Inutile, sans intérêt, dispensable, tout simplement.
Bon, l'idée de prendre comme cible le système policier pour faire vivre à ses "héros" des aventures humoristiques, pourquoi pas...
Pourtant, ici, rien ne va :
1) - Le plus triste : ce n'est pas drôle. Mais alors, pas du tout. Le style de BD humoristiques que je déteste, tout simplement. Beaucoup trop niais, sans messages, rien. Du flan.
2) - Le plus dommage : les auteurs ne prennent pas parti. Aucun sens critique, après tout, l'agent 212 est un bon flic, comme tous ses collègues, pas vrai ? Je ne parle pas de faire une BD anti-flic, attention, ne me prêtez pas de propos que je n'ai pas ! Mais la lecture de la série aurait été bien plus intéressante si un réel message était passé en arrière plan... ce qui n'est vraiment pas le cas.
3) - Le plus risible : le dessin. Il est moche, à mon sens. Je n'apprécie pas plus que ça la ligne claire typique franco-belge, et je dois dire que le style de l'agent 212 a plutôt tendance à me faire fuire, en général.
Les couleurs sont loin d'être au top, les personnages ne sont pas beaux... bof
L'Agent 212... circulez, y'a rien à voir (ah ah).
Mon dieu, mais que c'est lourd !!!
J'ai lu un tome et demi de cette série, et c'est hors de question pour moi de continuer. C'est vraiment très chiant.
Tout d'abord, le style narratif est vraiment trop mis en avant, et cette voix off ralenti vraiment le récit, c'est effrayant. Bon, ok, c'est bon pour l'ambiance du conteur au coin du feu qui nous relate les hauts faits d'Arthur et compagnie, mais c'est surtout un bon moyen de dégouter un lecteur de la bande dessinée !
Pourtant, on sent un réel travail de la part des auteurs qui ont du effectuer de grosses recherches documentaires, tant le fond de l'histoire se tient. C'est plutot sur la forme que ça pêche, donc... et pas qu'un peu !
Le dessin est trop brut de décoffrage a mon sens, le trait est trop graas pour le nombre de détails que veut représenter l'auteur. La couleurs quant à elle est sympa, mais vraiment trop classique. Dommage !
Houlà que ce truc est laid ! C'est du porno basique, dialogues lourds, histoire inexistante (en gros le canevas narratif est : ça baise, quelqu'un arrive, ça rebaise, quelqu'un d'autre arrive, ça rebaise...), les gars ont une bite hypertrophiée, les nanas ont des seins comme des obus, pour ne rien gâcher, on y trouve aussi une femme enceinte, des nanas avec des bites et des "vas-y que je te pisse dessus"... Personnellement, tout ça ne m'excite pas vraiment... pas du tout même, cela m'inspire même un certain dégoût. Aucune sensualité, aucune dose d'érotisme, c'est du porno pur. Vulgaire et inintéressant... La typographie n'est pas faite à la main, ça vient gâcher un peu plus ces planches aux couleurs douteuses (j'ai jamais aimé les Color Twins, je me demande même s'ils ne sont pas daltoniens...).
Alors là, non, je ne peux pas lire ça.
On m'a prêté les 4 tomes, et j'ai été obligé de me forcer pour lire le 2, et j'ai carrement arrêté à la fin de ce T2.
C'est une véritable misère à lire cette BD.
Robin essaie de créer une atmosphère mystique féerique poétique, mais n'arrive, selon moi, qu'à des lenteurs et des lourdeurs dans son scénario.
Par contre, le dessin est original et déjà très personnel, et la mise en page le sert très bien.
Seulement, je ne lirai certainement jamais la suite...
Des sept histoires présentées dans cet album, une seule me plaît, scénaristiquement et graphiquement, il s'agit de "Frères de sang". Les autres sont trop courtes, souvent trop confuses ou trop brouillonnes. J’ai bien du mal à voir où l’auteur veut en venir, la plupart du temps, les personnages sont trop distants, l’intrigue trop confuse ou inintéressante. Les textes récitatifs très présents sont rédigés dans un style lourd et prétentieux (à moins que cela soit un problème de traduction). Graphiquement, Schultheis passe d'une technique à l'autre sans toutefois briller à chaque fois. Un album de Schultheis qui ressemble à des fonds de tiroirs qu’on a rangé sous un titre vaguement attirant.
Amitié entre un humain et un animal, au-delà de la raison, conditions climatiques épouvantables, époque et hommes sans concession, morale omniprésente... Pas de doute, voici une BD véhiculant un certain nombre d'idéaux et de clichés un peu dépassés, même à l'époque de sa publication (1983). Le dessin est très très moyen, il n'y a pas de rythme... Et comment croire à cette petite fille qui a pu aller au bout du Yukon ?
A oublier vite fait.
Encore moins intéressant que La mutation, du même auteur.
Soit on apprécie le style, et on peut le lire comme une parenthèse atypique, onirique et mystérieuse de la bd, soit on attend un peu plus de ce genre "d'exercice de style graphique" et on le lit comme quelque chose de trop léger, presque facile... décevant.
Hum.
