Alors là je ne pige pas Glénat...
Un scénario d'une platitude extrême et des dessins classiques, mais pas mauvais.
Ma critique est surtout basée sur une histoire....euh...une histoire?
A éviter
Il y a quelques années, alors que je n'étais encore qu'un jeune ado complètement c**, quand je voyais ces couv' ornées du chiffre satanique et de filles dévêtues, je me disais, "ouah, p*****, ça doit être trop la classe cette BD".
Cette année, alors que me voilà devenu un vieil ado complètement c**, j'ai enfin lu cette série (bon, pas toute la série, c'est vrai, juste les 2 premiers tomes) et, comment dire, bah, je crois que j'ai malheureusement passé l'âge limite de consommation d'un produit pareil. A 13 ou 15 ans, j'aurais peut-être trouvé tout ça génial, vachement drôle, irrévérencieux et émoustillant ; aujourd'hui, ça me semble juste laborieux, prétentieux et beauf. Aujourd'hui, des scènes "choc" comme le viol d'une reporter télé par un démon face à sa propre caméra ou le massacre d'un couple en pleine partie de jambes en l'air ne sont pas des arguments suffisamment convaincants pour m'amener à m'infliger un semblant de scénar poussif, bateau et ennuyeux (j'aurais mieux fait de dire simplement "un scénar signé Froideval", c'était plus court et ça en disait aussi long), des dialogues idiots, un humour raz-des-pâquerettes, le tout plaqué sur des dessins tape-à-l'oeil, élégants comme un tatouage de hard rocker ou un calendrier pour routiers. Le pire est qu'on sent que ça se veut hyper drôle et provocateur et que, si vous n'aimez pas, les auteurs et les fans rétorqueront tout fiers d'eux que c'est parce que vous n'êtes qu'un cul-bénit/cul-serré incapable de comprendre que tout ça est à prendre au 112ème degré. Or, pour vous dire à quel point tout ça est provocateur : à l'époque où ça sortait, on le trouvait dans n'importe quel supermarché "Carrefour", une chaîne de magasins pas particulièrement réputée pour être un haut-lieu de la contestation et de la défense de la BD underground, vous en conviendrez. La provocation, pour moi, ça doit être un peu plus que des scènes gore, du cul vulgaire et un pseudo-curé avec des flingues dans les pognes... Quand au 112ème degré, ben, c'est un argument classique pour excuser la complaisance dans la connerie, mais sur ce coup-là, ça ne prend pas, désolé !
01/20 (toujours ce fichu pb du papier et de l'encre)
Je ne suis pas fan d'himour lourd, mais là c'est mêmepas lourd ça n'a au cun intéret, deplus notre héros est il vraiment un obsédé sexuel??? je suis pas bien sur.
une série qui ne fait pas rire et même pas sourire!!!!
A EVITER
J'ai tenté la lecture de cette série uniquement à cause des auteurs.
Pour l'instant je pense qu'Eric OMOND est bien plus à l'aise et très performant dans la catégorie jeunesse, ainsi que son compère dessinateur.
C'est creux... bref, sans intérêt.
Tout d'abord une anecdote passionnante : cette BD a reçu une bonne critique dans la revue "Alternatives économiques", magazine réputé pour sa rubrique "bandes dessinées" comme chacun sait, et c'est ce qui a amené la bibliothèque où je bosse à en faire l'acquisition. Et dire que pendant ce temps, on me refuse tous les comics que je propose à l'achat sous prétexte que "est-ce que les comics ont vraiment leur place dans une bibliothèque ?"...
