Euh… pas l’impression d’avoir lu la même chose, moi… 80% qui conseille l’achat de cette série ? Ca me dépasse un peu… ADN n’a réussi qu’à me faire bailler d’ennui… C’est une intrigue peu captivante, pleine de rebondissements mous et attendus… avec des scènes de baston à deux balles, juste là pour combler le vide du scénario…procédé que je pensais abandonné en bande dessinée depuis les années 70. C’est quasi du Archie Cash ! Par-dessus tout le dessin est moche, sans âme… à l’image des couvertures qui sont toutes ratées… Alors, oui, ce n’est pas un gros truc super naze non plus… Ca peut se lire si on a vraiment rien d’autre à faire, mais on est en droit d’attendre plus d’un scénariste comme Makyo.
J’espérais beaucoup mieux. Parce que j’aimais le côté photographique du dessin allié à un parti pris chromatique audacieux… parce que le thème (triangle amoureux) et sa juxtaposition à son contexte (la montée du nazisme) m’intriguait. Je suis déçu… si l’intrigue démarre plutôt bien, les évènements se précipitent un peu vite pour se terminer d'une manière qui ne tient pas du tout la route selon moi… Le contexte historique n'est pas particulièrement bien exploité... c'est pratiquement un huis-clos que nous proposent les auteurs, alors le contexte passe au second plan et paraît presque secondaire...
Bref, sur des thèmes similaires, préférez de loin Amours fragiles, plus classique sans doute, mais autrement plus abouti…
Je partage les mêmes impressions que Ro au sujet de ce premier opus. On a l’impression de lire une énième série titillant les références du genre "thriller-financier" sans en atteindre le même résultat. Pas de défauts majeurs à relever dans la construction du récit, mais celui-ci ne propose rien de bien novateur non plus. Tout comme Ro, le passage intempestif d’une capitale à l’autre a aussi le don de m’agacer (Londres, Paris, Hong Kong, Venise, . . . ). On a l’impression qu’on veut nous en mettre plein les yeux. Le dessin est correct mais ce n’est pas un style que j’affectionne outre mesure. Je le trouve impersonnel.
Bref, une bd pour les amateurs du genre. Les autres préféreront relire un bon vieux Largo Wich.
Un oeil observateur en guise de couverture ?
Serait-ce du voyeurisme ?
Le titre laisse à priori peu de doutes là-dessus.
La lecture est brève mais Trondheim interpelle avec le choix d’un graphisme aux formes géométriques (cercle, demi-lune, triangle,...) sur fond noir. Je serai plus indulgent que Cac et Steril (même si je comprends leur ressenti). Je pense avoir perçu où l’auteur voulait nous emmener. Une nouvelle pornographie ou une manière d’aborder les rapports intimes de l’homme (et de la femme) sous un autre angle (non, pas une nouvelle position). L’exercice est à saluer mais un peu "juste" pour justifier une publication, même dans la prestigieuse collection "Patte de Mouche". A jeter un coup d’oeil si l’occasion se présente (en tout bien tout honneur).
A réserver à un public "averti".
Le côté positif de ce début de série est que c'est assez bien dessiné dans le genre et agréable à suivre au niveau graphique. Par contre, je trouve que le récit manque beaucoup d'originalité et même sans perdre de vue qu'il s'agit d'un volume de présentation, je trouve qu'il ne s'y passe pas grand chose. Suis-je 20 ans trop vieux pour ce genre de série que j'aurais peut-être apprécié lors de mon adolescence ?
Vous l'aurez compris, beaucoup de déception après cette première lecture d'où un avis un peu sévère en attendant d'avoir l'occasion de modifier ma note si la suite relève le niveau de ce premier tome un peu fade.
Il est difficile de critiquer Naruto: si l'on n'aime pas, on est élitiste intellectuel, si on aime, on fait partie de la masse grouillante des Otakus. J'ai lu les 14 premiers tomes, et avoue être moyennement convaincu. Le graphisme est certes beau et très détaillé, mais l'histoire est tellement classique... Un shonen pas très original, avec je bats le méchant/je perds, je m'entraîne, je reviens plus fort etc... Le point fort de cette oeuvre est le charisme des personnages (Kakashi powaa diront certains...) A mon avis un très bon moment pour un lecteur novice dans le manga, mais d'autres shonen sont vraiment plus originaux (Bleach, one piece, hikaru no go, get backers... Et bien d'autres).
Note approximative : 2.5/5
J’avais un à priori plutôt négatif en commençant cette BD.
Mais je l'ai gardé...
