Blue Train est avant tout un album esthétiquement irréprochable que l'on pourrait un peu comparer à un tableau.
Le scénariste, Laurent Bouhnik nous vient du cinéma. Il a réalisé récemment "24 heures de la vie d'une femme" et c'est la troisième fois qu'il écrit pour la bande dessinée. Mais bon, je dois avouer que "Blue Train" m'a fait plutôt penser à un poème mis en image plutôt qu'à un récit de bd.
Tout en douceur et avec pudeur, Il nous fait partager un court moment de la rencontre d'un musicien de jazz et d'une entraîneuse.
Le dessin de Christian Cailleaux (les Imposteurs) est toujours aussi raffiné. Et il est clair que ce dessinateur était tout désigné pour ce genre de récit. Les ambiances très jazzy et les jolies filles d'avant-guerre sont quelque chose qu'il apprécie tout particulièrement et cela se voit.
En résumé, ce petit album ne va pas bouleverser le monde de la bd mais il vous fera passer un moment agréable !
Je l'ai lu en intégrale noir et blanc, et je pense que ça n'enlève rien. Les aventures de ce noble français voltigeur et séducteur sont bien plaisantes et toniques. On ne s'ennuie pas, et bien que le scénario ne brille pas par sa complexité, il suffit largement à nous intéresser, et les personnages sont attachants. Une bonne bd cependant très classique.
Tiens c'est bizarre, autant je n'ai pas vraiment aimé "Vive les femmes" que je trouve un peu lourd, tombant à plat et haché, autant j'ai bien aimé "Vive les vacances". Certes, il est indéniable que ce n'est pas le meilleur Reiser, mais c'est dans l'ensemble carrément drôle même si très caricatural. Du gros beauf alcoolo au volant à la famille de beaufs dans leur bagnoles en passant par les auto-stoppeurs et autres, je me suis bien marré, un peu comme un voyeur parce que comme la majorité des gens, je ne m'y reconnais pas vraiment (sauf que moi, je sais que j'ai raison :)). Du Reiser bien sympa.
Encore une fois, une série qu'on aurait envie de qualifier de "culte" ou en tout cas de "franchement bien" avant même de l'avoir lue, tant "Quick et Flupke" ont révolutionné le monde de la BD.
Et c'est vrai que pour la première BD d'humour (ou presque), c'est franchement pas mal. C'est bien écrit, assez original (bien sûr, par rapport à ce qui se fait maintenant, ça vaut pas grand chose...) et c'est assez bien dessiné.
Mais encore une fois, si on compare "Quick et Flupke" à ce qui se fait aujourd'hui dans le genre BD d'humour, c'est vraiment pas terrible. Donc, à lire au moins une fois parce que ça reste un classique, (au même titre que Tintin d'ailleurs), mais à choisir entre ça ou une bonne série d'humour Dupuis actuelle, sans hésiter, je prends l'actuelle.
Mais comme dirait Quick : "cela reste chiquement écrit !"
Un bon premier tome dans l'ensemble. Les dessins sont très particuliers, déroutants, repoussants au premier abord, mais après quelque pages ils sont vraiment agréable à suivre et à regarder. Ils sont originaux et installent une ambiance, une atmosphère particulière à cet album. Graphiquement c'est vraiment plaisant...
Pour le scénario ce n'est qu'un premier tome de présentation, des persos, de l'histoire, de l'intrigue mais tout cela est bien fait. On apprend les différentes infos progressivement, au compte goutte et même si on ne comprend pas toutes les motivations des différents persos, c'est très agréable et très plaisant à lire, donc attendons la suite...
Moi qui suis en plein trip Samouraï, à courir la nuit sur les toits de Lyon, jetant des tuiles sur les pigeons d'un geste svelte et prédateur, quelle ne fut pas ma surprise de tomber nez à nez avec une version japano-féodale (joli) de l'un des personnages du monde comics mainstream les plus adaptés, j'ai nommé Logan, aka Wolverine (graou).
Alors, je pose mon katana et mes shuriken et je lis... et je découvre une version très poétique, une vision beaucoup plus humaine de cette bonne vieille machine à tuer qu'est Logan.
Et le charme agit. Non sans mal, je doit l'admettre, car l'ensemble connaît tout de même quelques longueurs (rien de bien méchant tout de même), mais cette narration particulière, alliée aux superbes planches de G. Pratt donne une atmosphère vraiment spéciale, comme on n'a pas l'habitude de voir dans les comics de cette trempe.
