Les derniers avis (20188 avis)

Par Ems
Note: 2/5
Couverture de la série Trois allumettes
Trois allumettes

Cette lecture fut décevante, j'en attendais peut être trop après avoir lu et apprécié une bonne partie des séries de Chauvel. Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire, la lecture fut très difficile voir pénible. Le dessin ne m'a pas encouragé à y mettre plus d'engagement... Le N&B me plait en général mais les cases sont trop blanches, il manque les jeux d'ombres et les traits m'ont paru hésitants. Le genre de BD qui ne laisse pas une trace indélébile. Je ne mets pas un 1 car il ne s'agit pas d'une BD nulle mais elle ne m'a pas plu.

05/07/2008 (modifier)
Par chalybs
Note: 2/5
Couverture de la série La Tour sombre
La Tour sombre

Stephen King, auteur de romans et de fictions à tendance fantastico-horrifique, prolifique et surtout à succès n'est sûrement plus à présenter. Il a bercé mon adolescence d'histoires qui m'aidaient à m'endormir, dont notamment Marche ou crève. La nouvelle maison d'édition, Fusion Comics, fusion de Soleil et Panini, entame son catalogue par une adaptation du fameux roman La Tour sombre. Le format de cet album est déjà particulier. C'est un grand format, mais moins large. Ce qui donne déjà un format ''Tour'', référence à la série. Nous avons ici les deux premiers albums de la trilogie qui composera l'adaptation BD de l'histoire imaginée par l'auteur américain. Commençons par le graphisme, puisqu'il s'agit souvent d'un point mis en avant par l'éditeur. C'est Jae Lee qui se charge du graphisme et Richard Isanove de la couleur. Si je ne connais pas Jae Lee, il est intervenu sur bon nombre de comics Marvel et sa réputation semble le précéder. Il faut avouer que son trait et sa mise en scène sont plutôt agréables. Les couleurs en revanche, 100% informatique m'ont une fois encore gêné. Je ne suis décidément pas un adepte de cet outil de travail qui, s'il peut donner de merveilleux résultats en appoint du travail, est trop impersonnel lorsqu'il est employé seul. Les couleurs cependant sont souvent bien choisies, c'est plus dans le rendu des matières que le bât blesse. Les visages manquent de grain, les vêtements sont trop lisses… Malgré tout, comme bien souvent, on s'y fait. D'autant plus que je préfère une BD avec des dessins que j'apprécie peu mais disposant d'un bon scénario que l'inverse. Alors, le scénario m'a-t-il permis de sauver mon opinion de cet album ? Je n'ai jamais lu les romans originaux. Je ne pourrai donc pas juger de la pertinence de l'adaptation. En tout état de cause, il y a malheureusement des longueurs. Si certains plans filmés des films de Sergio Leone, volontairement lents et lancinants, ont rendu les films mythiques, ici ce n'est pas le cas. L'histoire manque donc singulièrement de rythme à maintes reprises… Du coup, même si les albums disposent de 80 pages, les rendant de visu plutôt conséquents, lorsqu'on les referme on a une impression bizarre de vide et de manque de consistance. Le premier tome qui se penche sur l'enfance du Pistolero me semble finalement assez creux. Certaines scènes sont certes dynamiques et fort intéressantes, captant notre attention avec force, mais ces rares instants ne parviennent pas à sauver l'ensemble. Surtout, ancien lecteur de King, le connaissant pour son sens inné pour instaurer des ambiances malsaines et pleines de peur, ici je n'ai jamais frissonné. J'ai attendu, attendu, attendu… Sans trouver les sensations espérées. Le deuxième tome ne m'a pas offert mieux, voir même pire...Je ne parviens décidemment pas à accrocher au rendu de cette BD. Moi qui suis un fidèle des romans de S King, je crois qu'il va me falloir me réconforter avec la version sans dessins :) Voilà. Malheureusement, je ne pourrai pas conseiller la lecture de cette série, sauf, peut être si vous avez déjà lu les romans et que vous pourrez ainsi retrouver une ambiance et un univers que vous connaissez.

19/03/2008 (MAJ le 05/07/2008) (modifier)
Par Clèm's
Note: 2/5
Couverture de la série Warhammer 40,000
Warhammer 40,000

Etant assez fan des créations de Games Workshop trouver cette BD dans la Fnac locale a su émoustiller mon imagination, la lecture fut riche en désillusions. Le scénario d'une platitude assez remarquable, des personnages qui se résument assez vite : Je-suis-un-gros-bourrin-qui-a-jamais-peur-et-sert-l'Empereur-YAAAAAH ! et un graphisme certes acceptable mais ne cassant guère de barreaux de chaises... On se contente d'y énumérer des escarmouches sans finalité entre des Black Templars (Qui sont pas loin d'être les plus cons des Spaces Marines, genre : Brulez l'Hérétique ! Mort à l'Extraterrestre ! etc. etc.) et les ennemis divers et variés de l'Impérium, le tout servi par une narration qui confine aux pires des clichés de film de guerre. Enfin, il est toujours possible d'apprécier cette BD au travers des scènes de combat et certaines cases de grand volume qui ne dépareilleraient pas comme illustrations de codex (même s'il y aurait tout intérêt à les retravailler).

