Ce récit vaut vraiment le détour malgré son air un peu vieillot. Sans être grandiose, le dessin nous installe dans de bonnes conditions pour suivre les enquêtes du commissaire Raffini.
Des enquêtes pourtant classiques mais passionnantes, faisant parfois appel aux phénomènes paranormaux, à la magie … rien de tel pour nous tenir en haleine jusqu’au bout.
Le dessin fait bien revivre les années 50 avec son architecture, ses voitures, l’électroménager…
Une histoire qui se tient, des personnages attachants. De la trempe des grands personnages policiers, Raffini s’installe tout doucement dans notre subconscient. On l’imagine, on l’accompagne dans ses recherches.
Cette série est bourrée de clins d’œil à Tardi et d’autres auteurs de BD.
Le policier, un genre vers lequel je ne porte que très peu d’attachement, mais là, j’ai bien craqué.
Cette découverte est récente et en voulant acheter la série…misère… épuisée…et ouf, on la trouve partout en occase à des prix supers.
13/20
Voilà une série fraiche et agréable et qui n'éssai pas de péter plus haut que ses pages...
des enquétes intéressante et un dessin simpliste...
je compte bien investir dans l'aquisition de cette série (je n'en ai que 4 ou 5) avant de gagner au loto!!!
Je n'aurai pas autant d'enthousiasme que fourmi, mais "Fanfreluches pour une sirène" est un album très sympa, qui ne manque ni de charme ni d'originalité. Le scénar est de bonne qualité et les situations et les dialogues, sans être à hurler de rire en se tortillant par terre comme un épileptique, sont parfois rigolos. Le dessin est, dans son genre, une réussite, mais c'est sûr qu'un style aussi particulier ne fera pas l'unanimité...
Au final, "Fanfreluches..." est une BD pas indispensable mais qui mérite le coup d'oeil.
Je viens de lire cette première oeuvre d'une équipe maintenant très connue et je dois dire que j’ai pris bien du plaisir à la lire.
les 3 quêtes sont indépendantes. ..déjà un plus…
C'est du HF distrayant qui ne se prend pas au sérieux. Le tout est plein d'humour.
Un scénario plaisant sans être complexe avec des idées très bien vues.
Bref…j’ai passé un bon moment de lecture
C'est pas mal...un bon plaisir de lecture...
Le dessin est pas terrible mais oublié une fois dans l'action de la lecture de cette série.
Le scénario est un peu répétitif avec les morsures diverses et variées...
A lire mais loin d'être indispensable dans sa bdthèque.
Achile Talon fait parti des classique de la BD; et j'aime lire ces textes interminables truffés de jeux de mots plus ou moins foireux... Si Achile n'existait pas, il faudrait absolument l'inventer!!!
14/20
Une bonne série, un suspens bien présent et heureusement que j'ai pu acheter quasiment tous les albums en meme temps, cela m'a évité de long mois de d'attente dans le doute et l'incertitude...
on retrouve biensur beaucoup d'éléments qui ont fait le succés de X-files
Voilà encore un album qu’il m’est difficile de noter. Et j’aurais préféré ne pas devoir le faire tant j’hésite entre 3 et 4 étoiles. Ne faites donc pas trop attention à ma note et lisez plutôt ce qui suit.
J’adore le dessin de Chauzy, ce dessinateur a un talent immense, il le prouve une fois de plus dans cet album. Son trait est sûr et vivant, ses couleurs sont magnifiques. Avec un talent pareil, Chauzy aurait pu sans peine devenir un auteur vénéré des hordes de lecteurs, un faiseur de best-sellers, mais il n’a jamais choisi la facilité, préférant avant tout, album après album, cultiver sa singularité.
Entre deux albums de Clara, il adapte une nouvelle de Jonquet. Une fable sociale qui met en scène un étrange trait d’union entre deux époques, celle de la France contemporaine et celle de la grande guerre. Au cours de la lecture, on est un peu surpris qu’aucune trame dramatique forte ne s’impose vraiment, l’album se termine sans aucun véritable suspens, sans qu’on ait l’impression, en tant que lecteur, d’avoir eu affaire à une aventure (au sens large). C’est avant tout de description qu’il s’agit, et de mise en scène du social. L’album terminé, les auteurs nous laisse là, avec un récit qu’il reste à interpréter, et une morale qu’il reste à inventer. Il faut l’avouer, en tant que lecteur de bd, nous ne sommes pas trop habitué à rencontrer ce type de récit en bande dessinée, généralement les enjeux narratifs sont clairs, précis et simples. Tout nous arrive tout « maché » dans la bouche et une fois l’album terminé, on le referme et on passe à un autre. C’est chose plus difficile avec cet album-ci qui n’est de lecture simple qu’en apparence. Sous cette simplicité se cache un discours sociologique élaboré et intelligent qui risque sans doute de passer sous le nez du lecteur qui ne cherchera pas à amener sa petite pierre à l’édifice. Malgré d’indéniables qualités, et cette bonne part de la plus rare de toute : l’originalité, il manque peut-être à ce récit un peu de dramaturgie.
