Une série très sympa, très fraîche !
Quoique le duo Ange puisse en dire elle n'est pas sans rappeler un autre apprenti magicien allant à Poudlard !!!
Des dessins très agréables avec des couleurs flashy mais collant bien a l'ambiance !!!
Un petit dragon trop mignon, des personnages attachants, des sorts aux effets plus que... surprenants !!! Une bonne dose d'humour une bonne dose d'aventure. Un gros délire en somme, qui plaira aux plus jeunes comme aux plus âgés (hein mamie ?!?)
Le seul gros hic avec le 4e tome c'est le changement de format !!! (Ben ouais ça fait vraiment tache dans ma bibliothèque !!!:(()
De l'heroique fantasy "classique"
Pas très original mais pas rébarbatif, un bon moment de détente en somme.
Plusieurs races, une quête, des héros, des méchants, un bon cocktail pour faire vivre des aventures épiques et nous emporter vers des horizons lointains, vers les Brumes d'Asceltis.
A conseiller de préférence aux plus jeunes qui n'ont pas lu les Légendes des contrées oubliées de Ségur, la référence (pour moi) dans le domaine!
On pourrait presque se dire qu'Asceltis est la version des légendes pour les enfants tant les similitudes sont frappantes...
Un premier tome en soit très sympa.
Un polar bien mené. (reste encore à en voir le dénouement dans le second et dernier tome)
Des dessins superbes de Stalner. Les personnages ont des vraies gueules. Des bons truands comme on les aime, servis pas des dialogues à la Audiard.
Vivement la suite!!!
Une bonne petite série.
Lewis Carol revisité et totalement déjanté...
Des dessins très honnêtes, très touffus sans être surchargés.
Une bonne introduction pour cette BD en 4 actes qui mérite d'aller jusqu'au bout. (pas édité chez Soleil, c'est déjà un bon début)
Quoique l'on puisse reprocher à Crisse, j'aime bien Atalante.
Pas forcement très original, scénario toujours très prévisible sans réel suspense, cette BD permet quand même de passer de très agréables moments à suivre l'odyssée des argonautes.
Les dessins de Crisse sont magnifiques (en tout cas je suis fan!!!).
Espérons qu'il puisse rapidement se mettre à la suite...
Kabbale c’est d’abord pour moi la découverte d’un dessinateur de talent. N’ayant jamais lu « Le maitre du jeu », je ne connaissais pas Charlet. C’est un très bon dessinateur : Kabbale bénéficie d’une bonne mise en page, d’une narration fluide et efficace, Charlet possède le sens de la mise en scène et du découpage, ces deux albums sont, sur ce plan-là, un vrai bonheur à lire. D’un point de vue scénaristique, l’ensemble semble audacieux, mais il faut dire qu’après deux tomes, qui sont facilement lu en 15 minutes chacun, on est pas sûr de savoir où Charlet veut en venir, ni même s’il veut vraiment aboutir quelque part… La fait de voir son histoire plus ou moins dégagées des archétypes narratifs habituels (action pour l’action…) est loin de me déplaire, le côté « exposition permanente », les descriptions de caractère, je suis plutôt amateur aussi… mais malheureusement on sent le tout un peu entaché par certaines idées un peu trop adolescentes à mon goût… d’accord, y’a de la nuance mais certains textes enfoncent des portes ouvertes… On dirait des chansons de Kyo… Et puis surtout, autre problème de taille : de quel monde Charlet nous parle-t-il ? Parler des problèmes actuels, pourquoi pas… Mais si c’est pour grossir le trait en plaçant tout dans un futur pas très lointain, ça ressemble à de l’excuse toute trouvée pour se permettre de tomber dans une certaine caricature sans devoir justement rendre des comptes à la réalité… Tout se justifiera peut-être par la suite ? En tout cas, pour l’instant, c’est une série qui a, à mon sens, peut-être autant de défauts que de qualités mais qui vaut largement la peine d’être découverte….
Si cette bd ne sortait pas de l’ordinaire d’un point de vue graphique, elle ne serait qu’une histoire de vampire de plus, lisible mais assez banale. Le caractère particulier du dessin ajoute beaucoup d’intérêt à la chose et donne une vraie ambiance bien glauque à une intrigue malheureusement pas très originale.
Résultat des courses : j’ai lu ce comics sans déplaisir, sans grande excitation non plus… La fin est peu facile, je trouve…
Bien sympathique cette parodie d'heroic-fantasy.
