01/20 (toujours ce fichu pb du papier et de l'encre)
Je ne suis pas fan d'himour lourd, mais là c'est mêmepas lourd ça n'a au cun intéret, deplus notre héros est il vraiment un obsédé sexuel??? je suis pas bien sur.
une série qui ne fait pas rire et même pas sourire!!!!
A EVITER
J'ai tenté la lecture de cette série uniquement à cause des auteurs.
Pour l'instant je pense qu'Eric OMOND est bien plus à l'aise et très performant dans la catégorie jeunesse, ainsi que son compère dessinateur.
C'est creux... bref, sans intérêt.
Tout d'abord une anecdote passionnante : cette BD a reçu une bonne critique dans la revue "Alternatives économiques", magazine réputé pour sa rubrique "bandes dessinées" comme chacun sait, et c'est ce qui a amené la bibliothèque où je bosse à en faire l'acquisition. Et dire que pendant ce temps, on me refuse tous les comics que je propose à l'achat sous prétexte que "est-ce que les comics ont vraiment leur place dans une bibliothèque ?"...
Donc, non, les comics n'ont pas leur place dans nos belles bibliothèques françaises, mais les navets oui, du moment qu'ils sont bien d'chez nous. "A la recherche du non-emploi" est une de ces BD d'humour franchouillard lourdingue et pas drôle dont l'Echo des Savanes a le secret. Ca joue la carte de la satire sociale, ça lorgne du côté de Tronchet pour le côté "rions un peu avec les pauvres et les abrutis", mais ça n'arrive pas à la cheville des oeuvres du grrrrrand Didier et ça ne pisse franchement pas très loin. Dans le même genre, même Les Losers sont des perdants qui est bien loin d'être un chef-d'oeuvre est quand même 10 fois mieux. Le dessin, au style pompé sur Florence Cestac, n'est déjà pas terrible, mais le pire n'est pas là. On ne rit jamais, tout au plus sourit-on deux ou trois fois (ce qui en 44 pages, est vraiment peu, vous en conviendrez) ; c'est beauf, c'est lourd, c'est idiot... Bref, un album médiocre, à oublier rapidement.
01/20 (à cause des arbres coupé pour imprimer ce navet)
C'est par hazard que j'ai acheté le premier tome de cette série... la couverture était sympa, et a la vu les auteurs je m'était dit qu'il y aurait surement du bon la dedans...
OH LA LA QUELLE ERREUR... le scénario est pire que minable, un gamin de 5° ferait mieux, et les dessin sont d'un lamentable (même si je ne serais pas capable d'en faire autant... ;) )
m'enfin c'te daube a rejoind Hard boiled pour caller l'armoire
Inutile, sans intérêt, dispensable, tout simplement.
Bon, l'idée de prendre comme cible le système policier pour faire vivre à ses "héros" des aventures humoristiques, pourquoi pas...
Pourtant, ici, rien ne va :
1) - Le plus triste : ce n'est pas drôle. Mais alors, pas du tout. Le style de BD humoristiques que je déteste, tout simplement. Beaucoup trop niais, sans messages, rien. Du flan.
2) - Le plus dommage : les auteurs ne prennent pas parti. Aucun sens critique, après tout, l'agent 212 est un bon flic, comme tous ses collègues, pas vrai ? Je ne parle pas de faire une BD anti-flic, attention, ne me prêtez pas de propos que je n'ai pas ! Mais la lecture de la série aurait été bien plus intéressante si un réel message était passé en arrière plan... ce qui n'est vraiment pas le cas.
3) - Le plus risible : le dessin. Il est moche, à mon sens. Je n'apprécie pas plus que ça la ligne claire typique franco-belge, et je dois dire que le style de l'agent 212 a plutôt tendance à me faire fuire, en général.
Les couleurs sont loin d'être au top, les personnages ne sont pas beaux... bof
L'Agent 212... circulez, y'a rien à voir (ah ah).
Mon dieu, mais que c'est lourd !!!
J'ai lu un tome et demi de cette série, et c'est hors de question pour moi de continuer. C'est vraiment très chiant.
Tout d'abord, le style narratif est vraiment trop mis en avant, et cette voix off ralenti vraiment le récit, c'est effrayant. Bon, ok, c'est bon pour l'ambiance du conteur au coin du feu qui nous relate les hauts faits d'Arthur et compagnie, mais c'est surtout un bon moyen de dégouter un lecteur de la bande dessinée !
Pourtant, on sent un réel travail de la part des auteurs qui ont du effectuer de grosses recherches documentaires, tant le fond de l'histoire se tient. C'est plutot sur la forme que ça pêche, donc... et pas qu'un peu !
Le dessin est trop brut de décoffrage a mon sens, le trait est trop graas pour le nombre de détails que veut représenter l'auteur. La couleurs quant à elle est sympa, mais vraiment trop classique. Dommage !
