Je n'ai pas du tout accroché à ce récit qui retrace la vie amoureuse depuis l'adolescence du personnage principal.
Le dessin ne me plait pas du tout : trop grossier à mon goût et pas de colorisation. Mais bon j'aurais aisément pu passer sur ce détail si le scénario avait été bien : mais non rien ne m'a plu ! Les lettres qu'il relit et qu'il avait écrites lors de ses 17ans ne sont pas intéressantes selon moi et n'apportent rien de neuf à l'histoire. Je m'imaginais vraiment le scénario d'une autre manière en lisant le résumé.
Bref aussi vite lu, aussi vite oublié. Désolé pour les amateurs, et pourtant le sujet m'avait vraiment paru sympathique : une bonne déception donc.
A lire avant d'acheter selon moi.
Après Je ne savais pas quoi t'offrir donc je t'ai pris ça, Jim réédite dans le même esprit, avec cet album bien plus honnête et bien meilleur, mais cependant loin de figurer dans les meilleurs crus de l'auteur.
Le scénario est simple, mais, avec soulagement, on pourrait dire qu'il a le mérite d'exister. Un personnage visiblement fainéant -très-, énumère les raisons pour ne PAS faire de sport. Jim choisit donc de prendre le contre-pied d'un des credos de notre époque marquée par un nouvel hygiénisme forcené.
Les gags sont relativement variés, parfois drôles, mais malheureusement cela ne suffit pas. L'album donne en effet une impression de grand vide: vide des personnages -il n'y a encore qu'un seul personnage principal-, vide des situations -beaucoup trop peu nombreuses-, vide des décors -choix sans doute délibéré, mais malheureux.
Comme le disent les avis précédents, la surenchère graphique dans la caricature nuit plus qu'elle ne sert la BD, mais saluons tout de même la trouvaille de faire filtrer une page par la lumière pour pouvoir la comprendre.
Etant grand amateur des BDs de Jim, je sais qu'il peut faire bien mieux que cette production qui sent trop le bâclage commercial.
J'ai lu le tome 1 et je n'ai pas accroché à ce scénario qui me semble légèrement alambiqué. Les personnages rentrent en scène d'une façon désordonnée et du coup on perd le fil de l'histoire et on se demande qui fait quoi. Les scènes "légères" se succèdent au fil des pages ce qui n'est par contre pas désagréable.
Le dessin est correct. Il faudra que je me force pour lire la suite...
Quelle déception ! Sur le quatrième de couverture, ce one-shot avait l'air intéressant sauf que ce n'est pas du tout le cas à la lecture. Tout d'abord, 'Révélations posthumes' n'est pas de la bande dessinée. C'est juste des textes avec des dessins autour.
Les différentes histoires ne m'ont pas captivé et je me suis même ennuyé en lisant les deux dernières. Peut-être que si ça avait été fait sous forme de vraie bande dessinée j'aurais aimé, mais là je n'ai vu aucun intérêt ni plaisir à lire cet album.
Quant au dessin, on voit bien qu'Andreas est un débutant. Il nous habituera à mieux que ce qu'il fait ici. Les dessins sont presque figés et je n'ai pas retrouvé le style nerveux que j'aime chez lui.
J'ai moins aimé ce tome que l'oeuvre précédente d'Enrique Vegas, Les Rebelles de la galaxie. Déjà, on ne trouve pas une, mais trois parodies dans ce tome. Elles manquent de liant toutes les trois, et sont à mon avis moins inspirées. Comme d'habitude l'auteur s'inspire de la trame générale du film considéré et y applique des tas (mais pas trop, je tiens à le signaler) de références en tous genres et de répliques humoristiques et décalées.
Le résultat, je l'ai dit, est moins bon que dans l'autre album. En plus, la fin de l'album comporte une sorte de carnet de croquis/storyboard concernant la seconde trilogie de Star Wars vue par Vegas. La présence de ce carnet aurait été plus judicieuse dans l'autre album...
Est-ce que cette série est objectivement un chef d'oeuvre ? Je le pense sincèrement car elle possède beaucoup d'atouts. C'est presque de la poésie à l'état pur avec des dialogues entre les personnages assez fins et relevés.
