Je vous trouve un peu trop méchants vis-à-vis de cette BD qui est assez honnête. Je ne savais pas que c'était une oeuvre de la famille Hermann et maintenant que je le sais ça ne change pas mon avis. Le dessin est vraiment agréable, j'aime bien le style de Hermann senior, ça change un peu. Les personnages font assez naturels et tout reste très lisible.
En revanche l'histoire est assez difficile à suivre : tout comme Ditto on est très vite complètement perdu. L'idée, sans être follement originale, est suffisamment innovante pour nous intéresser, notamment le cadre (la Chine peut-être dans quelques décennies). Mais la narration ne fait pas naître une tension suffisante : on ne se sent pas poussé vers la fin comme dans les autres histoires d'espionnage. La fin inattendue m'a assez plu et il ne faut pas oublier que tout tient en un tome malgré une certaine complexité.
Bref, c'est pas mal comme on dit, mais ça ne manquera ni à votre collection ni à votre culture bd...
(Je n'ai lu que les quatres premiers tomes.)
Des séries comme ça, avec un scénar historique et des dessins réalistes mais un peu vieillis, c'est pas ce qui manque chez Glénat.
L'intérêt de celle-ci, c'est que le héros change de motivation dans chaque tome (il cherche à sauver des amis, puis à s'intégrer, puis à se venger, puis à vivre tranquillement, puis à retrouver quelqu'un, ...), de manière parfois assez contradictoire mais qui m'a bien plu : pour une fois que le héros n'est pas le hérault du bien contre le mal, mais au contraire se cherche...
Par contre, chacun de ces objectifs se déroule de façon assez semblable : par des batailles sanglantes et de nombreux morts. Déjà qu'une fois ne me passionne pas, au bout de 4 tomes, ça devient plus que lassant. :(
Un autre point fort du scénario est que les milieux où évolue Hutgain sont assez variés. Déjà le point de départ, la bande de brigands mutilateurs d'enfants, est assez original, et on va le voir par la suite rencontrer des adeptes du diables, des moines irlandais, des vikings, parfois frolant les limites du fantastique.
Le dessin est très correct, même s'il reste vraiment classique, et typique de ce genre de récit historique. Pareil pour le rythme du récit : rien de choquant mais quand on sait les ambiances que certains sont capables de créer, on ne peut s'empêcher de trouver ça assez moyen.
Bon, une série historique pas mal, rien d'extraordinaire mais ça se laisse lire.
Cette BD reprend presque exactement le film Le Bossu le plus récent, celui avec Auteuil et Lucchini. Les personnages ne ressemblent pas aux acteurs ceci dit, mais les scènes sont presque identiques visuellement.
Le dessin est moyen mais pas mauvais.
Globalement, comme le scénario du Bossu n'est pas mauvais non plus, ça donne une histoire assez intéressante. L'ennui, c'est que le film entier a du mal à tenir en une unique Bd, alors le tout a l'air fâcheusement condensé. Les scènes d'action sont traitées en une case unique parfois, l'intrigue passe en accéléré par moment. Le rythme n'est pas excellent, donc.
Mais bon, ça se laisse lire.
Ceci étant dit, je n'achèterais pas ça et regarderais plutôt le film qui, à mon avis, est meilleur que cette adaptation.
Note approximative : 2.5/5
Cette BD a pour auteur Claude Lacroix, le même qui a co-scénarisé Le Cycle de Cyann avec Bourgeon. Autant vous dire tout de suite que ces deux séries n'ont absolument rien à voir entre elles.
Le dessin humoristique de Lacroix est ici, je trouve, à mi-chemin entre le style comique franco-belge et le dessin de Lelong pour Carmen Cru.
Et d'ailleurs, L'homme au chapeau mou partage avec Carmen Cru cet humour décalé. Le héros, l'homme au chapeau mou lui-même, est détestable. C'est un homme cynique, pervers, mysogine, râleur, qui juge la société qui l'entoure, s'en moque et s'en outre à la fois. Les gags sont parfois assez réalistes, parfois délirants (avec apparition de soucoupe volante par exemple), souvent faits d'humour noir ou d'humour absurde.
Ce n'est pas exceptionnellement drôle, mais ce n'est pas mauvais.
Encore une BD que j'ai lue sans savoir du tout à quoi m'attendre. Le décor de base n'est pas très original : une terre post-apocalyptique recouverte de neige, différents groupes humains qui y vivent, une armée de religieux un peu fanatiques, d'autres humains plus frustes et plus... humains, et enfin un groupe qui suit un illuminé qui recherche la terre promise, une terre où la neige aurait fondu.