Alors bon, les scènes de combat sont fort sympathiques, mais réellement pas révolutionnaires. Je suis en train de lire L'Habitant de l'infini, force est de constater que les deux séries ne jouent pas dans la même catégorie. Toutefois, c'est plutôt bien décrit et clair, violent parfois (on a tout de même affaire à Wolverine, pas à Dingo), et assez dynamique malgré le style des illustrations, qui souvent entraîne des dessins figés.
J'attends la suite, pour l'instant, allez, c'est pas mal. Mais je ne suis pas un grand fan de X-Men et consort, moi... tentez, vous me direz :)
Une gentille peite histoire fraîche et pétillante. Hislaire nous fait revivre des moments de notre adolescence avec finesse et tendresse. Mais le dessin m'a un peu bloqué, même s'il rend bien le style des personnages. Et l'histoire reste tout de même un peu convenue. Mais cela reste très agréable.
La série est pleine de promesses mais tant qu'on ne connaîtra pas la suite on verra surtout les défauts. A mon goût le dessin est assez repoussant, mais on s'y fait petit à petit. Donc c'est surtout le scénario qui vaut le détour et l'atmosphère qui se dégage. On verra la suite...
Je regrette toujours autant que Le cycliste ait pris le parti de rééditer sa petite collection de "comix" initialement parue en couverture souple à 4 euros sous cette forme d'albums plus grands et cartonnés à un prix si élevé. :(
Ce qui passe en effet très bien dans la précédente version, qui fait "petite histoire bien charmante sans pour autant prétendre à une grande envergure", a ici un goût marqué de "trop peu pour faire un vrai album, et en plus c'est cher". :(
Car si on fait abstraction du prix et de la longueur (pas longue, justement) de l'histoire, "Halloween" comporte d'indéniables qualités.
Le dessin, bien sûr, typique de Boiscommun, toujours aussi superbe (même si j'ai toujours un certain problème avec ses têtes, les mentons surtout) et à se pâmer devant certaines planches. Les couleurs (directes, évidemment), qui créent une très belle ambiance.
Mais aussi la composition des planches, qui ne frappe pas de prime abord, mais qui est excellente : lorsque l'on voit le compagnon d'Asphodèle qui est grand et mince, les cases se font étroites et verticales sur toute la planche. Pour les scènes où il n'est pas le point central, mise en page plus classique, horizontale. Certaines planches sont en fait une seule image... C'est un peu déstabilisant (ça fait très illustration ou ex-libris), mais c'est très beau. Et la disposition de certains éléments ou personnages est cohérente d'une case à l'autre sur des planches entières (la Lune qui trace un arc de cercle sur la page, le copain d'Asphodèle qu'on peut suivre à travers la page sur une diagonale...).
Bref, vous aurez compris qu'au niveau technique la recherche est assez poussée. (pour autant, le fait que je l'ai remarqué est-il un signe que c'est trop évident, et un dessin techniquement bon doit-il ne pas se remarquer ? Vaste débat...)
Côté histoire, comme je l'ai dit précédemment, elle n'a pas de grande prétention. Il s'agit là d'un petit conte très gentil, qu'on suit agréablement, et qui est finalement assez vite lu. A noter, j'aime beaucoup la mise en forme du texte du camarade d'Asphodèle, tout en rimes mais qui reste très discret. :)
Alors voilà, le seul problème de cet album, c'est qu'on a voulu le faire passer pour plus qu'il n'était au départ, d'où mon 3 étoiles. Sinon, il aurait mérité un 4.
Encore une série "Tchô" pleine d'insultes bizarres, de cacas de chien et d'enfants qui rotent. Et encore une fois, c'est pas souvent très marrant.
N'empêche, "Samson et Néon" est à mon avis la meilleure série découverte dans Tchô (à cent lieues de Titeuf, bien sûr).
Les dessins sont asssez fun et les gags souvent originaux (quand Néon avale ses yeux, par exemple).
Bon, c'est vrai qu'encore une fois, on frôle le mauvais goût par moment, mais Tébo retombe toujours (ou presque) sur ses pattes et fait même preuve d'esprit par moment... Divertissant.