Les personnages sont tous des archétypes "revus et corrigés" par l'accident Jovénia qui les a ramenés à l'état d'enfants, exacerbant ainsi leurs caractères.
Le dessin fait de larges emprunts au manga (yeux exorbités, façon de représenter le mouvement et la vitesse, etc...) Les couleurs (qui ne doivent rien au pinceau et tout à la souris !) Sont flashy mais elles collent bien avec le style de la série et, en outre, elles sont assez soignées.
Le scénario n'est pas bouleversant d'inventivité, c'est le moins que l'on puisse dire, mais il est alerte, on ne s'ennuie pas un instant. Simplement, cette série est, à mon avis, à réserver aux pré-ados voire plus jeunes, parce que c'est quand même pas très profond tout ça ! Par contre, auprès du public-cible, ce détonnant cocktail d'heroic-fantasy et de manga cartonne ! :)
En voilà une série qu'elle est mignonne pour les euh... gamins ! L'histoire, gentillette quand même, se laisse lire même quand on a largement dépassé l'âge du lectorat visé, et ce, d'autant plus que le dessin et les couleurs sont une franche réussite. Moi aussi j'aime beaucoup ces effets de texture dans les scènes nocturnes ou spatiales, entre autres.Cependant, les scénarios proposés s'adressent clairement à des enfants alors offrez-les plutôt à votre petit neveu.
L'histoire d'Orull nous est, en grande partie, contée par une voix off, trop bavarde de surcroît, la rendant ainsi singulièrement peu captivante. En effet, on a du coup l'impression de vivre cette histoire de façon indirecte, comme "après coup" ou à distance, ce qui n'aide pas à entrer dedans. C'est bien simple, j'ai passé mon temps à décrocher et relire les mêmes phrases. Dommage, car l'univers dans lequel Orull évolue est plein de charme et d'humour ; dommage aussi car le dessin, lui, est vraiment chouette. Tiburce Oger s'affranchit du cadre des vignettes et donne ainsi beaucoup d'ampleur à son géant et aux paysages, grandioses et merveilleusement mis en couleurs.
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Le Collège Invisible
Une série très sympa, très fraîche ! Quoique le duo Ange puisse en dire elle n'est pas sans rappeler un autre apprenti magicien allant à Poudlard !!! Des dessins très agréables avec des couleurs flashy mais collant bien a l'ambiance !!! Un petit dragon trop mignon, des personnages attachants, des sorts aux effets plus que... surprenants !!! Une bonne dose d'humour une bonne dose d'aventure. Un gros délire en somme, qui plaira aux plus jeunes comme aux plus âgés (hein mamie ?!?) Le seul gros hic avec le 4e tome c'est le changement de format !!! (Ben ouais ça fait vraiment tache dans ma bibliothèque !!!:(()
Les Brumes d'Asceltis
De l'heroique fantasy "classique" Pas très original mais pas rébarbatif, un bon moment de détente en somme. Plusieurs races, une quête, des héros, des méchants, un bon cocktail pour faire vivre des aventures épiques et nous emporter vers des horizons lointains, vers les Brumes d'Asceltis. A conseiller de préférence aux plus jeunes qui n'ont pas lu les Légendes des contrées oubliées de Ségur, la référence (pour moi) dans le domaine! On pourrait presque se dire qu'Asceltis est la version des légendes pour les enfants tant les similitudes sont frappantes...
Blues 46
Un premier tome en soit très sympa. Un polar bien mené. (reste encore à en voir le dénouement dans le second et dernier tome) Des dessins superbes de Stalner. Les personnages ont des vraies gueules. Des bons truands comme on les aime, servis pas des dialogues à la Audiard. Vivement la suite!!!
Au-delà des Merveilles
Une bonne petite série. Lewis Carol revisité et totalement déjanté... Des dessins très honnêtes, très touffus sans être surchargés. Une bonne introduction pour cette BD en 4 actes qui mérite d'aller jusqu'au bout. (pas édité chez Soleil, c'est déjà un bon début)
Atalante - La Légende
Quoique l'on puisse reprocher à Crisse, j'aime bien Atalante. Pas forcement très original, scénario toujours très prévisible sans réel suspense, cette BD permet quand même de passer de très agréables moments à suivre l'odyssée des argonautes. Les dessins de Crisse sont magnifiques (en tout cas je suis fan!!!). Espérons qu'il puisse rapidement se mettre à la suite...