C'est ici qu'on redécouvre le "grand vampire" et ses compagnons, mais aussi des personnages aux allures de professeur Bell, des situations rappellant le minuscule mousquetaire... c'est ici qu'on découvre l'étendue de l'imagination de Sfar à travers ses cases originales et son trait personnel, à travers tous ses délires qui se recoupent et se rejoingnent (comme petrus barbygère rejoint professeur bell). Le petit monde du golem, une pièce de choix dans le petit monde de Sfar.
Fée et tendres automates... voilà sans doute l'une des oeuvres les plus poétiques du petit monde de la bande dessinée qu'il m'ait été donné de lire.
C'est un véritable conte, certes moins beau que Peter Pan ou encore Elend, mais tout de même vraiment très fort. La grande force de cette série se situe d'une part dans la narration employée par l'auteur, d'autre part par la force du graphisme de Béatrice Tillier, parfait pour ce type de récits.
Les personnages sont très attachants, surtout du fait qu'ils sont peu nombreux. Leur psychologie est vraiment développée, et l'auteur a su leur donner une "vie", chose suffisamment rare pour être soulignée.
Toutefois, cette série n'est pas parfaite... loin de là. En effet, elle manque cruellement de rythme ! C'est parfoit lent... très lent... et ça casse un peu la lecture, il faut bien l'avouer.
Le style de Béatrice Tillier est quant à lui vraiment personnel, et surtout d'une finesse étonnante ! J'ai eu la chance d'aller à une exposition de ses différentes planches originales, où j'ai pu apprécier son trait impeccable et sa mise en couleur directe qui donne une ambiance véritablement particulière à cette série. Vraiment, du très beau travail ! De plus, les cadrages sont souvent très bien trouvés, tout comme le découpage des différentes planches... c'est beau !
Dommage que cette série manque de rythme, vraiment dommage...
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Commissaire Raffini
Ce récit vaut vraiment le détour malgré son air un peu vieillot. Sans être grandiose, le dessin nous installe dans de bonnes conditions pour suivre les enquêtes du commissaire Raffini. Des enquêtes pourtant classiques mais passionnantes, faisant parfois appel aux phénomènes paranormaux, à la magie … rien de tel pour nous tenir en haleine jusqu’au bout. Le dessin fait bien revivre les années 50 avec son architecture, ses voitures, l’électroménager… Une histoire qui se tient, des personnages attachants. De la trempe des grands personnages policiers, Raffini s’installe tout doucement dans notre subconscient. On l’imagine, on l’accompagne dans ses recherches. Cette série est bourrée de clins d’œil à Tardi et d’autres auteurs de BD. Le policier, un genre vers lequel je ne porte que très peu d’attachement, mais là, j’ai bien craqué. Cette découverte est récente et en voulant acheter la série…misère… épuisée…et ouf, on la trouve partout en occase à des prix supers.
Jérôme K. Jérôme Bloche
13/20 Voilà une série fraiche et agréable et qui n'éssai pas de péter plus haut que ses pages... des enquétes intéressante et un dessin simpliste... je compte bien investir dans l'aquisition de cette série (je n'en ai que 4 ou 5) avant de gagner au loto!!!
Fanfreluches pour une sirène
Je n'aurai pas autant d'enthousiasme que fourmi, mais "Fanfreluches pour une sirène" est un album très sympa, qui ne manque ni de charme ni d'originalité. Le scénar est de bonne qualité et les situations et les dialogues, sans être à hurler de rire en se tortillant par terre comme un épileptique, sont parfois rigolos. Le dessin est, dans son genre, une réussite, mais c'est sûr qu'un style aussi particulier ne fera pas l'unanimité... Au final, "Fanfreluches..." est une BD pas indispensable mais qui mérite le coup d'oeil.
Les 3 Quêtes d'Hypercondrie (Fuzz et Fizzbi)
Je viens de lire cette première oeuvre d'une équipe maintenant très connue et je dois dire que j’ai pris bien du plaisir à la lire. les 3 quêtes sont indépendantes. ..déjà un plus… C'est du HF distrayant qui ne se prend pas au sérieux. Le tout est plein d'humour. Un scénario plaisant sans être complexe avec des idées très bien vues. Bref…j’ai passé un bon moment de lecture
Garous
C'est pas mal...un bon plaisir de lecture... Le dessin est pas terrible mais oublié une fois dans l'action de la lecture de cette série. Le scénario est un peu répétitif avec les morsures diverses et variées... A lire mais loin d'être indispensable dans sa bdthèque.
