Pas le plus désopilant de Clarke. Les gags finissent par être pesants à force d'être répétés. Le jeu de mot Abruti/Abruto est lourdingue... Quelques trouvailles, cependant, mais elles ne sont pas suffisantes pour relever l'intérêt général.
En bref, pas indispensable.
Bof, le trash et le punk, j'aime pas ça.
En regardant le bon côté des choses, le dessin de RanXerox n'est pas mauvais du tout, même si très typé BD italienne des années 80. Et les histoires ne sont pas aussi futiles et stupides que je me l'imaginais avant de lire cette série.
Mais à part ça... C'est de la violence gratuite, un scénario construit pour favoriser cette violence, un peu de trash aussi (pas tant que ça finalement), un peu de cul (mais plus de bites que de femmes à poil pour une fois), et encore de la violence gratuite. Oui, c'est punk, c'est trash, mais... quel interêt ?
Bon, perso, je n'aime pas ça, mais s'il y en a qui aime...
J'ai profité de l'offre actuelle "les 2 tomes pour le prix d'un" pour prendre cette série que mon libraire me disait sympa.
Bah bof bof hein.
J'aime bien le dessin, il est assez dynamique et le rendu avec les couleurs me plaît assez.
Ceci dit, c'est très léger comme histoire. Le T1 est pas mal, mais le 2 est vraiment juste.
Heureusement que la nana passe pas mal de temps en string ou à poil pour agrémenter une lecture somme toute ennuyeuse.
Une BD que j'ai lue quand j'étais gamin car elle était distribuée dans tous les collèges pour apprendre aux jeunes les dangers du Sida. Et franchement, même gamin, je l'ai trouvée lourde, mièvre, trop portée sur les bons sentiments. Et puis il y a ce côté BD éducative qui m'a rebuté et qui me rebute toujours maintenant que je la refeuillette, adulte.
Franchement bof, donc.
Cette BD n'apporte pas grand chose. Ayant lu la nouvelle avant, j'ai été quelque peu déçue : ça colle au bouquin, parfait, c'était quoi l'intérêt ? non, parce que si c'est juste pour le plaisir de dessiner, ok, je dis rien. Encore que... J'ai vu du meilleur Ferrandez...
J'avais été scotchée par la nouvelle, qui exploite l'insconscient de manière originale, mais elle est à mon avis trop complexe pour servir de support à une BD. Le type cogite énormément, et ça nuit au rythme de l'album, bien que quelques trucs aient été coupés.
Non, vraiment, ma seule question est : quel est l'intérêt ?
(note à Don Lope : lis la nouvelle, tu comprendras la chute et tu seras un peu moins déçu)
Chez Mosquito ils aiment bien Battaglia, et ils (ré)éditent toutes ses oeuvres. C'est tout à fait louable, cependant leur résumé est peut-être ** un poil ** enthousiaste.
Je dois confesser n'avoir jamais lu que de rares extraits de Gargantua et Pantagruel, ce qui influence forcément quelque peu ma perception de cet album.
L'adaptation en tant que telle est difficile, du fait de la densité de l'histoire originale. On s'aperçoit en cours de lecture que certains éléments ont été passés sous silence, ce dont on ne doit pas s'apercevoir si on a lu les romans. Les textes off sont par moment très présents (parfois sur une page entière), ce qui alourdit sensiblement la lecture.
Les illustrations sont quant à elles très belles, la couleur réussissant vraiment bien à Battglia. Les proportions par contre, sont à l'avenant : Gargantua par exemple, est tantôt grand comme deux hommes, tantôt il est assis entre les deux tours de Notre Dame comme sur un fauteuil... Difficile de faire autrement, selon toute vraisemblance, mais l'effet est tout de même bizarre.
Ceci dit, et au risque de me faire hurler dessus, l'histoire est vraiment, mais vraiment chiante. Rabelais semble avoir particulièrement affectionné les énumérations et les grands chiffres, ce qui fait qu'on en retrouve un peu partout. C'est d'une lourdeur invraisemblable et d'une totale futilité.
