GTO...Great Teacher Onizuka...tout est dit ou presque...J'ai vraiment aimé les premiers tomes de cette série qui sont tout simplement excellents...Le style très lourd des dessins est assez exceptionnel...comprenez par là que je n'ai jamais vu autant de tetes hilarantes...les mimiques sont extras et l'humour est au top...
Le gros probleme c'est que ce qui est agréable pendant quatre ou cinq tomes le devient beaucoup moins au bout du 23°...L'histoire lasse terriblement et souffre d'un manque de fraicheur et de nouveauté...tout est deja vu, et l'interet pour la série ne fait dès lors que décroitre...
D'une manière générale j'ai du mal avec toutes les séries à rallonge...surtout lorsque le scénario ne s'appuie que sur du comique de situation...
Bref, le début est vraiment bien à lire voir à acheter...mais pour apprecier toute la saveur du great teacher mieux vaut ne pas faire de zèle...
Tssss... 'Suffit que des Français fassent une histoire de superhéros et ils ont les honneurs d'une publication chez un éditeur de "BD d'auteur" qui jamais ne "s'abaisserait" à publier du superhéros US, ça m'énerve, ça... Pourtant, hormis son traitement graphique, rien ne différencie "Cycloman" du comic de superhéros lambda ; ce n'est pas vraiment une parodie (c'est pas drôle), ce n'est ni plus subtil, ni plus intelligent, ni plus inventif que la moyenne de ce qui se fait chez DC, Marvel, Image ou Top Cow... Y a même beaucoup de repompe, à Superman, à Iron Man, ou même à Spawn (et puis à Goldorak aussi, mais ça c'est pas du comic). Cela dit, ce n'est pas désagréable à lire, c'est même assez sympa, mais sans plus, et puis ça n'apporte rien au genre.
A défaut d'être des chef-d'oeuvres, les deux tomes des exploits de Yoyo sont deux histoires sympathiques pleines d'humour et de fantaisie. Dommage que Le Gall ait arrêté de dessiner dans ce style, c'était assez truculent.
Les fans de Yann seront comblés tant il va loin dans sa satire, à la limite du politiquement incorrect (son personnage Yoyo n'est qu'une accumulation de clichés sur le noir cannibale).
Dommage que ce soit si court (moins de 40 pages, et ça se lit d'autant plus vite que c'est presque muet) car c'est une BD assez plaisante. Le dessin est sympa dans son genre. Le propos est loin d'être nouveau (encore une histoire sur la difficulté d'accepter quelqu'un qui est différent), mais au moins, Mazzucchelli évite de nous asséner à grands coups de massue un énième "beau" message de tolérance, se contentant de nous raconter une petite histoire toute simple, sans fioritures.
Petite déception, donc, mais BD sympa quand même.
Je continue à maintenir que Chauzy est un des dessinateurs les plus doués de sa génération. Un surdoué du dessin qui donne à ses personnages la juste attitude et possède un talent inné de la mise scène et du découpage. Ajoutez à cela : un coloriste hors pair. Malheureusement, il n'a jamais trouvé un scénario à la mesure de son talent graphique, je trouve. Ni les siens, ni ceux fournis par les autres (le romancier Jonquet pour La Vigie par exemple). Si TOUS ses albums sont intéressants, aucun ne peut être qualifié de chef d'oeuvre. Ah! S'il avait enfin un scénario exceptionnel entre les mains! Ce serait quelque chose!
Avant d'ouvrir cet album datant de 1993, j'étais très enthousiaste. Il est co-signé par Matz, le scénariste de la série Le Tueur, soit une des meilleures choses qui soit arrivé au polar en bd ces dernières années. J'en espérais donc beaucoup. Malheureusement ces récits courts ont l'inconvénient d'être un peu court justement. Ils décrivent des situations intéressantes, dépeignent des personnages attachants mais il manque indubitablement quelque chose dans chaque récit, un peu de dimension dramatique aurait donné à ces récits une autre ampleur.
Voici un manga très étonnant, et sous certains aspects assez fascinant.
Commençons par une qualité: j'ai beaucoup apprécié le dessin, qui est franchement très bon, soigné, envoûtant, bref, de qualité supérieure, ce qui est quand même assez rare pour un manga.
