Encore une série de gags à la manière des planches érotico-humoristiques de Dany.
Ici, le dessin est franchement moyen, voire mauvais. On reconnait l'envie d'imiter le style de Dany ou de Walthéry mais quand on y regarde de près, le style est franchement hésitant, et parfois plutôt moche.
Quant aux histoires, elles sont dotées d'un humour gras, ou plutôt lourdingue. C'est prévisible, pas drôle, ça fait difficilement sourire.
Tout comme Spooky, j'ai vu dans cet album un drôle de condensé de personnages et de styles des autres oeuvres de Sfar (Petrus Barbygère, le Professeur Bell, le Chat du Rabbin, etc...). Le tout forme un drôle de mélange.
Le dessin est changeant. Parfois très hachuré, parfois épuré, au trait parfois gras, parfois fin, et le tout avec l'aspect brouillon si cher à Sfar. Il faut aimer ce style de dessin où la constance et la ressemblance des personnages et des décors n'est pas l'essentiel et de loin. Personnellement, je n'aime pas.
Ensuite, l'histoire ressemble à un gros fouillis, une sorte d'improvisation d'histoire d'aventure un peu à la manière de la Ligue des Gentlemen Extraordinaires mixée avec toutes sortes de choses différentes : réflexions philosophiques, sexe, délires en tous genres et action. Franchement, je n'ai pas trouvé ça passionnant, ni aussi original que la plupart des oeuvres de Sfar. Je me suis même plutôt embêté à la lecture.
Art culinaire, peinture et bande dessinée. On n'a jamais pensé à les marier avant ça. Une histoire policière, doublée d'une quête artistique. Mais le mets, qui promettait d'être goûteux, vire très rapidement à la bouillie insipide. L'intrigue semble évoluer sur plusieurs niveaux de réalité, les personnages sont trop physiquement semblables pour qu'on s'y attache...
Et pourtant ! Et pourtant Gnehm possède un vrai talent pictural, mal exploité par le scénariste.
Alors nous reste un album aux fulgurances baroques trop rares, souvent beau mais creux.
De l'art d'accommoder les restes...
C'est plein de petites idées, ça se veut spirituel... Mais c'est vite lu et assez plat à mon sens. Les gags tombent à plat, le dessin est plutôt quelconque...
Dans un genre similaire, mieux vaut lire Bobo !
Difficile de retirer quelque chose de ce recueil d'histoires courtes. Mis à part quelques idées par-ci par-là (le chimpanzé réincarnation de célébrités disparues, la jolie couverture...).
C'est dommage, car le dessin d'O'groj est plus que correct et semble parfois sous-exploité par son propre scénario.
Difficile de juger sur 1 seul tome, d'ailleurs je pense que 3 tomes seulement pour cette série qui semble avoir beaucoup d'ambition ça risque d'être léger. En effet en lisant on sent trop la précipitation, et à moins d'avoir une solide connaissance de l'histoire, (ce qui est loin d'être mon cas) ça peut paraître bien confus.
L'intérêt est donc reporté sur Tsuru héroïne de ce récit, et jeune fille curieuse à l'esprit ouvert, considérée par son entourage comme étant quelqu'un d'excentrique voire farfelue.
Vu que la mise en place et le descriptif historique de l'auteur sont assez lourds, dur d'en dire beaucoup sur les évènements, mais bon on sent bien que les thèmes chers à Hideki Mori(Stratège) sont ancrés dans le récit.
En fait c'est justement par rapport à Stratège que j'ai acheté cette BD. Et je peux déjà affirmer sans risque que c'est clairement en dessous, j'aime le style des dessins de l'auteur et peut-être qu'ils sont plus beaux dans Tsuru que ceux de Stratège, il n'empêche moi j'aimais bien le style plus épuré et moins riche de ce Stratège. Et (je me répète mais bon) pour une histoire de cet acabit 3 tomes c'est trop peu, enfin j'espère me tromper mais bon...
Je ferai cette série jusqu'au bout, mais je n'arrive pas à en conseiller l'achat, trop de doutes subsistent j'y reviendrai plus tard.
20/09/05:
Aprés la lecture des trois volumes qui composent l'intégralité de cette série je suis déçu, les aventures de Tsuru n'arrivent pas à passionner et sa quète de découverte du monde n'est pas des plus palpitantes. On est loin de la qualité de Stratège.
Le seul avantage de Tsuru est d'être une série courte pour un manga mais bon...
Une lecture inutile selon moi.
