Le scénar' de cette série est plutôt original : un troll qui tombe enceint en avalant un doigt de gobelin après avoir bu de la bière romulanaise, ça court pas les rues et ca offre de bons moments de rigolade. :)
Concernant les dessins, les trois premiers tomes sont dessinés par Boiscommun... rien a redire, c'est vraiment beau et superbement mis en couleur !
Pour la suite, Labourot prend le relais. J'avais un peu peur car son style me faisait penser à du Buchet ("Sillage"), ce qui ne colle pas a l'univers de "Troll". Eh bien je dois dire que je suis plutôt agréablement surpris de ce changement, mes craintes se sont envolées : c'est du bon !
Une très chouette série qui vaut la peine d'être lue donc.
Décidément, Trillo aime bien le mythe du vampire. Mais là où « Je suis un vampire » était assez original, et assez longuement développé, « Le cri du vampire » tient plus de la courte nouvelle.
Le dessin de Bernet est plutôt plaisant, mais a un léger goût d’inachevé. Son découpage est intéressant, presque jamais droit, parfois un peu compliqué (des flèches sont là pour guider l’œil) ; le seul reproche que je lui ferai est de ne pas apporter un grand plus à la narration.
Côté histoire, elle est vraiment très classique… Il s’agit d’une petite farce au goût de drame, sans aucune surprise (on voit venir les choses bien avant leur arrivée), comportant une part importante de cul (oui, oui : de cul, mais pas de quoi fouetter une chauve-souris, non plus), et ressemblant assez fortement à « Roméo et Juliette ».
C’est le principal défaut de cet album : il se lit certes facilement, est assez plaisant, mais vraiment pas passionnant, surprenant, original… A lire si vous en avez l’occasion, mais sans plus.
Le scénario est habilement mené et bien accompagné par un dessin assez sombre et brumeux qui amplifie bien l'atmosphère angoissante, les fans de Dufaux et de fantastique adoreront.
Une petite BD sympathique qui se lit facilement mais il manque cependant un petit truc pour que la note soit plus élevée et que l'on veuille l'acheter...
En effet, tout au long de ma lecture, je n'ai pas ressenti l'envie de fermer le tome, pas la moindre incompréhension en vue mais je sais pas, je m'attendais à mieux. On ne rentre pas totalement dans la BD car on cherche le truc qui va nous le permettre mais... il n'arrive pas. C'est, comment dire, assez "plat".
Toutefois, on voit très bien où l'auteur veut nous emmener, ce qu'il veut nous faire comprendre mais ça bloque un chouya...
Néanmoins, bon point pour la fin car elle m'a surprise d'un côté et j'ai refermé cette BD en y pensant fortement.
En noir et blanc, cela ajoute un petit truc pour ce style d'histoire mais même si les dessins sont majoritairement assez nets, il y a quelques cases que je trouve pas très très belles... Et pis aussi, il y a pas mal d'imperfections...
Je pense que c'est une BD à lire mais pas au point de l'avoir chez soi ni de dire que c'est quelque chose qu'il ne faut pas louper.
Premier tome sympathique mais j'attends de voir la suite pour me prononcer vraiment sur la note et le conseil d'achat... Je suis assez mitigée la-dessus.
Scénario intéressant, la BD se lit très vite et apporte quelque chose de nouveau au niveau de mes habitudes de lecture... Je ne suis pas contre ça, surtout quand je ne suis pas déçue. Il n'y a pas trop de blablas, plusieurs cases sans paroles qui amènent le dessin à parler de lui-même. Normalement, j'ai assez de mal avec ça mais là, ça passe sans problème.
En parlant des dessins, ils sont assez bien faits. J'aime beaucoup le style, les couleurs, tout cela apportent une bonne ambiance... Non, là je suis pas contre des autres tomes si ça continue sur cette lancée.
Voilà, j'ai testé une BD d'un genre différent de ce que je lis et j'ai bien aimé. Il y a toutefois un soupçon de jesaispaskoi qui fait que je ne suis pas entièrement entrée dans l'histoire... d'où mon premier paragraphe.
La suite à surveiller.
J'ai été attiré par la magnifique couverture de cet album (mention spéciale pour les couv' de Soleil). J'avais déjà lu la critique précédente et l'histoire avait l'air "intéressante".