Achille Talon
Achile Talon fait parti des classique de la BD; et j'aime lire ces textes interminables truffés de jeux de mots plus ou moins foireux... Si Achile n'existait pas, il faudrait absolument l'inventer!!!
Le Chant des Stryges
14/20 Une bonne série, un suspens bien présent et heureusement que j'ai pu acheter quasiment tous les albums en meme temps, cela m'a évité de long mois de d'attente dans le doute et l'incertitude... on retrouve biensur beaucoup d'éléments qui ont fait le succés de X-files
La Vigie
Voilà encore un album qu’il m’est difficile de noter. Et j’aurais préféré ne pas devoir le faire tant j’hésite entre 3 et 4 étoiles. Ne faites donc pas trop attention à ma note et lisez plutôt ce qui suit. J’adore le dessin de Chauzy, ce dessinateur a un talent immense, il le prouve une fois de plus dans cet album. Son trait est sûr et vivant, ses couleurs sont magnifiques. Avec un talent pareil, Chauzy aurait pu sans peine devenir un auteur vénéré des hordes de lecteurs, un faiseur de best-sellers, mais il n’a jamais choisi la facilité, préférant avant tout, album après album, cultiver sa singularité. Entre deux albums de Clara, il adapte une nouvelle de Jonquet. Une fable sociale qui met en scène un étrange trait d’union entre deux époques, celle de la France contemporaine et celle de la grande guerre. Au cours de la lecture, on est un peu surpris qu’aucune trame dramatique forte ne s’impose vraiment, l’album se termine sans aucun véritable suspens, sans qu’on ait l’impression, en tant que lecteur, d’avoir eu affaire à une aventure (au sens large). C’est avant tout de description qu’il s’agit, et de mise en scène du social. L’album terminé, les auteurs nous laisse là, avec un récit qu’il reste à interpréter, et une morale qu’il reste à inventer. Il faut l’avouer, en tant que lecteur de bd, nous ne sommes pas trop habitué à rencontrer ce type de récit en bande dessinée, généralement les enjeux narratifs sont clairs, précis et simples. Tout nous arrive tout « maché » dans la bouche et une fois l’album terminé, on le referme et on passe à un autre. C’est chose plus difficile avec cet album-ci qui n’est de lecture simple qu’en apparence. Sous cette simplicité se cache un discours sociologique élaboré et intelligent qui risque sans doute de passer sous le nez du lecteur qui ne cherchera pas à amener sa petite pierre à l’édifice. Malgré d’indéniables qualités, et cette bonne part de la plus rare de toute : l’originalité, il manque peut-être à ce récit un peu de dramaturgie.
Le Petit Monde du Golem
C'est ici qu'on redécouvre le "grand vampire" et ses compagnons, mais aussi des personnages aux allures de professeur Bell, des situations rappellant le minuscule mousquetaire... c'est ici qu'on découvre l'étendue de l'imagination de Sfar à travers ses cases originales et son trait personnel, à travers tous ses délires qui se recoupent et se rejoingnent (comme petrus barbygère rejoint professeur bell). Le petit monde du golem, une pièce de choix dans le petit monde de Sfar.
Fée et tendres Automates
Fée et tendres automates... voilà sans doute l'une des oeuvres les plus poétiques du petit monde de la bande dessinée qu'il m'ait été donné de lire. C'est un véritable conte, certes moins beau que Peter Pan ou encore Elend, mais tout de même vraiment très fort. La grande force de cette série se situe d'une part dans la narration employée par l'auteur, d'autre part par la force du graphisme de Béatrice Tillier, parfait pour ce type de récits. Les personnages sont très attachants, surtout du fait qu'ils sont peu nombreux. Leur psychologie est vraiment développée, et l'auteur a su leur donner une "vie", chose suffisamment rare pour être soulignée. Toutefois, cette série n'est pas parfaite... loin de là. En effet, elle manque cruellement de rythme ! C'est parfoit lent... très lent... et ça casse un peu la lecture, il faut bien l'avouer. Le style de Béatrice Tillier est quant à lui vraiment personnel, et surtout d'une finesse étonnante ! J'ai eu la chance d'aller à une exposition de ses différentes planches originales, où j'ai pu apprécier son trait impeccable et sa mise en couleur directe qui donne une ambiance véritablement particulière à cette série. Vraiment, du très beau travail ! De plus, les cadrages sont souvent très bien trouvés, tout comme le découpage des différentes planches... c'est beau ! Dommage que cette série manque de rythme, vraiment dommage...