Malgré ce scénario déjà-vu, ça se lit très bien, le dessin est assez sympa et ce n'est ni bête, ni naïf, ni stupidement racoleur. Bon, il y a quelques facilités scénaristiques (style l'armée des plus forts qui coule toute entière dans un lac gelé qui se fissure pile au bon moment, hum : pas futé le général d'armée pour avoir installé son armée sur un lac pour une bataille...) mais globalement, c'est assez sympa.
Difficile de ne pas être une nouvelle fois épaté par le dessin de Ledroit. Je préfère son art dans une série telle que Xoco, mais Requiem est vraiment un chef-d'oeuvre d'art gothique. Ce sont des fresques dramatiques, grandiloquentes et impressionnantes que nous offre Ledroit. C'en est parfois époustouflant. Pourtant, par goût personnel, je trouve ce graphisme trop sombre, trop sanglant : c'est beau, mais ce n'est pas tout à fait mon genre.
Quant au scénario, il offre bien sûr sa part de combats, de complots et de trahisons. Partant sur une idée originale d'un monde infernal où tous les mythes démoniaques et effrayants sont réalité, où l'injustice est reine et où la mort n'est plus qu'une longue suite de douleurs, de haines, de combats et d'"expirations", cette série, quoique glauque et gothique dès le début, avait de quoi séduire par le parti-pris de son scénario d'aller à fond dans le... gothique violent.
Maintenant, au fur et à mesure des tomes sortis, même si le dessin va même jusqu'à s'améliorer de plus en plus, le scénario lui finalement me lasse assez. Combats, complots, réincarnations de puissants guerriers, et par dessus ça une histoire d'amour (évidemment) qui traverse les âges et va à l'encontre de l'ordre établi... Dans les faits, le déroulement du scénario n'est donc pas particulièrement original finalement.
Mais des planches impressionnantes, ça, il n'y a pas de doute.
Je viens de terminer le 2ème tome de cette série.......et j'avoue ne pas avoir été déçue !
Le rebondissement permet d'en faire une histoire sympathique avec un petit lot de surprises pour le lecteur au final.
Cela dit, en analysant le scénario dans son intégralité, on a devant soi l'histoire classique "des bons contre des méchants".......sans histoire d'amour à la clé pour une fois !!
Cette série reste toutefois agréable à lire et le style de Meynet est efficace et m'a beaucoup plu.
Mais comment ne pas acheter ce livre lorsque l'on voit que c'est du Topor (!!!) adapté par Alfred (!!!) ?!
Pourtant, je suis un peu déçu, c'est moins bon que ce que j'imaginais. Moins bon j'ai dit, mais c'est très loin d'être mauvais.
Alfred retranscrit avec fidélité l'esprit de Topor, son côté barge complètement décalé. Il faut prendre ça sans réfléchir, et savourer toute l'absurdité de ce récit. C'est presque jubilatoire parfois. :)
Alfred apporte à ces chroniques toute sa sensibilité, toute sa douceur, toute sa finesse. Il personnalise ce récit sans le dénaturer, bravo.
Et pourtant... et pourtant, je n'ai pas accroché plus que ça, bizarrement, alors que j'aime Alfred peut-être plus que Topor. J'ai refermé ce (petit) livre en restant sur ma faim, sans trop savoir pourquoi.
Cet album est bourré de qualités, il doit être lu par tous les amateurs d'Alfred et/ou des univers débiles (dans le bon sens du terme) de Topor.
Berlion comme je ne l'avais jamais lu. Ses planches sont de toute beauté, autant niveau composition que dessin pur. C'est parfois impressionnant.
Ce one shot est assez agréable, même si finalement, l'histoire est assez banale et entendue. Pas de grande surprise, pas de grand retournement de situation, tout coule facilement, un peu trop simplement.
Un petit regret quant aux caractères des personnages qui auraient pu être bien plus travaillés, soulignés, afin de donner plus de force à ce récit...
A vrai dire, Garfield, je ne trouve pas ça tellement drôle. Le coup du chat énorme, cynique, égoïste et méchant, ça amuse un moment, mais à la longue, ça m'a donné l'impression de voir toujours les mêmes gags. Alors quelques strips m'ont fait rire, certains autres sourire, mais ce n'est pas le comic strip que je préfère.