Eh bien, c'est plus qu'intéressant, c'est vraiment un très beau western traité d'une manière vraiment originale. Rien que le titre, "Règlement de contes", possède une double signification. Dans un western, il est logique de s'attendre à des duels et des règlements de comptes. Mais les personnages sont des héros de contes qui s'entrechoquent. Il est vraiment amusant d'essayer de retrouver de quel conte est tiré tel personnage et devoir ce que le scénariste en a fait. Il y a par exemple Monsieur Seguin devenu Barman, sans oublier sa chèvre... A vous de découvrir les autres contes.
Le dessin de Vandenstraeten est parfois un peu brouillon, mais cela s'améliorera sans aucun doute s'il s'applique, au vu de la couverture. Le scénario est vraiment palpitant, Marie traite ce western de façon vraiment originale (et ne doit nullement être comparé à Blacksad).
Cet album aurait pu commencer par "Il était une fois... dans l'ouest", alors laissez vous emmener par ce conte transposé dans ce nouveau western.
Côté histoire rien à dire, l'adaptation du roman de Flaubert dans un cadre de science fiction est plutôt réussie. Là où je suis moins convaincu, c'est sur le plan graphique. Où plutôt sur la colorisation qui date, mais qui date..... Cela donne à cette Salammbô un côté vieillot qui colle mal avec le thème traité. Cela m'a d'autant plus gêné que le travail de Druillet est passé au second plan. Je n'ai pas pu apprécier la richesse de son trait, de ses mises en scène grandioses, parasité que j'étais par les horribles couleurs employées.
A quand une colorisation à la hauteur du texte et du graphisme ? Si un tel miracle se produisait un jour, sûr que ma note augmenterait en proportion et que j'achèterai même la nouvelle version avant même de me débarrasser de l'ancienne.
Ce shojo de seulement 5 tomes - dur de trouver des histoires de si peu de tomes en manga - est très agréable, souvent marrant. On a le droit à une belle couverture rose, très belle :). Le trait de Watase est bien maitrisé, et j'aime bien également son style de dessin dans les situations comiques. Je ne connais pas ses autres séries, mais elle semble être un mangaka très productif.
Tout ça ne reste pas très original. On a une jeune fille, l'ingénue de service, qui tombe sous le charme d'un beau jeune homme mystérieux qui cache sa sensibilité. Et de surcroît c'est le plus riche de l'école ce qui entraine quelques jalousies, et bien sûr toutes les filles à ses pieds. Mouais...
Ce n'est pas mon genre de prédilection mais j'ai quand même été étonné d'apprécier. Je n'ai pas lu le dernier tome mais cette série est intéressante pour qui aime le style - n'y cherchez pas de combats de robots ;).
Bazile était connu pour ses œuvres comiques Les Avatars, mais voici un album qui sort de ce cadre. De par son dessin tout d’abord, très particulier, tout en noir, blanc et gris, digne de certaines esquisses, aux décors réalistes et aux personnages caricaturaux.
Par son sujet ensuite, résolument original en matière de bande dessinée : la peinture, et plus précisément, les peintres. Mais ces peintres-là sont ombrageux, jaloux, caractériels, et le crime couve en eux. Chaque histoire est en fait prétexte à un meurtre, mais un meurtre original, puisque à chaque fois quelque chose ne se passe pas comme on pourrait s’y attendre.
Le résultat est somme toute intéressant et assez original ; si les histoires en question auraient pu être plus percutantes, elles sont tout de même très sympathiques, et le fait que l’auteur se soit inspiré de sources réelles (citées en fin d’album) pour chacune d’entre elles est plutôt positif.
Un album donc, qui sans être extraordinaire se laisse très bien lire et n’est pas sans rappeler (de loin) l’excellent Green Manor.
Sur le premier tome :
Ashley Wood a du talent, c'est sûr, mais ici on a vraiment une impression de confusion. Le scénario est loin d'être clair, on est un peu perdu dans ces grandes planches sombres.
Ça s'améliore peut être par le suite, mais sans moi.
Une série à réserver aux fans de Spawn et de Wood ...