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Blue Train
Blue Train est avant tout un album esthétiquement irréprochable que l'on pourrait un peu comparer à un tableau. Le scénariste, Laurent Bouhnik nous vient du cinéma. Il a réalisé récemment "24 heures de la vie d'une femme" et c'est la troisième fois qu'il écrit pour la bande dessinée. Mais bon, je dois avouer que "Blue Train" m'a fait plutôt penser à un poème mis en image plutôt qu'à un récit de bd. Tout en douceur et avec pudeur, Il nous fait partager un court moment de la rencontre d'un musicien de jazz et d'une entraîneuse. Le dessin de Christian Cailleaux (les Imposteurs) est toujours aussi raffiné. Et il est clair que ce dessinateur était tout désigné pour ce genre de récit. Les ambiances très jazzy et les jolies filles d'avant-guerre sont quelque chose qu'il apprécie tout particulièrement et cela se voit. En résumé, ce petit album ne va pas bouleverser le monde de la bd mais il vous fera passer un moment agréable !
L'As de Pique
Je l'ai lu en intégrale noir et blanc, et je pense que ça n'enlève rien. Les aventures de ce noble français voltigeur et séducteur sont bien plaisantes et toniques. On ne s'ennuie pas, et bien que le scénario ne brille pas par sa complexité, il suffit largement à nous intéresser, et les personnages sont attachants. Une bonne bd cependant très classique.
Vive les vacances !
Tiens c'est bizarre, autant je n'ai pas vraiment aimé "Vive les femmes" que je trouve un peu lourd, tombant à plat et haché, autant j'ai bien aimé "Vive les vacances". Certes, il est indéniable que ce n'est pas le meilleur Reiser, mais c'est dans l'ensemble carrément drôle même si très caricatural. Du gros beauf alcoolo au volant à la famille de beaufs dans leur bagnoles en passant par les auto-stoppeurs et autres, je me suis bien marré, un peu comme un voyeur parce que comme la majorité des gens, je ne m'y reconnais pas vraiment (sauf que moi, je sais que j'ai raison :)). Du Reiser bien sympa.
Quick et Flupke
Encore une fois, une série qu'on aurait envie de qualifier de "culte" ou en tout cas de "franchement bien" avant même de l'avoir lue, tant "Quick et Flupke" ont révolutionné le monde de la BD. Et c'est vrai que pour la première BD d'humour (ou presque), c'est franchement pas mal. C'est bien écrit, assez original (bien sûr, par rapport à ce qui se fait maintenant, ça vaut pas grand chose...) et c'est assez bien dessiné. Mais encore une fois, si on compare "Quick et Flupke" à ce qui se fait aujourd'hui dans le genre BD d'humour, c'est vraiment pas terrible. Donc, à lire au moins une fois parce que ça reste un classique, (au même titre que Tintin d'ailleurs), mais à choisir entre ça ou une bonne série d'humour Dupuis actuelle, sans hésiter, je prends l'actuelle. Mais comme dirait Quick : "cela reste chiquement écrit !"
L'Empreinte de Satan
Un bon premier tome dans l'ensemble. Les dessins sont très particuliers, déroutants, repoussants au premier abord, mais après quelque pages ils sont vraiment agréable à suivre et à regarder. Ils sont originaux et installent une ambiance, une atmosphère particulière à cet album. Graphiquement c'est vraiment plaisant... Pour le scénario ce n'est qu'un premier tome de présentation, des persos, de l'histoire, de l'intrigue mais tout cela est bien fait. On apprend les différentes infos progressivement, au compte goutte et même si on ne comprend pas toutes les motivations des différents persos, c'est très agréable et très plaisant à lire, donc attendons la suite...