Vient ensuite l'histoire, et c'est là qu'il y a peut-être un truc qui, comme Alix, me chiffonne. En effet, on sent bien que Spirale a d'abord été publié sous forme d'épisodes dans une revue périodique. Les deux premiers tomes sont composés d'une collection de chapitres autonomes. Une ville au Japon se retrouve sous l'horrible influence d'une mystérieuse spirale, et l'histoire commence dans une ambiance somme toute assez lovecraftienne (pour rapidement tourner à un esprit gore nettement plus explicite). Chaque épisode peut donc être lu à part, et certains sont excellents, d'autres nettement plus convenus...le problème, c'est que la lecture de ces histoires les unes derrières les autres se révèle un brin lassante, on a l'impression que l'histoire n'avance pas, que ça manque de cohérence, de logique. Chaque épisode est une variation sur un même thème, mais effectivement, c'est parfois un peu gros (au point que les réactions des protagonistes, qui n'ont parfois pas vraiment de suite dans les idées, en deviennent franchement comiques). Ceci dit, c'est vrai que dans l'ensemble, l'histoire elle-même se construit un peu comme une spirale. Lent au début, puis s'accélérant à la fin. A la lecture du troisième et dernier tome, toute l'histoire retrouve une certaine cohérence, et le tout prend une tournure (en forme de spirale, bien sûr) nettement plus logique.
Donc, tout compte fait, Spirale est une agréable découverte, un manga gore original, bien dessiné, fascinant, même si certains des chapitres (on pourrait presque parler de nouvelles) sont un peu faibles me semble-t-il.
Premier tome de cette nouvelle série du décidément très prolifique Joann Sfar... On retrouve son héros qui a inspiré le Borgne Gauchet et Pétrus Barbygère, cet espèce d'énorme Cyrano décadent, toujours aussi plaisant. Les personnages ont une vrai personnalité, comme souvent chez Sfar, et on accroche à l'histoire. Bon, c'est difficile de noter avec 1 seul tome, c'est vrai que j'ai hâte de voir la suite, ou alors il aurait fallu faire un one-shot, ce qui me parait difficile voyant tout ce que Sfar a à nous dire...
Pour l'instant j'en reste à 3/5 même si j'ai hésité avec le 4/5 mais on reverra tout ça après la parution du T2 hein...
Comme pour BoF, Albator représente surtout pour moi ce que l'on peut appeler de la nostalgie...
Les dessins m'ont toujours fait rêver et aujourd'hui encore ils font mouche (Matsumoto dessine les femmes comme personne...)
Le scénario reste respectable même si quelques passages du genre "je suis zun vrai pirate, je suis zun vrai mec, ma bannière c'est la justice et je vais vous éclater ces méchantes Sylvidres..."restent à déplorer.
Bon voilà, Albator restera Albator, ma madeleine de Proust à moi...
j'etais curieux de lire ce que pouvait faire Chauvel pour les enfants, lui qui nous a habitué à des thrillers biens noirs...
Popotka ne ressemble pas à Yakari, c'est deja un bon point :)
en fait, le probleme que j'ai rencontré est que je ne pensais pas que j'allais lire une bd destinée à un public si jeune ! là, le public visé doit etre de 7 ou 8 ans, pas beaucoup plus. En temps normal, j'aime bien les BDs pour enfants, quand elle sont bien faites, mais là, je bloque un peu, c'est trop jeune.
Ceci dit, je peux qd meme dire que c'est une bonne bd pour les 7 ou 8 ans. Les histoires se lisent agreablement (meme si c'est un peu fade parfois, un peu naïf) et le dessin et les couleurs sont plutot réussis.
Très bien pour les enfants quoi.