Je vais me prendre les foudres de pas mal de monde, mais cet avis est sincère (j'aurais préféré mettre un bon avis !)
Je ne comprends pas qu'on dise tant de bien de cette BD.
Le dessin est des plus simpliste, il ne me fait pas voyager, rêver. C'est même parfois plutôt laid.
Et les histoires... oulà... euh... on ne peut pas faire plus chiant tellement ça traine en longueurs.
Nan, sérieux, faut pas pousser là.
un dessin minimaliste, ça peut etre amusant ou original, selon le fond de l'histoire, mais là, faut pas pousser, c'est vraiment mauvais.
on dirait une dande dessinée faite par un enfant de 6 ans : dessin irregulier et plutot pas esthetique, et scenar frisant la debilité.
je n'arrive pas à comprendre comment ce genre de truc peut se faire editer.
peut etre l'auteur a t il un grand talent, je ne sais pas, mais là en tout cas, il s'est economisé...
Arrrgggghh, déception, déception, déception !!!
Je me suis fais avoir comme un bleu, là : à une séance de dédicace de Christine Oudot dans ma librairie habituelle, je tombe sur cet album signé par le grand, très grand Loisel.
Bon, je feuillete ça vite fais, le dessin est plutot laid, bien dans le style humoristique que j'aime pas trop. Pourtant, le p'tit chien est mimi comme tout, alors voila déja le sujet de la dédicace acquis.
Allez, durant la séance, je continue à parcourir les pages, en analysant un peu le dessin : ouais, pas gégé, beaucoup trop rond à mon gout. Encrage noir et blanc pas dégueulasse, mais formes beaucoup trop rondes, et style super désagréable sur les visages : les deux yeux du meme coté du visage, lorsqu'un perso est vu de profil, style "Picasso", qui donne un effet super laid.
M'en fout, je passe sur le dessin, c'est du Loisel, donc c'est bien ! Sombre crétin que je suis...
Bon, je risque d'etre un peu direct, mais voila : c'est nul. Mais alors, nullissime, hein !
Pas drôle du tout, et la poésie de Loisel que l'on connait dans Peter Pan, elle est rangée au placard, clairement !
Je vous passe les dialogues super pompeux, l'histoire sans intérêt... le style lourdingue. J'arrive pas à croire que l'on ait affaire au meme auteur, là. Fou ça !!
Reste que cet album est cher (plus de 17 €) et que c'est vraiment de l'argent gaspillé... album que ma librairie ne me reprendra pas, vu qu'il est dédicassé. Joie.
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L'Agent 212
Inutile, sans intérêt, dispensable, tout simplement. Bon, l'idée de prendre comme cible le système policier pour faire vivre à ses "héros" des aventures humoristiques, pourquoi pas... Pourtant, ici, rien ne va : 1) - Le plus triste : ce n'est pas drôle. Mais alors, pas du tout. Le style de BD humoristiques que je déteste, tout simplement. Beaucoup trop niais, sans messages, rien. Du flan. 2) - Le plus dommage : les auteurs ne prennent pas parti. Aucun sens critique, après tout, l'agent 212 est un bon flic, comme tous ses collègues, pas vrai ? Je ne parle pas de faire une BD anti-flic, attention, ne me prêtez pas de propos que je n'ai pas ! Mais la lecture de la série aurait été bien plus intéressante si un réel message était passé en arrière plan... ce qui n'est vraiment pas le cas. 3) - Le plus risible : le dessin. Il est moche, à mon sens. Je n'apprécie pas plus que ça la ligne claire typique franco-belge, et je dois dire que le style de l'agent 212 a plutôt tendance à me faire fuire, en général. Les couleurs sont loin d'être au top, les personnages ne sont pas beaux... bof L'Agent 212... circulez, y'a rien à voir (ah ah).
Arthur
Mon dieu, mais que c'est lourd !!! J'ai lu un tome et demi de cette série, et c'est hors de question pour moi de continuer. C'est vraiment très chiant. Tout d'abord, le style narratif est vraiment trop mis en avant, et cette voix off ralenti vraiment le récit, c'est effrayant. Bon, ok, c'est bon pour l'ambiance du conteur au coin du feu qui nous relate les hauts faits d'Arthur et compagnie, mais c'est surtout un bon moyen de dégouter un lecteur de la bande dessinée ! Pourtant, on sent un réel travail de la part des auteurs qui ont du effectuer de grosses recherches documentaires, tant le fond de l'histoire se tient. C'est plutot sur la forme que ça pêche, donc... et pas qu'un peu ! Le dessin est trop brut de décoffrage a mon sens, le trait est trop graas pour le nombre de détails que veut représenter l'auteur. La couleurs quant à elle est sympa, mais vraiment trop classique. Dommage !
