Ah ! Après m'être plongé dans l'univers de Dethan avec "Ingrid", je continue mon expréience avec "Tante Henriette ou l'Eloge de l'avarice". Et j'avoue que j'ai trouvé cette série d'un niveau inférieur à celui d'"Ingrid", pourtant c'est à peu près la même façon dont est exposé l'histoire, par une jeune fille, mais c'est le plan que suit cette série qui est pas génial, pas très organisé, en fait on assiste à quelques histoires pour nous monter l'avarice de cette Tante Henriette. Mais souvent elles sont pas très interessante et moi, je l'avoue je me suis parfois ennuyer.Le fait que l'on assiste à des tableaux par-ci par-là ne m'a pas plu car ke préfère quand une série suit une intrigue et ne me raconte pas des faits. Par contre, à côté de ça le principe même m'a énormément plu, cette vieille Henriette me rappel mes grands-parents et nous décris une génération qui savait vivre au dessus de leur moyen, aimant qu'un seul mot : profit ! sans même penser à soi-même, capable de bouffer n'importe quoi pour en avoir plus sur le compte épargne. Personellement cette série, assez caricaturale m'a bien fait marrer. Tante Henriette se fait passer pour une femme totalement sénile qui l'est bien-sûr en aucun cas, ça me rappel bien ma grand-mère ça:) J'ai beaucoup apprécier la fin car le côté poétique de Dethan fait son apparition, elle fait ici un hommage à sa tante et partage sa nostalgie...
Les dessins de Dethan, ben que dire ? ben que c'est dans la même lignée que "Ingrid". Elle a son propre style et je dois avouer que les couleurs utiliser, couleur sépia m'ont charmé. Bref, de la bonne BD mais qui a tout de même un petit point négatif assez génant...
Ah, Largo, Largo...Qu'est-ce que tu me fais là? Pas la grande forme dernièrement!!!
J'ai découvert la série assez tard et le premier truc qui m'a marqué c'est la quantité de texte "technique" impressionnante...et puis pour comprendre il faut tout lire !!! C'est d'ailleurs l'aspect technique des questions financières (la base de la série quand meme,les déboires d'un pdg certes trentenaire et belliqueux!) qui est assez laborieux, parfois...
Les histoires se regroupent par deux tomes et c'est une assez bonne solution puisqu'on est ainsi pas obligé d'acheter la série... J'aime bien les tomes 7 et 8 (décors sublimes, beaux paysages et une histoire un peu boostée !)...Les tomes précédents ne sont pas mauvais, non, ils sont bien et plus ou moins interessants. Ils méritent d'être lus... Les tomes suivants (à partir du tome 9) sont très médiocres et souffrent d'un manque d'originalité et de nouveauté...
Bref, Largo, c'est un beau gosse, un tombeur...Mais bon, il reste avant tout pdg et un peu trop superficiel à mon gout...et c'est mal parti pour changer au vu des de ses dernières aventures...Dommage, je serai tout à fait cliente d'un style se rapprochant de celui des tomes 7 et 8 à savoir des histoires à l'étranger et qui concernent personellement largo et son tumultueux passé...
Bons scénarii complexes et les relations entre les personnes ne sonnent pas faux. Les dessins servent le côté noir de l'univers de Pezzo et Giardino maîtrise bien le noir et blanc.
Un bon scénario et des dessins assez épurés mais significatifs.
Bucquoy livre dans cet album une histoire fouillée avec beaucoup d'explications et une narration importante, celle-ci tient autant de place que les dessins oiu l'action elle-même.
Un petit blème par rapport aux dessins, la couverture est carrément mieux travaillée que le reste et n'est pas du tout révélatrice de ce que l'on peut voire à l(intérieur :(
Bucquoy montre par cette BD que le pouvoir et les magouilles dans les hautes sphères de la société sont intouchables. Tous les maillons de la chaîne sont solidaires et parlent d'une seule voix : occupe toi de tes oignons. Les choses sont comme ça, on n'y peut rien et surtout il ne faut rien tenter de faire.
Mouais...