Par ailleurs il s'agit là d'aventures dans le pire sens du terme. Gargantua fait un truc, hop on fait la fête, on boit. Pantagruel fait quelque chose, hop, un festin et de la boisson... L'adaptation ayant en plus raccourci le récit, on se retrouve à contempler une succession de faits vaguement surprenant (pour le paysan moyen de l'époque, ça devait l'être), vaguement merveilleux. Quant à y rechercher une cohérence...
Rabelais a également son langage à lui. Je cite (Gargamelle, la mère de Gargantua est en train de bâfrer des tripes) :
"On a grande envie de mâcher de la merde si on mange ce qui l'enveloppe." Gargamelle en mangea seize muids, deux tonneaux et six pots. Ô la belle matière fécale qui devait boursoufler en elle !
Voilà, bon, vous je sais pas, mais moi ça ne m'arrache pas vraiment un sourire...
Lecture pénible, surtout "Pantagruel", avec la quête de la dive bouteille qui est absolument insupportable. :(
Je suis peut-être un peu sévère avec cet album, surtout qu'il s'agit d'une histoire bien racontée et encore mieux illustrée.
Mais il faut dire que je ne m'attendais pas à trouver ce conte de fée, qui tout bien dessiné qu'il soit n'en reste pas moins un peu "gentillet".
La mémoire des arbres devait être une suite d'histoires inspirées de la réalité se passant en forêt. Et la plupart des récits précédants m'avaient bien plu, avec des personnages intéressants, vraiment crédibles.
Mais là on a le droit à une histoire d'amour ultra-classique, triste et un peu niaise, où le comportement des deux tourtereaux est prévisible dès la première case où ils apparaissent... :(
Alors bon, c'est vrai que la touche de fantastique "à la Servais" n'est pas plus mauvaise qu'ailleurs, que sa reconstitution d'un village du Moyen Age est très réussie, très vivante, que ses dessins sont toujours aussi beaux à mon goût. Peut-être que si je ne m'étais pas autant attendue à quelque chose dans le style des albums précédents j'aurai pu apprécier... Mais ça n'a pas été le cas.
Ce qui me gêne dans cet album, c'est qu'il n'a aucune originalité. Toutes ces histoires sont reprises de légendes connues, que je dévorais étant petite dans les "contes et légendes" de mes parents... Et Servais n'y ajoute pas beaucoup de sel :o/
Le dessin, personnellement je n'aime pas beaucoup, enfin bon il ne gâche pas la lecture.
Bref un album assez moyen, qui pourra éventuellement vous faire découvrir un peu de folklore bien d'chez nous si vous ne le connaissez pas déjà.
Voilà une série qui base ses gags sur le thème des marionnettes et des ventriloques. On imagine facilement le style de gags façon "C'est pas moi, c'est lui" comme l'indique le titre du tome 1, mais il y a aussi la vie privée quand on est en permanence affublé d'une peluche au bras et que celle-ci vous parle comme votre moitié de couple.
Les gags ne sont pas mauvais, mais bon, ils ne cassent pas trois pattes à un canard. Et puis Cauvin a dû réaliser qu'il avait rapidement fait le tour du sujet (pour une fois qu'il s'en rend compte) et la série n'a pas perduré.
Pas désagréable mais sans plus.
Le dessin est pas trop mal, classique dans le style Spirou Magazine.
Et dans les premiers tomes, je trouvais la bouille du bébé assez sympa, très proche d'un vrai bébé : la tête toute mignonne, un peu perdue et larmoyante, du bébé qui fait des bêtises mais sans savoir qu'il fait quelque chose de pas bien.
Et dans ces premiers tomes, justement, je souriais pas mal à l'humour de cette série. C'était pas mal, quoi.
Seulement, ce style d'humour, ça tient durant quelques gags, mais pas trop. Et là, au bout de quelques albums, ça se tasse franchement vite, pour devenir du routinier, des gags classiques à la chaîne, sans âme et sans réel intérêt.
A trop tirer sur la corde, on obtient une série "bof, sans plus".
