cette BD m'a beaucoup fait penser au "fleau des dieu" puisqu'on est entre SF et medieval.
C'est un cocktail pas evident pour les auteurs, mais le resultat est tres convainquant, et j'ai hate de lire la suite.
le dessin et les couleurs sont vraiment belles, rien à dire.
bref, je suis persuadé de rajouté une etoile à cette serie à la sortie du T2.
Le 1er tome m'avait emballe. Une nouvelle histoire des Stryges à l'époque contemporaine. J'avais bien aimé le second également.
Par contre le dernier tome, me semble-t-il, fait un peu dans la facilité côté scénario. Il manque quelque chose. Dommage.
ce n'est pas le meilleur Davodeau, mais il reste d'un tres bon cachet.
la toile de fond est comme d'habitude un simple extrait de vie quotidienne qui tourne au tragique.
tout aurait pu rester simple, sans le moinde probleme, tout aurait dû rester simple. Pourtant, un petit grain de sable vient tout chambouller.
c'est bien mis en scene, avec les quelques exagerations qui fond tout devier.
c'est simple et efficace.
Un tome assez étrange...
Un peu comme dans La Guerre Eternelle, on ne sait pas trop pourquoi les hommes et les Krells vont se battre, si ce n'est à cause de la peur de l'étranger.
Et la désertion de ce groupe tourne vite au huit clos. C'est oppressant au possible, même si l'on peut regretter que les perso n'aient pas plus de profondeur. Cela est sans doute dû au faible nombre de pages, qui a empêché les auteurs de fouiller autant qu'ils l'auraient voulu.
Par contre, j'ai vraiment du mal avec le dessin. C'est froid, et parfois limite laid.
Ça reste pourtant un one shot étonnant.
La bande dessinée nous a déjà offert un certain nombre de personnages de détectives décalés, maladroits ou distraits : Jérôme K. Jérôme Bloche, l’inspecteur Moroni, Chicanos… C’est un peu dans la même lignée, mais avec un personnage féminin, que se place cette série. Le personnage en question est Clara Dominique, une fille de détective, qui embrasse le métier de son père un peu par hasard après la mort de celui-ci. Débutante et encore mal assurée des méthodes du métier, elle ne manque néanmoins pas d’entrain et utilise à de bonne fin sa capacité particulière à découvrir les motivations profondes des gens sur lesquels elle est amenée à enquêter.
Lapière, le scénariste, a pris soin de doter son héroïne d’une certaine fragilité émotionnelle, ce qui la rend d’autant plus attachante. Elle découvre dans l’immeuble de son père tout un groupes de voisins unis dans l’adversité de la vie de tous les jours. Elle en fait sa nouvelle famille , son nouveau cocon protecteur. Le lecteur a droit à une description assez réussie de ces relations de voisinages.
Chaque album présente une enquête et peut donc être lu séparément des autres, même si les multiples personnages secondaires ainsi que l’héroïne, elle-même, sont sujets à des évolutions.
Présenter en 46 planches, une enquête complète est souvent une gageure. Car ce format souvent trop court ne permet pas toujours de raconter une enquête dans toute sa complexité. Souvent, que cela soit dans des séries policières comme Jérôme K. Jérôme Bloche, Le Choucas ou Cliff Burton, certains albums sont un peu faibles dans leur développement : faute de place, le héros arrive un peu trop vite à deviner le clé de l’énigme. C’est un peu ce qui arrive, malheureusement, dans le premier album. Le deuxième est plus réussi à cet égard, le déroulement de l’enquête est plus crédible et plus attrayant.
Le troisième album est réellement attachant malgré un défaut majeur dans son déroulement : dès la moitié de l'album, le lecteur devine facilement qui est le coupable, ce qui fait de la surprise finale un pétard quelque peu humide.
Mais que le récit même du déroulement de l’enquête soit réussi ou non, la clé de l’énigme de ces albums repose toujours sur une idée originale et recherchée. Pas de place ici pour un manichéisme de mauvaise augure, non, Lapière tente de prendre à bras le corps l’humain dans toute sa complexité. On est donc plus proche de Simenon que des tueurs machiavéliques mais peu crédibles d’Agatha Christie.
Le dessin est le point fort de la série. Chauzy est un dessinateur surdoué, il ne semble avoir aucune limite et arrive à retranscrire n’importe quelle attitude, sa mise en scène est très belle et ses couleurs directes magnifiques. Du grand art.
Une série à suivre…
Et bah... mon avis risque de faire baisser la moyenne, mais tant pis !!
Cette série, lancée à l'époque ou Larcenet signait encore de son patronyme acollé à l'étoile noir de l'anarchie, propose une idée particulièrement originale : révéler les superhéros, injustement méconnus, et qui sommeillent en chacun de nous !
Derrière une idée de départ plutot sympa, il faut bien avouer par contre que l'humour est assez inégal suivant les différentes histoires présentées dans ce recueil. La présentation de Super Drole est sympa, ainsi que celle d'Agrikultor, mais le reste... pas top, vraiment, et c'est bien dommage... une idée pas exploitée à 100%, donc, selon moi.
