Un scénario sans aucune surprise qu'on voit venir avec ses gros sabots dès la première planche, une narration lourdingue et naïve, une trame hyper-classique de la jeune pucelle ignorante qui se fait éduquer à la débauche et dominer par un vieil aristocrate et sa servante, une histoire où l'erotisme se traduit par sado-masochisme, fouet, fessées et domination, franchement il n'y a là rien qui puisse vraiment m'intéresser et me plaire. Seul le dessin est relativement bon, même si les zones intimes féminines et masculines sont assez ratées par moments.
Tout à fait dispensable.
Le moins que l’on puisse dire c’est que les avis sur ce manga sont très partagés. J’ai tenté ma chance, mais je n’ai pas vraiment envie d’aller au-delà des deux premières enquêtes que j’ai lues. En cause : le flagrant manque d’originalité et d’audace de ce manga. Les enquêtes ne sont pas mal racontées, on peut même trouver le scénariste plutôt doué pour gérer le suspense, mais on est en terrain connu du début à la fin. Ces histoire de serial killer et de pouvoir psy… Ca a déjà tellement été usé jusqu’à la corde par les séries télévisées américaines…J’ai eu ma dose…
D’autant que dans le genre, cette série fait très pâle figure face à des réussites comme « Monster » ou « MPD psycho » (que je n’adore pas mais qui s’avère beaucoup plus troublant).
Difficile de nier la beauté du dessin de Durieux dans cet album, difficile de passer à côté de la tendresse et la poésie de certains passages. Mais l’ensemble manque de consistance et j’ai fini cet album plutôt dépité… et déçu.
Bof… Le dessin est pas mal (quoique le trait un peu trop fin), mais le scénario ne captive pas. Les personnages ont des réactions primaires, la trame générale tient sur un timbre poste, le déroulement des évènements n’est pas très passionnant et tout cela s’oublie très vite. Dans le même registre, surtout au niveau authenticité, ce premier album soutient difficilement la comparaison avec Kogaratsu, et de manière générale, avec Okko, sorti également cette année ou encore avec les modèles japonais du genre. La suite redressera peut-être la barre, mais pour l’instant, j’ai trouvé ce premier chapitre un peu plat.
Certes, c'est original ; certes l'auteur a trouvé une belle astuce ; certes il le tourne plutôt bien, et les dialogues sont cohérents. Mais quelle déception ! Les dessins ne sont pas beaux et l'histoire est vraiment courte (et simpliste !).
Si par hasard vous tombez sur cette BD et pouvez l'emprunter, allez-y, vous avez besoin d'un quart d'heure pour la lire. Vous aurez un sourire à partir du milieu de l'histoire, qui durera jusqu'à la fin. Mais c'est tout. La BD fermée, on reste sur sa faim.
Dommage, parce que vu les avis précédents, je pensais lire la BD du mois..
Totalement intrigué par la présence d'un manwha - qui plus est aux si jolies couleurs pastels ! - dans la collection Made In Japan, j'y ai forcément jeté un oeil, et ai fini par le lire.
Alors voilà, comme ne le dit pas ArzaK, cet album fait très tranche de vie, et comme il le dit, c'est plein de bons sentiments, très gentil à la limite (supérieure) du mièvre. Dommage car le dessin fait preuve d'une personnalité intéressante, et quelques planches sont vraiment superbes.
Mais bon, niveau récit il fait concurrence aux pires Sakka, c'est pas forcément la peine de débourser 12,50€. :o/
Je n'ai jamais très bien compris le "buz" qui entourait cette bd. On peut dire ce qu'on veut sur son côté subversif, sur son humour totalement décalé et déjanté, mais j'accroche pas. A la sortie de l'intégrale, je l'ai achetée pour pouvoir la relire avec le recul. Je voulais me démarquer de mes anciennes impressions, à l'époque du lycée où je la lisais, sous les encouragements de mes copains. Mais, des années après, que dalle... je suis toujours aussi insensible à ce genre d'humour "nonsensique".
Mais bon, j'ai beau ne pas aimer le concombre, sous cette forme, c'est pas une raison pour en dégoûter les autres.
Je n'ai pas accroché à cette série qui m'a d'emblée parue désuette et qui m'a ennuyée malgré une soupçon d'originalité.
Le dessin de Tito a un style que je trouve vieillot. Ses décors sont corrects, voire parfois sympas à part quand il s'agit de voitures, mais ses personnages sont souvent moches voire ratés. En outre, le dessin des tous premiers tomes de la série parait franchement hésitant, presque amateur par moments. J'aime très moyennement même si un petit charme désuet s'en dégage.
Quant au scénario, comme le dit EXJulien ci-dessous, il a pour thème principal la Belgique d'une part, et le lourd passé politique et honteux de cette même Belgique aux alentours de la Seconde Guerre Mondiale. Ce sont des lieux, des noms, une histoire qui sont relativement inconnus pour des lecteurs non-Belges mais on comprend vite de quoi il s'agit.