Pas de doute, au bout de quelques pages, ça sent le Van Hamme à plein nez. C'est pas forcément un défaut, on pourrait dire la même chose d'un Chauvel ou d'un Moore, mais ici ça fait nettement dans la redite et l'ennui. C'est carré, concis, les flash backs sont maitrisés mais ça manque vraiment de corps et de personnalité pour franchement intéresser, le dessin d'Aymond n'aidant pas vraiment il faut dire tant il est classique. Bref Van Hamme fait un melting pot de "Largo Winch" et de "Modesty Blaise" un peu à sa sauce; elle ne tache pas mais elle est sans saveur.
"Le pantin" me fait un peu le même effet que Halloween de Boiscommun : c'est beau mais un peu vide, et je ne parle même pas là du fait que ce soit muet.
Bref, je ne retire pas grand-chose de la lecture, n'étant pas vraiment touché ni conquis par une poésie que je trouve assez surfaite. La lecture en 3 minutes chrono ne peut de plus pas vraiment être retenue comme un argument positif pour cette BD.
Mignon mais complètement vain et aussitôt oublié.
"Imbéciles heureux" ! Mouais, je dirais que c'est une série faible où l'auteur se la joue cynique et subversif, bonne initiative mais ça manque d'intelligence tout ça.
Au lieu de l'oeuvre acide annoncée, on se retrouve à lire un manga tout mou, dessiné à peine correctement (les expressions des visages sont quand même valables) et, franchement, je cherche encore le message ! La critique ! Ou plutôt non, je vais arrêter de chercher.
C'est balourd et les effets de styles scénaristiques on les voit arriver à des kilomètres. Alors pourquoi est-ce que je mets une aussi bonne note ? Parce que l'histoire : Japonaise modèle m'a quand même fait sourire.
Voilà, j'arrête d'énumérer la liste des qualités, parlons des défauts qui ont fini de m'achever : la première histoire en deux parties, Le droit chemin, est insipide et beaucoup trop redondante. La deuxième, j'ai dit plus haut qu'elle m'avait plus ou moins touché. La troisième, intitulée Rue du parc, je n'ai pas compris ce qu'elle fout dans cette BD (10 pages à combler ?). La quatrième, Plus fort que moi!, est totalement surréaliste et ça ne fait même pas rire. La dernière finit en beauté en respectant la nullité de l'ensemble, elle s'intitule Mouches à merdes et c'est un énième rabachage sur les bienfaits de la presse.
Donc, je n'ai pas aimé ou je n'ai rien compris mais, quoi qu'il en soit, je déconseille. Et le pire dans tout ça est que, confiant, j'ai acheté les 2 premiers tomes d'un coup ! Quelle erreur, le second est encore plus plat que le premier et encore, je ne parle même pas des couvertures affreuses.
Bref, pour terminer, je dirais que ça aurait pu faire son petit effet il y a 15 ans. Le titre le plus faible de la collection Gingko !
Difficile de cerner cette histoire en seulement un tome, mais c'est très prometteur. Le trait de Katsura est pur, et, des personnages aux décors, les dessins aident grandement à se plonger dans cette ambiance thriller/fantastique.
Dans ce volume, une partie de l'enfance du personnage principal nous est dévoilée, ça peut paraître bien maigre, mais c'est pourtant une bonne entrée en matière.
La violence tout juste contenue de l'oeuvre est saisissante et éclate de façon aussi brutale que rare. Bref, je vais continuer à suivre l'histoire avec intérêt, et j'espère pouvoir monter la note si la bonne impression que j'ai eue se confirme dans les tomes suivants.
-Le 07/03/05.
Ca y est j'ai lu le second tome et je suis vraiment déçu, c'est un album de plus de 250 pages ou il ne se passe vraiment pas grand chose.
Le scénario est plein de facilités pour que tout le joli monde du premier volume se retrouve, le Zet est maintenant un adolescent. Pendant tout le tome le héros qui est un enfant de la rue se retrouve confronté à un gosse de riche qui rêve d'être un "super-justicier". A la fin le héros retrouve de vieilles connaissances.
Le final justement, aprés une lecture bien soporifique, est un déchaînement de violence gratuite et sadique ou la nudité est présente, c'est raccoleur, nul et de mauvais goût...
Conclusion, il faudrait vraiment qu'il n'y ait rien d'autre en librairie pour que j'achète le troisième tome!
