Bon, Travis, c'est sympa, c'est clair. Il ne faut pas s'arrêter sur le dessin un peu hésitant (même s'il évoluera vite au fil des 5 tomes du premier cycle), ni sur la couleur de Schelles/Rosa qui est tout simplement... affreuse. Car dans le genre Full Action à la Bruce Willis, Travis est efficace, c'est clair.
Bon, ne nous emballons pas, tout de même : c'est assez creux. Bien monté, sans temps mort, obéissant à une logique et à un ensemble bien découpé, mais qui à mon sens n'apporte vraiment rien au paysage de la bande dessinée. Mais ça se lit très bien, et avec plaisir, en plus !
Les différents personnages ont tous un charisme particulier, (mon préféré, c'est PacMan :D), et ce pour une raison simple : à l'époque du premier Travis (qui se suffit à lui même), Duval réalisait un pilote dont la fin n'était donc pas encore prévue, et dont les différents protagonistes devaient donc se poser là, aussi bien scénaristiquement que graphiquement. C'est d'ailleurs pour cela que le dessinateur avait créé des personnages très typés (PacMan le dready, Vlad et son visage déchiré, etc), qu'un autre dessinateur pourrait reprendre facilement.
Mais l'ensemble à bien marché, et nous voila parti pour un cycle de cinq tomes qui, et c'est une qualité, est vraiment régulier au niveau du rendu et du plaisir de lecture.
Le dessin quant à lui... Mouais. Bof. Déjà, au niveau des femmes, c'est vraiment pas gégé... La copine de Travis, euhhhhhh mouais. L'ancienne femme de Vlad ? Euuuuuh pas mieux. Mais au niveau technique, là, ca assure. La scène de la tour Eiffel est assez impressionnante, (dans le tome 5), ça, il faut bien l'avouer.
Reste que la couleur est merdique, tout simplement. Froide, sans nuance, elle bouffe le trait du dessineux comme c'est pas permis !! Dommage, vraiment...
Allez, une série vraiment sympa, avec laquelle on passe un bon moment... De la BD Hollywoodienne, quoi. :)
Cette première création d'Isabelle Dethan souffre un peu de la comparaison avec Le Roi Cyclope, tant du point de vue graphique que scénaristique. Mais c'est oublié que c'est effectivement une première oeuvre et là on ne peut ne que soulever son chapeau: c'est au global très beau quoiqu'hétérogène selon les planches. Le scénar souffre de quelques longueurs mais tient au final la route plutôt bien. Le monde, entre mythologie grecque et ancienne Egypte est remarquablement cerné. Seuls les personnages sont mal développés à mon goût. Au final, c'est loin d'être parfait mais c'est une lecture intéressante fait par une femme de grand talent.
J'ai acheté cette BD pour les dessins et les couleurs (ah l'éclairage des phares de l'auto du début...) et je n'ai pas été déçu. C'est très beau et j'en redemande.
Pour ce qui est du scénario, c'est assez classique (voire même très), mais agréable à suivre.
En bref, une BD sympa mais qui ne casse pas la baraque.
Ah oui, une dernière chose : c'est vrai que cette BD ne fait pas peur malgré le fait qu'elle soit parue dans la collection "insomnies". Mais si justement elle était parue dans une autre collection (c'est l'éditeur qui choisi le titre de la collection, pas les auteurs), aurait-on fait un foin au cause du fait qu'"elle ne fait pas peur"??
Un bon album, pas désagréable à lire, mais loin d'être indispensable selon moi.
J'ai toujours un peu de mal avec le dessin, il est trop figé. Les couleurs pastelles donnent un coté vieillot à la BD, ça arrange pas les chose (attention, je ne dis pas que je préfère les couleur flashy hein).
Bon, l'histoire est agréable, mais il y a peu de passages qui méritent vraiment le détour selon moi, même si j'avoue que les deux dernières pages ont fait leur petit effet. :)
Ceci dit, je comprends facilement les bons avis qui ont été donnés avant le mien, même si j'ai pas vraiment accroché.
Un 1er tome intéressant, mais j'attends de voir la suite avant de voir si la série doit ou non être achetée.
La couv accroche bien, le dessin aussi est sympa. L'ambiance est bien rendue, les couleurs font leur effet, j'aime bien.
Le scénario n'a pas de réelle faille dans cet album. On ne perd pas de temps à des présentations inutiles de persos, et on est direct dans l'histoire.
Les cadrages sont bons, la mise en scène est effiace, rien à dire.