Donc, non, les comics n'ont pas leur place dans nos belles bibliothèques françaises, mais les navets oui, du moment qu'ils sont bien d'chez nous. "A la recherche du non-emploi" est une de ces BD d'humour franchouillard lourdingue et pas drôle dont l'Echo des Savanes a le secret. Ca joue la carte de la satire sociale, ça lorgne du côté de Tronchet pour le côté "rions un peu avec les pauvres et les abrutis", mais ça n'arrive pas à la cheville des oeuvres du grrrrrand Didier et ça ne pisse franchement pas très loin. Dans le même genre, même Les Losers sont des perdants qui est bien loin d'être un chef-d'oeuvre est quand même 10 fois mieux. Le dessin, au style pompé sur Florence Cestac, n'est déjà pas terrible, mais le pire n'est pas là. On ne rit jamais, tout au plus sourit-on deux ou trois fois (ce qui en 44 pages, est vraiment peu, vous en conviendrez) ; c'est beauf, c'est lourd, c'est idiot... Bref, un album médiocre, à oublier rapidement.
01/20 (à cause des arbres coupé pour imprimer ce navet)
C'est par hazard que j'ai acheté le premier tome de cette série... la couverture était sympa, et a la vu les auteurs je m'était dit qu'il y aurait surement du bon la dedans...
OH LA LA QUELLE ERREUR... le scénario est pire que minable, un gamin de 5° ferait mieux, et les dessin sont d'un lamentable (même si je ne serais pas capable d'en faire autant... ;) )
m'enfin c'te daube a rejoind Hard boiled pour caller l'armoire
Inutile, sans intérêt, dispensable, tout simplement.
Bon, l'idée de prendre comme cible le système policier pour faire vivre à ses "héros" des aventures humoristiques, pourquoi pas...
Pourtant, ici, rien ne va :
1) - Le plus triste : ce n'est pas drôle. Mais alors, pas du tout. Le style de BD humoristiques que je déteste, tout simplement. Beaucoup trop niais, sans messages, rien. Du flan.
2) - Le plus dommage : les auteurs ne prennent pas parti. Aucun sens critique, après tout, l'agent 212 est un bon flic, comme tous ses collègues, pas vrai ? Je ne parle pas de faire une BD anti-flic, attention, ne me prêtez pas de propos que je n'ai pas ! Mais la lecture de la série aurait été bien plus intéressante si un réel message était passé en arrière plan... ce qui n'est vraiment pas le cas.
3) - Le plus risible : le dessin. Il est moche, à mon sens. Je n'apprécie pas plus que ça la ligne claire typique franco-belge, et je dois dire que le style de l'agent 212 a plutôt tendance à me faire fuire, en général.
Les couleurs sont loin d'être au top, les personnages ne sont pas beaux... bof
L'Agent 212... circulez, y'a rien à voir (ah ah).
Mon dieu, mais que c'est lourd !!!
J'ai lu un tome et demi de cette série, et c'est hors de question pour moi de continuer. C'est vraiment très chiant.
Tout d'abord, le style narratif est vraiment trop mis en avant, et cette voix off ralenti vraiment le récit, c'est effrayant. Bon, ok, c'est bon pour l'ambiance du conteur au coin du feu qui nous relate les hauts faits d'Arthur et compagnie, mais c'est surtout un bon moyen de dégouter un lecteur de la bande dessinée !
Pourtant, on sent un réel travail de la part des auteurs qui ont du effectuer de grosses recherches documentaires, tant le fond de l'histoire se tient. C'est plutot sur la forme que ça pêche, donc... et pas qu'un peu !
Le dessin est trop brut de décoffrage a mon sens, le trait est trop graas pour le nombre de détails que veut représenter l'auteur. La couleurs quant à elle est sympa, mais vraiment trop classique. Dommage !
Houlà que ce truc est laid ! C'est du porno basique, dialogues lourds, histoire inexistante (en gros le canevas narratif est : ça baise, quelqu'un arrive, ça rebaise, quelqu'un d'autre arrive, ça rebaise...), les gars ont une bite hypertrophiée, les nanas ont des seins comme des obus, pour ne rien gâcher, on y trouve aussi une femme enceinte, des nanas avec des bites et des "vas-y que je te pisse dessus"... Personnellement, tout ça ne m'excite pas vraiment... pas du tout même, cela m'inspire même un certain dégoût. Aucune sensualité, aucune dose d'érotisme, c'est du porno pur. Vulgaire et inintéressant... La typographie n'est pas faite à la main, ça vient gâcher un peu plus ces planches aux couleurs douteuses (j'ai jamais aimé les Color Twins, je me demande même s'ils ne sont pas daltoniens...).
