Certaines choses m'ont tellement agacé, que ma première réaction était 1/5 (complètement nul). Je n'en dirai pas plus, pour ne pas gâcher un effet de surprise qui pourrait plaire à certains lecteurs. Finalement, après avoir lu les critiques précédentes, j'ai feuilleté l'album une dernière fois et je dois avouer que c'est un travail honnête mais sans plus.
Un bourreau qui fut jadis un colosse d'une efficacité redoutable, s'est empiffré jusqu'à ce qu'il devienne une masse de chair immonde. Il est assis sur un des plateaux d'une balance. La fille du bourreau (une fille à demi-nue qui suce constamment un suçon) devra couper des têtes de monstres jusqu'à ce que le poid de ces têtes surpasse celui de son père. Ajoutez à ça quelques subtilités, et un dessin souvent spectaculaire, et ça résume assez bien ce que j'en pense.
On peut dire que cette BD est "culte" jusqu'à "XIII contre un". Après ca tombe dans la machine à fric, voir au foutage de gueule énooooorme avec "L'enquete". C'est souvent le cas dans les BD qui dépassent les 10 tomes, les meilleurs sont rarement les derniers.
Je le conseille à l'achat parce que c'est tout de même une bonne histoire, bien tournée et c'est si agréable à lire...
Un peu comme les 2 avis d'en dessous. Mais la différence c'est que je l'ai acheté :)
Et oui j'adore ce que fait Bellamy, donc j'ai acheté avant de lire. Et c'est vrai que je regrette presque, mais bon, maintenant que c'est fait ...
Les filles sont très bien dessinées (encore que des fois il devrait prendre son temps)
Par contre le Scénar est trop simple, et es 3 volumes ont la même histoire (quasiement) donc ça n'a pas grand intérêt. Si vous en avez jamais lu, commencez par le 3, graphiquement c'est le mieux.
Bon bon bon...
Que penser de cela, c'est certes illustratif, c'est certes plein de jolies couleurs... Mais quiconque connaît le travaille de Brian Froud et Alan Lee ne sera pas dupe. Civiello est un plagieur de premier ordre. Un plagieur virtuose, mais un plagieur quand même...
Du coup, L'histoire (assez convenue) est rendue relativement illisible par le brouhaha créé par la surenchère graphique.
Un album sympa, agréable à lire, mais finalement, lorsque je l'ai refermé, je me suis rendu compte que je n'avais rien ressentis de fort, de poignant.
En gros, je suis passé à coté de l'objectif des auteurs... Je pense pas avoir un jour envie de relire cette BD.
Cependant, le dessin est vraiment attachant. L'épaisseur de l'encrage fait passer les couleurs un peu trop flashy.
Et une question me brûle les lèvres (j'ai peur de vraiment avoir rien compris à cette BD et de passer pour un c** là...) : Pourquoi la fumée de sa clope est elle bleue ?!
Broaf !
On ne va pas être trop méchant, Seron nous dessine un petit truc tout gentil, ce n'est pas glorieux, pas vraiment fin, mais à vrai dire, on s'en fout !
Ça passe le temps... on évitera juste de lire ça dans la salle d'attente du dentiste ;)
Pour adultes seulement...
Cette BD a des qualités visibles : un scénario au rythme calculé, des dessins très travaillés, le tout distillant l'amblance exacte voulue par les auteurs.
Mais pourtant, je n'ai pas aimé et je ne la conseille pas, sauf aux amateurs du vrai fantatique bien noir et bien... fantastique.
En effet, on ne sait pas trop où on va. Peut-être y a-t-il au cours de l'histoire de multiples allusions que je suis incapable de saisir et qui aident le lecteur, mais en tant que tel, cet album est difficilement compréhensible.
On ne comprend pas les motifs des personnages, on ne s'attache pas à eux, bref, savoir ce qu'ils feront la page suivante m'a vite semblé sans intérêt... ce qui n'est pas très motivant pour poursuivre ma lecture.
Les dessins sont sombres et parfois désagréable.
Enfin, reste l'ambiance noire, mystérieuse, très réussie par les auteurs. Mais elle ne m'attire pas du tout. Quand elle est mélangée avec autre chose (histoire d'amour, aventure, ou autre), pourquoi pas. Mais là, ça semble gratuit, et même si c'est bien fait, ben... ça me met mal à l'aise. Et ça ne suffit pas à rattraper le reste.