Je mets trois en comparaison avec les autres pièces qui constituent l'univers de L'Incal
Les dessins sont magnifiques et le scénar tient bien la route (un peu repetitif tt de meme a la fin), mais cette serie n'etait pas indispensable a l'univers de Jodo
Trop bizarre et déroutant pour figurer au rang d'oeuvre culte, reste une très bonne série pour les amateurs de s-f (a lire toutefois après l'incal, qui est un must)
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GTO - Great Teacher Onizuka
GTO...Great Teacher Onizuka...tout est dit ou presque...J'ai vraiment aimé les premiers tomes de cette série qui sont tout simplement excellents...Le style très lourd des dessins est assez exceptionnel...comprenez par là que je n'ai jamais vu autant de tetes hilarantes...les mimiques sont extras et l'humour est au top... Le gros probleme c'est que ce qui est agréable pendant quatre ou cinq tomes le devient beaucoup moins au bout du 23°...L'histoire lasse terriblement et souffre d'un manque de fraicheur et de nouveauté...tout est deja vu, et l'interet pour la série ne fait dès lors que décroitre... D'une manière générale j'ai du mal avec toutes les séries à rallonge...surtout lorsque le scénario ne s'appuie que sur du comique de situation... Bref, le début est vraiment bien à lire voir à acheter...mais pour apprecier toute la saveur du great teacher mieux vaut ne pas faire de zèle...
Cycloman
Tssss... 'Suffit que des Français fassent une histoire de superhéros et ils ont les honneurs d'une publication chez un éditeur de "BD d'auteur" qui jamais ne "s'abaisserait" à publier du superhéros US, ça m'énerve, ça... Pourtant, hormis son traitement graphique, rien ne différencie "Cycloman" du comic de superhéros lambda ; ce n'est pas vraiment une parodie (c'est pas drôle), ce n'est ni plus subtil, ni plus intelligent, ni plus inventif que la moyenne de ce qui se fait chez DC, Marvel, Image ou Top Cow... Y a même beaucoup de repompe, à Superman, à Iron Man, ou même à Spawn (et puis à Goldorak aussi, mais ça c'est pas du comic). Cela dit, ce n'est pas désagréable à lire, c'est même assez sympa, mais sans plus, et puis ça n'apporte rien au genre.
Les Exploits de Yoyo
A défaut d'être des chef-d'oeuvres, les deux tomes des exploits de Yoyo sont deux histoires sympathiques pleines d'humour et de fantaisie. Dommage que Le Gall ait arrêté de dessiner dans ce style, c'était assez truculent. Les fans de Yann seront comblés tant il va loin dans sa satire, à la limite du politiquement incorrect (son personnage Yoyo n'est qu'une accumulation de clichés sur le noir cannibale).
Big Man
Dommage que ce soit si court (moins de 40 pages, et ça se lit d'autant plus vite que c'est presque muet) car c'est une BD assez plaisante. Le dessin est sympa dans son genre. Le propos est loin d'être nouveau (encore une histoire sur la difficulté d'accepter quelqu'un qui est différent), mais au moins, Mazzucchelli évite de nous asséner à grands coups de massue un énième "beau" message de tolérance, se contentant de nous raconter une petite histoire toute simple, sans fioritures. Petite déception, donc, mais BD sympa quand même.
Peines perdues
Je continue à maintenir que Chauzy est un des dessinateurs les plus doués de sa génération. Un surdoué du dessin qui donne à ses personnages la juste attitude et possède un talent inné de la mise scène et du découpage. Ajoutez à cela : un coloriste hors pair. Malheureusement, il n'a jamais trouvé un scénario à la mesure de son talent graphique, je trouve. Ni les siens, ni ceux fournis par les autres (le romancier Jonquet pour La Vigie par exemple). Si TOUS ses albums sont intéressants, aucun ne peut être qualifié de chef d'oeuvre. Ah! S'il avait enfin un scénario exceptionnel entre les mains! Ce serait quelque chose! Avant d'ouvrir cet album datant de 1993, j'étais très enthousiaste. Il est co-signé par Matz, le scénariste de la série Le Tueur, soit une des meilleures choses qui soit arrivé au polar en bd ces dernières années. J'en espérais donc beaucoup. Malheureusement ces récits courts ont l'inconvénient d'être un peu court justement. Ils décrivent des situations intéressantes, dépeignent des personnages attachants mais il manque indubitablement quelque chose dans chaque récit, un peu de dimension dramatique aurait donné à ces récits une autre ampleur.