Agapê
Houlà que ce truc est laid ! C'est du porno basique, dialogues lourds, histoire inexistante (en gros le canevas narratif est : ça baise, quelqu'un arrive, ça rebaise, quelqu'un d'autre arrive, ça rebaise...), les gars ont une bite hypertrophiée, les nanas ont des seins comme des obus, pour ne rien gâcher, on y trouve aussi une femme enceinte, des nanas avec des bites et des "vas-y que je te pisse dessus"... Personnellement, tout ça ne m'excite pas vraiment... pas du tout même, cela m'inspire même un certain dégoût. Aucune sensualité, aucune dose d'érotisme, c'est du porno pur. Vulgaire et inintéressant... La typographie n'est pas faite à la main, ça vient gâcher un peu plus ces planches aux couleurs douteuses (j'ai jamais aimé les Color Twins, je me demande même s'ils ne sont pas daltoniens...).
Rouge de Chine
Alors là, non, je ne peux pas lire ça. On m'a prêté les 4 tomes, et j'ai été obligé de me forcer pour lire le 2, et j'ai carrement arrêté à la fin de ce T2. C'est une véritable misère à lire cette BD. Robin essaie de créer une atmosphère mystique féerique poétique, mais n'arrive, selon moi, qu'à des lenteurs et des lourdeurs dans son scénario. Par contre, le dessin est original et déjà très personnel, et la mise en page le sert très bien. Seulement, je ne lirai certainement jamais la suite...
Losers
Des sept histoires présentées dans cet album, une seule me plaît, scénaristiquement et graphiquement, il s'agit de "Frères de sang". Les autres sont trop courtes, souvent trop confuses ou trop brouillonnes. J’ai bien du mal à voir où l’auteur veut en venir, la plupart du temps, les personnages sont trop distants, l’intrigue trop confuse ou inintéressante. Les textes récitatifs très présents sont rédigés dans un style lourd et prétentieux (à moins que cela soit un problème de traduction). Graphiquement, Schultheis passe d'une technique à l'autre sans toutefois briller à chaque fois. Un album de Schultheis qui ressemble à des fonds de tiroirs qu’on a rangé sous un titre vaguement attirant.
Ayak
Amitié entre un humain et un animal, au-delà de la raison, conditions climatiques épouvantables, époque et hommes sans concession, morale omniprésente... Pas de doute, voici une BD véhiculant un certain nombre d'idéaux et de clichés un peu dépassés, même à l'époque de sa publication (1983). Le dessin est très très moyen, il n'y a pas de rythme... Et comment croire à cette petite fille qui a pu aller au bout du Yukon ? A oublier vite fait.
Le coeur des ombres
Encore moins intéressant que La mutation, du même auteur. Soit on apprécie le style, et on peut le lire comme une parenthèse atypique, onirique et mystérieuse de la bd, soit on attend un peu plus de ce genre "d'exercice de style graphique" et on le lit comme quelque chose de trop léger, presque facile... décevant.
Corto Maltese
Hum. Je vais me prendre les foudres de pas mal de monde, mais cet avis est sincère (j'aurais préféré mettre un bon avis !) Je ne comprends pas qu'on dise tant de bien de cette BD. Le dessin est des plus simpliste, il ne me fait pas voyager, rêver. C'est même parfois plutôt laid. Et les histoires... oulà... euh... on ne peut pas faire plus chiant tellement ça traine en longueurs. Nan, sérieux, faut pas pousser là.
Kratochvil
un dessin minimaliste, ça peut etre amusant ou original, selon le fond de l'histoire, mais là, faut pas pousser, c'est vraiment mauvais. on dirait une dande dessinée faite par un enfant de 6 ans : dessin irregulier et plutot pas esthetique, et scenar frisant la debilité. je n'arrive pas à comprendre comment ce genre de truc peut se faire editer. peut etre l'auteur a t il un grand talent, je ne sais pas, mais là en tout cas, il s'est economisé...
Fanfreluches pour une sirène
Arrrgggghh, déception, déception, déception !!! Je me suis fais avoir comme un bleu, là : à une séance de dédicace de Christine Oudot dans ma librairie habituelle, je tombe sur cet album signé par le grand, très grand Loisel. Bon, je feuillete ça vite fais, le dessin est plutot laid, bien dans le style humoristique que j'aime pas trop. Pourtant, le p'tit chien est mimi comme tout, alors voila déja le sujet de la dédicace acquis. Allez, durant la séance, je continue à parcourir les pages, en analysant un peu le dessin : ouais, pas gégé, beaucoup trop rond à mon gout. Encrage noir et blanc pas dégueulasse, mais formes beaucoup trop rondes, et style super désagréable sur les visages : les deux yeux du meme coté du visage, lorsqu'un perso est vu de profil, style "Picasso", qui donne un effet super laid. M'en fout, je passe sur le dessin, c'est du Loisel, donc c'est bien ! Sombre crétin que je suis... Bon, je risque d'etre un peu direct, mais voila : c'est nul. Mais alors, nullissime, hein ! Pas drôle du tout, et la poésie de Loisel que l'on connait dans Peter Pan, elle est rangée au placard, clairement ! Je vous passe les dialogues super pompeux, l'histoire sans intérêt... le style lourdingue. J'arrive pas à croire que l'on ait affaire au meme auteur, là. Fou ça !! Reste que cet album est cher (plus de 17 €) et que c'est vraiment de l'argent gaspillé... album que ma librairie ne me reprendra pas, vu qu'il est dédicassé. Joie.