Wolverine - Netsuke
Moi qui suis en plein trip Samouraï, à courir la nuit sur les toits de Lyon, jetant des tuiles sur les pigeons d'un geste svelte et prédateur, quelle ne fut pas ma surprise de tomber nez à nez avec une version japano-féodale (joli) de l'un des personnages du monde comics mainstream les plus adaptés, j'ai nommé Logan, aka Wolverine (graou). Alors, je pose mon katana et mes shuriken et je lis... et je découvre une version très poétique, une vision beaucoup plus humaine de cette bonne vieille machine à tuer qu'est Logan. Et le charme agit. Non sans mal, je doit l'admettre, car l'ensemble connaît tout de même quelques longueurs (rien de bien méchant tout de même), mais cette narration particulière, alliée aux superbes planches de G. Pratt donne une atmosphère vraiment spéciale, comme on n'a pas l'habitude de voir dans les comics de cette trempe. Alors bon, les scènes de combat sont fort sympathiques, mais réellement pas révolutionnaires. Je suis en train de lire L'Habitant de l'infini, force est de constater que les deux séries ne jouent pas dans la même catégorie. Toutefois, c'est plutôt bien décrit et clair, violent parfois (on a tout de même affaire à Wolverine, pas à Dingo), et assez dynamique malgré le style des illustrations, qui souvent entraîne des dessins figés. J'attends la suite, pour l'instant, allez, c'est pas mal. Mais je ne suis pas un grand fan de X-Men et consort, moi... tentez, vous me direz :)
Bidouille et Violette
Une gentille peite histoire fraîche et pétillante. Hislaire nous fait revivre des moments de notre adolescence avec finesse et tendresse. Mais le dessin m'a un peu bloqué, même s'il rend bien le style des personnages. Et l'histoire reste tout de même un peu convenue. Mais cela reste très agréable.
Elend
La série est pleine de promesses mais tant qu'on ne connaîtra pas la suite on verra surtout les défauts. A mon goût le dessin est assez repoussant, mais on s'y fait petit à petit. Donc c'est surtout le scénario qui vaut le détour et l'atmosphère qui se dégage. On verra la suite...
Halloween
Je regrette toujours autant que Le cycliste ait pris le parti de rééditer sa petite collection de "comix" initialement parue en couverture souple à 4 euros sous cette forme d'albums plus grands et cartonnés à un prix si élevé. :( Ce qui passe en effet très bien dans la précédente version, qui fait "petite histoire bien charmante sans pour autant prétendre à une grande envergure", a ici un goût marqué de "trop peu pour faire un vrai album, et en plus c'est cher". :( Car si on fait abstraction du prix et de la longueur (pas longue, justement) de l'histoire, "Halloween" comporte d'indéniables qualités. Le dessin, bien sûr, typique de Boiscommun, toujours aussi superbe (même si j'ai toujours un certain problème avec ses têtes, les mentons surtout) et à se pâmer devant certaines planches. Les couleurs (directes, évidemment), qui créent une très belle ambiance. Mais aussi la composition des planches, qui ne frappe pas de prime abord, mais qui est excellente : lorsque l'on voit le compagnon d'Asphodèle qui est grand et mince, les cases se font étroites et verticales sur toute la planche. Pour les scènes où il n'est pas le point central, mise en page plus classique, horizontale. Certaines planches sont en fait une seule image... C'est un peu déstabilisant (ça fait très illustration ou ex-libris), mais c'est très beau. Et la disposition de certains éléments ou personnages est cohérente d'une case à l'autre sur des planches entières (la Lune qui trace un arc de cercle sur la page, le copain d'Asphodèle qu'on peut suivre à travers la page sur une diagonale...). Bref, vous aurez compris qu'au niveau technique la recherche est assez poussée. (pour autant, le fait que je l'ai remarqué est-il un signe que c'est trop évident, et un dessin techniquement bon doit-il ne pas se remarquer ? Vaste débat...) Côté histoire, comme je l'ai dit précédemment, elle n'a pas de grande prétention. Il s'agit là d'un petit conte très gentil, qu'on suit agréablement, et qui est finalement assez vite lu. A noter, j'aime beaucoup la mise en forme du texte du camarade d'Asphodèle, tout en rimes mais qui reste très discret. :) Alors voilà, le seul problème de cet album, c'est qu'on a voulu le faire passer pour plus qu'il n'était au départ, d'où mon 3 étoiles. Sinon, il aurait mérité un 4.
Samson et Néon
Encore une série "Tchô" pleine d'insultes bizarres, de cacas de chien et d'enfants qui rotent. Et encore une fois, c'est pas souvent très marrant. N'empêche, "Samson et Néon" est à mon avis la meilleure série découverte dans Tchô (à cent lieues de Titeuf, bien sûr). Les dessins sont asssez fun et les gags souvent originaux (quand Néon avale ses yeux, par exemple). Bon, c'est vrai qu'encore une fois, on frôle le mauvais goût par moment, mais Tébo retombe toujours (ou presque) sur ses pattes et fait même preuve d'esprit par moment... Divertissant.