Une oeuvre de commande dans laquelle Hergé n'a pas trop investi.
Très typé des années 30-40, une famille modèle qui finit par agacer à la longue, Bob et Bobette étaient nettement plus dynamiques à ce niveau. Il est vrai que Jo, Zette et Jocko souffrent de la proximité du grand frère Tintin.
Ca se laisse lire, peut-être à collectionner pour certains, presque un document d'époque avec des bonnes pages à intérieur, mais pas à mettre au panthéon de la BD.
Je situe mal ce manga...
Je reconnais que ça peut être utile pour ceux et celles qui débutent mais nous sommes en France, pas au Japon, où la situation est plus... bloquée. Il est vrai que je suis de la génération Love and Peace... ça aide :)
Se laisse lire, si on admet une bonne fois pour toutes que le mari est un abruti et que la femme est une naïve à 100%. Si si.
A lire par curiosité. J'ai des doutes sur la tenue dans le temps d'une telle histoire. Et donc, 32 volumes au Japon, ça me sidère. Mais bon...
Je ne sais pas si je suis passé à côté de cette lecture, mais je n'y ai pris que peu de plaisir.
Le dessin est pourtant agréable mais la narration a miné le récit.
Le contenu n'apporte pas grand chose d'original.
Il en faut pour tous les goûts mais je préfère amplement lire un Civiello que ce genre de BD.
L'ensemble trop décousu ne laissera pas une trace indélébile dans ma petite mémoire.
BD dispensable mais non illisible.
Je vais être moins tendre que mon prédécesseur.
Difficile de développer sur cette BD, le scénario est si inconsistant qu'il tiendrait presque sur un ticket de métro, le personnage principal est moins attachant que l'âne qui lui sert de monture. Les ennemis qu'ils croisent sont des espèces de patchwork constitués d'un peu d'éléments de western, un peu de post-nuke, un peu de nazi, manque plus qu'un peu de SM cuir... ça sent un peu le renfermé tout ça. Pour couronner le tout, ils n'ont guère plus à dire que l'âne du Shaolin Cowboy.
Reste les dessins de Darrow dans leur ensemble et les quelques trouvailles dont il parsème les pages, ces infimes détails que l'on prend plaisir à chercher dans cette débauche surchargés d'objet hétéroclites dessinés, mais même sur ce point Geoff Darrow ne convainc pas comme il avait su la faire avec "Hard-Boiled" par exemple. Car si "Hard-Boiled" se suit de façon fluide malgré l'orgie graphique qui s'en dégage, c'est loin d'être le cas avec Shaolin Cowboy.
A feuilleter, pourquoi pas ? Le lire c'est une autre histoire.
Dommage, pourtant j'aime bien les cow-boys et le Kung-fu...
JJJ
Bon, j'avoue que l'Argentine ne m'a jamais fasciné. Et le nom de Carlos Gardel m'est presque inconnu. Mais comme d'habitude cet album m'est passé entre les mains, donc je l'ai lu.
Au final cette première partie m'a laissé assez froid. On a droit à une sorte de débat/procès concernant le personnage de Gardel, je dis bien "personnage", puisque la personne est sujette, semble-t-il, à nombre d'interrogations, sur tous ses comportements, sur son identité même.
Les auteurs ont donc décidé de prendre des libertés avec le mythe, pour essayer d'en combler de façon fantasmatique les nombreux trous. Positionnement intéressant, mais malheureusement ce la ne m'a pas passionné du tout. En plus je n'ai me vraiment pas le trait de Muñoz, du coup cette lecture a été assez déplaisante, ou plutôt plate en ce qui me concerne.
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Pourtant, grand admirateur de Fabien Nury -je possède toutes les bd qu'il a scénarisé- j'ai peu accroché à cette histoire qui oscille sans cesse entre fantastique et polar des années de la prohibition. Seuls les rapports père (le personnage de Gordon Devries est un salaud très réussi)-fils vers la fin relance l'intérêt de l'intrigue principale (le mystère de ces morts-vivants), intrigue qui est noyée, à mon avis, dans trop d'éléments annexes. (Règlements de comptes entre bandes rivales, vie amoureuse de Jeff, la vie dissolue de Gordon...).