Est-ce que cette série est agréable à lire ? De superbes dessins contribuent à un émerveillement des sens. A lire dans son fauteuil avec une tasse de thé à la main au coin du feu avec les biscuits de grand-mère. Il n'y a que de la douceur et du bonheur.
Est-ce que cette série est faite pour moi ? L'ai-je aimée ? Non, car j'aime les bd d'action, où il se passe quelque chose. Ici, il ne s'agit que de contempler comme quand on s'arrête dans un musée et qu'on passe une heure à voir tous les détails d'un tableau. Magnifique mais vide !
Ce ne sont pas les questions existentielles qui concluent chaque tome qui vont refaire pencher la balance ; des questions du style : est-ce que Crapaud finira ses jours au fond d'une geôle humide ? On se moque presque gentiment du lecteur. Je sais bien que le propos est ailleurs. Cependant, il faut adhérer à ce style de littérature bd.
L’idée de base de cette BD est plutôt intéressante. Les grands évènements de l’histoire de l’homme seraient la conséquence de 4 individus possédant des pouvoirs spéciaux grâce à des ivoires.
Quelle déception ! Le scénario n’est vraiment pas accrocheur, pas de suspense, pas de « peps », vous lisez cette BD d’une façon totalement détachée. Je n’ai vraiment pas réussi à entrer dans l’histoire, qui est à mon sens beaucoup trop décousue. Les 4 personnages principaux sont vides de sens, on a une description d’eux très superficielle, comment sont-ils arrivés à cet état d’esprit ? Franchement c’est moyen, l’intrigue n’est pas fluide.
Le dessin est plutôt réussi avec une bonne mise en couleur.
Note approximative : 2.5/5
Les albums de la collection Petits Chats Carrés fonctionnent le plus souvent au coup de coeur. S'agissant de petits albums jeunesse, souvent muets et très vite lus, il faut être séduit par le dessin ou que le récit vous parle ou vous fasse rire pour vous dire que ce serait chouette de le lire ou de le faire lire à votre enfant.
Eh bien, là, je n'ai pas eu le coup de coeur.
Rien à dire sur le dessin. Il est dans une veine jeunesse moderne, un petit peu influencé manga qui n'a rien de désagréable. Idem pour les couleurs qui sont plaisantes.
C'est le scénario qui ne me touche pas. L'histoire d'une petite fille turbulente qui trouve une pseudo rédemption dans la découverte de l'harmonica, ça ne me parle pas vraiment. Et dans l'ensemble, je n'ai pas ressenti grand chose et la fin ne m'a pas fait rire.
C'est joli, mignon, plaisant, mais cet album n'a pas su m'atteindre ni me donner envie de le lire à ma fille.
Eh bien moi j'ai vraiment eu du mal avec les deux tomes de cette série.
Pourtant elle contient beaucoup de qualités.
Le dessin de Mandrafina est très beau, très expressif, c'est un maître du noir et blanc. Ses femmes sont vraiment très belles, et on a de la chance, il y en a beaucoup, et souvent dénudées. L'humour, omniprésent, est noir, très noir.
Ma note négative vient du fait que je n'ai pas aimé cette BD. Les personnages me semblent trop caricaturaux. L'histoire en elle-même m'a laissé, je dois dire, assez indifférent. Faire un second tome consacré à l'Iguane n'était pas une mauvaise idée, mais j'avoue ne pas avoir lu une histoire vraiment intéressante.
Bref, ça m'a barbé.
Les couleurs sont sans surprises, sympathiques, un peu pastelles.
Au niveau du dessin je trouve les hominidés vraiment bien fait en général par contre je trouve que les "monstres" sont mal traités, sans inventivité, sans esthétisme.
Je n'est pas accroché à l'histoire à cause des thématiques abordées (les risques du métier de Don Juan, le rôle de la segmentation sociale et raciale pour le coup...), du ton potache du héros, du scénario dans l'ensemble sans inventivité.
J'ai bien aimé le traitement de la petite fille gâtée, j'espère que Arleston va faire un effort pour l'évolution de ce personnage (pas le traitement convenu de la métamorphose au contact du héros, je lui en supplie).
La dernière planche est très bien faite, c'est la seule page qui ma donné envie de lire la suite : quels bon commerciaux chez soleil !
