Cette bd est comparable aux films de série B qu'on aime revoir sans trop savoir pourquoi..
Enfin si, sympa, sans longueur, distrayant, ou l'humour n'a pas été oublié.... voila pourquoi.
Du bon boulot sans prétention.
Un début très prometteur pour cette bd dont l'univers est original et le dessin très agréable. Ca change un peu de l'héroïc-fantasy très médiévale (que j'aime beaucoup) et l'ambiance "révolution industrielle" est une idée à développer.
Les premiers sont très drôles car ils réussissent à présenter agréablement tous les clichés les plus croustillants sur la vie de couple, le beaufisme et le côté franchouillard de certains de nos chers compatriotes. Néanmoins ça s'essoufle un peu.
Ce récit est bien foutu mais il a eu peu vieilli. Des trois récits fantastiques faits par Christin et Bilal, à savoir:
- La croisière des oubliées
- le vaisseau de pierre
- la ville qui n'existait pas
(une trilogie que les humanos se prépare à rééditer un intégrale), celui-ci est le moins captivant, mais cela reste de très bonne facture, et indispensable pour les fans de ces deux auteurs. L'album respose sur une idée principale qui est bonne et humaniste à souhait, mais le style de Bilal de l'époque ne vaut pas celui d'aujourd'hui.
Ca alors ! Quelle surprise ! Un auteur de BD qui raconte ses soucis quotidiens en noir et blanc ! J'ai l'impression d'avoir déjà vu ça quelque part...
Bon, cela dit, je critique, mais j'en lis tellement, de ces trucs, que je vais finir par croire que j'aime ça...
Cette BD-ci, en l'occurrence, je l'aime bien. Le secret, en fait, à mon humble avis (c'est une façon de parler ; vous savez bien que je suis tout sauf humble), pour réussir ce genre de BD, c'est de ne pas se prendre au sérieux, de ne pas jouer au grand artiste tourmenté, de ne pas verser dans la philosophie de comptoir sur des thèmes bateau style "ce que le fait d'avoir un enfant m'a appris de la vie" ou "comme c'est difficile de construire un couple solide dans ce monde de dingues", de ne pas se donner le beau rôle de sa propre histoire. Et tout ça, c'est pas son genre, à Julie Doucet, et c'est tant mieux. Elle pratique l'autodérision, ne s'apitoie ni ne s'attendrit sur son propre sort. Quand elle nous raconte comment certains mecs ont profité d'elle, par exemple, c'est moins pour nous asséner une vérité du style "les hommes sont tous des salauds manipulateurs" que pour nous inviter à rire avec elle de sa propre naïveté de jeune fille qui se laissait impressionner par le premier abruti qui jouait à l'artiste ou à l'écorché vif. Quand elle nous montre son appartement sordide, ce n'est pas pour faire sa Cosette. Alors, évidemment, au final, ça n'est jamais que la petite vie d'une petite personne, pas forcément plus palpitante que la vôtre ou la mienne, mais c'est plutôt sympa à lire. A défaut de l'acheter, n'hésitez pas à la chercher dans votre bibliothèque habituelle.
Peyo a été assez dynamique durant sa grande carrière d'auteur BD, et a réelleement su créer des séries aussi bien excellentes que banales comme tout.
Inspirés de la série "Johan et Pirlouit", les Schtroumpfs ont pour eux cette originalité que peu de séries pour enfants possèdent.
Dans un petit village de champignons communiste, le grand schtroumpf au bonnet rouge gère un petit peuple de 101 petits schtroumpfs qui travaillent pour le village, dans un esprit très communautaire. Chacun à sa fonction : le Schtroumpfs cuisinier, le Schtroumpfs bricoleur, le Schtroumpfs farceur (tu parles d'un métier),etc...
Tels de petites fourmis, les schtroumpfs travaillent donc sans relâche dans une humeur joyeuse, permettant à leur communauté indépendante de s'épanouir paisiblement.
Un seul tracas : Gargamel et son chat Azrael, un vieux sorcier un peu fou qui, pour la concoction de ses potions magiques, nécessite parfois l'utilisation de quelques petits schtroumpfs (un bonnet de schtroumpf, une culotte de schtroumpf, un bras de schtroumpf) et qui donc ne fait que persécuter nos petits amis à la peau bleue.
