J'ai lu d'un trait les 4 tomes du 1er cycle, et je reste sur une impression certes bonne, mais cependant mitigée. En effet, l'histoire est apparemment très bien documentée, et fais sans cesse référence aux correspondances des personnages principaux du récit; mais les auteurs ont fait des choix très visibles, par exemple celui de ne retenir que certaines catégories d'évènements. Ainsi le lecteur aura droit aux intrigues et complots autour des empereurs (Claude puis Néron) et de leurs proches, les amours instables des protagonistes, à des scènes gladiatoresques, le tout étant plutôt bien dosé, mais en revanche presque toute autre référence a été ignorée (vie publique, militaire, etc).
La vision qui en résulte est -- pour ma part -- celle d'un monde très fermé, replié sur ses préoccupations (le pouvoir, bien sûr) et ignorant le "reste du monde". Cela est à la fois une qualité et un défaut. J'aurais quant à moi aimé que les scènes soient plus variées...
Ce qu'il faut souligner aussi, c'est que n'étant pas historien (et ayant très peu d'affinités avec cette discipline), j'ignore beaucoup de choses en la matière, dont la connaissance permettrait de mieux savourer ce récit. C'est là une impression un peu étrange : reconnaître certaines qualités, savoir qu'on pourrait les apprécier plus, mais en être incapable. :) Il faudrait je pense se plonger -- au moins -- dans les références données par les auteurs pour mieux comprendre leur adaptation, leur interprétation de l'Histoire.
De plus, les personnages me semblent plus esquissés à grands traits que finement ciselés. Il me reste un petit arrière-goût de caricatural quant à leurs caractères... Les choses ne sont pas toujours amenées très habilement, mais bon, je chipote.
Les dessins sont très beaux, et les crayonnés doivent être magnifiques, regardez la galerie. On constatera une évolution notable entre les tomes 1 et 2, mais aussi par la suite (moins visible peut-être).
Je donne donc une note en rapport avec mon impression générale : j'ai bien aimé mais sans tomber dans l'amour fou. En tout cas, je pense que cette série vaut le détour !
Pour les impatients, attention, le 1er cycle de 4 tomes vient de se finir, il va falloir attendre pour la fin du second. :(
J'aime beaucoup le coup de pinceau de Danard mais l'histoire se délite tout doucement. Le quatrième tome est particulièrement bateau avec le beau héros ténébreux qui joint le bon côté soudainement. Le 5ème apporte une fin pas trop convenue qui tombe à pic; plus long ça aurait commencer à lasser. C'est pas de l'extraordinaire HF mais ça reste agréable. A noter que c'est la fin du premier cycle mais que ces 5 tomes se suffisent à eux-mêmes. Faudra être motivé pour lire la suite, je m'arrêterai là pour ma part, j'ai vraiment peur que ça tourne cruellement en rond.
Une bonne entrée en matière pour ce premier tome. La BD est rythmée et pleine de rebondissement, les personnages se mettent en place petit à petit, et on entrevoit un bel avenir à cette série...
En attente de la suite pour voir si cette BD tient toutes ses promesses...
Après plusieurs tentatives de lecture de manga, je suis tombée sur celle-ci. Et là, j'ai été agréablement surprise par cet auteur. On est loin des schémas manga habituels (enfin je trouve), on y découvre un auteur sensible, touchant. Une recherche de soi, au travers de souvenirs douloureux. Faire le point avec son passé, celui de son père et enfin comprendre ...
L'illustration est assez jolie.
Bref, une belle BD à découvrir.
La fin du Donjon..... Comme l'annonce le thème, l'histoire est noire et je trouve qu'on regrette Donjon Zénith et son humour. Les dessins de Sfar sont adaptés au ton du récit. Mais son orientation légérement philosophique crée un décalage avec le reste des opus.
A conseiller aux accros de Donjon.
On voit dans Jojo toute la tendresse de l'enfance, toute la poésie que cet âge englobe...
Le dessin de Geerts, sans être génial, est bien sympa avec ses rondeurs, ses hésitations... Un trait d'enfant, quoi ! Les scenarii sont, bien qu'un peu mollassons (à moins que ce soit le dessin qui influe sur l'histoire), sont simples, sans fioritures.
Une série sympathique, sans être indispensable.
Roba, bien connu pour Boule et Bill, avait lancé cette BD, où l'on suit les aventures urbaines d'une petite bande de gamins rigouillards et débrouillards. C'était frais, sympathique, sans prétention. le trait de Roba était déjà maîtrisé, ses histoires rondement menées.