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Troll
Le scénar' de cette série est plutôt original : un troll qui tombe enceint en avalant un doigt de gobelin après avoir bu de la bière romulanaise, ça court pas les rues et ca offre de bons moments de rigolade. :) Concernant les dessins, les trois premiers tomes sont dessinés par Boiscommun... rien a redire, c'est vraiment beau et superbement mis en couleur ! Pour la suite, Labourot prend le relais. J'avais un peu peur car son style me faisait penser à du Buchet ("Sillage"), ce qui ne colle pas a l'univers de "Troll". Eh bien je dois dire que je suis plutôt agréablement surpris de ce changement, mes craintes se sont envolées : c'est du bon ! Une très chouette série qui vaut la peine d'être lue donc.
Le Cri du Vampire
Décidément, Trillo aime bien le mythe du vampire. Mais là où « Je suis un vampire » était assez original, et assez longuement développé, « Le cri du vampire » tient plus de la courte nouvelle. Le dessin de Bernet est plutôt plaisant, mais a un léger goût d’inachevé. Son découpage est intéressant, presque jamais droit, parfois un peu compliqué (des flèches sont là pour guider l’œil) ; le seul reproche que je lui ferai est de ne pas apporter un grand plus à la narration. Côté histoire, elle est vraiment très classique… Il s’agit d’une petite farce au goût de drame, sans aucune surprise (on voit venir les choses bien avant leur arrivée), comportant une part importante de cul (oui, oui : de cul, mais pas de quoi fouetter une chauve-souris, non plus), et ressemblant assez fortement à « Roméo et Juliette ». C’est le principal défaut de cet album : il se lit certes facilement, est assez plaisant, mais vraiment pas passionnant, surprenant, original… A lire si vous en avez l’occasion, mais sans plus.
Ombres
Le scénario est habilement mené et bien accompagné par un dessin assez sombre et brumeux qui amplifie bien l'atmosphère angoissante, les fans de Dufaux et de fantastique adoreront.
Bonne Fête Maman !
Une petite BD sympathique qui se lit facilement mais il manque cependant un petit truc pour que la note soit plus élevée et que l'on veuille l'acheter... En effet, tout au long de ma lecture, je n'ai pas ressenti l'envie de fermer le tome, pas la moindre incompréhension en vue mais je sais pas, je m'attendais à mieux. On ne rentre pas totalement dans la BD car on cherche le truc qui va nous le permettre mais... il n'arrive pas. C'est, comment dire, assez "plat". Toutefois, on voit très bien où l'auteur veut nous emmener, ce qu'il veut nous faire comprendre mais ça bloque un chouya... Néanmoins, bon point pour la fin car elle m'a surprise d'un côté et j'ai refermé cette BD en y pensant fortement. En noir et blanc, cela ajoute un petit truc pour ce style d'histoire mais même si les dessins sont majoritairement assez nets, il y a quelques cases que je trouve pas très très belles... Et pis aussi, il y a pas mal d'imperfections... Je pense que c'est une BD à lire mais pas au point de l'avoir chez soi ni de dire que c'est quelque chose qu'il ne faut pas louper.
Les Cris de Nortso
Premier tome sympathique mais j'attends de voir la suite pour me prononcer vraiment sur la note et le conseil d'achat... Je suis assez mitigée la-dessus. Scénario intéressant, la BD se lit très vite et apporte quelque chose de nouveau au niveau de mes habitudes de lecture... Je ne suis pas contre ça, surtout quand je ne suis pas déçue. Il n'y a pas trop de blablas, plusieurs cases sans paroles qui amènent le dessin à parler de lui-même. Normalement, j'ai assez de mal avec ça mais là, ça passe sans problème. En parlant des dessins, ils sont assez bien faits. J'aime beaucoup le style, les couleurs, tout cela apportent une bonne ambiance... Non, là je suis pas contre des autres tomes si ça continue sur cette lancée. Voilà, j'ai testé une BD d'un genre différent de ce que je lis et j'ai bien aimé. Il y a toutefois un soupçon de jesaispaskoi qui fait que je ne suis pas entièrement entrée dans l'histoire... d'où mon premier paragraphe. La suite à surveiller.