Houlà que ce truc est laid ! C'est du porno basique, dialogues lourds, histoire inexistante (en gros le canevas narratif est : ça baise, quelqu'un arrive, ça rebaise, quelqu'un d'autre arrive, ça rebaise...), les gars ont une bite hypertrophiée, les nanas ont des seins comme des obus, pour ne rien gâcher, on y trouve aussi une femme enceinte, des nanas avec des bites et des "vas-y que je te pisse dessus"... Personnellement, tout ça ne m'excite pas vraiment... pas du tout même, cela m'inspire même un certain dégoût. Aucune sensualité, aucune dose d'érotisme, c'est du porno pur. Vulgaire et inintéressant... La typographie n'est pas faite à la main, ça vient gâcher un peu plus ces planches aux couleurs douteuses (j'ai jamais aimé les Color Twins, je me demande même s'ils ne sont pas daltoniens...).
Alors là, non, je ne peux pas lire ça.
On m'a prêté les 4 tomes, et j'ai été obligé de me forcer pour lire le 2, et j'ai carrement arrêté à la fin de ce T2.
C'est une véritable misère à lire cette BD.
Robin essaie de créer une atmosphère mystique féerique poétique, mais n'arrive, selon moi, qu'à des lenteurs et des lourdeurs dans son scénario.
Par contre, le dessin est original et déjà très personnel, et la mise en page le sert très bien.
Seulement, je ne lirai certainement jamais la suite...
Des sept histoires présentées dans cet album, une seule me plaît, scénaristiquement et graphiquement, il s'agit de "Frères de sang". Les autres sont trop courtes, souvent trop confuses ou trop brouillonnes. J’ai bien du mal à voir où l’auteur veut en venir, la plupart du temps, les personnages sont trop distants, l’intrigue trop confuse ou inintéressante. Les textes récitatifs très présents sont rédigés dans un style lourd et prétentieux (à moins que cela soit un problème de traduction). Graphiquement, Schultheis passe d'une technique à l'autre sans toutefois briller à chaque fois. Un album de Schultheis qui ressemble à des fonds de tiroirs qu’on a rangé sous un titre vaguement attirant.
Amitié entre un humain et un animal, au-delà de la raison, conditions climatiques épouvantables, époque et hommes sans concession, morale omniprésente... Pas de doute, voici une BD véhiculant un certain nombre d'idéaux et de clichés un peu dépassés, même à l'époque de sa publication (1983). Le dessin est très très moyen, il n'y a pas de rythme... Et comment croire à cette petite fille qui a pu aller au bout du Yukon ?
A oublier vite fait.
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Obsédé Sexuel
01/20 (toujours ce fichu pb du papier et de l'encre) Je ne suis pas fan d'himour lourd, mais là c'est mêmepas lourd ça n'a au cun intéret, deplus notre héros est il vraiment un obsédé sexuel??? je suis pas bien sur. une série qui ne fait pas rire et même pas sourire!!!! A EVITER
Ninie Rezergoude
J'ai tenté la lecture de cette série uniquement à cause des auteurs. Pour l'instant je pense qu'Eric OMOND est bien plus à l'aise et très performant dans la catégorie jeunesse, ainsi que son compère dessinateur. C'est creux... bref, sans intérêt.
A la recherche du non-emploi
Tout d'abord une anecdote passionnante : cette BD a reçu une bonne critique dans la revue "Alternatives économiques", magazine réputé pour sa rubrique "bandes dessinées" comme chacun sait, et c'est ce qui a amené la bibliothèque où je bosse à en faire l'acquisition. Et dire que pendant ce temps, on me refuse tous les comics que je propose à l'achat sous prétexte que "est-ce que les comics ont vraiment leur place dans une bibliothèque ?"... Donc, non, les comics n'ont pas leur place dans nos belles bibliothèques françaises, mais les navets oui, du moment qu'ils sont bien d'chez nous. "A la recherche du non-emploi" est une de ces BD d'humour franchouillard lourdingue et pas drôle dont l'Echo des Savanes a le secret. Ca joue la carte de la satire sociale, ça lorgne du côté de Tronchet pour le côté "rions un peu avec les pauvres et les abrutis", mais ça n'arrive pas à la cheville des oeuvres du grrrrrand Didier et ça ne pisse franchement pas très loin. Dans le même genre, même Les Losers sont des perdants qui est bien loin d'être un chef-d'oeuvre est quand même 10 fois mieux. Le dessin, au style pompé sur Florence Cestac, n'est déjà pas terrible, mais le pire n'est pas là. On ne rit jamais, tout au plus sourit-on deux ou trois fois (ce qui en 44 pages, est vraiment peu, vous en conviendrez) ; c'est beauf, c'est lourd, c'est idiot... Bref, un album médiocre, à oublier rapidement.