C'est pas mal, mais je suis très loin de l'enthousiasme dont font preuve les critiques ci-dessous... Les dessins sont moches, les situations invraissemblables et l'humour très lourd... Mais bon, c'est probablement plus pour les mecs, et puis ça reste "pas mal", dans l'ensemble : le principe très bien décrit par Eusèbio ci dessous, l'anti-pédagogue par excellence qui redonne le gout de vivre aux jeunes, est bien mis en scène et me plait. Pour le reste... faut aimer le genre.
Bon d'accord c'est une bonne BD, mais de là à que tout le monde mette 5/5, je trouve ça un peu exagéré.
OK, les dessins et le scénar ne sont pas mal, mais ce n'est pas exceptionnel non plus ...
Je pense que le véritable attrait de cette BD est le fait qu'elle soit sorti à une époque où l'Héroic Fantasy était quasiment inexistant dans le monde de la BD. Rien que pour ça, il est interessant de l'avoir lu.
Par ce fait, les auteurs ont ouvert une voie, et aujourd'hui les BD de ce genre pullulent dans les bacs des magasins spécialisés.
Voilà, j'espère ne pas me faire trop d'ennemi en ayant dit que cette BD est seulement PAS MAL...
Yoyo
Une histoire très réussie, qui sous couvert s'être un conte mi-poétique, mi-fantastique, critique une socièté entravée par un Média tout puissant et abrutissant. L'histoire est très bien, parfaitement contée, avec un rien d'humour quand il le faut.
Mais les dessins... j'acroche pas, j'ai toujours trouvé les dessins de Fred brouillons et moches, et pour cet album pareil que pour les autres, je dois me forcer pour profiter de l'histoire...
L'histoire est très bien : à la fois ancrée dans notre monde (enfin... à un siècle près) et complètement surréaliste (pourquoi diable ce vendeur de mahcines-à-rouler-les-cigarettes fait il du porte à porte dans une lande perdue, en portant sa machine sur le dos ?!), joyeusement remplies de paradoxes et d'humour, elle tourne tranquillement en rond sans aller nulle part dans le seul but de faire se débattre sous nos yeux un couple de personnages très réussis (le troisième, où d'autres protagonistes interviennent, est moins bon).
A lire avec plaisir, pour tous les ammateurs d'absurde,... que les dessins et les couleurs très spéciaux ne rebuteront pas
Je suis assez d'accord avec les avis précédents : ce Cosey est nettement moins bon que les autres. Mais ça n'est reste pas moins un bon album !
Les dessins sont superbes (des montagnes enneigées), et si l'histoire est trop peu originale, les personnages n'en sont pas pour autant ininteressants : le caractère des deux femmes, leurs idées, leurs actions (le coup de père noël par exemple) valent à eux seuls la lecture.
Il avait explosé sur "Witchblade", Turner confirme son formidable talent de dessinateur dans sa création personnelle : Fathom.
Fleuron du studio Top Cow, Fathom est un petit bijou graphique, c'est certain. La belle Aspen Matthews est irrésistible et l'environnement aquatique dans lequel elle évolue permet à Turner de se lâcher complètement en réalisant de superbes vignettes et quelques splash-pages d'anthologie.
Mais comme souvent, la qualité exceptionnelle de dessin éclipse un peu le scénario, qui du coup paraît un peu plus "juste" (dans le mauvais sens du terme) qu'il ne l'est réellement. Sans être mauvais, il n'est tout simplement pas passionant, surtout sur la longueur.
Il n'est pas rare dans le monde des comics qu'une série démarre sur les chapeaux de roues, mais s'essouffle plus ou moins rapidement. C'est un peu le cas ici, qualités graphiques mises à part.
Un élément extérieur aura également pesé sur l'évolution de la série : la maladie assez sérieuse de son auteur, qui a eu pour effet de hâcher la conception et la sortie des différents épisodes. Revenu en forme, Turner a récemment repris en main sa création, l'avenir nous dira si Fathom reviendra au meilleur niveau.
Toujours est-il que les premiers épisodes ici présentés en recueils aux Éditions USA sont très agréables à lire, l'aspect fantastique de l'histoire y est d'ailleurs source d'une intrigue intéressante. Les personnages sont simples mais efficaces. La lecture de Fathom assure donc de bons moments, c'est bien l'essentiel.