Alors sur le plan de la politique, je trouve que l'auteur fait dans l'alarmisme anti-fasciste : dans le prologue du tome 3, par exemple, il écrit une lettre pour montrer à quel point il trouve que l'Europe de 1982 sombre dans le fascisme, le racisme, etc... comme quoi tout est corrompu, foutu, etc... et vive l'Anarchie ! En résumé, pour lui, l'Europe et surtout la Belgique de 1982 est presque strictement identique à l'Europe du Nazisme d'avant-Guerre. Personnellement, je n'accroche pas du tout à cette vision des choses et je trouve que l'histoire a d'ailleurs complètement rendu caduque cette vision politique de l'Europe de l'époque.
A cette vision politique s'ajoute une forte touche de fantastique avec des liens "magiques" entre le passé et le présent, des voyages dans le temps à la logique toute particulière, puis d'autres touches de fantastiques à partir du tome 4 et suivants. Ce caractère fantastique est totalement inexpliqué, à la manière de contes et légendes où on doit admettre que bon, voilà, c'était magique mais on ne sait pas pourquoi. Et personnellement, ça me gonfle assez vite car je ne suis pas assez rentré dans l'histoire pour me laisser simplement porter par l'atmosphère sans chercher une vraie logique aux choses.
Et même le personnage du héros, Jaunes, ne me plait pas vraiment ni dans son comportement ni dans sa façon de penser.
Des histoires et une série que je trouve donc très moyennes et qui pourraient au mieux intéresser un amateur de Belgique et de son histoire politique.
Je n'ai pas accroché à ce manga, sans que je puisse pour autant lui reprocher quoi que ce soit. Les sujets abordés, l'ambiance glauque, voire malsaine, les petites histoires qui laissent un goût d'inachevé, à tel point que je ne pensais pas que la première soit finie quand j'ai commencé la seconde, tout cela a contribué à mon désintérêt. Pourtant, je reconnais qu'il y a un style, une ambiance, une certaine recherche d'originalité, mais bon, je me suis tout de même ennuyé à la lecture.
L'anime est sympathique alors pourquoi ne pas exploiter le filon ?
Le dessin est très moyen voire mauvais (en mettant le style de coté pour être le plus objectif possible). Le scénario est assez bidon et tout est prétexte à taper dans le gore gratuit et pas vraiment "classe".
Bref, une bonne grosse déception. Ca plaira sans doute aux fans de manga en manque d'hémoglobine . . .
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Ninon
Un scénario sans aucune surprise qu'on voit venir avec ses gros sabots dès la première planche, une narration lourdingue et naïve, une trame hyper-classique de la jeune pucelle ignorante qui se fait éduquer à la débauche et dominer par un vieil aristocrate et sa servante, une histoire où l'erotisme se traduit par sado-masochisme, fouet, fessées et domination, franchement il n'y a là rien qui puisse vraiment m'intéresser et me plaire. Seul le dessin est relativement bon, même si les zones intimes féminines et masculines sont assez ratées par moments. Tout à fait dispensable.
Psychometrer Eiji
Le moins que l’on puisse dire c’est que les avis sur ce manga sont très partagés. J’ai tenté ma chance, mais je n’ai pas vraiment envie d’aller au-delà des deux premières enquêtes que j’ai lues. En cause : le flagrant manque d’originalité et d’audace de ce manga. Les enquêtes ne sont pas mal racontées, on peut même trouver le scénariste plutôt doué pour gérer le suspense, mais on est en terrain connu du début à la fin. Ces histoire de serial killer et de pouvoir psy… Ca a déjà tellement été usé jusqu’à la corde par les séries télévisées américaines…J’ai eu ma dose… D’autant que dans le genre, cette série fait très pâle figure face à des réussites comme « Monster » ou « MPD psycho » (que je n’adore pas mais qui s’avère beaucoup plus troublant).
Central Park
Difficile de nier la beauté du dessin de Durieux dans cet album, difficile de passer à côté de la tendresse et la poésie de certains passages. Mais l’ensemble manque de consistance et j’ai fini cet album plutôt dépité… et déçu.
Samurai
Bof… Le dessin est pas mal (quoique le trait un peu trop fin), mais le scénario ne captive pas. Les personnages ont des réactions primaires, la trame générale tient sur un timbre poste, le déroulement des évènements n’est pas très passionnant et tout cela s’oublie très vite. Dans le même registre, surtout au niveau authenticité, ce premier album soutient difficilement la comparaison avec Kogaratsu, et de manière générale, avec Okko, sorti également cette année ou encore avec les modèles japonais du genre. La suite redressera peut-être la barre, mais pour l’instant, j’ai trouvé ce premier chapitre un peu plat.