04/07/2008 (modifier)
Par Thaugor
Note: 2/5
Couverture de la série Le Sommet des dieux
Le Sommet des dieux

Pour commencer, je ne suis pas fan de manga, mais j'essaie d'en lire pour m'en faire une opinion. Mais cette bd a selon moi tout ce que je n'aime pas dans les mangas : l'histoire traine en longueur sur 5 tomes sur des détails qui n'en finissent pas. Les dessins sont assez bien dessinés mais manque d'envergure, de détails, de colorisations (ou d'épaisseur de trait par moment). J'ai toujours cette impression d'industrialisation ou d'impersonnel dans le remplissage, par exemple, des formes. Je trouve aussi que ça manque de mouvements qui est très mal représenté. Bon, ça c'est selon moi des généralités qui caractérisent la plupart des mangas que j'ai lu. Maintenant sur le fond de celui-là. Je l'avais choisi exprès, et avec espoir, car je connais bien ce domaine, j'ai moi même fait un peu d'alpinisme et beaucoup d'escalade. Et j'avoue que je suis déçu par cette partie que j'ai eu du mal à ressentir : tout semble facile et l'exploit à porté de main. Sur le scénario, comme je le disais, en lui même il est intéressant, le fait de voir ça sous forme d'une enquête d'un photographe est intéressante, mais ça traîne en longueur et franchement j'ai failli plusieurs fois abandonner. L'histoire aurait énormément gagné à être plus courte et avec moins de répétition (toutes ses escalades qui se ressemblent à chaque fois). Peut être que je n'adhère pas à la culture manga et qu'il faut que j'abandonne ?

04/07/2008 (modifier)
Par iannick
Note: 2/5
Couverture de la série Mon Gras et moi
Mon Gras et moi

Une bd qui parle des obèses racontée par une femme grosse (bin oui, n’ayons pas peur des mots !), c’est plutôt rare non ? Mais voilà, je suis ressorti très déçu de cette lecture car je n’y ai rien appris… Du constat, du constat et du constat, voilà en gros ce que nous raconte Gally ! Elle nous conte son quotidien, comment elle vit son surpoids, nous raconte comment les gens réagissent face à elle, nous fait partager les sentiments qu’éprouvent son tendre et cher pour elle. Tout cela est très bien raconté, je dirais même que la narration est très bonne et accrocheuse car il y a de la sincérité qui se dégage dans les propos de Gally. Mais, à mon avis, il manque l’essentiel : pourquoi une belle jeune fille comme elle en est arrivé à un surpoids de 40 kilos ? Ok, Gally n’arrête pas de manger, elle ne fait pas de sport, etc… tout le monde sait plus ou moins ce qui fait grossir, là n’est pas le problème. La plupart des gens savent même sans être obèse que le regard des autres sur les personnes fortes est dur, que cela risque d’entraîner des problèmes pour s’habiller, etc… bref, rien à se mettre sous la dent quoi ! (désolé pour ce genre de jeu de mot mais c’est vraiment que j’ai ressenti en lisant cette bd). Par contre, j’aurais bien voulu savoir ce qui l’a amenée à bouffer, bouffer, bouffer… à un moment de la bd, je me suis dit : « ça y est, elle se dévoile enfin, elle va nous dire ce qui cloche vraiment en elle ! » (c'est vrai qu'un autre côté, si elle savait vraiment d'où vient son problème, elle n'en serait pas là... mais bon...) en voyant la séquence où elle nous raconte sa relation avec son père pour finalement replonger dans ses constats, ses rêves de gourmandise, son excuse d’être obèse par hérédité… Bof quoi ! D’autant plus que l’auteure semble s’enfoncer de plus en plus dans son handicap comme si l’obésité était une maladie irréversible, sans note d’espoir de s’en tirer même elle raconte ses problèmes quotidiens avec un ton qui se veut humoristique. Graphiquement, je dois avouer que j’aime le trait de Gally, celui-ci m’est apparu très agréable à contempler. Son coup de crayon y apparaît souple. Le dessin est épuré mais ça suffit, à mon avis, amplement pour une bd de ce type. « Mon gras à moi » est une bd autobiographique très accrocheuse à lire mais qui ne m’a rien apporté de plus à ce que je savais : raconter son quotidien d’obèse avec humour ne suffit pas, dire pourquoi on en est arrivé là et apporter des solutions à ce problème même si ça n’a rien donné pour le moment, c’est franchement mieux ! C’est ce dernier aspect qui manque cruellement dans cet album ! Gally se lamente sans arrêt sur son obésité que ça en devient agaçant !

