Les dessins vont très bien dans un western, vraiment très bien ! Mais bon je n'ai pas accroché au scénar. Faut dire que j'ai trouvé l'histoire des pierres très légère, donc comme tout tourne autour de ça! Pfffiout peu d'intérêt pour moi!
Je voudrais pas jouer les vieux cons façon "c'était mieux avant", mais y a pas à dire, le niveau de Fluide a quand même sacrément baissé... Pichelin et Guerse ne sont pas les plus mauvais de la nouvelle génération, mais c'est pas eux qui feront oublier Gotlib, Goossens, Blutch ou Raynal ! "Les Losers sont des perdants" fait sourire, mais sans plus ; dans le genre "rions autour d'un sujet grave comme le chômage", c'est loin de valoir ce qu'a fait Tronchet avec des albums comme "Pauvres mais fiers".
J'éprouve les même difficultés que Pierig, cette série n'arrive pas à m'intéresser. L'humour se veut absurde mais tombe souvent dans l'abscon. Très peu de gags m'amusent réellement, les personnages ne sont pas vraiment attachants, à part celui du chien.
Le dessin ne m'accroche pas non plus...
J'imagine que c'est une série qui a son public...
Nettement en dessous de Johan et Pirlouit ou des Schtroumpfs du même Peyo. C'est pas désagréable quand on est marmot mais même à 8 ans, ça ne m'a jamais franchement passionné. Je trouve qu'il y a nettement mieux dans la BD jeunesse.
J'en avais un étant gamin mais impossible de me rappeler lequel même en regardant les couves. Je me rappelle juste que c'était bleu (c'est pas d'une grande aide). Une Bd avec des bons sentiments qui glorifie quand même pas mal le commandant. Les fonds marins sont plutôt bien rendus mais à part ça, c'est le calme plat à tous les niveaux: intrigue et intérêt.
Une grosse déception alors que je suis assez réceptif à l'humour Fluide Glacial. Soeur Marie Thérèse ne m'a jamais vraiment fait rire. Je trouve le thème bien original et irrévérencieux au possible mais à part ça, pas grand chose à signaler. Ou alors je suis passé à côté.
J'ai un peu de mal avec ce bouquin...
D'un côté, le dessin est sympa et l'histoire, sans être foncièrement originale ni particulièrement bien foutue, se suit sans ennui.
Et en même temps, ben... Le dialogue "fleuri" lorgne prétentieusement du côté d'Audiard et San-Antonio, mais sans dépasser le niveau de la mauvaise imitation. Le personnage principal, qu'on voudrait nous rendre sympatique et attachant, est un c****** fini ; du coup, difficile d'être touché par son sort. Et puis, comme souvent, l'Afrique est ici une jolie carte postale pleine de magie, de p'tites femmes exotiques, de vieux Blanc pittoresques, de joueurs de tam-tam et de danseurs en pagne et masque de cérémonie dans la brousse... Y a un truc qui m'gène, moi, là-d'dans. J'ai envie de penser que l'Afrique, c'est autre chose qu'un beau décor pour Blancs en quête de dépaysement...
Le dessin d'Arno est très beau, son trait clair et précis, d'un lisibilité exemplaire. Malheureusement les couleurs uniformes et un peu rose-bonbon viennent "aseptiser" les décors et enlève le réalisme qu'ils possédaient de facto.
Mais tout cela n'est encore qu'un détail face à un scénario qui ne décolle pas. Malgré le caractère dramatique de l'histoire d'Augustin, cette histoire reste trop linéaire que pour passionner. Le personnage principal est trop banal, c'est un adolescent comme un autre mis dans une situation extraordinaire. La fin du récit, en forme de queue de poisson vient ajouter à la frustration du lecteur.
Et puis le propos laisse dubitatif. L'éditeur présente l'album comme une fable sur l'adolescence. Ok, d'accord, le personnage principal est un adolescent, mais j'ai l'impression que cela s'arrête là et qu'on est loin des préoccupations quotidiennes des adolescents. Parce que des gars qui croient avoir tué leurs profs de math, ça ne court pas les rues.