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Zhong Guo
Je vous trouve un peu trop méchants vis-à-vis de cette BD qui est assez honnête. Je ne savais pas que c'était une oeuvre de la famille Hermann et maintenant que je le sais ça ne change pas mon avis. Le dessin est vraiment agréable, j'aime bien le style de Hermann senior, ça change un peu. Les personnages font assez naturels et tout reste très lisible. En revanche l'histoire est assez difficile à suivre : tout comme Ditto on est très vite complètement perdu. L'idée, sans être follement originale, est suffisamment innovante pour nous intéresser, notamment le cadre (la Chine peut-être dans quelques décennies). Mais la narration ne fait pas naître une tension suffisante : on ne se sent pas poussé vers la fin comme dans les autres histoires d'espionnage. La fin inattendue m'a assez plu et il ne faut pas oublier que tout tient en un tome malgré une certaine complexité. Bref, c'est pas mal comme on dit, mais ça ne manquera ni à votre collection ni à votre culture bd...
le Torte
(Je n'ai lu que les quatres premiers tomes.) Des séries comme ça, avec un scénar historique et des dessins réalistes mais un peu vieillis, c'est pas ce qui manque chez Glénat. L'intérêt de celle-ci, c'est que le héros change de motivation dans chaque tome (il cherche à sauver des amis, puis à s'intégrer, puis à se venger, puis à vivre tranquillement, puis à retrouver quelqu'un, ...), de manière parfois assez contradictoire mais qui m'a bien plu : pour une fois que le héros n'est pas le hérault du bien contre le mal, mais au contraire se cherche... Par contre, chacun de ces objectifs se déroule de façon assez semblable : par des batailles sanglantes et de nombreux morts. Déjà qu'une fois ne me passionne pas, au bout de 4 tomes, ça devient plus que lassant. :( Un autre point fort du scénario est que les milieux où évolue Hutgain sont assez variés. Déjà le point de départ, la bande de brigands mutilateurs d'enfants, est assez original, et on va le voir par la suite rencontrer des adeptes du diables, des moines irlandais, des vikings, parfois frolant les limites du fantastique. Le dessin est très correct, même s'il reste vraiment classique, et typique de ce genre de récit historique. Pareil pour le rythme du récit : rien de choquant mais quand on sait les ambiances que certains sont capables de créer, on ne peut s'empêcher de trouver ça assez moyen. Bon, une série historique pas mal, rien d'extraordinaire mais ça se laisse lire.
Le Bossu
Cette BD reprend presque exactement le film Le Bossu le plus récent, celui avec Auteuil et Lucchini. Les personnages ne ressemblent pas aux acteurs ceci dit, mais les scènes sont presque identiques visuellement. Le dessin est moyen mais pas mauvais. Globalement, comme le scénario du Bossu n'est pas mauvais non plus, ça donne une histoire assez intéressante. L'ennui, c'est que le film entier a du mal à tenir en une unique Bd, alors le tout a l'air fâcheusement condensé. Les scènes d'action sont traitées en une case unique parfois, l'intrigue passe en accéléré par moment. Le rythme n'est pas excellent, donc. Mais bon, ça se laisse lire. Ceci étant dit, je n'achèterais pas ça et regarderais plutôt le film qui, à mon avis, est meilleur que cette adaptation.
L'Homme au chapeau mou
Note approximative : 2.5/5 Cette BD a pour auteur Claude Lacroix, le même qui a co-scénarisé Le Cycle de Cyann avec Bourgeon. Autant vous dire tout de suite que ces deux séries n'ont absolument rien à voir entre elles. Le dessin humoristique de Lacroix est ici, je trouve, à mi-chemin entre le style comique franco-belge et le dessin de Lelong pour Carmen Cru. Et d'ailleurs, L'homme au chapeau mou partage avec Carmen Cru cet humour décalé. Le héros, l'homme au chapeau mou lui-même, est détestable. C'est un homme cynique, pervers, mysogine, râleur, qui juge la société qui l'entoure, s'en moque et s'en outre à la fois. Les gags sont parfois assez réalistes, parfois délirants (avec apparition de soucoupe volante par exemple), souvent faits d'humour noir ou d'humour absurde. Ce n'est pas exceptionnellement drôle, mais ce n'est pas mauvais.