Voici une petite série bien sympa, qui n'a pas eu le succès qu'elle méritait.
J'adore ces deux auteurs mais là, je dois bien reconnaître ne pas avoir été fasciné par cet album-ci. L'intrigue est assez confuse et on s'emmèle les pinceaux entre deux personnages qui s'apellent tous les deux Mickey. Après avoir lu l'album deux fois, je ne suis toujours pas certain d'avoir tout saisi du rapport entre les différents personnages. C'est assez frustrant.
Hormis ce défaut, tout est là : l'ambiance, les dialogues ciselés, le dessin tout en constraste. Mais des deux mêmes auteurs, je vous conseille d'abord Deux tueurs ou encore Un monde étrange, même genre, même ambiance, même virtuosité graphique.
En commençant la lecture des Contes des hautes terres, je m'attendais à quelques chose de moins convaincant. Et bien non, les deux fables racontées, ici, sont plutôt réussies. Et bien qu'étant une série complémentaire à Algernon Woodcock, cette bd peut être lue indépendament. D'ailleurs, je félicite Gallié, l'auteur, pour sa maitrise scénaristique. Réussir à interpeler le lecteur en deux fois 22 pages, chapeau !!! (oui, chaque conte fait 22 pages)
Les légendes nordiques sont souvent fascinantes. Celles présentées ici, nous viennent directement d'Ecosse et sont très agréable à lire. Le mystère est omnisprésent et les intrigues sont très bien amenées.
Le premier conte: " La veuve de la lande " nous parle d'un amour si profond qu'il persiste après la mort. Le second: "La longue nuit", qui est pour moi le meilleur, nous parle, de liens entre un frère et une soeur, la conclusion est assez surprenante.
Au niveau du dessin, il a été réalisé à quatres mains. Sorel a dessiné les introductions tandis que Castaza s'est occupé des réçits en eux-mêmes. Le dessin de ce dernier n'est peut-être pas exceptionnel mais il colle très bien avec le scénario. De plus, les planches de l'album sont en noir et blanc, chose assez rare dans la collection "Terres de légendes".
Cette série pourrait éventuellement accompagner vos longues soirées d'hiver. Surtout si vous aimez les histoires belles et tragiques !!!
Sympa !
Eh oui ! Avant la grande, très grande série du duo Smolderen-Marini, j'ai nommé Gipsy, ces deux grands auteurs de la Bande Dessinée se sont essayé par l'intermédiaire de 4 albums à un style similaire (très axé aventure) leur ayant permis de faire leur premières armes (surtout pour Marini).
C'est, il est clair, très différent du travail actuel de Marini ! L'inspiration manga crève les yeux, encore plus que dans les premiers épisodes de Gipsy. Un Trait vraiment manga, très proche du style d'Akira d'ailleurs (avec un héros à la Kaneda's touch pas désagréable :)).
Certes, la mise en couleur est à des années lumières de ce que l'auteur réalise maintenant sur des chefs d'oeuvre graphiques tels que Rapaces ou Le Scorpion, mais quel dynamisme ! seuls les tous-premiers tomes de Gipsy (allez, les 3 premiers) ont autant de pêche, la mise en couleur exceptionnelle de Marini ayant quelque peu figé ses traits par la suite (enfin, faut pas exagérer non plus !! Regardez l'assaut du SWAT contre Camilla dans Rapaces, et vous comprendrez que le dessin de Marini est toujours très actif tout de même !).
Bref, cette série vaut le coup d'oeil ne serait-ce que pour découvrir les débuts du talentueux Enrico Marini !
Au niveau Scénaristique, c'est la aussi pas mal du tout. Ca manque tout de meme franchement de maturité, c'est clair, mais le journalisme d'investigation est assez sympatiquement représenté ici.
Le personnage principal est assez attachant, un peu bébête parfois (il peut rappeler la aussi des archétypes du manga, le héros de City Hunter par exemple, sérieux un moment, à coté de la plaque un autre).
Le quatrième tome a été repris par Pop, qui remplace donc Smolderen... premier et dernier album de l'auteur dans cette série.