Vraiment, j'hésite à l'acheter (ce serait ma 1ère bd Nucléa, comme quoi, ils s'améliorent)
J'ai lu les deux éditions differentes du tome 1 nommé Jaïna est je trouve que les couleurs se ressemblent, Rieu n'apporte rien au dessin de Varanda tout comme l'autre. Cependant le dessin est très bon malgré des imperfections au niveau des visages que l'on retrouvera ensuite dans Paradis perdu. Le scénario lui est sympa avec un très bon rebondissement à la fin du tome ce qui fait varier la note entre 3/5 et 4/5.
Dans l'édition Soleil, le portfolio est joli avec une planche inédite et des dessins de Briones qui nous tiennent en haleine, c'est une bonne idée de mettre tout ça.
Je trouve le tome 2 moyen, bof, tom3 à suivre
Cet album, c'est du délire pendant une trentaine de pages, du concentré de gags ! De l'humour à la Trondheim à l'état brut ! Vraiment réjouissant ! On s'attache vite aux personnages, et à l'histoire, faussement métaphysique. "Pourquoi que je lui mets que trois étoiles ?" me demande la foule en furie (surtout un dimanche) ? Et bien parce que j'ai été un peu déçu par la fin, je m'attendais à une chute plus délirante, plus amusante. C'est de toute façon à lire...
Broussaille est une bonne série, c'est évident. C'est poétique, c'est beau, le dessin est des plus réussis et il évolue à chaque album. Habituellement, je n'aime pas les séries un peu "naïves" avec un héros qui a toutes les qualités (ce qui est bien le cas ici) mais je ne sais pas pourquoi, dans Broussaille, ça passe assez bien. Il faut dire que les histoires sont vraiment bien construites et la touche fantastique de certains albums apportent un plus.
Sympathique série qui s'inscrit dans le pur mythe du Vampire, avec un grand V.
Rien de très original dans le mythe, donc, mais plutôt au contraire un respect de l'oeuvre de Brahm Stocker, et un scénario intéressant qui s'inscrit parfaitement dans les schémas classiques qu'induit ce type d'histoires. Le premier tome, beaucoup trop classique, laissera la part belle au second cycle qui lui saura se détacher du mythe pour nous conter une histoire mieux pensée, plus originale.
On découvre donc ici le fascinant Vladimir Kergan, Prince de la nuit, à la fois maître et victime de sa "malédiction", ainsi que la véritable traque que lancera contre lui Vincent de Rougemont, qui va découvrir les pérégrinations du prince de la nuit à travers les âges.
Le tout se tient, et l'histoire ne souffre d'aucun temps mort. Rien de très original, mais la transposition des différentes époques <-> Années 30 est assez bien réalisée et donne du volume au récit.
Bon, on ne peut pas dire qu'on s'attache vraiment aux personnages... et c'est peut-être ce qui me gêne un peu dans cette BD. Pas de héros auquel on s'identifie, ça créé toujours un petit manque dans une série, je trouve... observation très personnelle, je vous l'accorde !
Le dessin de Swolf est très détaillé et très propre. Pas trop du style que j'aime (car beaucoup trop classique à mon goût), mais qui fait vraiment preuve d'un travail et d'une maîtrise devant lesquelles on ne peut qu'être admiratif. De plus, la couleur évoluera beaucoup au fil des albums : beaucoup trop pâle lors du premier cycle, elle va vite prendre de la constance, du contraste, pour jouer un réel rôle de mise en relief de l'ensemble.
Un série sympa... à lire, donc.
Un premier album sympathoche qui se laisse lire simplement.
Le côté "on prend notre société et on la viellit un peu" n'est pas trop mal réalisé bien que l'on puisse percevoir une certaine influence, voire une influence certaine, du film "Le cinquième élément" soit de Moebius dans les décors et les moyens de transport. Les super héros, revisités ici, conservent les défauts du genre humain et ne sont pas que des êtres exceptionnels, ceci est une heureuse idée qui évite au scénariste de tomber dans le ridicule et la BD de tomber dans les abîmes sans fin de l'oubli.
Dans l'ensemble couleurs et dessins collent bien au genre et l'histoire tient la route.
Deux petites questions subsistent : 1- qui est ce groupe de super héros ? 2- pourquoi ne pas avoir mieux noté l'album ?
Réponses : 1- je ne sais pas ! 2- ben parce que c'est pas mal mais ça n'a rien de transcendant non plus, le second album de la série sera déterminant.
