Bon, ben, désolé pour la communauté Bdthèque qui a adoré cette bd, mais moi, je n'ai pas du tout accroché...
Le mélange dessins-photos est une idée originale, d'accord, mais je trouve qu'un peu moins de photographies et un peu plus d'illustrations, cela rendrait mieux. Car justement, le format des photos est trop petit à mon goût. Sur certaines, on voit des formes, sur d'autres, des ombres; on ne voit pas trop le paysage... Par contre, les plus grandes sont très belles; rien à redire là-dessus.
Les dessins, eux, ne m'ont pas convaincu par manque de détails. De plus, le trait est trop gros à mon goût et le décor pas assez visible... Peut-être pour mieux mettre en valeur les photos? Sûrement.
L'histoire, qui plonge vraiment dans le documentaire est intéressante; on s'instruit sur les pays que le photographe visite, sur l'aide humanitaire. Mais là, toujours le même problème, pour admirer les paysages, les dessins ne sont pas assez détaillés et les photos trop petites... Il ne reste plus qu'à s'acheter un guide de voyage pour les contempler pour de bon! Dommage.
Etrange BD porno. Plutôt qu'une BD, on dirait une suite d'illustrations de cul tant Beba saute d'une case à la suivante d'une pipe à la sodomie suivante avec presque à chaque case un nouveau "partenaire" (en fait de partenaire, on n'en voit que le membre ou la tête de porc). L'histoire se résume vite : après être passé de simple transexuel à "femme" à part entière, Beba, suceuse et femme objet professionnelle, décide de passer un concours où il faut faire jouir 110 hommes en 24h par tous les moyens qu'ils désirent : bondage, sodomie, à plusieurs, fellations simples, trucs crades, etc... 110 hommes, peut-être bien 110 cases où on voit Beba avec un membre dans la bouche ou ailleurs, tandis qu'on lit ses pensées, pensées "sportives" puisqu'elle est très très motivée à gagner. Et paf, ça s'arrête comme ça. Un dessin moyen, une histoire qui se résume à ces quelques lignes, du porno pas franchement excitant, une fin abrupte. Bof, même si je n'ai pas autant détesté que Don Lope.
C'est en lisant les blagues qui circulent ici et là dans les boites aux lettres que j'ai découvert ces histoires de blondes. Certains gags, même s'ils sont issus de blagues ultra connues, m'ont fait sourire, surtout grâce à l'air benêt des blondes.
Mais bon, il ne faut pas passer à la lecture d'un album, car la saturation arrive très vite (4 ou 5 pages en ce qui me concerne).
J'ai choisi cet album à la bibliothèque, attiré par la couverture, qui semblait pleine de promesses. Mais il s'agit d'une bd documentaire, presque d'une revue d'information sur les initiatives humanitaires pour endiguer la progression du désert au Burkina Fasso. Certes le sujet mérite qu'on s'y intéresse, mais je suis de moins en moins convaincu du choix du support bd pour ce genre de diffusion. Peut être en y introduisant des photos, façon Le Photographe ?
En tout cas, la lecture bien qu'instructive, ne m'a pas passionné, d'autant plus que l'histoire personnelle de Zélie vient se mêler au documentaire à tel point que parfois, on a tendance à lire certaine pages deux fois, une fois pour chaque récit. Fastidieux.
Une bd intéressante mais pas plus.
En 32 pages, cet album nous offre une histoire qui se lit assez rapidement.
Le dessin n'est pas formidable mais il se laisse lire, plus précisément il se laisse oublier car même en le revoyant maintenant, j'avoue avoir bien peu de chose à en dire. Pas très joli mais fonctionnel et pas si mal dans l'ensemble.
Quant à l'histoire, c'est celle d'un débauché assez minable qui passe ses nuits à boire en boite de nuit et se réveille tous les jours en début d'après-midi, sans savoir s'il a terminé la nuit avec quelqu'un ou si ce n'est rien d'autre qu'une flaque de vomi qui l'accompagne dans son lit. Et puis un jour, il y a quelque chose dans son lit. Ce récit rappelera immanquablement Prosopopus vis-à-vis de cette... chose. Mais sans aller tellement plus loin, le récit se termine peu de temps après l'apparition de la chose sur une fin un peu abrupte. Evidemment, la conclusion du récit se veut sans doute métaphorique mais le message passe assez difficilement en ce qui me concerne.