Alors là, non, je ne peux pas lire ça.
On m'a prêté les 4 tomes, et j'ai été obligé de me forcer pour lire le 2, et j'ai carrement arrêté à la fin de ce T2.
C'est une véritable misère à lire cette BD.
Robin essaie de créer une atmosphère mystique féerique poétique, mais n'arrive, selon moi, qu'à des lenteurs et des lourdeurs dans son scénario.
Par contre, le dessin est original et déjà très personnel, et la mise en page le sert très bien.
Seulement, je ne lirai certainement jamais la suite...
En France, les livres sont au même prix partout. C'est la loi !
Avec BDfugue, vous payez donc le même prix qu'avec les géants de la vente en ligne mais pour un meilleur service :
des promotions et des goodies en permanence
des réceptions en super état grâce à des cartons super robustes
une équipe joignable en cas de besoin
2. C'est plus avantageux pour nous
Si BDthèque est gratuit, il a un coût.
Pour financer le service et le faire évoluer, nous dépendons notamment des achats que vous effectuez depuis le site. En effet, à chaque fois que vous commencez vos achats depuis BDthèque, nous touchons une commission. Or, BDfugue est plus généreux que les géants de la vente en ligne !
3. C'est plus avantageux pour votre communauté
En choisissant BDfugue plutôt que de grandes plateformes de vente en ligne, vous faites la promotion du commerce local, spécialisé, éthique et indépendant.
Meilleur pour les emplois, meilleur pour les impôts, la librairie indépendante promeut l'émergence des nouvelles séries et donc nos futurs coups de cœur.
Chaque commande effectuée génère aussi un don à l'association Enfance & Partage qui défend et protège les enfants maltraités. Plus d'informations sur bdfugue.com
Pourquoi Cultura ?
Indépendante depuis sa création en 1998, Cultura se donne pour mission de faire vivre et aimer la culture.
La création de Cultura repose sur une vision de la culture, accessible et contributive. Nous avons ainsi considéré depuis toujours notre responsabilité sociétale, et par conviction, développé les pratiques durables et sociales. C’est maintenant au sein de notre stratégie de création de valeur et en accord avec les Objectifs de Développement Durable que nous déployons nos actions. Nous traitons avec lucidité l’impact de nos activités, avec une vision de long terme. Mais agir en responsabilité implique d’aller bien plus loin, en contribuant positivement à trois grands enjeux de développement durable.
Nos enjeux environnementaux
Nous sommes résolument engagés dans la réduction de notre empreinte carbone, pour prendre notre part dans la lutte contre le réchauffement climatique et la préservation de la planète.
Nos enjeux culturels et sociétaux
La mission de Cultura est de faire vivre et aimer la culture. Pour cela, nous souhaitons stimuler la diversité des pratiques culturelles, sources d’éveil et d’émancipation.