03/07/2008 (modifier)
Par maikeul39
Note: 2/5
Couverture de la série Bone
Bone

Et bien: Bof, sans plus. J'ai voulu essayer Bone car les critiques sur bdthèque étaient excellentes. Normalement ça marche. Bonne critique = bonne BD. Et bien là non... Je ne comprends pas ce que les gens trouvent bien dans cette BD. Vous ne trouvez pas qu'il manque quelque chose ? Non ? L'histoire n'a rien de passionnant. Ces êtres débarquent dans une forêt et font des rencontres. Super... Il manque de l'ambiance. On ne sait pas où on va. Certes, il y a quelques bons gags. Mais bon, ça ne vaut pas 5 étoiles. Par exemple, l'hiver tombe en une image : 50 cm de neige d'un coup et pas de flocons. Bref, c'est sympa mais un peu juste pour 100 pages de BD. Et ces êtres ? Le dessinateur a eu une panne d'imagination ? Les Bone n'ont pas de forme. Ce sont des sortes de fantômes, blancs, sans particularités, inexpressifs. Bref, j'ai trouvé tout ça un peu bidon... Je m'excuse auprès de l'auteur. Peut être que je n'ai lu que le premier tome, c'est pour ça. Il me manque quelque chose. Mais je n'ai absolument pas envie de lire les suivants. Je ne conseille donc pas la lecture. Ciao Maikeul

03/07/2008 (modifier)
Par Gaston
Note: 2/5
Couverture de la série Donjon Parade
Donjon Parade

Je trouve que ce Donjon est totalement inutile et que les auteurs devraient se concentrer sur ceux qui font avancer l'aventure car c'est ça qui m'intéresse dans les Donjons et pas l'humour qui ne me fait pas rire. La seule fois ou j'ai rigolé c'était au début du tome 2 lorsque le type se fait écraser par une pierre après avoir dit qu'il ne voulait pas mourir étranglé, le reste ne m'a même pas fait sourire. Les histoires n'ont aucun intérêt à mes yeux car elles ne sont pas très développées et sont très oubliables. Pourtant, elles mettent en vedette mon personnage préféré de cet univers : Herbert le canard. Il semblerait que je le trouve plus passionnant vieux que jeune.

03/07/2008 (modifier)
Par Superjé
Note: 2/5
Couverture de la série Steak me tender
Steak me tender

Comme la collection « Mini Blog » est arrêtée et qu’on ne peut plus l’acheter, Miss Gally met son « Mini Blog » sur son vrai blog : J’aime bien le dessin et les gags sur le blog de Gally, donc j’ai bien aimé son travail en « album », mais le problème c’est que l’histoire et les personnages sont les mêmes que sur son blog, on aimerait voir Gally changer un peu. Pour la partie Internet, Gally se rattrape, j’ai bien aimé, surtout l’interrogatoire qui m’a fait penser (grâce à ses calembours pourris) à François Pérusse. Bref, c’est sympa mais ça ne change pas du blog de Miss Gally.

02/07/2008 (modifier)
Par Altaïr
Note: 2/5
Couverture de la série Le Lama blanc
Le Lama blanc

Mouaiche... je ne suis pas fan du mysticisme ésotérico-new age de Jodorowsky, et "Le lama blanc" ne fait pas exception, même si bon, dans le genre, il a fait nettement pire. Il y a cependant un truc qui est bien avec Jodo, c'est qu'il sait s'y prendre pour choisir ses dessinateurs, qu'il s'agisse de Moebius, Gimenez ou Boucq... Et ici, Bess ne fait pas exception, son dessin est très beau, même si je préfère son travail en noir et blanc et en solo. Bref, les fans de Jodorowsky aimeront, mais sinon...

02/07/2008 (modifier)
Par Pierig
Note: 2/5
Couverture de la série Du Rififi chez les clébards
Du Rififi chez les clébards

Ce polar canin m’a vraiment déçu. Il n’y a pas grand-chose à sauver de ce récit à la trame convenue. Les propos vulgaires (du San Antonio ?) tenus par les protagonistes à quatre pattes ne les rendent pas plus attachants. J’ai vraiment eu l’impression de lire un mauvais polar fait de bouts de ficelles plus usés les uns que les autres. Certains trouveront que c’est un clin d’oeil à des bons polars d’antan mais moi je trouve cela affligeant ! Les planches font par contre l’objet d’un certain travail de recherche. A y regarder de plus près, cela est surtout vrai pour la mise en couleur et la mise en page. Lecture décevante en perspective . . .

02/07/2008 (modifier)