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Cosa Nostra
Pas le plus désopilant de Clarke. Les gags finissent par être pesants à force d'être répétés. Le jeu de mot Abruti/Abruto est lourdingue... Quelques trouvailles, cependant, mais elles ne sont pas suffisantes pour relever l'intérêt général. En bref, pas indispensable.
Ranxerox
Bof, le trash et le punk, j'aime pas ça. En regardant le bon côté des choses, le dessin de RanXerox n'est pas mauvais du tout, même si très typé BD italienne des années 80. Et les histoires ne sont pas aussi futiles et stupides que je me l'imaginais avant de lire cette série. Mais à part ça... C'est de la violence gratuite, un scénario construit pour favoriser cette violence, un peu de trash aussi (pas tant que ça finalement), un peu de cul (mais plus de bites que de femmes à poil pour une fois), et encore de la violence gratuite. Oui, c'est punk, c'est trash, mais... quel interêt ? Bon, perso, je n'aime pas ça, mais s'il y en a qui aime...
Akameshi
J'ai profité de l'offre actuelle "les 2 tomes pour le prix d'un" pour prendre cette série que mon libraire me disait sympa. Bah bof bof hein. J'aime bien le dessin, il est assez dynamique et le rendu avec les couleurs me plaît assez. Ceci dit, c'est très léger comme histoire. Le T1 est pas mal, mais le 2 est vraiment juste. Heureusement que la nana passe pas mal de temps en string ou à poil pour agrémenter une lecture somme toute ennuyeuse.
Jo
Une BD que j'ai lue quand j'étais gamin car elle était distribuée dans tous les collèges pour apprendre aux jeunes les dangers du Sida. Et franchement, même gamin, je l'ai trouvée lourde, mièvre, trop portée sur les bons sentiments. Et puis il y a ce côté BD éducative qui m'a rebuté et qui me rebute toujours maintenant que je la refeuillette, adulte. Franchement bof, donc.
La Boîte noire
Cette BD n'apporte pas grand chose. Ayant lu la nouvelle avant, j'ai été quelque peu déçue : ça colle au bouquin, parfait, c'était quoi l'intérêt ? non, parce que si c'est juste pour le plaisir de dessiner, ok, je dis rien. Encore que... J'ai vu du meilleur Ferrandez... J'avais été scotchée par la nouvelle, qui exploite l'insconscient de manière originale, mais elle est à mon avis trop complexe pour servir de support à une BD. Le type cogite énormément, et ça nuit au rythme de l'album, bien que quelques trucs aient été coupés. Non, vraiment, ma seule question est : quel est l'intérêt ? (note à Don Lope : lis la nouvelle, tu comprendras la chute et tu seras un peu moins déçu)
Gargantua & Pantagruel
Chez Mosquito ils aiment bien Battaglia, et ils (ré)éditent toutes ses oeuvres. C'est tout à fait louable, cependant leur résumé est peut-être ** un poil ** enthousiaste. Je dois confesser n'avoir jamais lu que de rares extraits de Gargantua et Pantagruel, ce qui influence forcément quelque peu ma perception de cet album. L'adaptation en tant que telle est difficile, du fait de la densité de l'histoire originale. On s'aperçoit en cours de lecture que certains éléments ont été passés sous silence, ce dont on ne doit pas s'apercevoir si on a lu les romans. Les textes off sont par moment très présents (parfois sur une page entière), ce qui alourdit sensiblement la lecture. Les illustrations sont quant à elles très belles, la couleur réussissant vraiment bien à Battglia. Les proportions par contre, sont à l'avenant : Gargantua par exemple, est tantôt grand comme deux hommes, tantôt il est assis entre les deux tours de Notre Dame comme sur un fauteuil... Difficile de faire autrement, selon toute vraisemblance, mais l'effet est tout de même bizarre. Ceci dit, et au risque de me faire hurler dessus, l'histoire est vraiment, mais vraiment chiante. Rabelais semble avoir particulièrement affectionné les énumérations et les grands chiffres, ce qui fait qu'on en retrouve un peu partout. C'est d'une lourdeur