange a sûrement voulu aborder de grandes thématiques (avec le Bien, le Mal, la Mort, la Vie, on peut faire plein de choses), mais franchement, j'ai pas trop cherché à comprendre... j'ai peut-être eu tort. En gros, une histoire qui se veut sérieuse... moi je dis prétentieuse. A vous de juger. Au tour du dessin maintenant... Je suis assez embêté. Varanda est loin d’être un manchot et il n’est pas mauvais dans les scènes d’action. Je trouve qu’il maîtrise plutôt bien l’unité de lieu. Seulement, quand ça bouge beaucoup, c’est très syncopé, il n’y a pas ces traits que l’on met habituellement pour indiquer le mouvement (persistance rétinienne) d’un segment de membre, d’un objet... Ça n’aurait pas été plus mal d’en ajouter parce que je trouve que les images perdent de leur fluidité. En fait, ça donne l’impression que la scène est photographiée ou bien qu’on a une succession de tableaux, beaux d'accord, mais on a quelque chose de fixe... Certains apprécieront, moi, je n’aime pas ces exercices de style imposés au lecteur. Je veux bien m’arrêter sur deux-trois cases pendant quelques minutes pour admirer le dessin, mais sûrement pas pour le décrypter afin de tenter de comprendre ce qui se passe. Et une autre chose le dessert méchamment : ses plongées et contre-plongées, et bien je les trouve ratées, décors et personnages... surtout les personnages. Non mais vous avez vu ? Parfois, on a bien un point de fuite, mais on ne sait même pas dans quelle direction on regarde. Sur les deux-trois contre-plongées qu’on a de Séraphi, il lui fait une mâchoire de pitbull, un menton qui prend la moitié du visage, c’est tout laid. A propos des visages, ’faudrait qu’il arrête de nous ressortir ses profils et trois-quarts de mecs qui font la gueule, parfois limite constipés, tout torturés qu’ils sont par leur passé. De plus, Varanda manque totalement de constance dans la réalisation de ces fameux visages. On dirait qu’une fois qu’il a réussi deux têtes d’affilée, il foire les dix suivantes. Allez voir la tronche du gamin (page 25 je crois), avant qu’il ne s’endorme dans le train des damnés, ça vaut le jus tellement c’est pô beau. Ce n’est pas représentatif, je sais bien, mais assez démonstratif. Et ces mèches de cheveux, z'avez jamais envie d'y foutre un coup de ciseaux ? Je suis aussi assez mitigé sur les couleurs. Pas dans leur qualité (Lyse est très douée) mais dans le choix de la palette. Trop de marron, de rouge... je sais que ça se passe surtout en Enfer, mais je ne m’habitue pas à l’uni. Les meilleures scènes sont les rares se déroulant sur Terre, lorsque l’on a un mélange de couleurs chaudes (Enfer?) et froides (Paradis?), conservant encore un peu de souplesse au dessin... et quand en plus, on a droit à la Lune, moi je dis que ça le fait ! Une dernière chose, encore anecdotique, concernant les onomatopées : je n’en ai retrouvé qu’une seule, un « clac » de fermeture de porte (je ne compte pas les grognements des chiens et les gémissements des damnés). Ce choix aurait pu être sympa : on ne gâche pas le dessin avec des grosses lettres toutes laides. Mais ça ne marche que si le dessin se suffit à lui-même. Et parfois, c’est vraiment limite et en rajouter quelques-unes n’aurait finalement pas été superflu. Nécessité qui a dû se faire ressentir avec ce fameux « clac », quand on nous offre un bête gros plan sur une porte... (passage où Anya se fait emmener par les démons, quand Gaby sauve Juju pour la première fois). C’est vrai que je peux paraître sévère (en fait, je suis mesquin), mais que voulez-vous ? Je ne suis parvenu à me lancer dans la lecture de ce bouquin qu’au bout de quatre ou cinq tentatives. Dès le départ, il ne m’attirait pas. Je concède que j’ai dû insister sur des détails insignifiants pour beaucoup de monde, mais ils m’ont vraiment pourri la lecture. C'est vrai que graphiquement, c'est au-dessus de la moyenne actuelle, mais il n'y a pas ce petit quelque chose qui fait qu'on adhère malgré tous les défauts...je ne sais pas, ça manque de chaleur. Je conçois parfaitement que ce soit complètement idiot de dire ça à propos d'un bouquin dont le titre est Enfer dans une série au nom tout aussi joyeux que Paradis Perdu, mais je n'arrive pas du tout à m'attacher aux personnages, et encore moins à m'y identifier. Je ne lirai pas la suite.