Ma foi... c'est plutot bon, tout ça ! ah oui, mais c'est discontinué... dommage... :(
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Murena
J'ai lu d'un trait les 4 tomes du 1er cycle, et je reste sur une impression certes bonne, mais cependant mitigée. En effet, l'histoire est apparemment très bien documentée, et fais sans cesse référence aux correspondances des personnages principaux du récit; mais les auteurs ont fait des choix très visibles, par exemple celui de ne retenir que certaines catégories d'évènements. Ainsi le lecteur aura droit aux intrigues et complots autour des empereurs (Claude puis Néron) et de leurs proches, les amours instables des protagonistes, à des scènes gladiatoresques, le tout étant plutôt bien dosé, mais en revanche presque toute autre référence a été ignorée (vie publique, militaire, etc). La vision qui en résulte est -- pour ma part -- celle d'un monde très fermé, replié sur ses préoccupations (le pouvoir, bien sûr) et ignorant le "reste du monde". Cela est à la fois une qualité et un défaut. J'aurais quant à moi aimé que les scènes soient plus variées... Ce qu'il faut souligner aussi, c'est que n'étant pas historien (et ayant très peu d'affinités avec cette discipline), j'ignore beaucoup de choses en la matière, dont la connaissance permettrait de mieux savourer ce récit. C'est là une impression un peu étrange : reconnaître certaines qualités, savoir qu'on pourrait les apprécier plus, mais en être incapable. :) Il faudrait je pense se plonger -- au moins -- dans les références données par les auteurs pour mieux comprendre leur adaptation, leur interprétation de l'Histoire. De plus, les personnages me semblent plus esquissés à grands traits que finement ciselés. Il me reste un petit arrière-goût de caricatural quant à leurs caractères... Les choses ne sont pas toujours amenées très habilement, mais bon, je chipote. Les dessins sont très beaux, et les crayonnés doivent être magnifiques, regardez la galerie. On constatera une évolution notable entre les tomes 1 et 2, mais aussi par la suite (moins visible peut-être). Je donne donc une note en rapport avec mon impression générale : j'ai bien aimé mais sans tomber dans l'amour fou. En tout cas, je pense que cette série vaut le détour ! Pour les impatients, attention, le 1er cycle de 4 tomes vient de se finir, il va falloir attendre pour la fin du second. :(
Marlysa
J'aime beaucoup le coup de pinceau de Danard mais l'histoire se délite tout doucement. Le quatrième tome est particulièrement bateau avec le beau héros ténébreux qui joint le bon côté soudainement. Le 5ème apporte une fin pas trop convenue qui tombe à pic; plus long ça aurait commencer à lasser. C'est pas de l'extraordinaire HF mais ça reste agréable. A noter que c'est la fin du premier cycle mais que ces 5 tomes se suffisent à eux-mêmes. Faudra être motivé pour lire la suite, je m'arrêterai là pour ma part, j'ai vraiment peur que ça tourne cruellement en rond.
Gregor Kyralina
Une bonne entrée en matière pour ce premier tome. La BD est rythmée et pleine de rebondissement, les personnages se mettent en place petit à petit, et on entrevoit un bel avenir à cette série... En attente de la suite pour voir si cette BD tient toutes ses promesses...
Le Journal de mon père
Après plusieurs tentatives de lecture de manga, je suis tombée sur celle-ci. Et là, j'ai été agréablement surprise par cet auteur. On est loin des schémas manga habituels (enfin je trouve), on y découvre un auteur sensible, touchant. Une recherche de soi, au travers de souvenirs douloureux. Faire le point avec son passé, celui de son père et enfin comprendre ... L'illustration est assez jolie. Bref, une belle BD à découvrir.
Donjon Crépuscule
La fin du Donjon..... Comme l'annonce le thème, l'histoire est noire et je trouve qu'on regrette Donjon Zénith et son humour. Les dessins de Sfar sont adaptés au ton du récit. Mais son orientation légérement philosophique crée un décalage avec le reste des opus. A conseiller aux accros de Donjon.
Jojo
On voit dans Jojo toute la tendresse de l'enfance, toute la poésie que cet âge englobe... Le dessin de Geerts, sans être génial, est bien sympa avec ses rondeurs, ses hésitations... Un trait d'enfant, quoi ! Les scenarii sont, bien qu'un peu mollassons (à moins que ce soit le dessin qui influe sur l'histoire), sont simples, sans fioritures. Une série sympathique, sans être indispensable.