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Tante Henriette ou l'Eloge de l'Avarice
Ah ! Après m'être plongé dans l'univers de Dethan avec "Ingrid", je continue mon expréience avec "Tante Henriette ou l'Eloge de l'avarice". Et j'avoue que j'ai trouvé cette série d'un niveau inférieur à celui d'"Ingrid", pourtant c'est à peu près la même façon dont est exposé l'histoire, par une jeune fille, mais c'est le plan que suit cette série qui est pas génial, pas très organisé, en fait on assiste à quelques histoires pour nous monter l'avarice de cette Tante Henriette. Mais souvent elles sont pas très interessante et moi, je l'avoue je me suis parfois ennuyer.Le fait que l'on assiste à des tableaux par-ci par-là ne m'a pas plu car ke préfère quand une série suit une intrigue et ne me raconte pas des faits. Par contre, à côté de ça le principe même m'a énormément plu, cette vieille Henriette me rappel mes grands-parents et nous décris une génération qui savait vivre au dessus de leur moyen, aimant qu'un seul mot : profit ! sans même penser à soi-même, capable de bouffer n'importe quoi pour en avoir plus sur le compte épargne. Personellement cette série, assez caricaturale m'a bien fait marrer. Tante Henriette se fait passer pour une femme totalement sénile qui l'est bien-sûr en aucun cas, ça me rappel bien ma grand-mère ça:) J'ai beaucoup apprécier la fin car le côté poétique de Dethan fait son apparition, elle fait ici un hommage à sa tante et partage sa nostalgie... Les dessins de Dethan, ben que dire ? ben que c'est dans la même lignée que "Ingrid". Elle a son propre style et je dois avouer que les couleurs utiliser, couleur sépia m'ont charmé. Bref, de la bonne BD mais qui a tout de même un petit point négatif assez génant...
Largo Winch
Ah, Largo, Largo...Qu'est-ce que tu me fais là? Pas la grande forme dernièrement!!! J'ai découvert la série assez tard et le premier truc qui m'a marqué c'est la quantité de texte "technique" impressionnante...et puis pour comprendre il faut tout lire !!! C'est d'ailleurs l'aspect technique des questions financières (la base de la série quand meme,les déboires d'un pdg certes trentenaire et belliqueux!) qui est assez laborieux, parfois... Les histoires se regroupent par deux tomes et c'est une assez bonne solution puisqu'on est ainsi pas obligé d'acheter la série... J'aime bien les tomes 7 et 8 (décors sublimes, beaux paysages et une histoire un peu boostée !)...Les tomes précédents ne sont pas mauvais, non, ils sont bien et plus ou moins interessants. Ils méritent d'être lus... Les tomes suivants (à partir du tome 9) sont très médiocres et souffrent d'un manque d'originalité et de nouveauté... Bref, Largo, c'est un beau gosse, un tombeur...Mais bon, il reste avant tout pdg et un peu trop superficiel à mon gout...et c'est mal parti pour changer au vu des de ses dernières aventures...Dommage, je serai tout à fait cliente d'un style se rapprochant de celui des tomes 7 et 8 à savoir des histoires à l'étranger et qui concernent personellement largo et son tumultueux passé...
Sam Pezzo (Les Enquêtes de)
Bons scénarii complexes et les relations entre les personnes ne sonnent pas faux. Les dessins servent le côté noir de l'univers de Pezzo et Giardino maîtrise bien le noir et blanc.
Charles Miller
Un bon scénario et des dessins assez épurés mais significatifs. Bucquoy livre dans cet album une histoire fouillée avec beaucoup d'explications et une narration importante, celle-ci tient autant de place que les dessins oiu l'action elle-même. Un petit blème par rapport aux dessins, la couverture est carrément mieux travaillée que le reste et n'est pas du tout révélatrice de ce que l'on peut voire à l(intérieur :( Bucquoy montre par cette BD que le pouvoir et les magouilles dans les hautes sphères de la société sont intouchables. Tous les maillons de la chaîne sont solidaires et parlent d'une seule voix : occupe toi de tes oignons. Les choses sont comme ça, on n'y peut rien et surtout il ne faut rien tenter de faire.