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Travis
Bon, Travis, c'est sympa, c'est clair. Il ne faut pas s'arrêter sur le dessin un peu hésitant (même s'il évoluera vite au fil des 5 tomes du premier cycle), ni sur la couleur de Schelles/Rosa qui est tout simplement... affreuse. Car dans le genre Full Action à la Bruce Willis, Travis est efficace, c'est clair. Bon, ne nous emballons pas, tout de même : c'est assez creux. Bien monté, sans temps mort, obéissant à une logique et à un ensemble bien découpé, mais qui à mon sens n'apporte vraiment rien au paysage de la bande dessinée. Mais ça se lit très bien, et avec plaisir, en plus ! Les différents personnages ont tous un charisme particulier, (mon préféré, c'est PacMan :D), et ce pour une raison simple : à l'époque du premier Travis (qui se suffit à lui même), Duval réalisait un pilote dont la fin n'était donc pas encore prévue, et dont les différents protagonistes devaient donc se poser là, aussi bien scénaristiquement que graphiquement. C'est d'ailleurs pour cela que le dessinateur avait créé des personnages très typés (PacMan le dready, Vlad et son visage déchiré, etc), qu'un autre dessinateur pourrait reprendre facilement. Mais l'ensemble à bien marché, et nous voila parti pour un cycle de cinq tomes qui, et c'est une qualité, est vraiment régulier au niveau du rendu et du plaisir de lecture. Le dessin quant à lui... Mouais. Bof. Déjà, au niveau des femmes, c'est vraiment pas gégé... La copine de Travis, euhhhhhh mouais. L'ancienne femme de Vlad ? Euuuuuh pas mieux. Mais au niveau technique, là, ca assure. La scène de la tour Eiffel est assez impressionnante, (dans le tome 5), ça, il faut bien l'avouer. Reste que la couleur est merdique, tout simplement. Froide, sans nuance, elle bouffe le trait du dessineux comme c'est pas permis !! Dommage, vraiment... Allez, une série vraiment sympa, avec laquelle on passe un bon moment... De la BD Hollywoodienne, quoi. :)
Mémoire de sable
Cette première création d'Isabelle Dethan souffre un peu de la comparaison avec Le Roi Cyclope, tant du point de vue graphique que scénaristique. Mais c'est oublié que c'est effectivement une première oeuvre et là on ne peut ne que soulever son chapeau: c'est au global très beau quoiqu'hétérogène selon les planches. Le scénar souffre de quelques longueurs mais tient au final la route plutôt bien. Le monde, entre mythologie grecque et ancienne Egypte est remarquablement cerné. Seuls les personnages sont mal développés à mon goût. Au final, c'est loin d'être parfait mais c'est une lecture intéressante fait par une femme de grand talent.
Asphodèle
J'ai acheté cette BD pour les dessins et les couleurs (ah l'éclairage des phares de l'auto du début...) et je n'ai pas été déçu. C'est très beau et j'en redemande. Pour ce qui est du scénario, c'est assez classique (voire même très), mais agréable à suivre. En bref, une BD sympa mais qui ne casse pas la baraque. Ah oui, une dernière chose : c'est vrai que cette BD ne fait pas peur malgré le fait qu'elle soit parue dans la collection "insomnies". Mais si justement elle était parue dans une autre collection (c'est l'éditeur qui choisi le titre de la collection, pas les auteurs), aurait-on fait un foin au cause du fait qu'"elle ne fait pas peur"??
Le Voyage en Italie
Un bon album, pas désagréable à lire, mais loin d'être indispensable selon moi. J'ai toujours un peu de mal avec le dessin, il est trop figé. Les couleurs pastelles donnent un coté vieillot à la BD, ça arrange pas les chose (attention, je ne dis pas que je préfère les couleur flashy hein). Bon, l'histoire est agréable, mais il y a peu de passages qui méritent vraiment le détour selon moi, même si j'avoue que les deux dernières pages ont fait leur petit effet. :) Ceci dit, je comprends facilement les bons avis qui ont été donnés avant le mien, même si j'ai pas vraiment accroché.