La Ribambelle
Roba, bien connu pour Boule et Bill, avait lancé cette BD, où l'on suit les aventures urbaines d'une petite bande de gamins rigouillards et débrouillards. C'était frais, sympathique, sans prétention. le trait de Roba était déjà maîtrisé, ses histoires rondement menées. Voici une petite série bien sympa, qui n'a pas eu le succès qu'elle méritait.
Mickey Mickey
J'adore ces deux auteurs mais là, je dois bien reconnaître ne pas avoir été fasciné par cet album-ci. L'intrigue est assez confuse et on s'emmèle les pinceaux entre deux personnages qui s'apellent tous les deux Mickey. Après avoir lu l'album deux fois, je ne suis toujours pas certain d'avoir tout saisi du rapport entre les différents personnages. C'est assez frustrant. Hormis ce défaut, tout est là : l'ambiance, les dialogues ciselés, le dessin tout en constraste. Mais des deux mêmes auteurs, je vous conseille d'abord Deux tueurs ou encore Un monde étrange, même genre, même ambiance, même virtuosité graphique.
Les Contes des Hautes Terres
En commençant la lecture des Contes des hautes terres, je m'attendais à quelques chose de moins convaincant. Et bien non, les deux fables racontées, ici, sont plutôt réussies. Et bien qu'étant une série complémentaire à Algernon Woodcock, cette bd peut être lue indépendament. D'ailleurs, je félicite Gallié, l'auteur, pour sa maitrise scénaristique. Réussir à interpeler le lecteur en deux fois 22 pages, chapeau !!! (oui, chaque conte fait 22 pages) Les légendes nordiques sont souvent fascinantes. Celles présentées ici, nous viennent directement d'Ecosse et sont très agréable à lire. Le mystère est omnisprésent et les intrigues sont très bien amenées. Le premier conte: " La veuve de la lande " nous parle d'un amour si profond qu'il persiste après la mort. Le second: "La longue nuit", qui est pour moi le meilleur, nous parle, de liens entre un frère et une soeur, la conclusion est assez surprenante. Au niveau du dessin, il a été réalisé à quatres mains. Sorel a dessiné les introductions tandis que Castaza s'est occupé des réçits en eux-mêmes. Le dessin de ce dernier n'est peut-être pas exceptionnel mais il colle très bien avec le scénario. De plus, les planches de l'album sont en noir et blanc, chose assez rare dans la collection "Terres de légendes". Cette série pourrait éventuellement accompagner vos longues soirées d'hiver. Surtout si vous aimez les histoires belles et tragiques !!! Sympa !
Kokonino World (Olivier Varèse)
Eh oui ! Avant la grande, très grande série du duo Smolderen-Marini, j'ai nommé Gipsy, ces deux grands auteurs de la Bande Dessinée se sont essayé par l'intermédiaire de 4 albums à un style similaire (très axé aventure) leur ayant permis de faire leur premières armes (surtout pour Marini). C'est, il est clair, très différent du travail actuel de Marini ! L'inspiration manga crève les yeux, encore plus que dans les premiers épisodes de Gipsy. Un Trait vraiment manga, très proche du style d'Akira d'ailleurs (avec un héros à la Kaneda's touch pas désagréable :)). Certes, la mise en couleur est à des années lumières de ce que l'auteur réalise maintenant sur des chefs d'oeuvre graphiques tels que Rapaces ou Le Scorpion, mais quel dynamisme ! seuls les tous-premiers tomes de Gipsy (allez, les 3 premiers) ont autant de pêche, la mise en couleur exceptionnelle de Marini ayant quelque peu figé ses traits par la suite (enfin, faut pas exagérer non plus !! Regardez l'assaut du SWAT contre Camilla dans Rapaces, et vous comprendrez que le dessin de Marini est toujours très actif tout de même !). Bref, cette série vaut le coup d'oeil ne serait-ce que pour découvrir les débuts du talentueux Enrico Marini ! Au niveau Scénaristique, c'est la aussi pas mal du tout. Ca manque tout de meme franchement de maturité, c'est clair, mais le journalisme d'investigation est assez sympatiquement représenté ici. Le personnage principal est assez attachant, un peu bébête parfois (il peut rappeler la aussi des archétypes du manga, le héros de City Hunter par exemple, sérieux un moment, à coté de la plaque un autre). Le quatrième tome a été repris par Pop, qui remplace donc Smolderen... premier et dernier album de l'auteur dans cette série. Ma foi... c'est plutot bon, tout ça ! ah oui, mais c'est discontinué... dommage... :(