Étrangement, je n'arrive à accrocher qu'à l'humour de Astérix... Les autres séries de Goscinny ne intéressent pas, ne me font pas vraiment rire... Et Iznogoud ne fait pas exception.
On retrouve bien sûr le même style d'humour vraiment propre à Goscinny (des jeux de mots à la pelle en veux-tu en voilà, des personnages aux noms alambiqués, etc.), mais rien à faire, je n'arrive pas à retrouver le coup de patte que j'ai tant aimé dans l'ensemble des Astérix scénarisés par Goscinny.
Et puis, autant Obélix se voyant refuser la potion magique parce qu'il "est tombé dedans étant petit" nous fait sourire, autant les sujets d'Iznogoud sont redondants au possible, limite lourds... c'est vraiment dommage.
Bon, bien sûr, y'a du bon et du moins bon ! Il m'est arrivé de rire, mais je dois dire que l'ensemble me déçoit tout de même énormément de la part de cet auteur de talent.
Les illustrations sont quand à elles assez moyennes... le style très classique évite pourtant les forme rondouillardes propre à l'ensemble (ou presque) des bds d'humour belge (Gaston, Spirou, Achille Talon, j'en passe et des meilleurs), mais ce n'est pas des plus réussies.
La mise en couleur est tout de même bien trop criarde à mon goût.
Bref, dans le même style, il y a mieux, beaucoup mieux !
Quelle déception ! J'avais lu beaucoup de bien de cette BD et en plus, Neil Gaiman est un romancier réputé (il est également l'auteur de plusieurs comics, dont la série Sandman, qui a été descendue en flammes par Arzak sur ce site mais que d'aucuns considèrent comme un chef-d'oeuvre). Je m'attendais donc à beaucoup mieux que ça... C'est pas que ce soit franchement mauvais, mais... L'histoire a un très fort goût de déjà-vu, et le "message" de la BD est d'une banalité affligeante : en gros, ça nous dit que même si le monde est merdique et que la vie est dure, il faut avoir le courage d'affronter tout ça plutôt que de se réfugier dans un paradis artificiel. Ouaaaaaah, super original...
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Sables Rouges
Certaines choses m'ont tellement agacé, que ma première réaction était 1/5 (complètement nul). Je n'en dirai pas plus, pour ne pas gâcher un effet de surprise qui pourrait plaire à certains lecteurs. Finalement, après avoir lu les critiques précédentes, j'ai feuilleté l'album une dernière fois et je dois avouer que c'est un travail honnête mais sans plus.
La fille du bourreau
Un bourreau qui fut jadis un colosse d'une efficacité redoutable, s'est empiffré jusqu'à ce qu'il devienne une masse de chair immonde. Il est assis sur un des plateaux d'une balance. La fille du bourreau (une fille à demi-nue qui suce constamment un suçon) devra couper des têtes de monstres jusqu'à ce que le poid de ces têtes surpasse celui de son père. Ajoutez à ça quelques subtilités, et un dessin souvent spectaculaire, et ça résume assez bien ce que j'en pense.
XIII
On peut dire que cette BD est "culte" jusqu'à "XIII contre un". Après ca tombe dans la machine à fric, voir au foutage de gueule énooooorme avec "L'enquete". C'est souvent le cas dans les BD qui dépassent les 10 tomes, les meilleurs sont rarement les derniers. Je le conseille à l'achat parce que c'est tout de même une bonne histoire, bien tournée et c'est si agréable à lire...
Sylfeline
Un peu comme les 2 avis d'en dessous. Mais la différence c'est que je l'ai acheté :) Et oui j'adore ce que fait Bellamy, donc j'ai acheté avant de lire. Et c'est vrai que je regrette presque, mais bon, maintenant que c'est fait ... Les filles sont très bien dessinées (encore que des fois il devrait prendre son temps) Par contre le Scénar est trop simple, et es 3 volumes ont la même histoire (quasiement) donc ça n'a pas grand intérêt. Si vous en avez jamais lu, commencez par le 3, graphiquement c'est le mieux.
Korrigans
Bon bon bon... Que penser de cela, c'est certes illustratif, c'est certes plein de jolies couleurs... Mais quiconque connaît le travaille de Brian Froud et Alan Lee ne sera pas dupe. Civiello est un plagieur de premier ordre. Un plagieur virtuose, mais un plagieur quand même... Du coup, L'histoire (assez convenue) est rendue relativement illisible par le brouhaha créé par la surenchère graphique.