Pas une oeuvre marquante ni bien originale pour ce que j'en pense.
Comme la majorité des albums de la collection Patte de Mouche, cette BD se lit bien vite. Son originalité : l'un des deux personnages est sourd-muet et ses bulles sont emplies uniquement de signes du langage des sourds sous-titrés mot à mot en bas de page. Hormis cette originalité donc, il n'y a pas grand chose de plus intéressant.
Le dessin est très très moyen. Du moins, personnellement, je n'aime pas.
Quant à l'histoire, ce sont deux types qui discutent dans une cuisine parce que l'un a trouvé un pistolet chargé dans une poubelle et qu'ils se disputent ensuite pour le prendre tout en continuant à palabrer.
Et... Et c'est à peu près tout.
Un album de belle qualité au papier solide et brillant presque étonnant par son épaisseur. L'ennui, quand je vois un tel papier dans une BD de taille classique, c'est que je crains toujours de tomber sur un album masquant ainsi son faible nombre de pages. Mais non, il y en a bien 46. C'est donc un objet de bonne qualité physique même si le papier brillant, j'aime moyennement.
Pour le reste, ce sont des gags en 4 grosses cases par planche. Dessin moyen et couleurs pêtantes.
J'ai bien souri à certains gags (le premier de la galerie sur ce site par exemple : "juste une grosse patate...") mais globalement ce n'est pas vraiment mon genre d'humour. J'ai trouvé ça un peu trop premier degré, l'absurde ne prenant que rarement le pas sur des gags assez plats à mes yeux.
Etant enfant, je n'ai jamais réussi à lire un album complet de Jo, Zette et Jocko sans zapper pas mal de passages : inconsciemment, je devais trouver que ça manquait complètement de rthme, que c'était bavard et pas passionnant. Je voyais bien que le dessin et le traitement graphique était strictement identique à Tintin et Milou mais autant j'aimais Tintin autant je n'ai jamais pu apprécier Jo, Zette et Jocko. Je crois bien me souvenir que je me disais que je lirais sans doute ça quand je serais plus grand.
Maintenant que je suis grand, pas moyen de lire cette série car elle est trop naïve, trop enfantine. Le manque de rythme me saute davantage aux yeux et surtout le fait qu'aucun récit ne soit franchement palpitant, ni pour un adulte ni pour un enfant.
Cette série a mal vieilli et a sûrement dû vieillir très vite d'ailleurs.
Le seul point positif de cette BD erotico-porno à mes yeux, c'est le dessin. Du moins le trait du dessin car par contre je n'aime pas du tout la... colorisation. Car c'est du dégradé de gris comme un dessin fait au crayon de papier à mine grasse, et franchement, sans encrage, je trouve que les planches donne une impression de pas-fini, de presque amateur. Pourtant, techniquement, le dessin est bon, les femmes et même les hommes sont très réussis, c'est joli à regarder. Enfin à condition d'aimer les femmes poilues parce que le dessinateur s'en donne à coeur joie avec les touffes de poils pubiens ou de poils sous les bras...
Par contre, les scénarios de ces histoires courtes sont médiocres à mes yeux. Déjà les deux premières pêchent grandement par leur narration que je trouve très confuses. Ensuite les récits sont basiques et sans intérêt, l'aspect érotique est ultra-classique et très peu émoustillants à mes yeux.
Bref, bof bof, même sur le simple plan de la BD érotique.
C'est sûr qu'on n'attendait pas Lidwine sur le terrain des dessins de presse/humeur sur l'actualité. Celui qui s'était fait connaître en ne publiant que 2 albums en 10 ans (entre lui et Vicomte, la concurrence est rude) nous propose donc sa vision du monde. Thèmes de prédilection : alter mondialisme, écologie...
Rien de très original dans tout ça, malheureusement, mis à part, peut-être, les définitions détournées qui ponctuent l'album. Quant au dessin, Lidwine surprend là encore en adoptant un trait très différent de ce qu'il avait publié jusqu'alors.
C'est donc un retour en demi-teinte pour celui qui avait affiché de belles promesses avec le prologue du "Dernier Loup d'Oz".