Bref un sentiment mitigé, un sentiment de trop peu ou de pas assez, selon le côté où l'on se place. Mais la suite (et fin) étant prévue dès janvier 2009, je gage que l'histoire va être plus prenante.
Reste le dessin de Manini, qui restitue parfaitement l'atmosphère de violence de cet univers mafieux. Un bémol, j'avais quelquefois du mal à reconnaitre tel ou tel personnage d'une page à l'autre.
Disons le clairement tout de suite, j'ai bien hésité à mettre 1/5. Car à part le dessin, il n'y a pas grand chose à garder dans cet album...
Le trait est maitrisé, le héros a une bonne bouille tout a fait sympathique, l'architecture décalée des lieux est superbe et enfin les jeux d'ombres et de lumières que nous offre le noir et blanc sont une réussite.
Mais alors c'est quoi cette histoire ? Enfin si on peut parler d'histoire. Le pauvre Jean déambule dans cet endroit perdu, sans but et sans cohérence. Pas d'intrigue pour captiver l'attention du lecteur et pas non plus d'explication sur les tenants et les aboutissants de ce lieu pourtant si étrange. On a envie de comprendre ce qu'il fait là, qu'est ce que c'est que ce pensionnat, mais on ne le saura jamais.
La narration abuse un peu de la voie off, ce qui rend la lecture encore un peu plus fastidieuse. Bref le phalanstère au bout du monde c'est beau, mais c'est ennuyeux.
L'humour de ces gags tournant entre le Père Noel et son fils à qui il veut laisser sa succession pour sa petite entreprise est souvent très prévisible. Les séquences de gags qui occupent plusieurs pages tombent très souvent à plat. L'incursion dans la vie privée du bonhomme en rouge aurait pu s'avérer intéressante...
Je m'aperçois que le scénariste est le même que celui de Léonard, une série que je n'avais pas vraiment aimée. Et que viennent faire les frères Dalton dans cette histoire ?
Même au pied du sapin et même s'il est offert par le Père Noel, je ne voudrais pas de cette bd à l'humour un peu lourd et pataud. C'est pas franchement mauvais non plus mais ce n'est pas ma tasse de thé (on me pardonnera auprès de la Mère Noel).
Les couleurs de Caroline Houdelot sont superbes et les dessins de Jal assez agréables à l'oeil bien qu'assez peu originaux. Mais voilà bien tout ce que j'ai trouvé à sauver dans cette œuvre soporifique.
Je n'ai pas accroché à l'histoire qui, mal contée, m'a semblé aussi creuse qu'absconse -- Lisez la légende d'Osnira (que j'ai mise dans la fiche "histoire") pour vous en convaincre --. Je n'ai pas accroché aux dialogues qui par moment m'ont semblé réinventer le schtroumpf (ou le schmilblick c'est selon). Je n'ai pas accroché au faux rythme de l'action de cette œuvre. Je n'ai pas accroché aux personnages enfin, que se soit l'héroïne bête à pleurer et nymphomane ou sa lesbienne de sœur à la sensibilité inexistante ou encore le "méchant" au charisme inexistant, aucun personnage ne m'a semblé fin et intéressant.
Cette œuvre sans grand charme autre qu'esthétique m'a ennuyé profondément et je pense qu'il faut être féru d'aventure d'heroic fantasy pour trouver un intérêt à cette BD.
Le seul tome de cette série que j'ai aimé est le deuxième tome qui parle de l'auteur du roman de Dracula. Bien que je soupçonne les auteurs d'avoir un peu romancé la vie de Bram Stoker, j'ai vraiment bien aimé. Il se dégage une ambiance étrange et il y a beaucoup de psychologie comme je l'aime. Malheureusement, les deux autres tomes sont très mauvais.
L'album qui raconte la vie du vrai Dracula m'a paru être parfois difficile à suivre. Ça part souvent à droite et à gauche et comme je ne connais pas bien cette époque, je ne comprends pas toujours ce que font certains personnages. Le dernier tome est le pire de la série. Dés la page 5, j'ai tout de suite deviné ce qui me semble être un scénario de série Z.