Le style graphique de Larcenet, quant à lui, me fait toujours autant marrer. un trait bien brouillon mais qui va droit au but, des teintes noires et blancs tres propres, très "fluide glacial" de toute facon.
Rien de transcendant, mais un dessin qui rempli bien son office, quoi...
En lisant cette bd , ce qui m'a étonné c'est le contexte. Le "milieu" catholique n'est pas un sujet facile à traîter mais Maëster a réussi son pari avec beaucoup de talent. Cette soeur Marie-Thérèse est hilarante à souhaits . Le dessin est, lui , sans surprise, efficace et dans l'esprit de Fluide Glacial. Mais on rit beaucoup et on en redemande . En bref, ça décoiffe et c'est tant mieux !
Une BD de pirates plutôt destinée aux mômes (disons 8-14 ans) et qui n'a pas trop mal vieilli (ça doit avoir 20 ans), je trouve. C'est sûr que c'est ni génial ni inoubliable, que le dessin n'a pas énormément de personnalité (ça rappelle un peu Morris, un peu Franquin, un peu tout ce que vous voulez), mais c'est sympathique et sans prétention. J'hésite quand même entre 3 et 2 étoiles... Bon, ça n'a pas grande importance, vu qu'à ma connaissance, c'est introuvable de nos jours, et que je ne l'ai postée que pour le plaisir de parler d'une petite BD oubliée.
Un manga agréable à lire. Marriant action et émotion un peu fleur bleue avec un certain savoir-faire, ce manga est plaisant. Sans être extraordinaire non plus, le dessin de Sonoda est d'une belle fluidité...
Bref, de quoi passer un bon moment, pour l'oeuvre intemporelle on repassera plus tard...
La réedition de cette BD est une excellent initiative. Cela permet de (re)découvrir ce petit bijou. La qualité des illustrations est encore mieux rendue. Car c'est une belle BD, esthetiquement parlant, rien à dire ! L'histoire est effectivement un peu brouillon, on se perd parfois dans le scenario, mais c'est peut etre pour mieux se retrouver dans les illustrations. Un comix atypique, parfois déconcertant mais c'est ce qui fait son charme. (Bon d'accord je suis une fille !!!)
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Morgana
cette BD m'a beaucoup fait penser au "fleau des dieu" puisqu'on est entre SF et medieval. C'est un cocktail pas evident pour les auteurs, mais le resultat est tres convainquant, et j'ai hate de lire la suite. le dessin et les couleurs sont vraiment belles, rien à dire. bref, je suis persuadé de rajouté une etoile à cette serie à la sortie du T2.
Le Maître de Jeu
Le 1er tome m'avait emballe. Une nouvelle histoire des Stryges à l'époque contemporaine. J'avais bien aimé le second également. Par contre le dernier tome, me semble-t-il, fait un peu dans la facilité côté scénario. Il manque quelque chose. Dommage.
Le réflexe de survie
ce n'est pas le meilleur Davodeau, mais il reste d'un tres bon cachet. la toile de fond est comme d'habitude un simple extrait de vie quotidienne qui tourne au tragique. tout aurait pu rester simple, sans le moinde probleme, tout aurait dû rester simple. Pourtant, un petit grain de sable vient tout chambouller. c'est bien mis en scene, avec les quelques exagerations qui fond tout devier. c'est simple et efficace.
Le Bataillon des lâches
Un tome assez étrange... Un peu comme dans La Guerre Eternelle, on ne sait pas trop pourquoi les hommes et les Krells vont se battre, si ce n'est à cause de la peur de l'étranger. Et la désertion de ce groupe tourne vite au huit clos. C'est oppressant au possible, même si l'on peut regretter que les perso n'aient pas plus de profondeur. Cela est sans doute dû au faible nombre de pages, qui a empêché les auteurs de fouiller autant qu'ils l'auraient voulu. Par contre, j'ai vraiment du mal avec le dessin. C'est froid, et parfois limite laid. Ça reste pourtant un one shot étonnant.