Pour commencer, j'ai vraiment du mal avec le dessin. L'auteur dessine vraiment très moyennement à mes yeux, et ses personnages sont teintés de largement trop de mimiques de comic strips d'humour pour être crédibles à mes yeux. Grosses têtes, petits corps, le même type de tête pour tous les hommes et pour toutes les femmes, difficiles de les différencier. Ce sont surtout les grands sourires façon j'éclate de rire qui font trop "comiques" à mes yeux. Je retiendrais vraiment de cette BD une permanence de visages mêlant sourires contris ou pêtés de rire avec sans arrêt des yeux larmoyants de chien battu. C'est ça qui restera pour moi le symbôle de cette BD : une envie permanente de montrer que les gens essaient d'y être heureux mais qu'en fait c'est triste, ça va mal, tout ça. Aucune finesse visuelle reflétant le manque de finesse scénaristique et narratif à mes yeux.
Car l'histoire n'a vraiment pas la finesse des Pilules bleues. Et pourtant j'ai été très moyennement amateur de la BD de Peeters car je n'aime pas lire ce genre d'histoire véridique et sensée me toucher.
Ce qui m'a plu dans Pedro et moi, c'est l'aspect instructif, pas tant d'apprendre des choses sur le Sida et les séropositifs, j'en savais déjà une grande partie, mais plus d'apprendre comment ça a pu arriver dans la vie de Pedro, comment le vivent ses proches, comment l'ont appris et comment ont appris à le vivre les gens qu'il a côtoyé dans cette émission de Real TV. Mais aussi, ne le cachons pas, j'étais curieux de savoir comment se passait cette émission elle-même dans les coulisses, comment le narrateur avait fait pour y participer, etc.
Mais à côté de cet aspect instructif, je n'ai pas été touché par le récit que je trouve larmoyant et pas capable de me faire ressentir, à moi qui n'ai jamais approché le Sida et à peine la mort, l'émotion que l'auteur me semble vouloir me faire avaler de gré ou de force. Quel manque de finesse de répêter sans arrêt "Pedro souriait et riait, on faisait tous comme si tout allait bien, mais en fait ça allait mal, oh oui, ça allait mal". C'est peut-être sincère mais ça ne suffit sûrement pas à faire un bon récit s'il est raconté sans la touche qui permet à chacun de vraiment accrocher et ressentir ce que l'auteur veut faire passer.
Dans Pilules bleues, Peeters avait su me transmettre son amour pour celle qui allait partager sa vie, son affection pour le fils de cette dernière, leurs angoisses qu'il fait ressentir avec élégance, et le tout sans jamais sombrer dans le larmoyant. Dans Pedro et moi, cela ne passe pas pour moi.
Bref, un dessin que je n'aime pas et un récit au fil narratif trop grossier à mes yeux : l'effort de témoignage est bien là et est relativement intéressant, mais je ne suis pas touché.
"Bof, sans plus" résume parfaitement la bd. J'ai déjà lu quelques unes de ces bds gamin, ça ne me plaisait pas. Et ben maintenant, ça n’a pas changé!
D'abord, les dessins sont mous, ils n'ont absolument aucun charme, moches à regarder, etc...
Pfouh... et puis, les gags ne sont pas excellents non plus. On ne rit jamais... la série a vraiment vieilli... c'est nullissime!! Et comme d'autres l'ont dit, je pense que les enfants actuels préfèreront les séries actuelles.
Mais aujourd'hui... c'est mon jour de bonté, donc je ne mets pas la note minimale à cette série.
D'accord, passons sur les bons côtés : l'apprentissage sexuel, dessins appétissants, bon suivi de la vie des personnages.
Ca s'arrête là. Les fantasmes du scénariste sont plus que mis en avant et l'histoire devient vite répétitive au bout du 5ème tome. Pour se faire plaisir, à lire avec son partenaire...
Déçu, quoi.
On est en plein dans la ligne claire, là... Mais ça sent la pâle copie de Blake et Mortimer... Au début de ma lecture, j'ai été pris par un étrange sentiment : toute cette affectation, ce côté "phew" so british, cette façade d'insouciance, est-ce du premier degré ? Les auteurs sont-ils conscients de ce qu'ils font ? Et puis la fin de l'album (tome 1) montre que oui. Mais même si cette conclusion est bien amenée, elle semble quand même bien artificielle. Quel intérêt de parler d'Olivia Sturgess ici ? Il faut alors raccrocher les wagons avec d'autres oeuvres de Floc'h et Rivière pour comprendre, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
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A.D.N
Euh… pas l’impression d’avoir lu la même chose, moi… 80% qui conseille l’achat de cette série ? Ca me dépasse un peu… ADN n’a réussi qu’à me faire bailler d’ennui… C’est une intrigue peu captivante, pleine de rebondissements mous et attendus… avec des scènes de baston à deux balles, juste là pour combler le vide du scénario…procédé que je pensais abandonné en bande dessinée depuis les années 70. C’est quasi du Archie Cash ! Par-dessus tout le dessin est moche, sans âme… à l’image des couvertures qui sont toutes ratées… Alors, oui, ce n’est pas un gros truc super naze non plus… Ca peut se lire si on a vraiment rien d’autre à faire, mais on est en droit d’attendre plus d’un scénariste comme Makyo.