S'en suit une série assez inégale, aux scénarii plus ou moins originaux, mais corrects dans l'ensemble. Rien de bien génial, mais un plaisir tout de même pour le (petit) lecteur qui découvre la BD par le biais de cette série.
Le dessin de peyo, typiquement humoristique, est tout en ligne claire : formes rondouillardes, trait gras, mise en couleurs pleines... sympathique, mais pas fantastique...
Oui... L'ensemble de l'oeuvre de Peyo est à découvrir, ne serait-ce que par culture... maintenant, de là à investir...
C'est surtout l'idée qui m'a séduit dans Aberzen. Le dessin est plutôt sympa et le fait que ce soient des nounours plutôt que des hommes ne me gêne pas. Mais surtout l'histoire est très intéressante et j'achèterai la suite sans hésiter. Seule ombre au tableau, mais que certains aprécieront, l'intrigue est un peu trop floue et quelques détails seraient, à mon avis, bienvenus.
"Ah my Goddess" c'est mignon, marrant et assez joli mais ça casse pas des briques non plus. A lire sans hésiter si on peut les emprunter. Pour les collectionneurs (comme moi), il y a plus de 20 tomes donc réfléchissez avant de commencer la série.
Ce n'est évidemment pas du niveau de Bone mais je ne suis pas déçu de l'avoir acheté. Plus que Big-Johnson, tous les petits personnages secondaires m'ont vraiment séduit, avec une mention spéciale pour le dragon(net).
Ce manga a l'avantage de dévoiler la fin de l'histoire de nos voleuses préférées, ce que la série TV avait oublié de faire. Quelle satisfaction d'enfin pouvoir comprendre qui est le fameux Cranaff ! Si le dessin est dur à supporter au début (mon dieu la coupe de Toshio/Quentin!) il s'arrange un peu par la suite mais reste assez loin des graphisme séduisants de la version animée.
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Cryozone
Cette bd est comparable aux films de série B qu'on aime revoir sans trop savoir pourquoi.. Enfin si, sympa, sans longueur, distrayant, ou l'humour n'a pas été oublié.... voila pourquoi. Du bon boulot sans prétention.
Les Arcanes du Midi-minuit
Un début très prometteur pour cette bd dont l'univers est original et le dessin très agréable. Ca change un peu de l'héroïc-fantasy très médiévale (que j'aime beaucoup) et l'ambiance "révolution industrielle" est une idée à développer.
Les Bidochon
Les premiers sont très drôles car ils réussissent à présenter agréablement tous les clichés les plus croustillants sur la vie de couple, le beaufisme et le côté franchouillard de certains de nos chers compatriotes. Néanmoins ça s'essoufle un peu.
Le Vaisseau de Pierre
Ce récit est bien foutu mais il a eu peu vieilli. Des trois récits fantastiques faits par Christin et Bilal, à savoir: - La croisière des oubliées - le vaisseau de pierre - la ville qui n'existait pas (une trilogie que les humanos se prépare à rééditer un intégrale), celui-ci est le moins captivant, mais cela reste de très bonne facture, et indispensable pour les fans de ces deux auteurs. L'album respose sur une idée principale qui est bonne et humaniste à souhait, mais le style de Bilal de l'époque ne vaut pas celui d'aujourd'hui.