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A la lettre près
Je n'ai pas du tout accroché à ce récit qui retrace la vie amoureuse depuis l'adolescence du personnage principal. Le dessin ne me plait pas du tout : trop grossier à mon goût et pas de colorisation. Mais bon j'aurais aisément pu passer sur ce détail si le scénario avait été bien : mais non rien ne m'a plu ! Les lettres qu'il relit et qu'il avait écrites lors de ses 17ans ne sont pas intéressantes selon moi et n'apportent rien de neuf à l'histoire. Je m'imaginais vraiment le scénario d'une autre manière en lisant le résumé. Bref aussi vite lu, aussi vite oublié. Désolé pour les amateurs, et pourtant le sujet m'avait vraiment paru sympathique : une bonne déception donc. A lire avant d'acheter selon moi.
Les Très très bonnes raisons de ne jamais faire de sport
Après Je ne savais pas quoi t'offrir donc je t'ai pris ça, Jim réédite dans le même esprit, avec cet album bien plus honnête et bien meilleur, mais cependant loin de figurer dans les meilleurs crus de l'auteur. Le scénario est simple, mais, avec soulagement, on pourrait dire qu'il a le mérite d'exister. Un personnage visiblement fainéant -très-, énumère les raisons pour ne PAS faire de sport. Jim choisit donc de prendre le contre-pied d'un des credos de notre époque marquée par un nouvel hygiénisme forcené. Les gags sont relativement variés, parfois drôles, mais malheureusement cela ne suffit pas. L'album donne en effet une impression de grand vide: vide des personnages -il n'y a encore qu'un seul personnage principal-, vide des situations -beaucoup trop peu nombreuses-, vide des décors -choix sans doute délibéré, mais malheureux. Comme le disent les avis précédents, la surenchère graphique dans la caricature nuit plus qu'elle ne sert la BD, mais saluons tout de même la trouvaille de faire filtrer une page par la lumière pour pouvoir la comprendre. Etant grand amateur des BDs de Jim, je sais qu'il peut faire bien mieux que cette production qui sent trop le bâclage commercial.
Giacomo C.
J'ai lu le tome 1 et je n'ai pas accroché à ce scénario qui me semble légèrement alambiqué. Les personnages rentrent en scène d'une façon désordonnée et du coup on perd le fil de l'histoire et on se demande qui fait quoi. Les scènes "légères" se succèdent au fil des pages ce qui n'est par contre pas désagréable. Le dessin est correct. Il faudra que je me force pour lire la suite...
Révélations posthumes
Quelle déception ! Sur le quatrième de couverture, ce one-shot avait l'air intéressant sauf que ce n'est pas du tout le cas à la lecture. Tout d'abord, 'Révélations posthumes' n'est pas de la bande dessinée. C'est juste des textes avec des dessins autour. Les différentes histoires ne m'ont pas captivé et je me suis même ennuyé en lisant les deux dernières. Peut-être que si ça avait été fait sous forme de vraie bande dessinée j'aurais aimé, mais là je n'ai vu aucun intérêt ni plaisir à lire cet album. Quant au dessin, on voit bien qu'Andreas est un débutant. Il nous habituera à mieux que ce qu'il fait ici. Les dessins sont presque figés et je n'ai pas retrouvé le style nerveux que j'aime chez lui.
Le Rebelle des Caraïbes
J'ai moins aimé ce tome que l'oeuvre précédente d'Enrique Vegas, Les Rebelles de la galaxie. Déjà, on ne trouve pas une, mais trois parodies dans ce tome. Elles manquent de liant toutes les trois, et sont à mon avis moins inspirées. Comme d'habitude l'auteur s'inspire de la trame générale du film considéré et y applique des tas (mais pas trop, je tiens à le signaler) de références en tous genres et de répliques humoristiques et décalées. Le résultat, je l'ai dit, est moins bon que dans l'autre album. En plus, la fin de l'album comporte une sorte de carnet de croquis/storyboard concernant la seconde trilogie de Star Wars vue par Vegas. La présence de ce carnet aurait été plus judicieuse dans l'autre album...