Kabbale
Kabbale c’est d’abord pour moi la découverte d’un dessinateur de talent. N’ayant jamais lu « Le maitre du jeu », je ne connaissais pas Charlet. C’est un très bon dessinateur : Kabbale bénéficie d’une bonne mise en page, d’une narration fluide et efficace, Charlet possède le sens de la mise en scène et du découpage, ces deux albums sont, sur ce plan-là, un vrai bonheur à lire. D’un point de vue scénaristique, l’ensemble semble audacieux, mais il faut dire qu’après deux tomes, qui sont facilement lu en 15 minutes chacun, on est pas sûr de savoir où Charlet veut en venir, ni même s’il veut vraiment aboutir quelque part… La fait de voir son histoire plus ou moins dégagées des archétypes narratifs habituels (action pour l’action…) est loin de me déplaire, le côté « exposition permanente », les descriptions de caractère, je suis plutôt amateur aussi… mais malheureusement on sent le tout un peu entaché par certaines idées un peu trop adolescentes à mon goût… d’accord, y’a de la nuance mais certains textes enfoncent des portes ouvertes… On dirait des chansons de Kyo… Et puis surtout, autre problème de taille : de quel monde Charlet nous parle-t-il ? Parler des problèmes actuels, pourquoi pas… Mais si c’est pour grossir le trait en plaçant tout dans un futur pas très lointain, ça ressemble à de l’excuse toute trouvée pour se permettre de tomber dans une certaine caricature sans devoir justement rendre des comptes à la réalité… Tout se justifiera peut-être par la suite ? En tout cas, pour l’instant, c’est une série qui a, à mon sens, peut-être autant de défauts que de qualités mais qui vaut largement la peine d’être découverte….
30 jours de nuit
Si cette bd ne sortait pas de l’ordinaire d’un point de vue graphique, elle ne serait qu’une histoire de vampire de plus, lisible mais assez banale. Le caractère particulier du dessin ajoute beaucoup d’intérêt à la chose et donne une vraie ambiance bien glauque à une intrigue malheureusement pas très originale. Résultat des courses : j’ai lu ce comics sans déplaisir, sans grande excitation non plus… La fin est peu facile, je trouve…
Les Légendaires
Bien sympathique cette parodie d'heroic-fantasy. Les personnages sont tous des archétypes "revus et corrigés" par l'accident Jovénia qui les a ramenés à l'état d'enfants, exacerbant ainsi leurs caractères. Le dessin fait de larges emprunts au manga (yeux exorbités, façon de représenter le mouvement et la vitesse, etc...) Les couleurs (qui ne doivent rien au pinceau et tout à la souris !) Sont flashy mais elles collent bien avec le style de la série et, en outre, elles sont assez soignées. Le scénario n'est pas bouleversant d'inventivité, c'est le moins que l'on puisse dire, mais il est alerte, on ne s'ennuie pas un instant. Simplement, cette série est, à mon avis, à réserver aux pré-ados voire plus jeunes, parce que c'est quand même pas très profond tout ça ! Par contre, auprès du public-cible, ce détonnant cocktail d'heroic-fantasy et de manga cartonne ! :)
Les Gamins
En voilà une série qu'elle est mignonne pour les euh... gamins ! L'histoire, gentillette quand même, se laisse lire même quand on a largement dépassé l'âge du lectorat visé, et ce, d'autant plus que le dessin et les couleurs sont une franche réussite. Moi aussi j'aime beaucoup ces effets de texture dans les scènes nocturnes ou spatiales, entre autres.Cependant, les scénarios proposés s'adressent clairement à des enfants alors offrez-les plutôt à votre petit neveu.
Orull - Le Souffleur de nuages
L'histoire d'Orull nous est, en grande partie, contée par une voix off, trop bavarde de surcroît, la rendant ainsi singulièrement peu captivante. En effet, on a du coup l'impression de vivre cette histoire de façon indirecte, comme "après coup" ou à distance, ce qui n'aide pas à entrer dedans. C'est bien simple, j'ai passé mon temps à décrocher et relire les mêmes phrases. Dommage, car l'univers dans lequel Orull évolue est plein de charme et d'humour ; dommage aussi car le dessin, lui, est vraiment chouette. Tiburce Oger s'affranchit du cadre des vignettes et donne ainsi beaucoup d'ampleur à son géant et aux paysages, grandioses et merveilleusement mis en couleurs.