L’idée de base aurait piu être bonne mais est relativement mal exploitée, voire pas exploitée du tout, on a l’impression d’avoir affaire à un demi scénario, une version pas très évoluée, d’un synopsis qui n’a pas encore trouvé le ton juste et la nature de son argument.
Urukyu est un shojo ambiance tres collège : premiers baisers, paris amoureux, rivalités entre filles, etc...
Malgré qu'il soit assez gamin, ce manga est agréable à lire. On a plaisir à lire les histoires de ces 2 ptites nanas pleines de punch et de joie de vivre.
Cependant il ne fait pas partie des meilleurs mangas amoureux du marché !
J'ajoute une précision à mon avis puisque j'ai maintenant lu 4 tomes : certes on a plaisir à lire 1 tome mais, au bout de 4, je peux vous assurer qu'on en a une indigestion ! Le rhytme est dix fois trop speed et puis.....c'est tellement gamin !!! Pitié j'en peux plus ! Dire qu'il y en a 9 de parus au Japon et que la série n'est même terminée... Je pense que je vais m'arrêter ici pour cette série. Quant a vous, eh bien... il ne vaut mieux pas commençer du tout !
Ce premier tome est très dense, bourré d'informations et de bonnes idées sur cette époque très intéressante. Là, rien à redire.
Le gros problème vient de l'heroïne qui semble ne pas avoir de réelle personnalité. Elle se fait balloter d'un côté à un autre sans rien comprendre (j'exagère un peu). Elle paraît complètement out of the space pendant la moitié de l'album... la narration est donc assez pénible à lire, elle ne m'a pas pris autant que je ne pouvais l'attendre de ce genre d'histoire.
Je dois avouer que le dessin m'a particulièrement bloqué. Cette espèce de couleur floue sans encrage est assez gênante, on a l'impression de mal voir, ou que le dessin n'est pas fini, tout flotte...
En fait, je trouve ça un peu vieillot...
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La Piste des Ombres
Les dessins vont très bien dans un western, vraiment très bien ! Mais bon je n'ai pas accroché au scénar. Faut dire que j'ai trouvé l'histoire des pierres très légère, donc comme tout tourne autour de ça! Pfffiout peu d'intérêt pour moi!
Les Losers sont des perdants
Je voudrais pas jouer les vieux cons façon "c'était mieux avant", mais y a pas à dire, le niveau de Fluide a quand même sacrément baissé... Pichelin et Guerse ne sont pas les plus mauvais de la nouvelle génération, mais c'est pas eux qui feront oublier Gotlib, Goossens, Blutch ou Raynal ! "Les Losers sont des perdants" fait sourire, mais sans plus ; dans le genre "rions autour d'un sujet grave comme le chômage", c'est loin de valoir ce qu'a fait Tronchet avec des albums comme "Pauvres mais fiers".
Puddingham Palace
J'éprouve les même difficultés que Pierig, cette série n'arrive pas à m'intéresser. L'humour se veut absurde mais tombe souvent dans l'abscon. Très peu de gags m'amusent réellement, les personnages ne sont pas vraiment attachants, à part celui du chien. Le dessin ne m'accroche pas non plus... J'imagine que c'est une série qui a son public...
Benoit Brisefer
Nettement en dessous de Johan et Pirlouit ou des Schtroumpfs du même Peyo. C'est pas désagréable quand on est marmot mais même à 8 ans, ça ne m'a jamais franchement passionné. Je trouve qu'il y a nettement mieux dans la BD jeunesse.
L'Aventure de l'équipage Cousteau
J'en avais un étant gamin mais impossible de me rappeler lequel même en regardant les couves. Je me rappelle juste que c'était bleu (c'est pas d'une grande aide). Une Bd avec des bons sentiments qui glorifie quand même pas mal le commandant. Les fonds marins sont plutôt bien rendus mais à part ça, c'est le calme plat à tous les niveaux: intrigue et intérêt.
Soeur Marie-Thérèse des Batignolles
Une grosse déception alors que je suis assez réceptif à l'humour Fluide Glacial. Soeur Marie Thérèse ne m'a jamais vraiment fait rire. Je trouve le thème bien original et irrévérencieux au possible mais à part ça, pas grand chose à signaler. Ou alors je suis passé à côté.