Mygala
Un 1er tome intéressant, mais j'attends de voir la suite avant de voir si la série doit ou non être achetée. La couv accroche bien, le dessin aussi est sympa. L'ambiance est bien rendue, les couleurs font leur effet, j'aime bien. Le scénario n'a pas de réelle faille dans cet album. On ne perd pas de temps à des présentations inutiles de persos, et on est direct dans l'histoire. Les cadrages sont bons, la mise en scène est effiace, rien à dire. Vraiment, j'hésite à l'acheter (ce serait ma 1ère bd Nucléa, comme quoi, ils s'améliorent)
La Geste des Chevaliers Dragons
J'ai lu les deux éditions differentes du tome 1 nommé Jaïna est je trouve que les couleurs se ressemblent, Rieu n'apporte rien au dessin de Varanda tout comme l'autre. Cependant le dessin est très bon malgré des imperfections au niveau des visages que l'on retrouvera ensuite dans Paradis perdu. Le scénario lui est sympa avec un très bon rebondissement à la fin du tome ce qui fait varier la note entre 3/5 et 4/5. Dans l'édition Soleil, le portfolio est joli avec une planche inédite et des dessins de Briones qui nous tiennent en haleine, c'est une bonne idée de mettre tout ça. Je trouve le tome 2 moyen, bof, tom3 à suivre
Le pays des trois sourires
Cet album, c'est du délire pendant une trentaine de pages, du concentré de gags ! De l'humour à la Trondheim à l'état brut ! Vraiment réjouissant ! On s'attache vite aux personnages, et à l'histoire, faussement métaphysique. "Pourquoi que je lui mets que trois étoiles ?" me demande la foule en furie (surtout un dimanche) ? Et bien parce que j'ai été un peu déçu par la fin, je m'attendais à une chute plus délirante, plus amusante. C'est de toute façon à lire...
Broussaille
Broussaille est une bonne série, c'est évident. C'est poétique, c'est beau, le dessin est des plus réussis et il évolue à chaque album. Habituellement, je n'aime pas les séries un peu "naïves" avec un héros qui a toutes les qualités (ce qui est bien le cas ici) mais je ne sais pas pourquoi, dans Broussaille, ça passe assez bien. Il faut dire que les histoires sont vraiment bien construites et la touche fantastique de certains albums apportent un plus.
Le Prince de la Nuit
Sympathique série qui s'inscrit dans le pur mythe du Vampire, avec un grand V. Rien de très original dans le mythe, donc, mais plutôt au contraire un respect de l'oeuvre de Brahm Stocker, et un scénario intéressant qui s'inscrit parfaitement dans les schémas classiques qu'induit ce type d'histoires. Le premier tome, beaucoup trop classique, laissera la part belle au second cycle qui lui saura se détacher du mythe pour nous conter une histoire mieux pensée, plus originale. On découvre donc ici le fascinant Vladimir Kergan, Prince de la nuit, à la fois maître et victime de sa "malédiction", ainsi que la véritable traque que lancera contre lui Vincent de Rougemont, qui va découvrir les pérégrinations du prince de la nuit à travers les âges. Le tout se tient, et l'histoire ne souffre d'aucun temps mort. Rien de très original, mais la transposition des différentes époques <-> Années 30 est assez bien réalisée et donne du volume au récit. Bon, on ne peut pas dire qu'on s'attache vraiment aux personnages... et c'est peut-être ce qui me gêne un peu dans cette BD. Pas de héros auquel on s'identifie, ça créé toujours un petit manque dans une série, je trouve... observation très personnelle, je vous l'accorde ! Le dessin de Swolf est très détaillé et très propre. Pas trop du style que j'aime (car beaucoup trop classique à mon goût), mais qui fait vraiment preuve d'un travail et d'une maîtrise devant lesquelles on ne peut qu'être admiratif. De plus, la couleur évoluera beaucoup au fil des albums : beaucoup trop pâle lors du premier cycle, elle va vite prendre de la constance, du contraste, pour jouer un réel rôle de mise en relief de l'ensemble. Un série sympa... à lire, donc.
Les Poussières de l'infini
Un premier album sympathoche qui se laisse lire simplement. Le côté "on prend notre société et on la viellit un peu" n'est pas trop mal réalisé bien que l'on puisse percevoir une certaine influence, voire une influence certaine, du film "Le cinquième élément" soit de Moebius dans les décors et les moyens de transport. Les super héros, revisités ici, conservent les défauts du genre humain et ne sont pas que des êtres exceptionnels, ceci est une heureuse idée qui évite au scénariste de tomber dans le ridicule et la BD de tomber dans les abîmes sans fin de l'oubli. Dans l'ensemble couleurs et dessins collent bien au genre et l'histoire tient la route. Deux petites questions subsistent : 1- qui est ce groupe de super héros ? 2- pourquoi ne pas avoir mieux noté l'album ? Réponses : 1- je ne sais pas ! 2- ben parce que c'est pas mal mais ça n'a rien de transcendant non plus, le second album de la série sera déterminant.