invraisemblable et d'une totale futilité. Par ailleurs il s'agit là d'aventures dans le pire sens du terme. Gargantua fait un truc, hop on fait la fête, on boit. Pantagruel fait quelque chose, hop, un festin et de la boisson... L'adaptation ayant en plus raccourci le récit, on se retrouve à contempler une succession de faits vaguement surprenant (pour le paysan moyen de l'époque, ça devait l'être), vaguement merveilleux. Quant à y rechercher une cohérence... Rabelais a également son langage à lui. Je cite (Gargamelle, la mère de Gargantua est en train de bâfrer des tripes) : "On a grande envie de mâcher de la merde si on mange ce qui l'enveloppe." Gargamelle en mangea seize muids, deux tonneaux et six pots. Ô la belle matière fécale qui devait boursoufler en elle ! Voilà, bon, vous je sais pas, mais moi ça ne m'arrache pas vraiment un sourire... Lecture pénible, surtout "Pantagruel", avec la quête de la dive bouteille qui est absolument insupportable. :(
Isabelle (Servais)
Je suis peut-être un peu sévère avec cet album, surtout qu'il s'agit d'une histoire bien racontée et encore mieux illustrée. Mais il faut dire que je ne m'attendais pas à trouver ce conte de fée, qui tout bien dessiné qu'il soit n'en reste pas moins un peu "gentillet". La mémoire des arbres devait être une suite d'histoires inspirées de la réalité se passant en forêt. Et la plupart des récits précédants m'avaient bien plu, avec des personnages intéressants, vraiment crédibles. Mais là on a le droit à une histoire d'amour ultra-classique, triste et un peu niaise, où le comportement des deux tourtereaux est prévisible dès la première case où ils apparaissent... :( Alors bon, c'est vrai que la touche de fantastique "à la Servais" n'est pas plus mauvaise qu'ailleurs, que sa reconstitution d'un village du Moyen Age est très réussie, très vivante, que ses dessins sont toujours aussi beaux à mon goût. Peut-être que si je ne m'étais pas autant attendue à quelque chose dans le style des albums précédents j'aurai pu apprécier... Mais ça n'a pas été le cas.
La Tchalette
Ce qui me gêne dans cet album, c'est qu'il n'a aucune originalité. Toutes ces histoires sont reprises de légendes connues, que je dévorais étant petite dans les "contes et légendes" de mes parents... Et Servais n'y ajoute pas beaucoup de sel :o/ Le dessin, personnellement je n'aime pas beaucoup, enfin bon il ne gâche pas la lecture. Bref un album assez moyen, qui pourra éventuellement vous faire découvrir un peu de folklore bien d'chez nous si vous ne le connaissez pas déjà.
Tatayet
Voilà une série qui base ses gags sur le thème des marionnettes et des ventriloques. On imagine facilement le style de gags façon "C'est pas moi, c'est lui" comme l'indique le titre du tome 1, mais il y a aussi la vie privée quand on est en permanence affublé d'une peluche au bras et que celle-ci vous parle comme votre moitié de couple. Les gags ne sont pas mauvais, mais bon, ils ne cassent pas trois pattes à un canard. Et puis Cauvin a dû réaliser qu'il avait rapidement fait le tour du sujet (pour une fois qu'il s'en rend compte) et la série n'a pas perduré. Pas désagréable mais sans plus.
Toupet
Le dessin est pas trop mal, classique dans le style Spirou Magazine. Et dans les premiers tomes, je trouvais la bouille du bébé assez sympa, très proche d'un vrai bébé : la tête toute mignonne, un peu perdue et larmoyante, du bébé qui fait des bêtises mais sans savoir qu'il fait quelque chose de pas bien. Et dans ces premiers tomes, justement, je souriais pas mal à l'humour de cette série. C'était pas mal, quoi. Seulement, ce style d'humour, ça tient durant quelques gags, mais pas trop. Et là, au bout de quelques albums, ça se tasse franchement vite, pour devenir du routinier, des gags classiques à la chaîne, sans âme et sans réel intérêt. A trop tirer sur la corde, on obtient une série "bof, sans plus".