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Le Photographe
Bon, ben, désolé pour la communauté Bdthèque qui a adoré cette bd, mais moi, je n'ai pas du tout accroché... Le mélange dessins-photos est une idée originale, d'accord, mais je trouve qu'un peu moins de photographies et un peu plus d'illustrations, cela rendrait mieux. Car justement, le format des photos est trop petit à mon goût. Sur certaines, on voit des formes, sur d'autres, des ombres; on ne voit pas trop le paysage... Par contre, les plus grandes sont très belles; rien à redire là-dessus. Les dessins, eux, ne m'ont pas convaincu par manque de détails. De plus, le trait est trop gros à mon goût et le décor pas assez visible... Peut-être pour mieux mettre en valeur les photos? Sûrement. L'histoire, qui plonge vraiment dans le documentaire est intéressante; on s'instruit sur les pays que le photographe visite, sur l'aide humanitaire. Mais là, toujours le même problème, pour admirer les paysages, les dessins ne sont pas assez détaillés et les photos trop petites... Il ne reste plus qu'à s'acheter un guide de voyage pour les contempler pour de bon! Dommage.
Beba
Etrange BD porno. Plutôt qu'une BD, on dirait une suite d'illustrations de cul tant Beba saute d'une case à la suivante d'une pipe à la sodomie suivante avec presque à chaque case un nouveau "partenaire" (en fait de partenaire, on n'en voit que le membre ou la tête de porc). L'histoire se résume vite : après être passé de simple transexuel à "femme" à part entière, Beba, suceuse et femme objet professionnelle, décide de passer un concours où il faut faire jouir 110 hommes en 24h par tous les moyens qu'ils désirent : bondage, sodomie, à plusieurs, fellations simples, trucs crades, etc... 110 hommes, peut-être bien 110 cases où on voit Beba avec un membre dans la bouche ou ailleurs, tandis qu'on lit ses pensées, pensées "sportives" puisqu'elle est très très motivée à gagner. Et paf, ça s'arrête comme ça. Un dessin moyen, une histoire qui se résume à ces quelques lignes, du porno pas franchement excitant, une fin abrupte. Bof, même si je n'ai pas autant détesté que Don Lope.
Les Blondes
C'est en lisant les blagues qui circulent ici et là dans les boites aux lettres que j'ai découvert ces histoires de blondes. Certains gags, même s'ils sont issus de blagues ultra connues, m'ont fait sourire, surtout grâce à l'air benêt des blondes. Mais bon, il ne faut pas passer à la lecture d'un album, car la saturation arrive très vite (4 ou 5 pages en ce qui me concerne).
Zélie nord-sud
J'ai choisi cet album à la bibliothèque, attiré par la couverture, qui semblait pleine de promesses. Mais il s'agit d'une bd documentaire, presque d'une revue d'information sur les initiatives humanitaires pour endiguer la progression du désert au Burkina Fasso. Certes le sujet mérite qu'on s'y intéresse, mais je suis de moins en moins convaincu du choix du support bd pour ce genre de diffusion. Peut être en y introduisant des photos, façon Le Photographe ? En tout cas, la lecture bien qu'instructive, ne m'a pas passionné, d'autant plus que l'histoire personnelle de Zélie vient se mêler au documentaire à tel point que parfois, on a tendance à lire certaine pages deux fois, une fois pour chaque récit. Fastidieux. Une bd intéressante mais pas plus.
Comment je me suis fait suicider
En 32 pages, cet album nous offre une histoire qui se lit assez rapidement. Le dessin n'est pas formidable mais il se laisse lire, plus précisément il se laisse oublier car même en le revoyant maintenant, j'avoue avoir bien peu de chose à en dire. Pas très joli mais fonctionnel et pas si mal dans l'ensemble. Quant à l'histoire, c'est celle d'un débauché assez minable qui passe ses nuits à boire en boite de nuit et se réveille tous les jours en début d'après-midi, sans savoir s'il a terminé la nuit avec quelqu'un ou si ce n'est rien d'autre qu'une flaque de vomi qui l'accompagne dans son lit. Et puis un jour, il y a quelque chose dans son lit. Ce récit rappelera immanquablement Prosopopus vis-à-vis de cette... chose. Mais sans aller tellement plus loin, le récit se termine peu de temps après l'apparition de la chose sur une fin un peu abrupte. Evidemment, la conclusion du récit se veut sans doute métaphorique mais le message passe assez difficilement en ce qui me concerne. Pas une oeuvre marquante ni bien originale pour ce que j'en pense.