Le Vent dans les Saules
Est-ce que cette série est objectivement un chef d'oeuvre ? Je le pense sincèrement car elle possède beaucoup d'atouts. C'est presque de la poésie à l'état pur avec des dialogues entre les personnages assez fins et relevés. Est-ce que cette série est agréable à lire ? De superbes dessins contribuent à un émerveillement des sens. A lire dans son fauteuil avec une tasse de thé à la main au coin du feu avec les biscuits de grand-mère. Il n'y a que de la douceur et du bonheur. Est-ce que cette série est faite pour moi ? L'ai-je aimée ? Non, car j'aime les bd d'action, où il se passe quelque chose. Ici, il ne s'agit que de contempler comme quand on s'arrête dans un musée et qu'on passe une heure à voir tous les détails d'un tableau. Magnifique mais vide ! Ce ne sont pas les questions existentielles qui concluent chaque tome qui vont refaire pencher la balance ; des questions du style : est-ce que Crapaud finira ses jours au fond d'une geôle humide ? On se moque presque gentiment du lecteur. Je sais bien que le propos est ailleurs. Cependant, il faut adhérer à ce style de littérature bd.
L'Histoire Secrète
L’idée de base de cette BD est plutôt intéressante. Les grands évènements de l’histoire de l’homme seraient la conséquence de 4 individus possédant des pouvoirs spéciaux grâce à des ivoires. Quelle déception ! Le scénario n’est vraiment pas accrocheur, pas de suspense, pas de « peps », vous lisez cette BD d’une façon totalement détachée. Je n’ai vraiment pas réussi à entrer dans l’histoire, qui est à mon sens beaucoup trop décousue. Les 4 personnages principaux sont vides de sens, on a une description d’eux très superficielle, comment sont-ils arrivés à cet état d’esprit ? Franchement c’est moyen, l’intrigue n’est pas fluide. Le dessin est plutôt réussi avec une bonne mise en couleur.
L'Enfant note
Note approximative : 2.5/5 Les albums de la collection Petits Chats Carrés fonctionnent le plus souvent au coup de coeur. S'agissant de petits albums jeunesse, souvent muets et très vite lus, il faut être séduit par le dessin ou que le récit vous parle ou vous fasse rire pour vous dire que ce serait chouette de le lire ou de le faire lire à votre enfant. Eh bien, là, je n'ai pas eu le coup de coeur. Rien à dire sur le dessin. Il est dans une veine jeunesse moderne, un petit peu influencé manga qui n'a rien de désagréable. Idem pour les couleurs qui sont plaisantes. C'est le scénario qui ne me touche pas. L'histoire d'une petite fille turbulente qui trouve une pseudo rédemption dans la découverte de l'harmonica, ça ne me parle pas vraiment. Et dans l'ensemble, je n'ai pas ressenti grand chose et la fin ne m'a pas fait rire. C'est joli, mignon, plaisant, mais cet album n'a pas su m'atteindre ni me donner envie de le lire à ma fille.
La Grande Arnaque
Eh bien moi j'ai vraiment eu du mal avec les deux tomes de cette série. Pourtant elle contient beaucoup de qualités. Le dessin de Mandrafina est très beau, très expressif, c'est un maître du noir et blanc. Ses femmes sont vraiment très belles, et on a de la chance, il y en a beaucoup, et souvent dénudées. L'humour, omniprésent, est noir, très noir. Ma note négative vient du fait que je n'ai pas aimé cette BD. Les personnages me semblent trop caricaturaux. L'histoire en elle-même m'a laissé, je dois dire, assez indifférent. Faire un second tome consacré à l'Iguane n'était pas une mauvaise idée, mais j'avoue ne pas avoir lu une histoire vraiment intéressante. Bref, ça m'a barbé.
Elixirs
Les couleurs sont sans surprises, sympathiques, un peu pastelles. Au niveau du dessin je trouve les hominidés vraiment bien fait en général par contre je trouve que les "monstres" sont mal traités, sans inventivité, sans esthétisme. Je n'est pas accroché à l'histoire à cause des thématiques abordées (les risques du métier de Don Juan, le rôle de la segmentation sociale et raciale pour le coup...), du ton potache du héros, du scénario dans l'ensemble sans inventivité. J'ai bien aimé le traitement de la petite fille gâtée, j'espère que Arleston va faire un effort pour l'évolution de ce personnage (pas le traitement convenu de la métamorphose au contact du héros, je lui en supplie). La dernière planche est très bien faite, c'est la seule page qui ma donné envie de lire la suite : quels bon commerciaux chez soleil !