GTO - Great Teacher Onizuka
Mouais... C'est pas mal, mais je suis très loin de l'enthousiasme dont font preuve les critiques ci-dessous... Les dessins sont moches, les situations invraissemblables et l'humour très lourd... Mais bon, c'est probablement plus pour les mecs, et puis ça reste "pas mal", dans l'ensemble : le principe très bien décrit par Eusèbio ci dessous, l'anti-pédagogue par excellence qui redonne le gout de vivre aux jeunes, est bien mis en scène et me plait. Pour le reste... faut aimer le genre.
Légendes des Contrées Oubliées
Bon d'accord c'est une bonne BD, mais de là à que tout le monde mette 5/5, je trouve ça un peu exagéré. OK, les dessins et le scénar ne sont pas mal, mais ce n'est pas exceptionnel non plus ... Je pense que le véritable attrait de cette BD est le fait qu'elle soit sorti à une époque où l'Héroic Fantasy était quasiment inexistant dans le monde de la BD. Rien que pour ça, il est interessant de l'avoir lu. Par ce fait, les auteurs ont ouvert une voie, et aujourd'hui les BD de ce genre pullulent dans les bacs des magasins spécialisés. Voilà, j'espère ne pas me faire trop d'ennemi en ayant dit que cette BD est seulement PAS MAL... Yoyo
L'Histoire du conteur électrique
Une histoire très réussie, qui sous couvert s'être un conte mi-poétique, mi-fantastique, critique une socièté entravée par un Média tout puissant et abrutissant. L'histoire est très bien, parfaitement contée, avec un rien d'humour quand il le faut. Mais les dessins... j'acroche pas, j'ai toujours trouvé les dessins de Fred brouillons et moches, et pour cet album pareil que pour les autres, je dois me forcer pour profiter de l'histoire...
Time is Money (Timoléon)
L'histoire est très bien : à la fois ancrée dans notre monde (enfin... à un siècle près) et complètement surréaliste (pourquoi diable ce vendeur de mahcines-à-rouler-les-cigarettes fait il du porte à porte dans une lande perdue, en portant sa machine sur le dos ?!), joyeusement remplies de paradoxes et d'humour, elle tourne tranquillement en rond sans aller nulle part dans le seul but de faire se débattre sous nos yeux un couple de personnages très réussis (le troisième, où d'autres protagonistes interviennent, est moins bon). A lire avec plaisir, pour tous les ammateurs d'absurde,... que les dessins et les couleurs très spéciaux ne rebuteront pas
Joyeux Noël, May !
Je suis assez d'accord avec les avis précédents : ce Cosey est nettement moins bon que les autres. Mais ça n'est reste pas moins un bon album ! Les dessins sont superbes (des montagnes enneigées), et si l'histoire est trop peu originale, les personnages n'en sont pas pour autant ininteressants : le caractère des deux femmes, leurs idées, leurs actions (le coup de père noël par exemple) valent à eux seuls la lecture.
Fathom - Origines
Il avait explosé sur "Witchblade", Turner confirme son formidable talent de dessinateur dans sa création personnelle : Fathom. Fleuron du studio Top Cow, Fathom est un petit bijou graphique, c'est certain. La belle Aspen Matthews est irrésistible et l'environnement aquatique dans lequel elle évolue permet à Turner de se lâcher complètement en réalisant de superbes vignettes et quelques splash-pages d'anthologie. Mais comme souvent, la qualité exceptionnelle de dessin éclipse un peu le scénario, qui du coup paraît un peu plus "juste" (dans le mauvais sens du terme) qu'il ne l'est réellement. Sans être mauvais, il n'est tout simplement pas passionant, surtout sur la longueur. Il n'est pas rare dans le monde des comics qu'une série démarre sur les chapeaux de roues, mais s'essouffle plus ou moins rapidement. C'est un peu le cas ici, qualités graphiques mises à part. Un élément extérieur aura également pesé sur l'évolution de la série : la maladie assez sérieuse de son auteur, qui a eu pour effet de hâcher la conception et la sortie des différents épisodes. Revenu en forme, Turner a récemment repris en main sa création, l'avenir nous dira si Fathom reviendra au meilleur niveau. Toujours est-il que les premiers épisodes ici présentés en recueils aux Éditions USA sont très agréables à lire, l'aspect fantastique de l'histoire y est d'ailleurs source d'une intrigue intéressante. Les personnages sont simples mais efficaces. La lecture de Fathom assure donc de bons moments, c'est bien l'essentiel.