Nos enjeux sociaux
Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
Votre vote
Le Gardien de la Lance
Alors là je ne pige pas Glénat... Un scénario d'une platitude extrême et des dessins classiques, mais pas mauvais. Ma critique est surtout basée sur une histoire....euh...une histoire? A éviter
666
Il y a quelques années, alors que je n'étais encore qu'un jeune ado complètement c**, quand je voyais ces couv' ornées du chiffre satanique et de filles dévêtues, je me disais, "ouah, p*****, ça doit être trop la classe cette BD". Cette année, alors que me voilà devenu un vieil ado complètement c**, j'ai enfin lu cette série (bon, pas toute la série, c'est vrai, juste les 2 premiers tomes) et, comment dire, bah, je crois que j'ai malheureusement passé l'âge limite de consommation d'un produit pareil. A 13 ou 15 ans, j'aurais peut-être trouvé tout ça génial, vachement drôle, irrévérencieux et émoustillant ; aujourd'hui, ça me semble juste laborieux, prétentieux et beauf. Aujourd'hui, des scènes "choc" comme le viol d'une reporter télé par un démon face à sa propre caméra ou le massacre d'un couple en pleine partie de jambes en l'air ne sont pas des arguments suffisamment convaincants pour m'amener à m'infliger un semblant de scénar poussif, bateau et ennuyeux (j'aurais mieux fait de dire simplement "un scénar signé Froideval", c'était plus court et ça en disait aussi long), des dialogues idiots, un humour raz-des-pâquerettes, le tout plaqué sur des dessins tape-à-l'oeil, élégants comme un tatouage de hard rocker ou un calendrier pour routiers. Le pire est qu'on sent que ça se veut hyper drôle et provocateur et que, si vous n'aimez pas, les auteurs et les fans rétorqueront tout fiers d'eux que c'est parce que vous n'êtes qu'un cul-bénit/cul-serré incapable de comprendre que tout ça est à prendre au 112ème degré. Or, pour vous dire à quel point tout ça est provocateur : à l'époque où ça sortait, on le trouvait dans n'importe quel supermarché "Carrefour", une chaîne de magasins pas particulièrement réputée pour être un haut-lieu de la contestation et de la défense de la BD underground, vous en conviendrez. La provocation, pour moi, ça doit être un peu plus que des scènes gore, du cul vulgaire et un pseudo-curé avec des flingues dans les pognes... Quand au 112ème degré, ben, c'est un argument classique pour excuser la complaisance dans la connerie, mais sur ce coup-là, ça ne prend pas, désolé !
Obsédé Sexuel
01/20 (toujours ce fichu pb du papier et de l'encre) Je ne suis pas fan d'himour lourd, mais là c'est mêmepas lourd ça n'a au cun intéret, deplus notre héros est il vraiment un obsédé sexuel??? je suis pas bien sur. une série qui ne fait pas rire et même pas sourire!!!! A EVITER
Ninie Rezergoude
J'ai tenté la lecture de cette série uniquement à cause des auteurs. Pour l'instant je pense qu'Eric OMOND est bien plus à l'aise et très performant dans la catégorie jeunesse, ainsi que son compère dessinateur. C'est creux... bref, sans intérêt.
A la recherche du non-emploi
Tout d'abord une anecdote passionnante : cette BD a reçu une bonne critique dans la revue "Alternatives économiques", magazine réputé pour sa rubrique "bandes dessinées" comme chacun sait, et c'est ce qui a amené la bibliothèque où je bosse à en faire l'acquisition. Et dire que pendant ce temps, on me refuse tous les comics que je propose à l'achat sous prétexte que "est-ce que les comics ont vraiment leur place dans une bibliothèque ?"... Donc, non, les comics n'ont pas leur place dans nos belles bibliothèques françaises, mais les navets oui, du moment qu'ils sont bien d'chez nous. "A la recherche du non-emploi" est une de ces BD d'humour franchouillard lourdingue et pas drôle dont l'Echo des Savanes a le secret. Ca joue la carte de la satire sociale, ça lorgne du côté de Tronchet pour le côté "rions un peu avec les pauvres et les abrutis", mais ça n'arrive pas à la cheville des oeuvres du grrrrrand Didier et ça ne pisse franchement pas très loin. Dans le même genre, même Les Losers sont des perdants qui est bien loin d'être un chef-d'oeuvre est quand même 10 fois mieux. Le dessin, au style pompé sur Florence Cestac, n'est déjà pas terrible, mais le pire n'est pas là. On ne rit jamais, tout au plus sourit-on deux ou trois fois (ce qui en 44 pages, est vraiment peu, vous en conviendrez) ; c'est beauf, c'est lourd, c'est idiot... Bref, un album médiocre, à oublier rapidement.