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La Main de ma soeur
Encore une série de gags à la manière des planches érotico-humoristiques de Dany. Ici, le dessin est franchement moyen, voire mauvais. On reconnait l'envie d'imiter le style de Dany ou de Walthéry mais quand on y regarde de près, le style est franchement hésitant, et parfois plutôt moche. Quant aux histoires, elles sont dotées d'un humour gras, ou plutôt lourdingue. C'est prévisible, pas drôle, ça fait difficilement sourire.
Paris-Londres
Tout comme Spooky, j'ai vu dans cet album un drôle de condensé de personnages et de styles des autres oeuvres de Sfar (Petrus Barbygère, le Professeur Bell, le Chat du Rabbin, etc...). Le tout forme un drôle de mélange. Le dessin est changeant. Parfois très hachuré, parfois épuré, au trait parfois gras, parfois fin, et le tout avec l'aspect brouillon si cher à Sfar. Il faut aimer ce style de dessin où la constance et la ressemblance des personnages et des décors n'est pas l'essentiel et de loin. Personnellement, je n'aime pas. Ensuite, l'histoire ressemble à un gros fouillis, une sorte d'improvisation d'histoire d'aventure un peu à la manière de la Ligue des Gentlemen Extraordinaires mixée avec toutes sortes de choses différentes : réflexions philosophiques, sexe, délires en tous genres et action. Franchement, je n'ai pas trouvé ça passionnant, ni aussi original que la plupart des oeuvres de Sfar. Je me suis même plutôt embêté à la lecture.
Bouffe et Châtiment
Art culinaire, peinture et bande dessinée. On n'a jamais pensé à les marier avant ça. Une histoire policière, doublée d'une quête artistique. Mais le mets, qui promettait d'être goûteux, vire très rapidement à la bouillie insipide. L'intrigue semble évoluer sur plusieurs niveaux de réalité, les personnages sont trop physiquement semblables pour qu'on s'y attache... Et pourtant ! Et pourtant Gnehm possède un vrai talent pictural, mal exploité par le scénariste. Alors nous reste un album aux fulgurances baroques trop rares, souvent beau mais creux. De l'art d'accommoder les restes...
Napoléon et Bonaparte
C'est plein de petites idées, ça se veut spirituel... Mais c'est vite lu et assez plat à mon sens. Les gags tombent à plat, le dessin est plutôt quelconque... Dans un genre similaire, mieux vaut lire Bobo !
Au fil du rasoir
Difficile de retirer quelque chose de ce recueil d'histoires courtes. Mis à part quelques idées par-ci par-là (le chimpanzé réincarnation de célébrités disparues, la jolie couverture...). C'est dommage, car le dessin d'O'groj est plus que correct et semble parfois sous-exploité par son propre scénario.
Tsuru princesse des mers
Difficile de juger sur 1 seul tome, d'ailleurs je pense que 3 tomes seulement pour cette série qui semble avoir beaucoup d'ambition ça risque d'être léger. En effet en lisant on sent trop la précipitation, et à moins d'avoir une solide connaissance de l'histoire, (ce qui est loin d'être mon cas) ça peut paraître bien confus. L'intérêt est donc reporté sur Tsuru héroïne de ce récit, et jeune fille curieuse à l'esprit ouvert, considérée par son entourage comme étant quelqu'un d'excentrique voire farfelue. Vu que la mise en place et le descriptif historique de l'auteur sont assez lourds, dur d'en dire beaucoup sur les évènements, mais bon on sent bien que les thèmes chers à Hideki Mori(Stratège) sont ancrés dans le récit. En fait c'est justement par rapport à Stratège que j'ai acheté cette BD. Et je peux déjà affirmer sans risque que c'est clairement en dessous, j'aime le style des dessins de l'auteur et peut-être qu'ils sont plus beaux dans Tsuru que ceux de Stratège, il n'empêche moi j'aimais bien le style plus épuré et moins riche de ce Stratège. Et (je me répète mais bon) pour une histoire de cet acabit 3 tomes c'est trop peu, enfin j'espère me tromper mais bon... Je ferai cette série jusqu'au bout, mais je n'arrive pas à en conseiller l'achat, trop de doutes subsistent j'y reviendrai plus tard. 20/09/05: Aprés la lecture des trois volumes qui composent l'intégralité de cette série je suis déçu, les aventures de Tsuru n'arrivent pas à passionner et sa quète de découverte du monde n'est pas des plus palpitantes. On est loin de la qualité de Stratège. Le seul avantage de Tsuru est d'être une série courte pour un manga mais bon... Une lecture inutile selon moi.