Cercle vicieux
Certes, c'est original ; certes l'auteur a trouvé une belle astuce ; certes il le tourne plutôt bien, et les dialogues sont cohérents. Mais quelle déception ! Les dessins ne sont pas beaux et l'histoire est vraiment courte (et simpliste !). Si par hasard vous tombez sur cette BD et pouvez l'emprunter, allez-y, vous avez besoin d'un quart d'heure pour la lire. Vous aurez un sourire à partir du milieu de l'histoire, qui durera jusqu'à la fin. Mais c'est tout. La BD fermée, on reste sur sa faim. Dommage, parce que vu les avis précédents, je pensais lire la BD du mois..
Cours, Bong-Gu!
Totalement intrigué par la présence d'un manwha - qui plus est aux si jolies couleurs pastels ! - dans la collection Made In Japan, j'y ai forcément jeté un oeil, et ai fini par le lire. Alors voilà, comme ne le dit pas ArzaK, cet album fait très tranche de vie, et comme il le dit, c'est plein de bons sentiments, très gentil à la limite (supérieure) du mièvre. Dommage car le dessin fait preuve d'une personnalité intéressante, et quelques planches sont vraiment superbes. Mais bon, niveau récit il fait concurrence aux pires Sakka, c'est pas forcément la peine de débourser 12,50€. :o/
Le Concombre Masqué
Je n'ai jamais très bien compris le "buz" qui entourait cette bd. On peut dire ce qu'on veut sur son côté subversif, sur son humour totalement décalé et déjanté, mais j'accroche pas. A la sortie de l'intégrale, je l'ai achetée pour pouvoir la relire avec le recul. Je voulais me démarquer de mes anciennes impressions, à l'époque du lycée où je la lisais, sous les encouragements de mes copains. Mais, des années après, que dalle... je suis toujours aussi insensible à ce genre d'humour "nonsensique". Mais bon, j'ai beau ne pas aimer le concombre, sous cette forme, c'est pas une raison pour en dégoûter les autres.
Jaunes
Je n'ai pas accroché à cette série qui m'a d'emblée parue désuette et qui m'a ennuyée malgré une soupçon d'originalité. Le dessin de Tito a un style que je trouve vieillot. Ses décors sont corrects, voire parfois sympas à part quand il s'agit de voitures, mais ses personnages sont souvent moches voire ratés. En outre, le dessin des tous premiers tomes de la série parait franchement hésitant, presque amateur par moments. J'aime très moyennement même si un petit charme désuet s'en dégage. Quant au scénario, comme le dit EXJulien ci-dessous, il a pour thème principal la Belgique d'une part, et le lourd passé politique et honteux de cette même Belgique aux alentours de la Seconde Guerre Mondiale. Ce sont des lieux, des noms, une histoire qui sont relativement inconnus pour des lecteurs non-Belges mais on comprend vite de quoi il s'agit. Alors sur le plan de la politique, je trouve que l'auteur fait dans l'alarmisme anti-fasciste : dans le prologue du tome 3, par exemple, il écrit une lettre pour montrer à quel point il trouve que l'Europe de 1982 sombre dans le fascisme, le racisme, etc... comme quoi tout est corrompu, foutu, etc... et vive l'Anarchie ! En résumé, pour lui, l'Europe et surtout la Belgique de 1982 est presque strictement identique à l'Europe du Nazisme d'avant-Guerre. Personnellement, je n'accroche pas du tout à cette vision des choses et je trouve que l'histoire a d'ailleurs complètement rendu caduque cette vision politique de l'Europe de l'époque. A cette vision politique s'ajoute une forte touche de fantastique avec des liens "magiques" entre le passé et le présent, des voyages dans le temps à la logique toute particulière, puis d'autres touches de fantastiques à partir du tome 4 et suivants. Ce caractère fantastique est totalement inexpliqué, à la manière de contes et légendes où on doit admettre que bon, voilà, c'était magique mais on ne sait pas pourquoi. Et personnellement, ça me gonfle assez vite car je ne suis pas assez rentré dans l'histoire pour me laisser simplement porter par l'atmosphère sans chercher une vraie logique aux choses. Et même le personnage du héros, Jaunes, ne me plait pas vraiment ni dans son comportement ni dans sa façon de penser. Des histoires et une série que je trouve donc très moyennes et qui pourraient au mieux intéresser un amateur de Belgique et de son histoire politique.
Les Larmes de la bête
Je n'ai pas accroché à ce manga, sans que je puisse pour autant lui reprocher quoi que ce soit. Les sujets abordés, l'ambiance glauque, voire malsaine, les petites histoires qui laissent un goût d'inachevé, à tel point que je ne pensais pas que la première soit finie quand j'ai commencé la seconde, tout cela a contribué à mon désintérêt. Pourtant, je reconnais qu'il y a un style, une ambiance, une certaine recherche d'originalité, mais bon, je me suis tout de même ennuyé à la lecture.
Hellsing
L'anime est sympathique alors pourquoi ne pas exploiter le filon ? Le dessin est très moyen voire mauvais (en mettant le style de coté pour être le plus objectif possible). Le scénario est assez bidon et tout est prétexte à taper dans le gore gratuit et pas vraiment "classe". Bref, une bonne grosse déception. Ca plaira sans doute aux fans de manga en manque d'hémoglobine . . .