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Jo, Zette et Jocko
Une oeuvre de commande dans laquelle Hergé n'a pas trop investi. Très typé des années 30-40, une famille modèle qui finit par agacer à la longue, Bob et Bobette étaient nettement plus dynamiques à ce niveau. Il est vrai que Jo, Zette et Jocko souffrent de la proximité du grand frère Tintin. Ca se laisse lire, peut-être à collectionner pour certains, presque un document d'époque avec des bonnes pages à intérieur, mais pas à mettre au panthéon de la BD.
Step up love story
Je situe mal ce manga... Je reconnais que ça peut être utile pour ceux et celles qui débutent mais nous sommes en France, pas au Japon, où la situation est plus... bloquée. Il est vrai que je suis de la génération Love and Peace... ça aide :) Se laisse lire, si on admet une bonne fois pour toutes que le mari est un abruti et que la femme est une naïve à 100%. Si si. A lire par curiosité. J'ai des doutes sur la tenue dans le temps d'une telle histoire. Et donc, 32 volumes au Japon, ça me sidère. Mais bon...
Le Camp-Volant
Je ne sais pas si je suis passé à côté de cette lecture, mais je n'y ai pris que peu de plaisir. Le dessin est pourtant agréable mais la narration a miné le récit. Le contenu n'apporte pas grand chose d'original. Il en faut pour tous les goûts mais je préfère amplement lire un Civiello que ce genre de BD. L'ensemble trop décousu ne laissera pas une trace indélébile dans ma petite mémoire. BD dispensable mais non illisible.
Le Shaolin Cowboy
Je vais être moins tendre que mon prédécesseur. Difficile de développer sur cette BD, le scénario est si inconsistant qu'il tiendrait presque sur un ticket de métro, le personnage principal est moins attachant que l'âne qui lui sert de monture. Les ennemis qu'ils croisent sont des espèces de patchwork constitués d'un peu d'éléments de western, un peu de post-nuke, un peu de nazi, manque plus qu'un peu de SM cuir... ça sent un peu le renfermé tout ça. Pour couronner le tout, ils n'ont guère plus à dire que l'âne du Shaolin Cowboy. Reste les dessins de Darrow dans leur ensemble et les quelques trouvailles dont il parsème les pages, ces infimes détails que l'on prend plaisir à chercher dans cette débauche surchargés d'objet hétéroclites dessinés, mais même sur ce point Geoff Darrow ne convainc pas comme il avait su la faire avec "Hard-Boiled" par exemple. Car si "Hard-Boiled" se suit de façon fluide malgré l'orgie graphique qui s'en dégage, c'est loin d'être le cas avec Shaolin Cowboy. A feuilleter, pourquoi pas ? Le lire c'est une autre histoire. Dommage, pourtant j'aime bien les cow-boys et le Kung-fu... JJJ
Carlos Gardel - La Voix de l'Argentine
Bon, j'avoue que l'Argentine ne m'a jamais fasciné. Et le nom de Carlos Gardel m'est presque inconnu. Mais comme d'habitude cet album m'est passé entre les mains, donc je l'ai lu. Au final cette première partie m'a laissé assez froid. On a droit à une sorte de débat/procès concernant le personnage de Gardel, je dis bien "personnage", puisque la personne est sujette, semble-t-il, à nombre d'interrogations, sur tous ses comportements, sur son identité même. Les auteurs ont donc décidé de prendre des libertés avec le mythe, pour essayer d'en combler de façon fantasmatique les nombreux trous. Positionnement intéressant, mais malheureusement ce la ne m'a pas passionné du tout. En plus je n'ai me vraiment pas le trait de Muñoz, du coup cette lecture a été assez déplaisante, ou plutôt plate en ce qui me concerne.
Necromancy
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. Pourtant, grand admirateur de Fabien Nury -je possède toutes les bd qu'il a scénarisé- j'ai peu accroché à cette histoire qui oscille sans cesse entre fantastique et polar des années de la prohibition. Seuls les rapports père (le personnage de Gordon Devries est un salaud très réussi)-fils vers la fin relance l'intérêt de l'intrigue principale (le mystère de ces morts-vivants), intrigue qui est noyée, à mon avis, dans trop d'éléments annexes. (Règlements de comptes entre bandes rivales, vie amoureuse de Jeff, la vie dissolue de Gordon...). Bref un sentiment mitigé, un sentiment de trop peu ou de pas assez, selon le côté où l'on se place. Mais la suite (et fin) étant prévue dès janvier 2009, je gage que l'histoire va être plus prenante. Reste le dessin de Manini, qui restitue parfaitement l'atmosphère de violence de cet univers mafieux. Un bémol, j'avais quelquefois du mal à reconnaitre tel ou tel personnage d'une page à l'autre.