Toussaint 66
J'ai un peu de mal avec ce bouquin... D'un côté, le dessin est sympa et l'histoire, sans être foncièrement originale ni particulièrement bien foutue, se suit sans ennui. Et en même temps, ben... Le dialogue "fleuri" lorgne prétentieusement du côté d'Audiard et San-Antonio, mais sans dépasser le niveau de la mauvaise imitation. Le personnage principal, qu'on voudrait nous rendre sympatique et attachant, est un c****** fini ; du coup, difficile d'être touché par son sort. Et puis, comme souvent, l'Afrique est ici une jolie carte postale pleine de magie, de p'tites femmes exotiques, de vieux Blanc pittoresques, de joueurs de tam-tam et de danseurs en pagne et masque de cérémonie dans la brousse... Y a un truc qui m'gène, moi, là-d'dans. J'ai envie de penser que l'Afrique, c'est autre chose qu'un beau décor pour Blancs en quête de dépaysement...
Augustin
Le dessin d'Arno est très beau, son trait clair et précis, d'un lisibilité exemplaire. Malheureusement les couleurs uniformes et un peu rose-bonbon viennent "aseptiser" les décors et enlève le réalisme qu'ils possédaient de facto. Mais tout cela n'est encore qu'un détail face à un scénario qui ne décolle pas. Malgré le caractère dramatique de l'histoire d'Augustin, cette histoire reste trop linéaire que pour passionner. Le personnage principal est trop banal, c'est un adolescent comme un autre mis dans une situation extraordinaire. La fin du récit, en forme de queue de poisson vient ajouter à la frustration du lecteur. Et puis le propos laisse dubitatif. L'éditeur présente l'album comme une fable sur l'adolescence. Ok, d'accord, le personnage principal est un adolescent, mais j'ai l'impression que cela s'arrête là et qu'on est loin des préoccupations quotidiennes des adolescents. Parce que des gars qui croient avoir tué leurs profs de math, ça ne court pas les rues. L’idée de base aurait piu être bonne mais est relativement mal exploitée, voire pas exploitée du tout, on a l’impression d’avoir affaire à un demi scénario, une version pas très évoluée, d’un synopsis qui n’a pas encore trouvé le ton juste et la nature de son argument.
Ultracute (Urukyu)
Urukyu est un shojo ambiance tres collège : premiers baisers, paris amoureux, rivalités entre filles, etc... Malgré qu'il soit assez gamin, ce manga est agréable à lire. On a plaisir à lire les histoires de ces 2 ptites nanas pleines de punch et de joie de vivre. Cependant il ne fait pas partie des meilleurs mangas amoureux du marché ! J'ajoute une précision à mon avis puisque j'ai maintenant lu 4 tomes : certes on a plaisir à lire 1 tome mais, au bout de 4, je peux vous assurer qu'on en a une indigestion ! Le rhytme est dix fois trop speed et puis.....c'est tellement gamin !!! Pitié j'en peux plus ! Dire qu'il y en a 9 de parus au Japon et que la série n'est même terminée... Je pense que je vais m'arrêter ici pour cette série. Quant a vous, eh bien... il ne vaut mieux pas commençer du tout !
Terreur
Ce premier tome est très dense, bourré d'informations et de bonnes idées sur cette époque très intéressante. Là, rien à redire. Le gros problème vient de l'heroïne qui semble ne pas avoir de réelle personnalité. Elle se fait balloter d'un côté à un autre sans rien comprendre (j'exagère un peu). Elle paraît complètement out of the space pendant la moitié de l'album... la narration est donc assez pénible à lire, elle ne m'a pas pris autant que je ne pouvais l'attendre de ce genre d'histoire. Je dois avouer que le dessin m'a particulièrement bloqué. Cette espèce de couleur floue sans encrage est assez gênante, on a l'impression de mal voir, ou que le dessin n'est pas fini, tout flotte... En fait, je trouve ça un peu vieillot...