Argyll de Maracande
01/20 (à cause des arbres coupé pour imprimer ce navet) C'est par hazard que j'ai acheté le premier tome de cette série... la couverture était sympa, et a la vu les auteurs je m'était dit qu'il y aurait surement du bon la dedans... OH LA LA QUELLE ERREUR... le scénario est pire que minable, un gamin de 5° ferait mieux, et les dessin sont d'un lamentable (même si je ne serais pas capable d'en faire autant... ;) ) m'enfin c'te daube a rejoind Hard boiled pour caller l'armoire
L'Agent 212
Inutile, sans intérêt, dispensable, tout simplement. Bon, l'idée de prendre comme cible le système policier pour faire vivre à ses "héros" des aventures humoristiques, pourquoi pas... Pourtant, ici, rien ne va : 1) - Le plus triste : ce n'est pas drôle. Mais alors, pas du tout. Le style de BD humoristiques que je déteste, tout simplement. Beaucoup trop niais, sans messages, rien. Du flan. 2) - Le plus dommage : les auteurs ne prennent pas parti. Aucun sens critique, après tout, l'agent 212 est un bon flic, comme tous ses collègues, pas vrai ? Je ne parle pas de faire une BD anti-flic, attention, ne me prêtez pas de propos que je n'ai pas ! Mais la lecture de la série aurait été bien plus intéressante si un réel message était passé en arrière plan... ce qui n'est vraiment pas le cas. 3) - Le plus risible : le dessin. Il est moche, à mon sens. Je n'apprécie pas plus que ça la ligne claire typique franco-belge, et je dois dire que le style de l'agent 212 a plutôt tendance à me faire fuire, en général. Les couleurs sont loin d'être au top, les personnages ne sont pas beaux... bof L'Agent 212... circulez, y'a rien à voir (ah ah).
Arthur
Mon dieu, mais que c'est lourd !!! J'ai lu un tome et demi de cette série, et c'est hors de question pour moi de continuer. C'est vraiment très chiant. Tout d'abord, le style narratif est vraiment trop mis en avant, et cette voix off ralenti vraiment le récit, c'est effrayant. Bon, ok, c'est bon pour l'ambiance du conteur au coin du feu qui nous relate les hauts faits d'Arthur et compagnie, mais c'est surtout un bon moyen de dégouter un lecteur de la bande dessinée ! Pourtant, on sent un réel travail de la part des auteurs qui ont du effectuer de grosses recherches documentaires, tant le fond de l'histoire se tient. C'est plutot sur la forme que ça pêche, donc... et pas qu'un peu ! Le dessin est trop brut de décoffrage a mon sens, le trait est trop graas pour le nombre de détails que veut représenter l'auteur. La couleurs quant à elle est sympa, mais vraiment trop classique. Dommage !
Agapê
Houlà que ce truc est laid ! C'est du porno basique, dialogues lourds, histoire inexistante (en gros le canevas narratif est : ça baise, quelqu'un arrive, ça rebaise, quelqu'un d'autre arrive, ça rebaise...), les gars ont une bite hypertrophiée, les nanas ont des seins comme des obus, pour ne rien gâcher, on y trouve aussi une femme enceinte, des nanas avec des bites et des "vas-y que je te pisse dessus"... Personnellement, tout ça ne m'excite pas vraiment... pas du tout même, cela m'inspire même un certain dégoût. Aucune sensualité, aucune dose d'érotisme, c'est du porno pur. Vulgaire et inintéressant... La typographie n'est pas faite à la main, ça vient gâcher un peu plus ces planches aux couleurs douteuses (j'ai jamais aimé les Color Twins, je me demande même s'ils ne sont pas daltoniens...).
Rouge de Chine
Alors là, non, je ne peux pas lire ça. On m'a prêté les 4 tomes, et j'ai été obligé de me forcer pour lire le 2, et j'ai carrement arrêté à la fin de ce T2. C'est une véritable misère à lire cette BD. Robin essaie de créer une atmosphère mystique féerique poétique, mais n'arrive, selon moi, qu'à des lenteurs et des lourdeurs dans son scénario. Par contre, le dessin est original et déjà très personnel, et la mise en page le sert très bien. Seulement, je ne lirai certainement jamais la suite...
Losers
Des sept histoires présentées dans cet album, une seule me plaît, scénaristiquement et graphiquement, il s'agit de "Frères de sang". Les autres sont trop courtes, souvent trop confuses ou trop brouillonnes. J’ai bien du mal à voir où l’auteur veut en venir, la plupart du temps, les personnages sont trop distants, l’intrigue trop confuse ou inintéressante. Les textes récitatifs très présents sont rédigés dans un style lourd et prétentieux (à moins que cela soit un problème de traduction). Graphiquement, Schultheis passe d'une technique à l'autre sans toutefois briller à chaque fois. Un album de Schultheis qui ressemble à des fonds de tiroirs qu’on a rangé sous un titre vaguement attirant.
Ayak
Amitié entre un humain et un animal, au-delà de la raison, conditions climatiques épouvantables, époque et hommes sans concession, morale omniprésente... Pas de doute, voici une BD véhiculant un certain nombre d'idéaux et de clichés un peu dépassés, même à l'époque de sa publication (1983). Le dessin est très très moyen, il n'y a pas de rythme... Et comment croire à cette petite fille qui a pu aller au bout du Yukon ? A oublier vite fait.