Règlement de contes
J'ai été attiré par la magnifique couverture de cet album (mention spéciale pour les couv' de Soleil). J'avais déjà lu la critique précédente et l'histoire avait l'air "intéressante". Eh bien, c'est plus qu'intéressant, c'est vraiment un très beau western traité d'une manière vraiment originale. Rien que le titre, "Règlement de contes", possède une double signification. Dans un western, il est logique de s'attendre à des duels et des règlements de comptes. Mais les personnages sont des héros de contes qui s'entrechoquent. Il est vraiment amusant d'essayer de retrouver de quel conte est tiré tel personnage et devoir ce que le scénariste en a fait. Il y a par exemple Monsieur Seguin devenu Barman, sans oublier sa chèvre... A vous de découvrir les autres contes. Le dessin de Vandenstraeten est parfois un peu brouillon, mais cela s'améliorera sans aucun doute s'il s'applique, au vu de la couverture. Le scénario est vraiment palpitant, Marie traite ce western de façon vraiment originale (et ne doit nullement être comparé à Blacksad). Cet album aurait pu commencer par "Il était une fois... dans l'ouest", alors laissez vous emmener par ce conte transposé dans ce nouveau western.
Salammbô
Côté histoire rien à dire, l'adaptation du roman de Flaubert dans un cadre de science fiction est plutôt réussie. Là où je suis moins convaincu, c'est sur le plan graphique. Où plutôt sur la colorisation qui date, mais qui date..... Cela donne à cette Salammbô un côté vieillot qui colle mal avec le thème traité. Cela m'a d'autant plus gêné que le travail de Druillet est passé au second plan. Je n'ai pas pu apprécier la richesse de son trait, de ses mises en scène grandioses, parasité que j'étais par les horribles couleurs employées. A quand une colorisation à la hauteur du texte et du graphisme ? Si un tel miracle se produisait un jour, sûr que ma note augmenterait en proportion et que j'achèterai même la nouvelle version avant même de me débarrasser de l'ancienne.
Imadoki
Ce shojo de seulement 5 tomes - dur de trouver des histoires de si peu de tomes en manga - est très agréable, souvent marrant. On a le droit à une belle couverture rose, très belle :). Le trait de Watase est bien maitrisé, et j'aime bien également son style de dessin dans les situations comiques. Je ne connais pas ses autres séries, mais elle semble être un mangaka très productif. Tout ça ne reste pas très original. On a une jeune fille, l'ingénue de service, qui tombe sous le charme d'un beau jeune homme mystérieux qui cache sa sensibilité. Et de surcroît c'est le plus riche de l'école ce qui entraine quelques jalousies, et bien sûr toutes les filles à ses pieds. Mouais... Ce n'est pas mon genre de prédilection mais j'ai quand même été étonné d'apprécier. Je n'ai pas lu le dernier tome mais cette série est intéressante pour qui aime le style - n'y cherchez pas de combats de robots ;).
Les Faussaires
Bazile était connu pour ses œuvres comiques Les Avatars, mais voici un album qui sort de ce cadre. De par son dessin tout d’abord, très particulier, tout en noir, blanc et gris, digne de certaines esquisses, aux décors réalistes et aux personnages caricaturaux. Par son sujet ensuite, résolument original en matière de bande dessinée : la peinture, et plus précisément, les peintres. Mais ces peintres-là sont ombrageux, jaloux, caractériels, et le crime couve en eux. Chaque histoire est en fait prétexte à un meurtre, mais un meurtre original, puisque à chaque fois quelque chose ne se passe pas comme on pourrait s’y attendre. Le résultat est somme toute intéressant et assez original ; si les histoires en question auraient pu être plus percutantes, elles sont tout de même très sympathiques, et le fait que l’auteur se soit inspiré de sources réelles (citées en fin d’album) pour chacune d’entre elles est plutôt positif. Un album donc, qui sans être extraordinaire se laisse très bien lire et n’est pas sans rappeler (de loin) l’excellent Green Manor.
HellSpawn
Sur le premier tome : Ashley Wood a du talent, c'est sûr, mais ici on a vraiment une impression de confusion. Le scénario est loin d'être clair, on est un peu perdu dans ces grandes planches sombres. Ça s'améliore peut être par le suite, mais sans moi. Une série à réserver aux fans de Spawn et de Wood ...