Lady S.
Pas de doute, au bout de quelques pages, ça sent le Van Hamme à plein nez. C'est pas forcément un défaut, on pourrait dire la même chose d'un Chauvel ou d'un Moore, mais ici ça fait nettement dans la redite et l'ennui. C'est carré, concis, les flash backs sont maitrisés mais ça manque vraiment de corps et de personnalité pour franchement intéresser, le dessin d'Aymond n'aidant pas vraiment il faut dire tant il est classique. Bref Van Hamme fait un melting pot de "Largo Winch" et de "Modesty Blaise" un peu à sa sauce; elle ne tache pas mais elle est sans saveur.
Le Pantin
"Le pantin" me fait un peu le même effet que Halloween de Boiscommun : c'est beau mais un peu vide, et je ne parle même pas là du fait que ce soit muet. Bref, je ne retire pas grand-chose de la lecture, n'étant pas vraiment touché ni conquis par une poésie que je trouve assez surfaite. La lecture en 3 minutes chrono ne peut de plus pas vraiment être retenue comme un argument positif pour cette BD. Mignon mais complètement vain et aussitôt oublié.
Imbéciles heureux !
"Imbéciles heureux" ! Mouais, je dirais que c'est une série faible où l'auteur se la joue cynique et subversif, bonne initiative mais ça manque d'intelligence tout ça. Au lieu de l'oeuvre acide annoncée, on se retrouve à lire un manga tout mou, dessiné à peine correctement (les expressions des visages sont quand même valables) et, franchement, je cherche encore le message ! La critique ! Ou plutôt non, je vais arrêter de chercher. C'est balourd et les effets de styles scénaristiques on les voit arriver à des kilomètres. Alors pourquoi est-ce que je mets une aussi bonne note ? Parce que l'histoire : Japonaise modèle m'a quand même fait sourire. Voilà, j'arrête d'énumérer la liste des qualités, parlons des défauts qui ont fini de m'achever : la première histoire en deux parties, Le droit chemin, est insipide et beaucoup trop redondante. La deuxième, j'ai dit plus haut qu'elle m'avait plus ou moins touché. La troisième, intitulée Rue du parc, je n'ai pas compris ce qu'elle fout dans cette BD (10 pages à combler ?). La quatrième, Plus fort que moi!, est totalement surréaliste et ça ne fait même pas rire. La dernière finit en beauté en respectant la nullité de l'ensemble, elle s'intitule Mouches à merdes et c'est un énième rabachage sur les bienfaits de la presse. Donc, je n'ai pas aimé ou je n'ai rien compris mais, quoi qu'il en soit, je déconseille. Et le pire dans tout ça est que, confiant, j'ai acheté les 2 premiers tomes d'un coup ! Quelle erreur, le second est encore plus plat que le premier et encore, je ne parle même pas des couvertures affreuses. Bref, pour terminer, je dirais que ça aurait pu faire son petit effet il y a 15 ans. Le titre le plus faible de la collection Gingko !
Zetman
Difficile de cerner cette histoire en seulement un tome, mais c'est très prometteur. Le trait de Katsura est pur, et, des personnages aux décors, les dessins aident grandement à se plonger dans cette ambiance thriller/fantastique. Dans ce volume, une partie de l'enfance du personnage principal nous est dévoilée, ça peut paraître bien maigre, mais c'est pourtant une bonne entrée en matière. La violence tout juste contenue de l'oeuvre est saisissante et éclate de façon aussi brutale que rare. Bref, je vais continuer à suivre l'histoire avec intérêt, et j'espère pouvoir monter la note si la bonne impression que j'ai eue se confirme dans les tomes suivants. -Le 07/03/05. Ca y est j'ai lu le second tome et je suis vraiment déçu, c'est un album de plus de 250 pages ou il ne se passe vraiment pas grand chose. Le scénario est plein de facilités pour que tout le joli monde du premier volume se retrouve, le Zet est maintenant un adolescent. Pendant tout le tome le héros qui est un enfant de la rue se retrouve confronté à un gosse de riche qui rêve d'être un "super-justicier". A la fin le héros retrouve de vieilles connaissances. Le final justement, aprés une lecture bien soporifique, est un déchaînement de violence gratuite et sadique ou la nudité est présente, c'est raccoleur, nul et de mauvais goût... Conclusion, il faudrait vraiment qu'il n'y ait rien d'autre en librairie pour que j'achète le troisième tome!