La Poubelle de la Place Vendome
Comme la majorité des albums de la collection Patte de Mouche, cette BD se lit bien vite. Son originalité : l'un des deux personnages est sourd-muet et ses bulles sont emplies uniquement de signes du langage des sourds sous-titrés mot à mot en bas de page. Hormis cette originalité donc, il n'y a pas grand chose de plus intéressant. Le dessin est très très moyen. Du moins, personnellement, je n'aime pas. Quant à l'histoire, ce sont deux types qui discutent dans une cuisine parce que l'un a trouvé un pistolet chargé dans une poubelle et qu'ils se disputent ensuite pour le prendre tout en continuant à palabrer. Et... Et c'est à peu près tout.
Le Gardien de la tour
Un album de belle qualité au papier solide et brillant presque étonnant par son épaisseur. L'ennui, quand je vois un tel papier dans une BD de taille classique, c'est que je crains toujours de tomber sur un album masquant ainsi son faible nombre de pages. Mais non, il y en a bien 46. C'est donc un objet de bonne qualité physique même si le papier brillant, j'aime moyennement. Pour le reste, ce sont des gags en 4 grosses cases par planche. Dessin moyen et couleurs pêtantes. J'ai bien souri à certains gags (le premier de la galerie sur ce site par exemple : "juste une grosse patate...") mais globalement ce n'est pas vraiment mon genre d'humour. J'ai trouvé ça un peu trop premier degré, l'absurde ne prenant que rarement le pas sur des gags assez plats à mes yeux.
Jo, Zette et Jocko
Etant enfant, je n'ai jamais réussi à lire un album complet de Jo, Zette et Jocko sans zapper pas mal de passages : inconsciemment, je devais trouver que ça manquait complètement de rthme, que c'était bavard et pas passionnant. Je voyais bien que le dessin et le traitement graphique était strictement identique à Tintin et Milou mais autant j'aimais Tintin autant je n'ai jamais pu apprécier Jo, Zette et Jocko. Je crois bien me souvenir que je me disais que je lirais sans doute ça quand je serais plus grand. Maintenant que je suis grand, pas moyen de lire cette série car elle est trop naïve, trop enfantine. Le manque de rythme me saute davantage aux yeux et surtout le fait qu'aucun récit ne soit franchement palpitant, ni pour un adulte ni pour un enfant. Cette série a mal vieilli et a sûrement dû vieillir très vite d'ailleurs.
Expériences intimes
Le seul point positif de cette BD erotico-porno à mes yeux, c'est le dessin. Du moins le trait du dessin car par contre je n'aime pas du tout la... colorisation. Car c'est du dégradé de gris comme un dessin fait au crayon de papier à mine grasse, et franchement, sans encrage, je trouve que les planches donne une impression de pas-fini, de presque amateur. Pourtant, techniquement, le dessin est bon, les femmes et même les hommes sont très réussis, c'est joli à regarder. Enfin à condition d'aimer les femmes poilues parce que le dessinateur s'en donne à coeur joie avec les touffes de poils pubiens ou de poils sous les bras... Par contre, les scénarios de ces histoires courtes sont médiocres à mes yeux. Déjà les deux premières pêchent grandement par leur narration que je trouve très confuses. Ensuite les récits sont basiques et sans intérêt, l'aspect érotique est ultra-classique et très peu émoustillants à mes yeux. Bref, bof bof, même sur le simple plan de la BD érotique.
Où vont les hommes ?
C'est sûr qu'on n'attendait pas Lidwine sur le terrain des dessins de presse/humeur sur l'actualité. Celui qui s'était fait connaître en ne publiant que 2 albums en 10 ans (entre lui et Vicomte, la concurrence est rude) nous propose donc sa vision du monde. Thèmes de prédilection : alter mondialisme, écologie... Rien de très original dans tout ça, malheureusement, mis à part, peut-être, les définitions détournées qui ponctuent l'album. Quant au dessin, Lidwine surprend là encore en adoptant un trait très différent de ce qu'il avait publié jusqu'alors. C'est donc un retour en demi-teinte pour celui qui avait affiché de belles promesses avec le prologue du "Dernier Loup d'Oz".