Changements d'adresses
Ca alors ! Quelle surprise ! Un auteur de BD qui raconte ses soucis quotidiens en noir et blanc ! J'ai l'impression d'avoir déjà vu ça quelque part... Bon, cela dit, je critique, mais j'en lis tellement, de ces trucs, que je vais finir par croire que j'aime ça... Cette BD-ci, en l'occurrence, je l'aime bien. Le secret, en fait, à mon humble avis (c'est une façon de parler ; vous savez bien que je suis tout sauf humble), pour réussir ce genre de BD, c'est de ne pas se prendre au sérieux, de ne pas jouer au grand artiste tourmenté, de ne pas verser dans la philosophie de comptoir sur des thèmes bateau style "ce que le fait d'avoir un enfant m'a appris de la vie" ou "comme c'est difficile de construire un couple solide dans ce monde de dingues", de ne pas se donner le beau rôle de sa propre histoire. Et tout ça, c'est pas son genre, à Julie Doucet, et c'est tant mieux. Elle pratique l'autodérision, ne s'apitoie ni ne s'attendrit sur son propre sort. Quand elle nous raconte comment certains mecs ont profité d'elle, par exemple, c'est moins pour nous asséner une vérité du style "les hommes sont tous des salauds manipulateurs" que pour nous inviter à rire avec elle de sa propre naïveté de jeune fille qui se laissait impressionner par le premier abruti qui jouait à l'artiste ou à l'écorché vif. Quand elle nous montre son appartement sordide, ce n'est pas pour faire sa Cosette. Alors, évidemment, au final, ça n'est jamais que la petite vie d'une petite personne, pas forcément plus palpitante que la vôtre ou la mienne, mais c'est plutôt sympa à lire. A défaut de l'acheter, n'hésitez pas à la chercher dans votre bibliothèque habituelle.
Les Schtroumpfs
Peyo a été assez dynamique durant sa grande carrière d'auteur BD, et a réelleement su créer des séries aussi bien excellentes que banales comme tout. Inspirés de la série "Johan et Pirlouit", les Schtroumpfs ont pour eux cette originalité que peu de séries pour enfants possèdent. Dans un petit village de champignons communiste, le grand schtroumpf au bonnet rouge gère un petit peuple de 101 petits schtroumpfs qui travaillent pour le village, dans un esprit très communautaire. Chacun à sa fonction : le Schtroumpfs cuisinier, le Schtroumpfs bricoleur, le Schtroumpfs farceur (tu parles d'un métier),etc... Tels de petites fourmis, les schtroumpfs travaillent donc sans relâche dans une humeur joyeuse, permettant à leur communauté indépendante de s'épanouir paisiblement. Un seul tracas : Gargamel et son chat Azrael, un vieux sorcier un peu fou qui, pour la concoction de ses potions magiques, nécessite parfois l'utilisation de quelques petits schtroumpfs (un bonnet de schtroumpf, une culotte de schtroumpf, un bras de schtroumpf) et qui donc ne fait que persécuter nos petits amis à la peau bleue. S'en suit une série assez inégale, aux scénarii plus ou moins originaux, mais corrects dans l'ensemble. Rien de bien génial, mais un plaisir tout de même pour le (petit) lecteur qui découvre la BD par le biais de cette série. Le dessin de peyo, typiquement humoristique, est tout en ligne claire : formes rondouillardes, trait gras, mise en couleurs pleines... sympathique, mais pas fantastique... Oui... L'ensemble de l'oeuvre de Peyo est à découvrir, ne serait-ce que par culture... maintenant, de là à investir...
Aberzen
C'est surtout l'idée qui m'a séduit dans Aberzen. Le dessin est plutôt sympa et le fait que ce soient des nounours plutôt que des hommes ne me gêne pas. Mais surtout l'histoire est très intéressante et j'achèterai la suite sans hésiter. Seule ombre au tableau, mais que certains aprécieront, l'intrigue est un peu trop floue et quelques détails seraient, à mon avis, bienvenus.
Ah! My Goddess
"Ah my Goddess" c'est mignon, marrant et assez joli mais ça casse pas des briques non plus. A lire sans hésiter si on peut les emprunter. Pour les collectionneurs (comme moi), il y a plus de 20 tomes donc réfléchissez avant de commencer la série.
Bone - Big Johnson Bone
Ce n'est évidemment pas du niveau de Bone mais je ne suis pas déçu de l'avoir acheté. Plus que Big-Johnson, tous les petits personnages secondaires m'ont vraiment séduit, avec une mention spéciale pour le dragon(net).
Cat's eye
Ce manga a l'avantage de dévoiler la fin de l'histoire de nos voleuses préférées, ce que la série TV avait oublié de faire. Quelle satisfaction d'enfin pouvoir comprendre qui est le fameux Cranaff ! Si le dessin est dur à supporter au début (mon dieu la coupe de Toshio/Quentin!) il s'arrange un peu par la suite mais reste assez loin des graphisme séduisants de la version animée.