Ombres et Désirs
J’espérais beaucoup mieux. Parce que j’aimais le côté photographique du dessin allié à un parti pris chromatique audacieux… parce que le thème (triangle amoureux) et sa juxtaposition à son contexte (la montée du nazisme) m’intriguait. Je suis déçu… si l’intrigue démarre plutôt bien, les évènements se précipitent un peu vite pour se terminer d'une manière qui ne tient pas du tout la route selon moi… Le contexte historique n'est pas particulièrement bien exploité... c'est pratiquement un huis-clos que nous proposent les auteurs, alors le contexte passe au second plan et paraît presque secondaire... Bref, sur des thèmes similaires, préférez de loin Amours fragiles, plus classique sans doute, mais autrement plus abouti…
L'Agence
Je partage les mêmes impressions que Ro au sujet de ce premier opus. On a l’impression de lire une énième série titillant les références du genre "thriller-financier" sans en atteindre le même résultat. Pas de défauts majeurs à relever dans la construction du récit, mais celui-ci ne propose rien de bien novateur non plus. Tout comme Ro, le passage intempestif d’une capitale à l’autre a aussi le don de m’agacer (Londres, Paris, Hong Kong, Venise, . . . ). On a l’impression qu’on veut nous en mettre plein les yeux. Le dessin est correct mais ce n’est pas un style que j’affectionne outre mesure. Je le trouve impersonnel. Bref, une bd pour les amateurs du genre. Les autres préféreront relire un bon vieux Largo Wich.
La nouvelle pornographie
Un oeil observateur en guise de couverture ? Serait-ce du voyeurisme ? Le titre laisse à priori peu de doutes là-dessus. La lecture est brève mais Trondheim interpelle avec le choix d’un graphisme aux formes géométriques (cercle, demi-lune, triangle,...) sur fond noir. Je serai plus indulgent que Cac et Steril (même si je comprends leur ressenti). Je pense avoir perçu où l’auteur voulait nous emmener. Une nouvelle pornographie ou une manière d’aborder les rapports intimes de l’homme (et de la femme) sous un autre angle (non, pas une nouvelle position). L’exercice est à saluer mais un peu "juste" pour justifier une publication, même dans la prestigieuse collection "Patte de Mouche". A jeter un coup d’oeil si l’occasion se présente (en tout bien tout honneur). A réserver à un public "averti".
Seuls
Le côté positif de ce début de série est que c'est assez bien dessiné dans le genre et agréable à suivre au niveau graphique. Par contre, je trouve que le récit manque beaucoup d'originalité et même sans perdre de vue qu'il s'agit d'un volume de présentation, je trouve qu'il ne s'y passe pas grand chose. Suis-je 20 ans trop vieux pour ce genre de série que j'aurais peut-être apprécié lors de mon adolescence ? Vous l'aurez compris, beaucoup de déception après cette première lecture d'où un avis un peu sévère en attendant d'avoir l'occasion de modifier ma note si la suite relève le niveau de ce premier tome un peu fade.
Naruto
Il est difficile de critiquer Naruto: si l'on n'aime pas, on est élitiste intellectuel, si on aime, on fait partie de la masse grouillante des Otakus. J'ai lu les 14 premiers tomes, et avoue être moyennement convaincu. Le graphisme est certes beau et très détaillé, mais l'histoire est tellement classique... Un shonen pas très original, avec je bats le méchant/je perds, je m'entraîne, je reviens plus fort etc... Le point fort de cette oeuvre est le charisme des personnages (Kakashi powaa diront certains...) A mon avis un très bon moment pour un lecteur novice dans le manga, mais d'autres shonen sont vraiment plus originaux (Bleach, one piece, hikaru no go, get backers... Et bien d'autres).