Argyll de Maracande
01/20 (à cause des arbres coupé pour imprimer ce navet) C'est par hazard que j'ai acheté le premier tome de cette série... la couverture était sympa, et a la vu les auteurs je m'était dit qu'il y aurait surement du bon la dedans... OH LA LA QUELLE ERREUR... le scénario est pire que minable, un gamin de 5° ferait mieux, et les dessin sont d'un lamentable (même si je ne serais pas capable d'en faire autant... ;) ) m'enfin c'te daube a rejoind Hard boiled pour caller l'armoire
L'Agent 212
Inutile, sans intérêt, dispensable, tout simplement. Bon, l'idée de prendre comme cible le système policier pour faire vivre à ses "héros" des aventures humoristiques, pourquoi pas... Pourtant, ici, rien ne va : 1) - Le plus triste : ce n'est pas drôle. Mais alors, pas du tout. Le style de BD humoristiques que je déteste, tout simplement. Beaucoup trop niais, sans messages, rien. Du flan. 2) - Le plus dommage : les auteurs ne prennent pas parti. Aucun sens critique, après tout, l'agent 212 est un bon flic, comme tous ses collègues, pas vrai ? Je ne parle pas de faire une BD anti-flic, attention, ne me prêtez pas de propos que je n'ai pas ! Mais la lecture de la série aurait été bien plus intéressante si un réel message était passé en arrière plan... ce qui n'est vraiment pas le cas. 3) - Le plus risible : le dessin. Il est moche, à mon sens. Je n'apprécie pas plus que ça la ligne claire typique franco-belge, et je dois dire que le style de l'agent 212 a plutôt tendance à me faire fuire, en général. Les couleurs sont loin d'être au top, les personnages ne sont pas beaux... bof L'Agent 212... circulez, y'a rien à voir (ah ah).
Arthur
Mon dieu, mais que c'est lourd !!! J'ai lu un tome et demi de cette série, et c'est hors de question pour moi de continuer. C'est vraiment très chiant. Tout d'abord, le style narratif est vraiment trop mis en avant, et cette voix off ralenti vraiment le récit, c'est effrayant. Bon, ok, c'est bon pour l'ambiance du conteur au coin du feu qui nous relate les hauts faits d'Arthur et compagnie, mais c'est surtout un bon moyen de dégouter un lecteur de la bande dessinée ! Pourtant, on sent un réel travail de la part des auteurs qui ont du effectuer de grosses recherches documentaires, tant le fond de l'histoire se tient. C'est plutot sur la forme que ça pêche, donc... et pas qu'un peu ! Le dessin est trop brut de décoffrage a mon sens, le trait est trop graas pour le nombre de détails que veut représenter l'auteur. La couleurs quant à elle est sympa, mais vraiment trop classique. Dommage !
Agapê
Houlà que ce truc est laid ! C'est du porno basique, dialogues lourds, histoire inexistante (en gros le canevas narratif est : ça baise, quelqu'un arrive, ça rebaise, quelqu'un d'autre arrive, ça rebaise...), les gars ont une bite hypertrophiée, les nanas ont des seins comme des obus, pour ne rien gâcher, on y trouve aussi une femme enceinte, des nanas avec des bites et des "vas-y que je te pisse dessus"... Personnellement, tout ça ne m'excite pas vraiment... pas du tout même, cela m'inspire même un certain dégoût. Aucune sensualité, aucune dose d'érotisme, c'est du porno pur. Vulgaire et inintéressant... La typographie n'est pas faite à la main, ça vient gâcher un peu plus ces planches aux couleurs douteuses (j'ai jamais aimé les Color Twins, je me demande même s'ils ne sont pas daltoniens...).
Rouge de Chine
Alors là, non, je ne peux pas lire ça. On m'a prêté les 4 tomes, et j'ai été obligé de me forcer pour lire le 2, et j'ai carrement arrêté à la fin de ce T2. C'est une véritable misère à lire cette BD. Robin essaie de créer une atmosphère mystique féerique poétique, mais n'arrive, selon moi, qu'à des lenteurs et des lourdeurs dans son scénario. Par contre, le dessin est original et déjà très personnel, et la mise en page le sert très bien. Seulement, je ne lirai certainement jamais la suite...