Le phalanstère du bout du monde
Disons le clairement tout de suite, j'ai bien hésité à mettre 1/5. Car à part le dessin, il n'y a pas grand chose à garder dans cet album... Le trait est maitrisé, le héros a une bonne bouille tout a fait sympathique, l'architecture décalée des lieux est superbe et enfin les jeux d'ombres et de lumières que nous offre le noir et blanc sont une réussite. Mais alors c'est quoi cette histoire ? Enfin si on peut parler d'histoire. Le pauvre Jean déambule dans cet endroit perdu, sans but et sans cohérence. Pas d'intrigue pour captiver l'attention du lecteur et pas non plus d'explication sur les tenants et les aboutissants de ce lieu pourtant si étrange. On a envie de comprendre ce qu'il fait là, qu'est ce que c'est que ce pensionnat, mais on ne le saura jamais. La narration abuse un peu de la voie off, ce qui rend la lecture encore un peu plus fastidieuse. Bref le phalanstère au bout du monde c'est beau, mais c'est ennuyeux.
Père Noël & fils
L'humour de ces gags tournant entre le Père Noel et son fils à qui il veut laisser sa succession pour sa petite entreprise est souvent très prévisible. Les séquences de gags qui occupent plusieurs pages tombent très souvent à plat. L'incursion dans la vie privée du bonhomme en rouge aurait pu s'avérer intéressante... Je m'aperçois que le scénariste est le même que celui de Léonard, une série que je n'avais pas vraiment aimée. Et que viennent faire les frères Dalton dans cette histoire ? Même au pied du sapin et même s'il est offert par le Père Noel, je ne voudrais pas de cette bd à l'humour un peu lourd et pataud. C'est pas franchement mauvais non plus mais ce n'est pas ma tasse de thé (on me pardonnera auprès de la Mère Noel).
Osnira
Les couleurs de Caroline Houdelot sont superbes et les dessins de Jal assez agréables à l'oeil bien qu'assez peu originaux. Mais voilà bien tout ce que j'ai trouvé à sauver dans cette œuvre soporifique. Je n'ai pas accroché à l'histoire qui, mal contée, m'a semblé aussi creuse qu'absconse -- Lisez la légende d'Osnira (que j'ai mise dans la fiche "histoire") pour vous en convaincre --. Je n'ai pas accroché aux dialogues qui par moment m'ont semblé réinventer le schtroumpf (ou le schmilblick c'est selon). Je n'ai pas accroché au faux rythme de l'action de cette œuvre. Je n'ai pas accroché aux personnages enfin, que se soit l'héroïne bête à pleurer et nymphomane ou sa lesbienne de sœur à la sensibilité inexistante ou encore le "méchant" au charisme inexistant, aucun personnage ne m'a semblé fin et intéressant. Cette œuvre sans grand charme autre qu'esthétique m'a ennuyé profondément et je pense qu'il faut être féru d'aventure d'heroic fantasy pour trouver un intérêt à cette BD.
Sur les traces de Dracula
Le seul tome de cette série que j'ai aimé est le deuxième tome qui parle de l'auteur du roman de Dracula. Bien que je soupçonne les auteurs d'avoir un peu romancé la vie de Bram Stoker, j'ai vraiment bien aimé. Il se dégage une ambiance étrange et il y a beaucoup de psychologie comme je l'aime. Malheureusement, les deux autres tomes sont très mauvais. L'album qui raconte la vie du vrai Dracula m'a paru être parfois difficile à suivre. Ça part souvent à droite et à gauche et comme je ne connais pas bien cette époque, je ne comprends pas toujours ce que font certains personnages. Le dernier tome est le pire de la série. Dés la page 5, j'ai tout de suite deviné ce qui me semble être un scénario de série Z.