Pedro et moi
Note approximative : 2.5/5 J’avais un à priori plutôt négatif en commençant cette BD. Mais je l'ai gardé... Pour commencer, j'ai vraiment du mal avec le dessin. L'auteur dessine vraiment très moyennement à mes yeux, et ses personnages sont teintés de largement trop de mimiques de comic strips d'humour pour être crédibles à mes yeux. Grosses têtes, petits corps, le même type de tête pour tous les hommes et pour toutes les femmes, difficiles de les différencier. Ce sont surtout les grands sourires façon j'éclate de rire qui font trop "comiques" à mes yeux. Je retiendrais vraiment de cette BD une permanence de visages mêlant sourires contris ou pêtés de rire avec sans arrêt des yeux larmoyants de chien battu. C'est ça qui restera pour moi le symbôle de cette BD : une envie permanente de montrer que les gens essaient d'y être heureux mais qu'en fait c'est triste, ça va mal, tout ça. Aucune finesse visuelle reflétant le manque de finesse scénaristique et narratif à mes yeux. Car l'histoire n'a vraiment pas la finesse des Pilules bleues. Et pourtant j'ai été très moyennement amateur de la BD de Peeters car je n'aime pas lire ce genre d'histoire véridique et sensée me toucher. Ce qui m'a plu dans Pedro et moi, c'est l'aspect instructif, pas tant d'apprendre des choses sur le Sida et les séropositifs, j'en savais déjà une grande partie, mais plus d'apprendre comment ça a pu arriver dans la vie de Pedro, comment le vivent ses proches, comment l'ont appris et comment ont appris à le vivre les gens qu'il a côtoyé dans cette émission de Real TV. Mais aussi, ne le cachons pas, j'étais curieux de savoir comment se passait cette émission elle-même dans les coulisses, comment le narrateur avait fait pour y participer, etc. Mais à côté de cet aspect instructif, je n'ai pas été touché par le récit que je trouve larmoyant et pas capable de me faire ressentir, à moi qui n'ai jamais approché le Sida et à peine la mort, l'émotion que l'auteur me semble vouloir me faire avaler de gré ou de force. Quel manque de finesse de répêter sans arrêt "Pedro souriait et riait, on faisait tous comme si tout allait bien, mais en fait ça allait mal, oh oui, ça allait mal". C'est peut-être sincère mais ça ne suffit sûrement pas à faire un bon récit s'il est raconté sans la touche qui permet à chacun de vraiment accrocher et ressentir ce que l'auteur veut faire passer. Dans Pilules bleues, Peeters avait su me transmettre son amour pour celle qui allait partager sa vie, son affection pour le fils de cette dernière, leurs angoisses qu'il fait ressentir avec élégance, et le tout sans jamais sombrer dans le larmoyant. Dans Pedro et moi, cela ne passe pas pour moi. Bref, un dessin que je n'aime pas et un récit au fil narratif trop grossier à mes yeux : l'effort de témoignage est bien là et est relativement intéressant, mais je ne suis pas touché.
Quick et Flupke
"Bof, sans plus" résume parfaitement la bd. J'ai déjà lu quelques unes de ces bds gamin, ça ne me plaisait pas. Et ben maintenant, ça n’a pas changé! D'abord, les dessins sont mous, ils n'ont absolument aucun charme, moches à regarder, etc... Pfouh... et puis, les gags ne sont pas excellents non plus. On ne rit jamais... la série a vraiment vieilli... c'est nullissime!! Et comme d'autres l'ont dit, je pense que les enfants actuels préfèreront les séries actuelles. Mais aujourd'hui... c'est mon jour de bonté, donc je ne mets pas la note minimale à cette série.
Step up love story
D'accord, passons sur les bons côtés : l'apprentissage sexuel, dessins appétissants, bon suivi de la vie des personnages. Ca s'arrête là. Les fantasmes du scénariste sont plus que mis en avant et l'histoire devient vite répétitive au bout du 5ème tome. Pour se faire plaisir, à lire avec son partenaire... Déçu, quoi.
Blitz
On est en plein dans la ligne claire, là... Mais ça sent la pâle copie de Blake et Mortimer... Au début de ma lecture, j'ai été pris par un étrange sentiment : toute cette affectation, ce côté "phew" so british, cette façade d'insouciance, est-ce du premier degré ? Les auteurs sont-ils conscients de ce qu'ils font ? Et puis la fin de l'album (tome 1) montre que oui. Mais même si cette conclusion est bien amenée, elle semble quand même bien artificielle. Quel intérêt de parler d'Olivia Sturgess ici ? Il faut alors raccrocher les wagons avec d'autres oeuvres de Floc'h et Rivière pour comprendre, ce qui n'est pas donné à tout le monde.