25/06/2002 (MAJ le 31/03/2008) (modifier)
Par Alix
Note: 2/5
L'avatar du posteur Alix

(Avis après lecture du tome 1) Bon bon bon, ben je n’accroche pas du tout. Ce genre d’histoire de diables et d’anges, c’est pas trop mon truc. Violence, combats, héros imbattables qui se sort de situations pas possibles, scénario confus, bref, rien de bien passionnant selon moi… Les dessins sont chouettes, comme la plupart d’entre vous le font remarquer, mais ce n’est pas le plus important pour moi dans une BD… Alors je conseille cette BD à ceux qui aiment les trucs bien bourrin et les beaux dessins. Les autres, allez voir ailleurs. Moi, je m’arrête au tome 1, cette BD n’est pas pour moi.

17/06/2002 (MAJ le 24/10/2007) (modifier)
Par Ems
Note: 2/5

Lecture arrêtée au tome 3. Cette série est l'exemple typique d'une série commerciale avec un bon graphisme aguicheur mais avec un scénario creux. L'ensemble est insipide, je mets 2 pour le dessin et la colorisation, mais j'estime que c'est un beau gâchis de mettre de telles ressources sur un projet aussi peu original. Direction les oubliettes...

20/08/2007 (modifier)
Par Chelmi
Note: 3/5
L'avatar du posteur Chelmi

Pour mon centième avis, je poste une BD Soleil, on ne se refait pas :D … A noter que mon centième avis est aussi mon premier avis posté sur BDTheque2.0 . 8) "Paradis Perdu" quand les anges se brûlent les ailes… Ange nous livre(nt) un scénario assez classique, les anges contre les démons, le paradis contre l’enfer. C’est très manichéen même si il arrive aux personnages principaux de se remettre en question et de ne plus trop savoir où ils en sont. Après lecture de ces quatre tomes, je trouve que deux ou trois aurais suffit car quelques fois c’est un peu long, surtout le début. Sinon, le style est plutôt pas mal, poétique, mélancolique et guerrier. Mais pour moi, le point fort de cette série, c’est son ambiance et surtout son graphisme. Varanda (Tome 1) et Xavier (Tome 2 à 4), se succèdent aux dessins. Et les deux fournissent un excellent travail, avec un rendu presque équivalent. J’ai d’ailleurs du mal à avoir une préférence pour l’un ou l’autre : Je préfère les architectures de Varanda et les visages de Xavier, mais encore une fois les différences sont minimes. Les architectures titanesques sont vraiment grandioses, ça vaut vraiment le coup d’œil. Lyse (Tome 1) et Alexe (Tome 2 à 4) sont à la couleur et c’est réussi et plutôt homogène même si ma préférence va pour les deux derniers tomes que je trouve les plus aboutis (niveau couleur).

10/08/2006 (modifier)
Par Ferdi2
Note: 3/5

Tout comme Ro, j'étais persuadé que je n'aimerai pas. Pas d'après le genre d'histoire que ça avait l'air d'être mais par les quelques pages que j'avais lues. Puis je m'y suis remis et je l'ai lu en entier et finalement c'est pas mauvais du tout, on se laisse prendre par l'histoire. Il y a quelque chose de poétique dans cette BD qui me plaît, les dialogues entre les personnages sûrement... Enfin voilà, une bonne surprise. Quant au dessin, sans être révolutionnaire, il est bon et les planches donnent bien en général, d'autant plus que ce n'est pas facile pour un jeune auteur de reprendre une série.

24/09/2004 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
L'avatar du posteur Ro

J'ai lu les 2 tomes parus sans conviction, presque persuadé que je n'allais pas aimer. En définitive, j'ai eu une assez bonne surprise puisque j'ai trouvé que ce n'était pas si mal comme série. Côté dessin, c'est propre, net et plutôt maîtrisé. Bon, je trouve que ce dessin est sans originalité et sans saveur, un peu trop typique des BDs ados modernes où les personnages sont tous beaux, musclés et habillés et coiffés "à la cool". Mais globalement, malgré mes réticences devant ce style que je n'aime guère, j'ai trouvé ça très lisible et visuellement assez plaisant. Côté scénario, c'est un peu pareil : la trame est ultra-classique, le bien contre le mal, un homme, une femme et un gosse qui se retrouvent au milieu de ce conflit, le gosse a des pouvoirs et incite les convoitises, l'homme et la femme s'aiment et se combattent en même temps... C'est largement du déjà-vu. Mais j'ai trouvé ça bien raconté et assez prenant en définitive. Ca se lit bien, on passe un moment de lecture assez agréable, c'est pas mal donc. Mais perso, je n'achèterais pas ce type de BD pour moi.

17/09/2004 (modifier)
Par huracan
Note: 1/5

Une BD dont je n'ai pas aimé le dessin (Varanda a déjà fait preuve de plus de talent..) et dont le scénario ne vaut pas tripette. Tout est tellement prévisible, les répliques sont vraiment glauques, et ce gosse qui a l'air à peine étonné de tout ce qui lui arrive... Bref aucune surprise sinon que je m'attendais à mieux.

12/09/2003 (modifier)