Un peu de fumée bleue...
Un album sympa, agréable à lire, mais finalement, lorsque je l'ai refermé, je me suis rendu compte que je n'avais rien ressentis de fort, de poignant. En gros, je suis passé à coté de l'objectif des auteurs... Je pense pas avoir un jour envie de relire cette BD. Cependant, le dessin est vraiment attachant. L'épaisseur de l'encrage fait passer les couleurs un peu trop flashy. Et une question me brûle les lèvres (j'ai peur de vraiment avoir rien compris à cette BD et de passer pour un c** là...) : Pourquoi la fumée de sa clope est elle bleue ?!
Les Petites Femmes
Broaf ! On ne va pas être trop méchant, Seron nous dessine un petit truc tout gentil, ce n'est pas glorieux, pas vraiment fin, mais à vrai dire, on s'en fout ! Ça passe le temps... on évitera juste de lire ça dans la salle d'attente du dentiste ;) Pour adultes seulement...
L'ile des morts
Cette BD a des qualités visibles : un scénario au rythme calculé, des dessins très travaillés, le tout distillant l'amblance exacte voulue par les auteurs. Mais pourtant, je n'ai pas aimé et je ne la conseille pas, sauf aux amateurs du vrai fantatique bien noir et bien... fantastique. En effet, on ne sait pas trop où on va. Peut-être y a-t-il au cours de l'histoire de multiples allusions que je suis incapable de saisir et qui aident le lecteur, mais en tant que tel, cet album est difficilement compréhensible. On ne comprend pas les motifs des personnages, on ne s'attache pas à eux, bref, savoir ce qu'ils feront la page suivante m'a vite semblé sans intérêt... ce qui n'est pas très motivant pour poursuivre ma lecture. Les dessins sont sombres et parfois désagréable. Enfin, reste l'ambiance noire, mystérieuse, très réussie par les auteurs. Mais elle ne m'attire pas du tout. Quand elle est mélangée avec autre chose (histoire d'amour, aventure, ou autre), pourquoi pas. Mais là, ça semble gratuit, et même si c'est bien fait, ben... ça me met mal à l'aise. Et ça ne suffit pas à rattraper le reste.
Iznogoud
Étrangement, je n'arrive à accrocher qu'à l'humour de Astérix... Les autres séries de Goscinny ne intéressent pas, ne me font pas vraiment rire... Et Iznogoud ne fait pas exception. On retrouve bien sûr le même style d'humour vraiment propre à Goscinny (des jeux de mots à la pelle en veux-tu en voilà, des personnages aux noms alambiqués, etc.), mais rien à faire, je n'arrive pas à retrouver le coup de patte que j'ai tant aimé dans l'ensemble des Astérix scénarisés par Goscinny. Et puis, autant Obélix se voyant refuser la potion magique parce qu'il "est tombé dedans étant petit" nous fait sourire, autant les sujets d'Iznogoud sont redondants au possible, limite lourds... c'est vraiment dommage. Bon, bien sûr, y'a du bon et du moins bon ! Il m'est arrivé de rire, mais je dois dire que l'ensemble me déçoit tout de même énormément de la part de cet auteur de talent. Les illustrations sont quand à elles assez moyennes... le style très classique évite pourtant les forme rondouillardes propre à l'ensemble (ou presque) des bds d'humour belge (Gaston, Spirou, Achille Talon, j'en passe et des meilleurs), mais ce n'est pas des plus réussies. La mise en couleur est tout de même bien trop criarde à mon goût. Bref, dans le même style, il y a mieux, beaucoup mieux !
La Dernière Tentation (The Last Temptation)
Quelle déception ! J'avais lu beaucoup de bien de cette BD et en plus, Neil Gaiman est un romancier réputé (il est également l'auteur de plusieurs comics, dont la série Sandman, qui a été descendue en flammes par Arzak sur ce site mais que d'aucuns considèrent comme un chef-d'oeuvre). Je m'attendais donc à beaucoup mieux que ça... C'est pas que ce soit franchement mauvais, mais... L'histoire a un très fort goût de déjà-vu, et le "message" de la BD est d'une banalité affligeante : en gros, ça nous dit que même si le monde est merdique et que la vie est dure, il faut avoir le courage d'affronter tout ça plutôt que de se réfugier dans un paradis artificiel. Ouaaaaaah, super original...