Cette BD de Davodeau m'a énervée. Je trouve son propos vraiment décalé par rapport à la réalité, voire presque prétencieux; Davodeau prend ce milieu de haut et livre une satyre très manichéenne et bien peu crédible: la star qui va voir un fan, se fait enlever, couper un doigt, m'est avis qu'il a un minimum de gardes du corps normalement non?. Enfin, il y a une espèce de niaiserie qui entoure le tout qui me rend l'ensemble insuportable. Ce que je déteste dans Davodeau alors que d'autres de ses oeuvres, plus subtiles et moins donneuses de leçons, peuvent m'enchanter (cf Chute de Vélo).
Vraiment trop répétitif et pas franchement hilarant; ça devrait rester en mag. Je sais pas comment Cauvin a fait pour produire autant d'albums. Plutôt pour les marmots en plus. De la BD humour Dupuis dans toute sa "splendeur".
Buck Danny, j'ai toujours détesté même quand j'était gamin. Et pourtant j'aime beaucoup Barbe-Rouge du tandem Charlier/Hubinon. Mais là, je sais pas si c'est le côté militaire ou la redondance des histoires, toujours est-il que je n'ai jamais pu lire plus de 20 pages. C'est vraiment daté; d'ailleurs ça l'était déjà il y a 15 ans.
Mais alors ça... Franchement cette série n'a rien d'exceptionnel. c'est tous les critères basiques d'un film d'action en concentré retranscrits en bd. Un gentil navet, en quelque short. Ca se laisse lire passablement.
Les dessins, sans être mauvais, pourraient vraiment être améliorés, histoire de donner une dimension un peu plus recherchée que celle de "air force one" ou "volcano".
Quant au scénario, eh bien c'est de la série B sans aucun additif ni conservateur, ce qui laisse un goût fadasse de facilité. Du concentré d'action qui perd tout son sens, sans subtilité aucune. Moi ça ne m'intéresse pas du tout, ce genre de chose, tout simplement parce que des mecs qui se flinguent et qui cascadent juste pour le spectacle, soit c'est très bien réalisé et ça passe, soit c'est médiocre. Et là c'est très médiocre.
Dany sait dessiner les filles, mais ce n'est ici que le seul élément intéressant de la bd. Les histoires en elles-mêmes sont gentillettes mais peu originales. Rien à signaler, donc.
Que c'est naze, ce principe des 500 idées pour... rien n'est drôle, tout est sur le même registre. 500 d'un coup, faut vraiment le vouloir pour s'emmerder à réaliser ça.
Bon, pour moi ça c'est représentatif de l'humour de masse, voir beauf' (et je tiens à préciser que je ne dénigre ici que le produit et non pas les éventuels lecteurs :)). Je peux pas. J'accroche pas. Aucun gag n'est bon, le principe même de la série est totalement foireux.
Mwahaha... en voyant le titre de cette bd, j'avais cru lire l'alkotest, et puis après l'akaeltest. Bon, j'étais pas dans un super état, j'avoue, mais c'était bien assez pour me rendre compte que cet album est encore une fois le début d'une série pourrie aux dessins laids et aux couleurs banales.
Je n'aime absolument pas cet étalage de vie privé très malsain, comme si on avait publié les pages d'un journal intime, mais aussi que son journal intime avait été écrit dans le but d'être publié. J'ai toujours pensé Larcenet un peu mégalo sur les bords, sa démarche ne fait que confirmer ce que je pensais. Et alors quoi ? Il publie un exutoire qui ne concerne que lui, mais ça n'est pas de la bd .(D'ailleurs je ne sais même pas pourquoi c'est listé ici, mais bon, sujet litigieux, chut. :)) On ne lit pas Larcenet pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il fait. On lit pas un poète parcequ'il est fou ou drogué, on le lit pour ses poèmes. Sa vie n'a pas à être psychanalysée aux quatre vents. Oui ça peut se réveler utile pour comprendre l'oeuvre, mais ça n'a vraiment rien de commun avec son oeuvre elle-même.
Autant j'avais réussi à accrocher doucement à Je ne t'ai jamais aimé du même auteur, autant cet album me laisse profondément indifférente.
Ce style sobre qui avait dû faire l'unanimité à la sortie de son premier ouvrage semble dès le second être emprunt de facilité et de redondances en tout genre.
Le sujet, la manière dont il est traité : "je vous parle de quelque chose de tabou mais pas trop" est vraiment très à la mode dans les nouveaux comics, et cette recette m'emmerde vite. Autant elle peut être efficace lorsqu'il s'agit de situations plus intéressantes, autant elle peut être franchement risible et considérée comme du véritable grattage de nombril dans cet album-ci.