Iberland
Encore une BD que j'ai lue sans savoir du tout à quoi m'attendre. Le décor de base n'est pas très original : une terre post-apocalyptique recouverte de neige, différents groupes humains qui y vivent, une armée de religieux un peu fanatiques, d'autres humains plus frustes et plus... humains, et enfin un groupe qui suit un illuminé qui recherche la terre promise, une terre où la neige aurait fondu. Malgré ce scénario déjà-vu, ça se lit très bien, le dessin est assez sympa et ce n'est ni bête, ni naïf, ni stupidement racoleur. Bon, il y a quelques facilités scénaristiques (style l'armée des plus forts qui coule toute entière dans un lac gelé qui se fissure pile au bon moment, hum : pas futé le général d'armée pour avoir installé son armée sur un lac pour une bataille...) mais globalement, c'est assez sympa.
Requiem - Chevalier Vampire
Difficile de ne pas être une nouvelle fois épaté par le dessin de Ledroit. Je préfère son art dans une série telle que Xoco, mais Requiem est vraiment un chef-d'oeuvre d'art gothique. Ce sont des fresques dramatiques, grandiloquentes et impressionnantes que nous offre Ledroit. C'en est parfois époustouflant. Pourtant, par goût personnel, je trouve ce graphisme trop sombre, trop sanglant : c'est beau, mais ce n'est pas tout à fait mon genre. Quant au scénario, il offre bien sûr sa part de combats, de complots et de trahisons. Partant sur une idée originale d'un monde infernal où tous les mythes démoniaques et effrayants sont réalité, où l'injustice est reine et où la mort n'est plus qu'une longue suite de douleurs, de haines, de combats et d'"expirations", cette série, quoique glauque et gothique dès le début, avait de quoi séduire par le parti-pris de son scénario d'aller à fond dans le... gothique violent. Maintenant, au fur et à mesure des tomes sortis, même si le dessin va même jusqu'à s'améliorer de plus en plus, le scénario lui finalement me lasse assez. Combats, complots, réincarnations de puissants guerriers, et par dessus ça une histoire d'amour (évidemment) qui traverse les âges et va à l'encontre de l'ordre établi... Dans les faits, le déroulement du scénario n'est donc pas particulièrement original finalement. Mais des planches impressionnantes, ça, il n'y a pas de doute.
Les Eternels
Je viens de terminer le 2ème tome de cette série.......et j'avoue ne pas avoir été déçue ! Le rebondissement permet d'en faire une histoire sympathique avec un petit lot de surprises pour le lecteur au final. Cela dit, en analysant le scénario dans son intégralité, on a devant soi l'histoire classique "des bons contre des méchants".......sans histoire d'amour à la clé pour une fois !! Cette série reste toutefois agréable à lire et le style de Meynet est efficace et m'a beaucoup plu.
Café Panique
Mais comment ne pas acheter ce livre lorsque l'on voit que c'est du Topor (!!!) adapté par Alfred (!!!) ?! Pourtant, je suis un peu déçu, c'est moins bon que ce que j'imaginais. Moins bon j'ai dit, mais c'est très loin d'être mauvais. Alfred retranscrit avec fidélité l'esprit de Topor, son côté barge complètement décalé. Il faut prendre ça sans réfléchir, et savourer toute l'absurdité de ce récit. C'est presque jubilatoire parfois. :) Alfred apporte à ces chroniques toute sa sensibilité, toute sa douceur, toute sa finesse. Il personnalise ce récit sans le dénaturer, bravo. Et pourtant... et pourtant, je n'ai pas accroché plus que ça, bizarrement, alors que j'aime Alfred peut-être plus que Topor. J'ai refermé ce (petit) livre en restant sur ma faim, sans trop savoir pourquoi. Cet album est bourré de qualités, il doit être lu par tous les amateurs d'Alfred et/ou des univers débiles (dans le bon sens du terme) de Topor.
Lie-de-vin
Berlion comme je ne l'avais jamais lu. Ses planches sont de toute beauté, autant niveau composition que dessin pur. C'est parfois impressionnant. Ce one shot est assez agréable, même si finalement, l'histoire est assez banale et entendue. Pas de grande surprise, pas de grand retournement de situation, tout coule facilement, un peu trop simplement. Un petit regret quant aux caractères des personnages qui auraient pu être bien plus travaillés, soulignés, afin de donner plus de force à ce récit...
Garfield
A vrai dire, Garfield, je ne trouve pas ça tellement drôle. Le coup du chat énorme, cynique, égoïste et méchant, ça amuse un moment, mais à la longue, ça m'a donné l'impression de voir toujours les mêmes gags. Alors quelques strips m'ont fait rire, certains autres sourire, mais ce n'est pas le comic strip que je préfère.