Spirale
Voici un manga très étonnant, et sous certains aspects assez fascinant. Commençons par une qualité: j'ai beaucoup apprécié le dessin, qui est franchement très bon, soigné, envoûtant, bref, de qualité supérieure, ce qui est quand même assez rare pour un manga. Vient ensuite l'histoire, et c'est là qu'il y a peut-être un truc qui, comme Alix, me chiffonne. En effet, on sent bien que Spirale a d'abord été publié sous forme d'épisodes dans une revue périodique. Les deux premiers tomes sont composés d'une collection de chapitres autonomes. Une ville au Japon se retrouve sous l'horrible influence d'une mystérieuse spirale, et l'histoire commence dans une ambiance somme toute assez lovecraftienne (pour rapidement tourner à un esprit gore nettement plus explicite). Chaque épisode peut donc être lu à part, et certains sont excellents, d'autres nettement plus convenus...le problème, c'est que la lecture de ces histoires les unes derrières les autres se révèle un brin lassante, on a l'impression que l'histoire n'avance pas, que ça manque de cohérence, de logique. Chaque épisode est une variation sur un même thème, mais effectivement, c'est parfois un peu gros (au point que les réactions des protagonistes, qui n'ont parfois pas vraiment de suite dans les idées, en deviennent franchement comiques). Ceci dit, c'est vrai que dans l'ensemble, l'histoire elle-même se construit un peu comme une spirale. Lent au début, puis s'accélérant à la fin. A la lecture du troisième et dernier tome, toute l'histoire retrouve une certaine cohérence, et le tout prend une tournure (en forme de spirale, bien sûr) nettement plus logique. Donc, tout compte fait, Spirale est une agréable découverte, un manga gore original, bien dessiné, fascinant, même si certains des chapitres (on pourrait presque parler de nouvelles) sont un peu faibles me semble-t-il.
Le Minuscule Mousquetaire
Premier tome de cette nouvelle série du décidément très prolifique Joann Sfar... On retrouve son héros qui a inspiré le Borgne Gauchet et Pétrus Barbygère, cet espèce d'énorme Cyrano décadent, toujours aussi plaisant. Les personnages ont une vrai personnalité, comme souvent chez Sfar, et on accroche à l'histoire. Bon, c'est difficile de noter avec 1 seul tome, c'est vrai que j'ai hâte de voir la suite, ou alors il aurait fallu faire un one-shot, ce qui me parait difficile voyant tout ce que Sfar a à nous dire... Pour l'instant j'en reste à 3/5 même si j'ai hésité avec le 4/5 mais on reverra tout ça après la parution du T2 hein...
Capitaine Albator
Comme pour BoF, Albator représente surtout pour moi ce que l'on peut appeler de la nostalgie... Les dessins m'ont toujours fait rêver et aujourd'hui encore ils font mouche (Matsumoto dessine les femmes comme personne...) Le scénario reste respectable même si quelques passages du genre "je suis zun vrai pirate, je suis zun vrai mec, ma bannière c'est la justice et je vais vous éclater ces méchantes Sylvidres..."restent à déplorer. Bon voilà, Albator restera Albator, ma madeleine de Proust à moi...
Popotka le petit Sioux
j'etais curieux de lire ce que pouvait faire Chauvel pour les enfants, lui qui nous a habitué à des thrillers biens noirs... Popotka ne ressemble pas à Yakari, c'est deja un bon point :) en fait, le probleme que j'ai rencontré est que je ne pensais pas que j'allais lire une bd destinée à un public si jeune ! là, le public visé doit etre de 7 ou 8 ans, pas beaucoup plus. En temps normal, j'aime bien les BDs pour enfants, quand elle sont bien faites, mais là, je bloque un peu, c'est trop jeune. Ceci dit, je peux qd meme dire que c'est une bonne bd pour les 7 ou 8 ans. Les histoires se lisent agreablement (meme si c'est un peu fade parfois, un peu naïf) et le dessin et les couleurs sont plutot réussis. Très bien pour les enfants quoi.
La Caste des Méta-barons
Je mets trois en comparaison avec les autres pièces qui constituent l'univers de L'Incal Les dessins sont magnifiques et le scénar tient bien la route (un peu repetitif tt de meme a la fin), mais cette serie n'etait pas indispensable a l'univers de Jodo Trop bizarre et déroutant pour figurer au rang d'oeuvre culte, reste une très bonne série pour les amateurs de s-f (a lire toutefois après l'incal, qui est un must)