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Cette BD de Davodeau m'a énervée. Je trouve son propos vraiment décalé par rapport à la réalité, voire presque prétencieux; Davodeau prend ce milieu de haut et livre une satyre très manichéenne et bien peu crédible: la star qui va voir un fan, se fait enlever, couper un doigt, m'est avis qu'il a un minimum de gardes du corps normalement non?. Enfin, il y a une espèce de niaiserie qui entoure le tout qui me rend l'ensemble insuportable. Ce que je déteste dans Davodeau alors que d'autres de ses oeuvres, plus subtiles et moins donneuses de leçons, peuvent m'enchanter (cf Chute de Vélo).
L'Agent 212
Vraiment trop répétitif et pas franchement hilarant; ça devrait rester en mag. Je sais pas comment Cauvin a fait pour produire autant d'albums. Plutôt pour les marmots en plus. De la BD humour Dupuis dans toute sa "splendeur".
Buck Danny
Buck Danny, j'ai toujours détesté même quand j'était gamin. Et pourtant j'aime beaucoup Barbe-Rouge du tandem Charlier/Hubinon. Mais là, je sais pas si c'est le côté militaire ou la redondance des histoires, toujours est-il que je n'ai jamais pu lire plus de 20 pages. C'est vraiment daté; d'ailleurs ça l'était déjà il y a 15 ans.
Carmen Mc Callum
Mais alors ça... Franchement cette série n'a rien d'exceptionnel. c'est tous les critères basiques d'un film d'action en concentré retranscrits en bd. Un gentil navet, en quelque short. Ca se laisse lire passablement. Les dessins, sans être mauvais, pourraient vraiment être améliorés, histoire de donner une dimension un peu plus recherchée que celle de "air force one" ou "volcano". Quant au scénario, eh bien c'est de la série B sans aucun additif ni conservateur, ce qui laisse un goût fadasse de facilité. Du concentré d'action qui perd tout son sens, sans subtilité aucune. Moi ça ne m'intéresse pas du tout, ce genre de chose, tout simplement parce que des mecs qui se flinguent et qui cascadent juste pour le spectacle, soit c'est très bien réalisé et ça passe, soit c'est médiocre. Et là c'est très médiocre.
Ca vous intéresse ? (Juste pour rire)
Dany sait dessiner les filles, mais ce n'est ici que le seul élément intéressant de la bd. Les histoires en elles-mêmes sont gentillettes mais peu originales. Rien à signaler, donc.
500 idées pour glander au boulot
Que c'est naze, ce principe des 500 idées pour... rien n'est drôle, tout est sur le même registre. 500 d'un coup, faut vraiment le vouloir pour s'emmerder à réaliser ça.
500 idées pour être un type en or
Bon, pour moi ça c'est représentatif de l'humour de masse, voir beauf' (et je tiens à préciser que je ne dénigre ici que le produit et non pas les éventuels lecteurs :)). Je peux pas. J'accroche pas. Aucun gag n'est bon, le principe même de la série est totalement foireux.
L'Alkaest
Mwahaha... en voyant le titre de cette bd, j'avais cru lire l'alkotest, et puis après l'akaeltest. Bon, j'étais pas dans un super état, j'avoue, mais c'était bien assez pour me rendre compte que cet album est encore une fois le début d'une série pourrie aux dessins laids et aux couleurs banales.
L'artiste de la famille
Je n'aime absolument pas cet étalage de vie privé très malsain, comme si on avait publié les pages d'un journal intime, mais aussi que son journal intime avait été écrit dans le but d'être publié. J'ai toujours pensé Larcenet un peu mégalo sur les bords, sa démarche ne fait que confirmer ce que je pensais. Et alors quoi ? Il publie un exutoire qui ne concerne que lui, mais ça n'est pas de la bd .(D'ailleurs je ne sais même pas pourquoi c'est listé ici, mais bon, sujet litigieux, chut. :)) On ne lit pas Larcenet pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il fait. On lit pas un poète parcequ'il est fou ou drogué, on le lit pour ses poèmes. Sa vie n'a pas à être psychanalysée aux quatre vents. Oui ça peut se réveler utile pour comprendre l'oeuvre, mais ça n'a vraiment rien de commun avec son oeuvre elle-même.
Le Playboy
Autant j'avais réussi à accrocher doucement à Je ne t'ai jamais aimé du même auteur, autant cet album me laisse profondément indifférente. Ce style sobre qui avait dû faire l'unanimité à la sortie de son premier ouvrage semble dès le second être emprunt de facilité et de redondances en tout genre. Le sujet, la manière dont il est traité : "je vous parle de quelque chose de tabou mais pas trop" est vraiment très à la mode dans les nouveaux comics, et cette recette m'emmerde vite. Autant elle peut être efficace lorsqu'il s'agit de situations plus intéressantes, autant elle peut être franchement risible et considérée comme du véritable grattage de nombril dans cet album-ci.