Clara
La bande dessinée nous a déjà offert un certain nombre de personnages de détectives décalés, maladroits ou distraits : Jérôme K. Jérôme Bloche, l’inspecteur Moroni, Chicanos… C’est un peu dans la même lignée, mais avec un personnage féminin, que se place cette série. Le personnage en question est Clara Dominique, une fille de détective, qui embrasse le métier de son père un peu par hasard après la mort de celui-ci. Débutante et encore mal assurée des méthodes du métier, elle ne manque néanmoins pas d’entrain et utilise à de bonne fin sa capacité particulière à découvrir les motivations profondes des gens sur lesquels elle est amenée à enquêter. Lapière, le scénariste, a pris soin de doter son héroïne d’une certaine fragilité émotionnelle, ce qui la rend d’autant plus attachante. Elle découvre dans l’immeuble de son père tout un groupes de voisins unis dans l’adversité de la vie de tous les jours. Elle en fait sa nouvelle famille , son nouveau cocon protecteur. Le lecteur a droit à une description assez réussie de ces relations de voisinages. Chaque album présente une enquête et peut donc être lu séparément des autres, même si les multiples personnages secondaires ainsi que l’héroïne, elle-même, sont sujets à des évolutions. Présenter en 46 planches, une enquête complète est souvent une gageure. Car ce format souvent trop court ne permet pas toujours de raconter une enquête dans toute sa complexité. Souvent, que cela soit dans des séries policières comme Jérôme K. Jérôme Bloche, Le Choucas ou Cliff Burton, certains albums sont un peu faibles dans leur développement : faute de place, le héros arrive un peu trop vite à deviner le clé de l’énigme. C’est un peu ce qui arrive, malheureusement, dans le premier album. Le deuxième est plus réussi à cet égard, le déroulement de l’enquête est plus crédible et plus attrayant. Le troisième album est réellement attachant malgré un défaut majeur dans son déroulement : dès la moitié de l'album, le lecteur devine facilement qui est le coupable, ce qui fait de la surprise finale un pétard quelque peu humide. Mais que le récit même du déroulement de l’enquête soit réussi ou non, la clé de l’énigme de ces albums repose toujours sur une idée originale et recherchée. Pas de place ici pour un manichéisme de mauvaise augure, non, Lapière tente de prendre à bras le corps l’humain dans toute sa complexité. On est donc plus proche de Simenon que des tueurs machiavéliques mais peu crédibles d’Agatha Christie. Le dessin est le point fort de la série. Chauzy est un dessinateur surdoué, il ne semble avoir aucune limite et arrive à retranscrire n’importe quelle attitude, sa mise en scène est très belle et ses couleurs directes magnifiques. Du grand art. Une série à suivre…
Les Superhéros Injustement Méconnus
Et bah... mon avis risque de faire baisser la moyenne, mais tant pis !! Cette série, lancée à l'époque ou Larcenet signait encore de son patronyme acollé à l'étoile noir de l'anarchie, propose une idée particulièrement originale : révéler les superhéros, injustement méconnus, et qui sommeillent en chacun de nous ! Derrière une idée de départ plutot sympa, il faut bien avouer par contre que l'humour est assez inégal suivant les différentes histoires présentées dans ce recueil. La présentation de Super Drole est sympa, ainsi que celle d'Agrikultor, mais le reste... pas top, vraiment, et c'est bien dommage... une idée pas exploitée à 100%, donc, selon moi. Le style graphique de Larcenet, quant à lui, me fait toujours autant marrer. un trait bien brouillon mais qui va droit au but, des teintes noires et blancs tres propres, très "fluide glacial" de toute facon. Rien de transcendant, mais un dessin qui rempli bien son office, quoi...
Soeur Marie-Thérèse des Batignolles
En lisant cette bd , ce qui m'a étonné c'est le contexte. Le "milieu" catholique n'est pas un sujet facile à traîter mais Maëster a réussi son pari avec beaucoup de talent. Cette soeur Marie-Thérèse est hilarante à souhaits . Le dessin est, lui , sans surprise, efficace et dans l'esprit de Fluide Glacial. Mais on rit beaucoup et on en redemande . En bref, ça décoiffe et c'est tant mieux !
Colin Colas
Une BD de pirates plutôt destinée aux mômes (disons 8-14 ans) et qui n'a pas trop mal vieilli (ça doit avoir 20 ans), je trouve. C'est sûr que c'est ni génial ni inoubliable, que le dessin n'a pas énormément de personnalité (ça rappelle un peu Morris, un peu Franquin, un peu tout ce que vous voulez), mais c'est sympathique et sans prétention. J'hésite quand même entre 3 et 2 étoiles... Bon, ça n'a pas grande importance, vu qu'à ma connaissance, c'est introuvable de nos jours, et que je ne l'ai postée que pour le plaisir de parler d'une petite BD oubliée.
Gunsmith Cats
Un manga agréable à lire. Marriant action et émotion un peu fleur bleue avec un certain savoir-faire, ce manga est plaisant. Sans être extraordinaire non plus, le dessin de Sonoda est d'une belle fluidité... Bref, de quoi passer un bon moment, pour l'oeuvre intemporelle on repassera plus tard...
L'Orchidée Noire (Black Orchid)
La réedition de cette BD est une excellent initiative. Cela permet de (re)découvrir ce petit bijou. La qualité des illustrations est encore mieux rendue. Car c'est une belle BD, esthetiquement parlant, rien à dire ! L'histoire est effectivement un peu brouillon, on se perd parfois dans le scenario, mais c'est peut etre pour mieux se retrouver dans les illustrations. Un comix atypique, parfois déconcertant mais c'est ce qui fait son charme. (Bon d'accord je suis une fille !!!)